Discussion:Forces françaises en Allemagne/Mises en forme

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Discussion essai Garnisons de l'armée française en Allemagne Archives

Composition des unités après 1945[modifier le code]

La Gendarmerie nationale en Allemagne 1945 - 1989[modifier le code]

Après la capitulation signée les et , deux légions de la Gendarmerie nationale d'occupation sont constituées (Rhénanie-Palatinat, Sarre pour la 1re, Bade-Wurtemberg pour la 2e) et disposent chacune d'un groupe de trois escadrons mobiles. En outre, un détachement autonome intervient à Berlin et une compagnie autonome est constituée pour l'Autriche, qui est annexée à l'Allemagne depuis 1938. En , 11 000 gendarmes sont présents en Allemagne. Une école est créée à Horb am Neckar. Le recrutement est constitué de gendarmes mutés, et en faible minorité de jeunes gens engagés dans les années 1943 et 1944 pour échapper davantage au STO que pour l'engouement pour le métier.

La guerre d'Indochine réclame des hommes qui sont prélevés sur les deux légions, si bien qu'en 1950, l'effectif de la gendarmerie des FFA se trouve réduit à 320 hommes, puis 1 760 en 1956. Le corps est réorganisé : la compagnie autonome de la Sarre disparaît après le rattachement de cette région à la RFA. Le commandement des forces de gendarmerie des FFA a sous son autorité deux légions d'occupation, une légion d'intervention, le détachement de gendarmerie du Haut Commissariat et celui de Berlin. Les formations seront ensuite transformées en groupements de gendarmerie puis en groupements prévôtaux. En 1968, le commandement de la gendarmerie des FFA devient unité formant corps[1].

Garnisons des troupes d'occupation en Allemagne (TOA) du 8 mai 1945 au 10 août 1949[modifier le code]

Insigne des TOA.

Les effectifs des Troupes d'occupation en Allemagne sont passés de 324 000 hommes[2] le à un peu moins de 60 000 en 1949[2].

Les militaires se sont répartis dans les villes de garnisons suivantes. (Liste à compléter) :

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Défilé de soldats français du 159e RIA devant les ruines du Reichstag le [3].

Flottille du lac de Constance[modifier le code]

En août 1945, la Marine française reçu l'ordre de surveiller le lac de Constance, ce sera le rôle du "Secteur maritime du lac de Constance" renommé en 1946 "Flottille du lac de Constance". Puis ces unités passerons sous le contrôle des "Forces maritimes du Rhin"

Garnison des forces françaises à Berlin (FFB) de 1949 au 3 octobre 1990[modifier le code]

Insigne des Forces françaises à Berlin adopté en 1949.

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Gare française de Berlin-Tegel.

Garnison du groupement des forces du secteur français de Berlin (G.F.S.F.B) du 3 octobre 1990 au 12 septembre 1992[modifier le code]

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Garnison des forces françaises stationnées à Berlin (FFSB) du 12 septembre 1992 au 28 septembre 1994[modifier le code]

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Garnisons des forces françaises en Allemagne (FFA) du 10 août 1949 au 30 août 1993[modifier le code]

Insigne des FFA.

Un effectif d'environ 50 000 militaires est réparti dans les villes de garnisons suivantes (Liste à compléter) :

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Un engin blindé de reconnaissance du 1er régiment de spahis en 1978 dans une caserne de Spire.
Parade du 11e régiment de chasseurs des forces françaises à Berlin le lors de la journée des forces alliées à Berlin-Ouest. Au premier plan, des AMX-30B2 suivis de VAB.
Chef de char d'un AMX-10P du 2e GC de Neustadt lors d'un exercice en 1989.
Quartier Edon de Lachen derrière l'aérodrome en 1988

Garnisons des forces françaises stationnées en Allemagne (FFSA) du à 1999[modifier le code]

Insigne des FFSA.

Un effectif total de 25 000 hommes est réparti dans les quinze garnisons suivantes :

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Insigne de la brigade franco-allemande.

Garnisons des forces françaises et éléments civils stationnés en Allemagne (FFECSA) à partir de 1999[modifier le code]

Insigne des FFECSA.

Au début des années 2000, un effectif total de 4 400 hommes se répartit dans les quatre garnisons suivantes :

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Depuis la dissolution du 110e régiment d'infanterie le , il reste environ 500 militaires français en Allemagne, équilibrant ainsi le contingent allemand en Alsace (291e Jägerbataillon de la BFA en garnison à Illkirch-Graffenstaden depuis 2010).

Bases aériennes françaises en Allemagne[modifier le code]

F-100D de l'escadron de chasse 1/3 Navarre de la 3eescadre de chasse à Lahr en 1965.

Les dernières bases sont fermées depuis 1994 :

  1. Base aérienne 136 Friedrichshafen (dissoute en 1954) ;
  2. Base aérienne 136 Bremgarten (dissoute en 1968) ;
  3. Base aérienne 137 Coblence[23]. ;
  4. Base aérienne 139 Lahr (dissoute en 1967) ;
  5. Base aérienne 165 Berlin Tegel (dissoute en 1994) ;
  6. Base aérienne 178 Achern (dissoute en 1994) ;
  7. Base aérienne 243 Stetten (BA 520 à partir de 1964) ;
  8. Base aérienne 253 Fribourg ;
  9. Base aérienne 257 Friedrichshafen ;
  10. Base aérienne 520 Stetten (BA 243 jusqu'en 1964) ;
  11. Base aérienne 521 Friedrichshafen-Lowental ;
  12. Base aérienne 903 Friedrichshafen .

Références[modifier le code]

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