Boulogne-la-Grasse

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Boulogne-la-Grasse
Boulogne-la-Grasse
Église Notre-Dame
Blason de Boulogne-la-Grasse
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Compiègne
Intercommunalité CC du Pays des Sources
Maire
Mandat
Patrick Boulanger
2020-2026
Code postal 60490
Code commune 60093
Démographie
Population
municipale
461 hab. (2021 en diminution de 3,96 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 36′ 43″ nord, 2° 42′ 20″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 153 m
Superficie 9,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Compiègne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Estrées-Saint-Denis
Législatives 6e circonscription de l'Oise
Localisation
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Boulogne-la-Grasse

Boulogne-la-Grasse est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Boulogne-la-Grasse est un village périurbain[1] picard situé à la limite du Santerre, dans l'Oise mais limitrophe du département de la Somme, situé à 11 km au sud-est de Montdidier, 22 km à l'ouest de Noyon, 23 km au nord de Compiègne et à 48 km au nord-est de Beauvais.

Nature du sol et relief[modifier | modifier le code]

Le relief de la commune est celui d'un plateau au sous-sol crayeux recouvert de lœss.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Aucun cours d'eau ne traverse la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Godenvillers à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Géographie humaine[modifier | modifier le code]

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,2 %), prairies (21,3 %), forêts (15,9 %), zones urbanisées (7,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal, tangenté à l'ouest par l'ancienne route nationale 17 (actuelle RD 1017) est aisément accessible depuis l'autoroute A1 (sortie 11).

Le village est traversé par le Sentier de grande randonnée GR123.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 654, 655, 675, 6303 et 6334 du réseau interurbain de l'Oise[9].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Boulogne-la-Grasse est une commune rurale car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Compiègne dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 101 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 218, alors qu'il était de 216 en 2013 et de 204 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 82,1 % étaient des résidences principales, 7,3 % des résidences secondaires et 10,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,5 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,5 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Boulogne-la-Grasse en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (7,3 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 88,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (89,8 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Boulogne-la-Grasse en 2018.
Typologie Boulogne-la-Grasse[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 82,1 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 7,3 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 10,6 7,1 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes de Bolonia (1113) ; in terra Bononiensi (1116) ; Droco de Bolonia (1180) ; Ansoldi de Bolonia (vers 1200) ; Bononia pinguis (vers 1240) ; Bononia (1250) ; Bononia crassa (1250) ; Bartholomeus de Bolonia (1252) ; Bouloigne (1267) ; Bouloingne (1268) ; Bolonia (1292) ; in villa Bononia (XIIIe) ; Bononia crassa vel pinguis (XIIIe) ; Boulongne le crasse (1394) ; Boulonge le crasse (1433) ; Boulongne la crasse (1433) ; Boullogne (1450-1480) ; Bologne (1450-1480) ; Boullongne le grasse (1469) ; ville de boullongne lagrasse (1481) ; Boullongne (1504) ; Boulongne la grace lez Mondidier (1561) ; Boullongnes (1630) ; Boulogne près Montdidier (XVIIIe) ; Boulogne sur Corbie (1745) ; Boulogne la grace (XVIIIe) ; Boulogne lès Bus (XVIIIe) ; Boulogne la Grasse en Vermandois (XVIIIe) ; Boulogne-la-Grasse (1840)[15].

Boulogne dérive du latin Bononia puis Bolonia à partir du IIIe siècle, issu du gaulois bona, suivi du suffixe -onia[16], « établissement, ville ».

Le suffixe « La Grasse » viendrait de la nature argileuse du sol.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Boulogne-la-Grasse est situé sur la voie romaine reliant Caesaromagus (Beauvais) à Bavay.

De nombreux vestiges gallo-romains y ont été retrouvés[17], des thermes dans l'actuel hameau de Bains.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Boulogne-la-Grasse a été le lieu d'une bataille entre Jean de Luxembourg et La Hire en 1437.

