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CapMissio[modifier | modifier le code]
CapMissio | |
Repères historiques | |
---|---|
Fondation | 2015 |
Fondateur(s) | René-Luc Giran (d), Pierre-Marie Carré |
Fiche d'identité | |
Église | Catholique |
Vocation | École d'évangélisation |
Localisation | Montpellier, France |
Site internet | https://www.capmissio.com/ |
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CapMissio est une école d'évangélisation fondée en 2015 par René-Luc Giran, prêtre du diocèse d'Albi, et Pierre-Marie Carré, archevêque de Montpellier. Elle est installée à Montpellier depuis sa fondation.
En 2024, suite à des signalements de dysfonctionnements, Norbert Turini, successeur de Pierre-Marie Carré depuis 2022, mandate une visite canonique, à la suite de laquelle il demande le retrait de René-Luc Giran, et la fermeture temporaire de l'école.
Historique[modifier | modifier le code]
René-Luc Giran[modifier | modifier le code]
Naissance | |
---|---|
Nationalité | |
Activité |
Prêtre catholique (depuis ) |
Site web |
---|
René-Luc Giran naît à Nîmes en 1966[1]. Il ne connaît pas son père, et a deux frères d'un autre mariage[1]. Quand il a dix ans, sa mère rencontre un nouveau conjoint, qui se lie d'affection avec René-Luc et lui propose de prendre son nom[1]. Néanmoins, ce dernier est recherché des forces de l'ordre pour grand banditisme[1] et pour défaut de paiement de pension alimentaire[2], bascule dans la boisson et la violence, et finit par se suicider devant le domicile familial[1]. René-Luc se dirige alors sur la pente de la délinquance, mais une rencontre fortuite avec Nicky Cruz, ancien chef de gang new-yorkais devenu pasteur, lui fait un choc émotionnel qui le conduit sur un chemin spirituel, l'amenant notamment à Lourdes[2] où il choisit de donner sa vie à Dieu. Il est ordonné prêtre pour le diocèse d'Albi en 1994[1],[3].
Publications[modifier | modifier le code]
- René Luc, Dieu en plein cœur : Témoignage, Presses de la Renaissance, , 240 p. (ISBN 978-2750904166)
- René Luc, Dieu en plein cœur : Né de père inconnu, élevé par un gangster, Presses de la Renaissance, (1re éd. 2014), 241 p. (ISBN 978-2750904166, BNF 45788042)
CapMissio[modifier | modifier le code]
En , René-luc quitte Albi pour rejoindre Montpellier, en vue de créer une école d'évangélisation[4]. Celle-ci voit le jour en , avec l'appui de Pierre-Marie Carré, archevêque de Montpellier[5].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- « CapMissio : après la fermeture de l’école, une tribune de soutien », Aleteia, (lire en ligne, consulté le )
- « « Nous sommes fiers de notre année missionnaire vécue à CapMissio » », Famille chrétienne, (lire en ligne, consulté le )
- Tribune plutôt qu'un article
- Antoine Pasquier, « « Décision disproportionnée », « véritable gâchis »… Vent de contestation après la fermeture de CapMissio », Famille chrétienne, (lire en ligne, consulté le )
- « Communiqué du conseil d’administration de CapMissio suite à l’annonce, par Mgr Turini, de la fermeture de l’école », sur CapMission, (consulté le )
- Judith Perret, « CapMission : la visite canonique mène à la suspension définitive du père René-Luc », RCF, (lire en ligne, consulté le )
- Héloïse de Neuville, « CapMissio : le charismatique père René-Luc évincé de son école missionnaire », La Croix, (lire en ligne, consulté le )
- Esteban Bei, « "Des dysfonctionnements qui ont ébranlé l'équilibre humain" : une école religieuse fermée et son fondateur évincé », France3 Régions, (lire en ligne)
- Yanick Philipponat et Paul Caraci, « "Personnes fragilisées", "macho", "emprise" : la chute du charismatique Père René Luc évincé de son école Cap Missio », Midi libre, (lire en ligne, consulté le )
- Norbert Turini, « Déclaration Cap Missio », sur archidiocèse de Montpellier, (consulté le )
- Élisabeth Caillemer, « Capmissio : l’audace des jeunes pour évangéliser », Famille chrétienne, (lire en ligne, consulté le )
- Valérie Marco, « Montpellier : douze étudiants en mission pour le Seigneur au sein de l'école CapMissio », Midi libre, (lire en ligne, consulté le )
