Trévignin

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Trévignin
Trévignin
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Savoie
Arrondissement Chambéry
Intercommunalité Communauté d'agglomération Grand Lac
Maire
Mandat
Nicolas Chapuis
2023 - 2026
Code postal 73100
Code commune 73301
Démographie
Population
municipale
834 hab. (2021 en augmentation de 7,61 % par rapport à 2015)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 30″ nord, 5° 57′ 25″ est
Altitude Min. 433 m
Max. 1 563 m
Superficie 6,89 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Chambéry
(banlieue)
Aire d'attraction Chambéry
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aix-les-Bains-1
Législatives 1re circonscription de la Savoie
Localisation
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Trévignin
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Trévignin
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Trévignin
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Trévignin
Liens
Site web http://www.trevignin.fr

Trévignin est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

À mi-chemin entre la plaine d'Aix-les-Bains et le mont Revard, ce village reste globalement en marge d'une forte urbanisation générée par l'agglomération du lac du Bourget, bien qu'une hausse assez nette de la population soit enregistrée depuis le milieu du XXe siècle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Trévignin depuis Pugny-Chatenod

Située sur la route menant au mont Revard, Trévignin domine le bassin d'Aix-les-Bains et le lac du Bourget. La commune appartient à l'arrondissement de Chambéry. La ville d'Aix-les-Bains est située à 3,8 km à vol d'oiseau depuis la commune et la préfecture, Chambéry, à 15,3 km[1],[2].

La commune est dominée par le mont Revard et qui, grâce à son belvédère, offre un point de vue à 360° au-dessus du lac du Bourget[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Grésy-sur-Aix, Montcel et Pugny-Chatenod.

Communes limitrophes de Trévignin
Montcel Montcel
Grésy-sur-Aix Trévignin Montcel
Pugny-Chatenod

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

La commune de Trévignin s'étend sur 6,89 km2. Son altitude varie de 433 à 1 563 mètres[4]. Le bourg se situe à une altitude d'environ 630 m.

Le sol de la commune est majoritairement constitué de molasse marine miocène. En gravissant les pentes du massif des Bauges, on retrouve plusieurs types de roches et de calcaire (marno-calcaire)[5].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

On retrouve quelques cours d'eau qui traversent la commune en direction du lac du Bourget. On peut citer par exemple les ruisseaux des Gents ou de Laya qui sont proches du centre du village[6]. Par ailleurs, la commune est soumise au risque d'inondations[7]. C'est pour cela qu'un plan de prévention des risques d'inondations a été créé[6].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat de Trévignin est de type montagnard, la commune étant située à une altitude plutôt élevée en moyenne et à proximité des premiers contreforts alpins.

La position entre deux massifs favorise le blocage de perturbations qui provoquent des cumuls de précipitations plus importants que la moyenne nationale[8]. De plus, la région est fréquemment soumise au risque orageux[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

La commune possède trois zones naturelles d'intérêt écologique faunistique et floristique (ZNIEFF)[10] :

  • La zone de type 2 : « chaînons occidentaux des Bauges » d'une superficie de 16 372 ha. La zone présente un grand intérêt botanique, avec de nombreuses espèces montagnardes telles que le sabot de Vénus ou bien le Lycopode en massue. On retrouve aussi près des zones humides des laîches, des rossolis, voire des scheuchzérie des marais. L'avifaune présente par ailleurs des espèces rares comme la chevêchette d'Europe ou le tétras-lyre[10] ;
  • La zone de type 1 : « falaises et forêts occidentales du Mont Revard » d'une superficie de 1 568,03 ha. Des milieux variés composent cet espace. Ainsi, des bois de bouleaux à sphaignes et des pelouses sèches à orchidées sont implantés. Cette partie occidentale du massif héberge des plantes rares à l'échelle départementale comme le laser de France ou la campanule carillon. Dans les bois, au bas des barres rocheuses, un important regroupement de l'érythrone est présent[10] ;
  • La zone de type 1 : « gorges du Sierroz » d'une superficie de 245 ha. Les principaux critères d'intérêts de la zone sont écologiques, floristiques, ptéridophytes et phanérogames[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
Photo aérienne en couleurs de la commune.
Carte orthophotogrammétrique de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Trévignin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry, une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes[14] et 190 279 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (52,7 %), forêts (34,4 %), zones urbanisées (6,8 %), terres arables (3,7 %), zones agricoles hétérogènes (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

De nombreux lieux-dits sont présents sur l'ensemble du territoire communal comme Verlioz, Bayard, Les Roberts, les Clercs, Le Boissonnets, Le Nandrion, etc.[20].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 401, alors qu'il était de 362 en 2015 et de 330 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 87,3 % étaient des résidences principales, 4,7 % des résidences secondaires et 8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 20,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Trévignin en 2020 en comparaison avec celle de la Savoie et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,7 %) inférieure à celle du département (37 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (85,2 % en 2015), contre 60,2 % pour la Savoie et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Trévignin en 2020.
Typologie Trévignin[I 1] Savoie[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 87,3 57 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,7 37 9,7
Logements vacants (en %) 8 6 8,2