Epoque moderne[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Boulogne-la-Grasse appartenait pour moitié au bailliage, à l'élection et au grenier à sel de Montdidier, elle relevait de la seigneurie de Raineval; l'autre partie était de la prévôté et du bailliage de Roye[18].

Epoque contemporaine[modifier | modifier le code]

Fin du XVIIIe siècle - début du XXe siècle[modifier | modifier le code]

Horaires de la ligne de Noyon à Montdidier en .

Sur la montagne de Boulogne était placé depuis 1794 un relais du télégraphe Chappe sur la ligne reliant Paris à Lille, et qui communiquait avec celui de Parvillers-le-Quesnoy, placé sur la tour du clocher., À la fin de l'épopée napoléonienne, durant les Cent-Jourse , une troupe de Cosaques détruit l’appareil de Boulogne-la-Grasse, dont les registres et les instruments sont rapportés à Roye[18].

Boulogne-la-Gtasse disposait de 1895 à 1955 d'une gare sur la ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique reliant Noyon à Gare de Montdidier par Rollot du réseau des Chemins de fer départementaux de l'Oise exploitée par la compagnie des Chemins de fer de Milly à Formerie et de Noyon à Guiscard et à Lassigny puis par la compagnie générale de voies ferrées d'intérêt local[19].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Lors de la Première Guerre mondiale, le château, dont la haute tour offre à l’époque, une large vue jusqu’à Amiens, est réquisitionné par l’armée française et sert de camp de stationnement, d'entraînement et d’observation pour les soldats français. Le Maréchal Joffre, le président Poincaré et le roi Albert Ier, roi des Belges, visitent le château le pendant leur inspection du front.

La commune est suffisamment éloignée du front pour être le siège de revues militaires, notamment le au cours de laquelle le général Mazillier, de la 2e division d'infanterie coloniale remet des décorations

Le village est lourdement bombardé par l'artillerie allemande lors des combats de la prise de Montdidier les 27 et de l'Offensive Michaël, puis, à nouveau mais par les Alliés lors de la bataille de Montdidier avant que le village ne soit repris par les Français le . La population civile est alors évacuée en urgence vers le Beauvaisis[20],[21].

Le village est considéré comme largement détruit à la fin de la guerre[22] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918 le [23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Ressons-sur-Matz[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Estrées-Saint-Denis

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Penvénan était membre de la communauté de communes du Pays des Sources, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1997 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[25]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1986 2008 Yves Floury DVD[26] Expert comptable
mars 2008[27] mai 2020 Charline Dézérable[28]    
mai 2020[29] En cours
(au 2 décembre 2020)
Patrick Boulanger    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés en 2001 avec ceux de Canny, de Conchy-les-Pots et d'Orvillers-Sorel dans le cadre d'un regroupement pédagogique intercommunal[1].

Culture[modifier | modifier le code]

La bibliothèque intercommunale Plaisir de Lire est implantée à Boulogne-la-Grasse[30].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 461 habitants[Note 3], en diminution de 3,96 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
790792801720786770728694698
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
648603557545515482510476503
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
465452417414383369381395409
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
424411321295251285407441467
2018 2021 - - - - - - -
466461-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sous l'Ancien Régime, Boulogne-la-Grasse comptait quatre-vingts feux en 1469, cent cinquante en 1660 et deux cent quarante-cinq en 1770[18].

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,1 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 238 hommes pour 228 femmes, soit un taux de 51,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,3 
8,4 
75-89 ans
8,3 
10,1 
60-74 ans
11,8 
23,5 
45-59 ans
18,9 
20,2 
30-44 ans
21,1 
17,2 
15-29 ans
15,8 
20,2 
0-14 ans
22,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Boulogne-la-Grasse comporte plusieurs bâtiments :