- Manuella Affejee, « En temps de crise, la puissance de la louange », Vatican News, (lire en ligne, consulté le )
- Bérengère Dommaigné, « 4 très bonnes raisons d’être étudiant à l’école d’évangélisation CapMissio », Famille chrétienne, (lire en ligne, consulté le )
Références[modifier | modifier le code]
- « Le parcours atypique du père René-Luc », Midi libre, (lire en ligne, consulté le )
- « Fribourg : Le Père René-Luc témoigne de son passé de voyou à Prier Témoigner », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
- Evelyne Montigny, « P. René-Luc « C'est difficile de ne pas connaître son père » », La Croix, (lire en ligne, consulté le )
- « Albi. Les adieux du père René-Luc », La Dépêche du Midi, (lire en ligne, consulté le )
- Arthur Herlin, « Le père René-Luc met le cap sur la jeunesse », Aleteia, (lire en ligne, consulté le )
Église Saint François de Sales de Chêne-Bourg[modifier | modifier le code]
Église Saint François de Sales | |||
Clocher de l'église | |||
Présentation | |||
---|---|---|---|
Culte | Catholique romain | ||
Dédicataire | François de Sales | ||
Type | Église | ||
Rattachement | Lausanne, Genève et Fribourg | ||
Début de la construction | 1928 | ||
Fin des travaux | 1930 | ||
Architecte | Philippe Brun, Jules Zumthor et Marcel de Mirbach. | ||
Géographie | |||
Pays | Suisse | ||
Canton | Genève | ||
Ville | Chêne-Bourg | ||
Coordonnées | 46° 11′ 37″ nord, 6° 11′ 32″ est | ||
Géolocalisation sur la carte : Suisse
Géolocalisation sur la carte : canton de Genève
| |||
modifier |
- Valérie Sauterel, « Eglise Saint-François-de-Sales », sur vitrosearch.ch, (consulté le )
- Armand Brulhart et Erica Deuber-Pauli, « Chêne-Bourg », dans Ville et canton de Genève, Berne, SHAS, coll. « Arts et monuments », (1re éd. 1985), p. 284
- « Quelle est l'histoire de l'ancienne église de Chêne-Bourg et quand a-t-elle été détruite ? », sur Bibliothèques municipales de Genève, (consulté le )
- « Chêne-Bourg - Église Saint François de Sales », sur Les cloches savoyardes, (consulté le )
- Dr François Comment, « Chêne-Bourg, Église Saint François de Sales », sur Orgelverzeichnis Schweiz und Liechtenstein, (consulté le )
- Gilles Brodard, Bruno Corthésy, Aline Jeandrevin, Giuliana Merlo et Bruno Santos, « Eglise catholique romaine dite Saint-François-de-Sales – Avenue Petit-Senn s.n. (bât. 170) », sur Recensement architectural du canton de Genève, (consulté le )
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Article connexe[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
{{Liens}} {{Portail|Catholicisme|Genève}} {{CLEDETRI:ChêneBourgÉgliseSaintFrançois}} [[Catégorie:Église construite au XXe siècle]] [[Catégorie:Édifice religieux du XXe siècle en Suisse]] [[Catégorie:Édifice religieux commencé en 1928]] [[Catégorie:Édifice religieux achevé en 1930]] [[Catégorie:Église dans le canton de Genève]] [[Catégorie:Église dédiée à saint François de Sales]]
Carl Johann Greith[modifier | modifier le code]
Carl Johann Greith | ||||||||
Biographie | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Naissance | Rapperswil |
|||||||
Ordination sacerdotale | ||||||||
Décès | (à 74 ans) Saint-Gall |
|||||||
Évêque de l'Église catholique | ||||||||
Ordination épiscopale | par Joseph Fessler (en) | |||||||
Dernier titre ou fonction | Évêque de Saint-Gall | |||||||
Évêque de Saint-Gall | ||||||||
– | ||||||||
| ||||||||
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||||||||
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Évêque diocésain Diocèse de Saint-Gall | |
---|---|
- | |
Johann Peter Mirer (d) Augustin Egger (d) |
Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Activités |
Diacre catholique (à partir du ), prêtre catholique (à partir du ), évêque catholique (à partir du ), professeur d'université |
A travaillé pour | |
---|---|
Consécrateur |
Joseph Fessler (en) |
Carl Johann Greith, né le à Rapperswil et mort le à Saint-Gall, est un prêtre catholique suisse, évêque de Saint-Gall de 1862 à 1882.