  • L'église Notre-Dame qui date de 1927. Elle possède un chœur plus ancien et des vitraux du XVIe siècle.
  • Le château reconstruit sur les vestiges du château de la famille de Lancry pour Charles de Boulogne, propriétaire belge, en béton armé de 1890 à 1913 en style mi-médiéval, mi-Renaissance, partiellement détruit pendant la Première Guerre mondiale[17],[36],. En 2022, ce bâtiment est concerné par une démarche de financement participatif qui aboutira à le rendre propriété d'une société constituée par les souscripteurs[37]
  • Le château de Bains.
  • La motte féodale de l'ancien château de la famille de Lancry.
  • Stèle placée à l'emplacement de la tour du télégraphe Chappe.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Boulogne-la-Grasse Blason
D'azur à trois tours d'argent ouvertes de sable.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Abbé Martin-Val, Histoire de Boulogne-la-Grasse et des autres paroisses érigées sur les terres de La Terrière, données par Clotaire III et Ste Bathilde à l'abbaye de Corbie, en 662, Compiègne, A. Mennecier, , 284 p. (lire en ligne), sur Gallica.
    Réimpression par Lorisse - Le Livre d'Histoire 2011 (ISBN 978-2-7586-0587-4)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Carte spéciale des régions dévastées : 21 SE, Montdidier [Sud-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Boulogne-la-Grasse » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boulogne-la-Grasse - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Boulogne-la-Grasse - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b L.G., « La commune se mobilise pour ses nouveaux élèves », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « La commune bénéficie du mouvement des citadins qui quittent la ville pour résider à la campagne, où ils trouvent une meilleure qualité de vie. Cela a des conséquences sur les besoins d'accueil et le regroupement scolaire intercommunal de Boulogne, de Canny, de Conchy-les-Pots et d'Orvillers-Sorel va devoir passer à huit classes ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Boulogne-la-Grasse et Godenvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Godenvillers » (commune de Godenvillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. « Transports en commun à Boulogne-la-Grasse », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Compiègne », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 80.
  16. Maurice Lebègue et Jacques Chaurand, Les Noms des communes du département de l'Oise, Musée de Picardie, , p. 53.
  17. a et b Daniel Delattre, L'Oise - Les 693 communes, Delattre à Grandvilliers, .
  18. a b et c Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 317-326, sur Gallica.
  19. « Le réseau de Noyon et la ligne Milly-Formerie : Histoire des voies ferrées d'intérêt local dans l'Oise », dans Claude Wagner, Voies métriques en Picardie, Auray, LR Presse, (ISBN 978-2903651749), p. 70-137.
  20. « Devenez co-Châtelain d'un Château à 1 h de Paris », sur dartagnans.fr (consulté le ).
  21. « Boulogne-la-Grasse dans la Grande guerre », Livre mémorial des communes de l'Oise, Mémorial 1914 / 1918 des victimes civiles de l'Oise (consulté le ).
  22. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  23. Journal officiel de la République française du , p. 2475.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Les maires de Boulogne-la-Grasse », sur francegenweb.org (consulté le ).
  26. EIP, Annuaire des Mairies de l'Oise (60), Cannes, Les Éditions Céline, coll. « Annuaire des maires de France », , 254 p. (ISBN 978-2-35258-160-4, lire en ligne), p. 47.
  27. Le Courrier picard édition Oise du 31 mars 2008
  28. Réélue pour le mandat 2014-2020 : « Fiche commune : BOULOGNE-LA-GRASSE »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Union des maires de l'Oise (consulté le ).
  29. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  30. « La bande dessinée à l’honneur à Boulogne-la-Grasse », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Boulogne-la-Grasse (60093) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  36. France 3, « Histoires 14-18 : Le château des courants d'air », 6/1/2017 mis à jour le 16/6/2020 (consulté le ).
  37. Marielle Martinez, « Pour 59 euros, vous pouvez devenir copropriétaire d’un château aux confins de l’Oise et de la Somme : Aux confins de l’Oise et de la Somme, un village de moins de 500 âmes abrite une fantaisie architecturale pour laquelle le site Dartagnans a lancé une campagne de financement. Il reste quinze jours aux amateurs pour se doter d’une part ou plus du château », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).