Biographie[modifier | modifier le code]
Greith a étudié la théologie catholique, la philosophie et l'histoire au lycée à Lucerne, puis à Munich[1]. C'est là qu'il fait la connaissance de Joseph Görres. En 1829, il se rend à Paris, principalement pour apprendre le métier de bibliothécaire. Mais c'est là qu'il décide de se lancer dans la carrière sacerdotale et entra au séminaire de Saint-Sulpice en 1829[2].
Après son ordination en 1831, il travaille à Saint-Gall comme adjoint à la bibliothèque, puis comme sous-recteur du séminaire[2]. Greith y est également professeur d'histoire de l'Eglise, mais est destitué en 1834 par le gouvernement en tant que défenseur véhément des positions catholiques. Il fait alors des recherches à Rome pendant trois ans[1] pour le compte du gouvernement britannique, où il examine surtout des documents sur l'histoire britannique. En 1837, il accepte un poste de pasteur à Mörschwil[2], puis deux ans plus tard à Saint-Gall[2], où il devient doyen de la cathédrale et official de l'évêque en 1847. De 1837 à 1853, Greith est membre du Grand Conseil[2] et à nouveau un leader du mouvement catholique conservateur dans le Kulturkampf. En 1849, il obtient une chaire de philosophie. En 1862, il est élu évêque de Saint-Gall[2] et en 1863, il est consacré évêque[1]. Lors de Vatican I en 1871, Greith, ami d'Ignaz von Döllinger, argumente contre le fait de décider du dogme de l'infaillibilité dans les conditions actuelles[2]. Il accepte cependant la dogmatisation, même s'il ne proclama ce dogme dans son diocèse qu'en 1873[1].
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (de) Johannes Duft, « Greith, Karl Johann », dans Neue Deutsche Biographie (NDB), vol. 7, Berlin, Duncker & Humblot, , p. 42 (original numérisé).
- (de) Friedrich Lauchert, « Greith, Karl Johann », dans Allgemeine Deutsche Biographie (ADB), vol. 49, Leipzig, Duncker & Humblot, , p. 533-536
- (de) Francois Rothenflue, Dr. Carl Johann Greith, Bischof von St. Gallen, Würzburg, (lire en ligne).
- (de) Francois Rothenflue, « Dr. Karl Johann Greith, Bischof von St. Gallen », Historisch-politische Blätter für das katholische Deutschland, vol. 90, no 7, , p. 501–525.
- (de) A. Brunhart, « Carl Johann Greith und der Kreis um Joseph Görres 1828-1838 », dans Kirche, Staat und katholische Wissenschaft in der Neuzeit, éd. A. Portmann-Tinguely, 299-326
Références[modifier | modifier le code]
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Carl Johann Greith » (voir la liste des auteurs).
- (de) Friedrich Wilhelm Bautz, « Greith, Karl Johannes », dans Biographisch-Bibliographisches Kirchenlexikon (BBKL), vol. 2, Hamm, (ISBN 3-88309-032-8, lire en ligne), col. 347
- Arthur Brunhart (trad. Ursula Gaillard), « Kailingkaz/Brouillon » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
Aurelio Bacciarini[modifier | modifier le code]
Évêque titulaire Daulia (d) | |
---|---|
- | |
Soter Ortynsky (en) William Mellon (en) | |
Administrateur apostolique Diocèse de Lugano | |
- | |
Naissance | |
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Décès | |
Nationalité | |
Activités |
Prêtre catholique (à partir du ), évêque catholique (à partir du ), théologien |
Consécrateurs |
Basilio Pompilj, Domenico Bianconi (d), Anselmo Rizzi (d) |
---|
- Patrick Braun, Hans-Jörg Gilomen: Aurelio Bacciarini. In: Helvetia Sacra. Sezione 1, Volume 6, Arcidiocesi e Diocesi, Helbing & Lichtenhahn Verlag AG, Basel 1989, S. 259, 265 f, 269, 283, 291, 297.
- Alberto Lepori, Fabrizio Panzera (Hrsg.): Uomini nostri. Trenta biografie di uomini politici. Armando Dadò Editore, Locarno 1989, S. 15.
- Pierre Surchat, « Aurelio Bacciarini » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
- Celestino Trezzini: Aurelio Bacciarini. In: Historisch-Biographisches Lexikon der Schweiz. Attinger, Neuenburg 1921, S. 511 (PDF Digitalisat), abgerufen am 29. Dezember 2019.
Georg Schmid von Grüneck[modifier | modifier le code]
Évêque diocésain Diocèse de Coire | |
---|---|
- | |
Johannes Fidelis Battaglia (d) Laurenz Matthias Vincenz (d) |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activités |
Diacre catholique (à partir du ), prêtre catholique (à partir du ), évêque catholique (à partir du ) |
Parentèle |
Georg Willi (d) (neveu) |
Consécrateurs |
---|
- (de) Albert Fischer, « Georg Schmid von Grüneck : Bischof von Chur 1908-1932 »
- Albert Gasser (de) (trad. Laurent Auberson), « Schmid von Grüneck, Georg » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
Dietrich von Brühl[modifier | modifier le code]
Ambassadeur d'Allemagne en Autriche (d) | |
---|---|
- | |
Hans Heinrich Noebel (d) |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Nationalité | |
Activité | |
Famille | |
Père |
Georg von Brühl (d) |
Mère |
Jeanne von Stockhausen (d) |
Conjoint |
Maria Oktavia von Waldburg zu Wolfegg und Waldsee (d) (à partir de ) |
Enfants | |
Parentèle |
Friedrich-Franz von Brühl (d) (grand-père) |
Unité |
Panzerregiment 2 (d) (- |
---|---|
Distinctions |
Dietrich Graf von Brühl, né le à Königsberg, mort le à Vienne est un diplomate allemand .
Biographie[modifier | modifier le code]
Von Brühl a été, entre autres, ambassadeur d'Allemagne en Autriche de 1986 à 1990[1],[2]. Au moment de la réunification, il est le premier ambassadeur entièrement allemand à Vienne[3],[4]. Dans ce cadre, il est présent lorsque Hans-Dietrich Genscher, Ministre fédéral des Affaires étrangères allemand, donne un discours le à Prague[5] où il indique que la RDA permet aux réfugiés est-allemands présents dans les ambassades de la RFA à émigrer librement en RFA[6]. Il est remplacé à ce poste par Philipp Jenninger[7].
En 1990, Brühl a été nommé officier de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne pour ses « activités culturelles transfrontalières » et a reçu la Grand-Croix d'or de l'Ordre du Mérite autrichien.
Il est le petit-fils de Friedrich-Franz von Brühl (de) (1848-1911) et le fils de Georg Graf von Brühl (1882-1976). L'auteur Christine von Brühl (de) est sa fille.
Il était membre de l'association étudiante catholique KStV Tuiskonia-Monasteria Münster.
En 2002, il donne une interview à l'Imperial War Museum dans laquelle il relate ses activités militaires durant la Seconde Guerre mondiale[8].
Publications[modifier | modifier le code]
- (de) Radomice oder der Untergang des Panzerregiments 2 [« Radomice ou la chute du Panzer-Regiment 2 »], Niederndorf, 40 p.
- (de) Dietrich Graf Brühl et Manfried Rauchensteiner (de) (Hrsg.), Aufbruch in eine neue Zeit : 1989 im Rückblick, Wien, Heeresgeschichtliche Museum, , 114 p. (OCLC 49531887)
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- (de) Taschenbuch des Öffentlichen Lebens (de), Bonn, Festland, (ISBN 9783872240194)
- (de) Genealogisches Handbuch des Adels, vol. XVIII : Gräfliche Häuser,
Références[modifier | modifier le code]
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Dietrich von Brühl » (voir la liste des auteurs).
- (de) Auswärtiges Amt, « Deutsche Botschafter in Österreich seit 1871 » (consulté le )
- (de) « Geradezu üppig », Der Spiegel, (lire en ligne, consulté le )
- (de) Michael Gehler (de), « Verschiedene europäische Wege im Vergleich: Österreich und die Bundesrepublik Deutschland 1945/49-2005 » [archive du ], sur Université de Hildesheim (consulté le )
- (de) « Dietrich Graf von Brühl », Der Spiegel, (lire en ligne, consulté le )
- (de) Stefan Locke, « Nackte Angst und übergroße Hoffnung », Frankfurter Allgemeine, (lire en ligne, consulté le )
- (en) Francesco Pierini, Maria Eleonora Guasconi et Michael Gehler, Narrating Europe : Speeches on European Integration (1946–2020), , 653 p. (ISBN 9783748928270), p. 315 - 317, 320 - 322
- (de) « Philipp Jenninger ist tot », Der Spiegel, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Bruhl, Dietrich, Graf von (Oral history) », sur Imperial War Museum (consulté le )
Liens externes[modifier | modifier le code]
{{DEFAULTSORT:Bruehl, Dietrich von}} [[Catégorie:Personnalité masculine allemande]] [[Catégorie:Décès en novembre 2010]] [[Catégorie:Décès à Vienne]] [[Catégorie:Naissance en décembre 1925]] [[Catégorie:Naissance à Königsberg]] [[Catégorie:Diplomate allemand du XXe siècle]] [[Catégorie:Grand-croix d'or de l'ordre du Mérite autrichien]] [[Catégorie:Officier de l'ordre du Mérite de la République fédérale d'Allemagne]] [[Catégorie:Ambassadeur d'Allemagne en Autriche]] {{Portail|Relations internationales|Allemagne}}
Francis de la Barre[modifier | modifier le code]
Ambassadeur de Belgique en Autriche (d) | |
---|---|
Ambassadeur de Belgique au Guatemala (d) |
Comte | |
---|---|
- | |
Successeur |
Dominique de la Barre d'Erquelinnes (d) |
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Surnom |
Francis |
Nationalité | |
Activité | |
Père | |
Mère |
Berthe du Parc-Locmaria (d) |
Enfant |
Dominique de la Barre d'Erquelinnes (d) |
- (en) Andranik Melkonovich Petrosyants, Nuclear Engineering Before and After Chernobyl : Problems and Prospects, Russie, Progress Publishers, 1988, 144 p. (ISBN 9785010017019, lire en ligne), p. 142.
Centre catholique des médias[modifier | modifier le code]
Fondation | |
---|---|
Prédécesseur |
Type | |
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Forme juridique | |
Pays | |
Coordonnées |
Site web |
---|
Le centre catholique des médias est une fusion des anciennes institutions médiatiques ecclésiales CCRT, kipa-apic, service des médias catholiques, du portail Internet de Suisse romande cath.ch et du Tessin CCRTv Lugano[1]. Avec la réunion inaugurale le 7 mai 2014, l'association a été constituée au nom de la Conférence des évêques suisses (SBK) et de la Conférence centrale catholique romaine en Suisse (RKZ), et regroupe le travail médiatique de l'Église catholique en Suisse .
En externe, les langues nationales sont proposées dans les offres de services en ligne kath.ch (allemand), cath.ch (français) et catt.ch (italien) conformément au statut-cadre des centres de presse en Suisse .
Mission[modifier | modifier le code]
L'activité principale de l'association peut être divisée en quatre domaines :
- information
- Développement et traitement de contenus journalistiques sur des questions ecclésiastiques, religieuses et sociales pour le public des médias.
- Annonce
- Supervision des programmes en coopération avec la Radio Télévision Suisse
- Relation publique
- Communication et médiation des sujets et préoccupations ecclésiastiques au sein de l'Église catholique et du public.
- Prestations :
- Formation, conseil et autres services de travail médiatique pour les comités et institutions ecclésiastiques.
Organisation[modifier | modifier le code]
L'institution est dirigée par le théologien et scientifique des médias Charles Martig. Adrian Müller, capucin et éditeur du magazine capucin ITE, est président du conseil de surveillance depuis 2021[2]. L'évêque des médias Alain de Raemy est responsable de la responsabilité de l'église. Le rédacteur en chef du site germanophone est Raphael Rauch .
Siège[modifier | modifier le code]
Depuis juillet 2015, le centre catholique des médias a sa salle de rédaction à Zurich Ouest, et est réuni sous un même toit avec les rédacteurs de kath.ch, Medientipp, Reformed media et d'autres ONG[3].
Publications (sélection)[modifier | modifier le code]
- (de) Charles Martig, « Kirche im Web 2.0 : Euphorie oder kritische Zurückhaltung? », Medienheft, (lire en ligne, consulté le )
- (de) Willi Bühler et Martin-Peier-Plüss, « Mediale Repräsentation und Kontextualisierung des Christentums », dans Constanze Jecker (éd.), Religionen im Fernsehen. Analysen und Perspektiven, Constance, , p. 205-214
- (de) Charles Martig, « Kirche im Web 2.0 : Euphorie oder kritische Zurückhaltung? », Medienheft, (lire en ligne, consulté le )
- Charles Martig : Apparition à la radio et à la télévision SRF sur le thème " La religion à l'écran - entre fascination et scepticisme"
- Charles Martig : apparition à la radio et à la télévision SRF sur le thème "Jesus in focus - the conversation about the film"
Liens web[modifier | modifier le code]
- Site Internet du portail d'information en langue allemande kath.ch
- Site Internet du parc de données
- Site Web de conseils aux médias
- Site Web Relimédia
Références[modifier | modifier le code]
- (de) Cet article est partiellement ou en totalité issu de l’article de Wikipédia en allemand intitulé « Katholisches Medienzentrum » (voir la liste des auteurs).
- « Lancement des nouveaux centres de médias catholiques », sur Conférence des évêques suisses, (consulté le )
- (de) « Adrian Müller ist neuer Präsident », sur persoenlich.com
- (de) « Newsroom von kath.ch im Kulturpark in Zürich West eröffnet », kath.ch, (lire en ligne, consulté le )
[[Catégorie:Fondation en 2015]]
Joseph Lafont[modifier | modifier le code]
Chef scout Scouts de France | |
---|---|
à partir du | |
Naissance | |
---|---|
Décès |
(à 86 ans) |
Nationalité | |
Formation | |
Activités | |
Période d'activité |
- |
Père |
Jean-Albert Lafont (d) |
Mère |
Marie Drevet (d) |
Arme | |
---|---|
Unités | |
Grades militaires |
Lieutenant-colonel (- Colonel (- Général de brigade (- Général de division (- Général de corps d'armée (d) (à partir de ) |
Conflits | |
Distinctions | |
Archives conservées par |
Service historique de la Défense (GR 13 YD 1434)[1] |
Christophe Carichon, Grandes figures du scoutisme, Artège, (ISBN 9791033611806), p. 145 - 155
Henri Hue, « Quand les scouts de Chalon ont été les victimes de... Zorro », Le Journal de Saône-et-Loire, (lire en ligne, consulté le )
« Le général Lafont », Europa Scouts, Europa scouts, no 120, (lire en ligne, consulté le )
Références[modifier | modifier le code]
Philip Endean[modifier | modifier le code]
Naissance | |
---|---|
Décès | |
Formation |
Merton College (baccalauréat universitaire) (- Heythrop College, University of London (en) (maîtrise ès arts) |
Activité |
Prêtre catholique (à partir du ) |
Ordre religieux |
---|
(en) Paul Nicholson, « RIP Philip Endean, a Jesuit scholar who taught us to hold spirituality and theology together », America, (lire en ligne, consulté le )
« Philip Endean nous a quittés », sur Centre Sèvres, (consulté le )
(en) « Fr Philip Endean SJ has died », sur independent catholic news, (consulté le )
Philip Endean, « Karl Rahner dans le monde anglophone », Recherches de Science Religieuse, vol. 109, no 3, , p. 449-458 (DOI 10.3917/rsr.213.0449, lire en ligne)
(en) Karl Rahner and Ignatian Spirituality, Oxford University Press, , 304 p. (ISBN 978-0-19-927589-2)
Église Saint-Robert (Founex)[modifier | modifier le code]
La chronologie de ses titulaires[1] est comme dans le tableau déroulant qui suit.
Période | Titre | Nom(s) | |
---|---|---|---|
8 novembre 1900 |
Recteur |
Mgr Deruaz. | |
1900-1914 | Recteur |
Abbé Gabriel Mégevet | |
1915-1919 |
Recteur |
Abbé François Forestier | |
1919-1920 |
Recteur |
Abbé Raoul Snell | |
1920-1923 |
Recteur |
Abbé Joseph Toreilles | |
1923-1924 |
Recteur |
Abbé André Vienne | |
1924-1925 |
Recteur |
Abbé Joseph Piotton | |
1925-1927 |
Curé |
Abbé Joseph Piotton | |
1927-1980 |
Curé |
Abbé Edmond Pittet | |
1980-1988 |
Curé |
Abbé Jean-François Meignez | |
1988-1993 |
Curé |
Abbé Reymond Schmidt | |
1994-2004 |
Curé |
Henri Kowalski | |
2004-2009 |
Curé |
Jean-Pierre Courtois |
- Plaques commémoratives à l'entrée de la chapelle St Robert consultées le 6 novembre 2020.
{{portail|catholicisme|Vaud|architecture chrétienne}} [[Catégorie:Église dans le canton de Vaud]][[Catégorie:Église fondée au XIXe siècle]] [[Catégorie:Église dédiée à saint Robert]]
Union des supérieurs majeurs religieux de Suisse[modifier | modifier le code]
« À propos », sur VOS'USM (consulté le )
« Dulliken:des communautés religieuses qui respectent les personnes », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Delémont: assemblée générale de l’Union des Supérieurs majeurs », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Les religieux reçoivent le nonce apostolique », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Suisse: assemblée générale de l’Union des supérieurs majeurs à Pensier », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Suisse: assemblée générale de l’Union des supérieurs majeurs : Les ordres religieux porteurs d’espérance », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Fribourg: Assemblée de l’Union des Supérieurs majeurs religieux de Suisse », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Suisse: 30 ans d’activité pour la Commission de planification pastorale », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le ) :
« Les «parents» de la CPP furent l’Union des supérieurs majeurs des congrégations religieuses (USM), créée en 1958 (…) »
« Le capucin Mauro Jöri, nouveau président : Suisse: L’Union des supérieurs majeurs religieux fête ses 40 ans », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Renforcer les collaborations entre congrégations religieuses : Assemblée général de l’Union des Supérieurs majeurs », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Suisse: Les supérieurs majeurs religieux en assemblée du 25 au 27 juin au Tessin », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Ordres et congrégations en Suisse: Etat des lieux », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Suisse: L’USM a tenu son Assemblée générale à Romanshorn », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
« Grisons: L’Union des Supérieurs Majeurs Religieux de Suisse en réunion à Ilanz », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
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Famille de Marie[modifier | modifier le code]
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- Raphaël Zbinden, « 'La Famille de Marie’, une communauté «sulfureuse» sous tutelle (2/2) », Cath.ch, (lire en ligne, consulté le )
- « Communiqué de Mgr Feillet », sur diocèse de Séez, (consulté le )
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- Thierry Roussin, « Suspectée de manipulation mentale, une communauté religieuse de l'Orne sous tutelle du Vatican », Le Réveil normand, (lire en ligne, consulté le )
Antoine Coelho[modifier | modifier le code]
- Céline Hoyeau et Mikael Corre, « Un prêtre de Toulon annonce se marier avec une femme « incarnation du Saint-Esprit », l’évêque le suspend », La Croix, (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le )
- « Suspension de l'abbé Antoine Coelho - Diocèse de Fréjus-Toulon », sur https://frejustoulon.fr/, (consulté le )
- Camille Blueau, « Le diocèse de Fréjus-Toulon suspend un prêtre qui voulait se marier avec l'"incarnation du Saint-Esprit" », sur BFMTV, (consulté le )