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La principale route qui traverse la commune est la l'ancienne Route nationale 513[20] (actuelle RD 913). Cette dernière relie la commune de la plaine aixoise au cœur du massif des Bauges. Deux autres départementales sont également recensées comme la départementale 49, qui relie Pugny à Grésy par Trévignin et la départementale 211 qui part de la commune pour aller en direction de Montcel.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Les transports en commun sont très limités sur la commune. Le réseau Ondéa, géré par Grand Lac, étend ses lignes grâce à des compagnies de cars privés, jusqu'à Trévignin mais ces dernières ne fonctionnent qu'en période scolaire et de manière ponctuelle en direction du lycée Marlioz au sud d'Aix-les-Bains[21]. Par ailleurs, des cars départementaux transitent par le village afin de relier l'agglomération au mont Revard[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au XIVe siècle, le village porte le nom Trivuignin[23]. En 1627, la mention Trévignin est recensée[23]. Néanmoins, au XIXe siècle, la commune s'appelle Trivignin[24].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Trèvnyin, selon la graphie de Conflans[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

Peu d'éléments permettent d'établir un historique exhaustif de la commune. Comme l'ensemble des communes alentour, l'évolution de la commune est marquée par l'histoire d'Aix-les-Bains. On peut aussi dire, d'une manière plus générale, que l'histoire de Trévignin est fortement liée à celle de la Savoie.

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le site est habité depuis le Néolithique[26]. En effet, des communautés sédentaires d'agriculteurs s'installent alors dans les plaines et les vallées d'altitude moyenne, notamment vers les lacs comme celui du Bourget[26].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Le , la commune est détachée du Genevois pour appartenir à la province de la Savoie Propre[27].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La gare de Pré-Japert, sur le chemin de fer du Mont-Revard. Cette ligne de chemin de fer secondaire à crémaillère desservait la commune de 1892 à 1937.

À la suite du traité de Turin du qui voit l'annexion de la Savoie par la France, Trévignin devient, comme tout le territoire du duché, une terre française[28].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

Au XXe siècle, le chemin de fer du Mont-Revard, passant à l'est du village, développe la région de Trévignin ainsi que les communes alentour avec le développement du tourisme hivernal[29].

Durant la Seconde Guerre mondiale, la commune est fortement affectée par l'invasion des troupes italiennes entre 1942 et 1943[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Chambéry du département de la Savoie.

Elle faisait partie jusqu'en 1973 du canton d'Aix-les-Bains, année où elle intègre le canton de Grésy-sur-Aix. En 1985 la commune est rattachée au canton d'Aix-les-Bains-Nord-Grésy[31]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Aix-les-Bains-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de la Savoie.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Trévignin était membre de la communauté d'agglomération du Lac du Bourget, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération Grand Lac, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[32]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1860   François Mailland    
         
1991 mars 2023[33] Gérard Gonthier[34] DVD Mort en fonction
juin 2023[35] En cours
(au 30 novembre 2023)
Nicolas Chapuis   Apiculteur

Jumelages[modifier | modifier le code]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espace public[modifier | modifier le code]

Villes et Villages Sourires attribue la récompense maximale (quatre sourires) à Trévignin[Quand ?][37]. Cette distinction est basée sur sept critères de l'Insee et permet « la reconnaissance d’une commune accueillante et agréable »[37].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de la zone A du calendrier scolaire et relève de l'académie de Grenoble.

Les enfants de la commune sont scolarisés avec ceux de Pugny-Chantenod dans le cadre d'une regroupement pédagogique intercommunal[35].

En 2015, l'école de Trévignan accueille les enfants d'âge maternel des deux communes[38].

Santé[modifier | modifier le code]

Aucun médecin généraliste, ou autre service de santé, n'est présent sur la commune[39]. Le plus proche médecin se situe à Grésy-sur-Aix, ville voisine[39].

Le centre hospitalier le plus proche est celui de Métropole Savoie. Il regroupe l'hôpital général d'Aix-les-Bains ainsi que l'hôpital général de Chambéry, situé à une vingtaine de kilomètres au sud de Trévignin, qui est plus souvent sollicité[40].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[42].

En 2021, la commune comptait 834 habitants[Note 3], en augmentation de 7,61 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
378286459487582622517507517
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
470434420418415412368332335
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
271276292304289284270265268
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
305459627700712751775833834
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2011, le revenu fiscal médian par ménage était plutôt élevé avec 40 351 , ce qui plaçait Trévignin au 2 905 e rang parmi les 31 886 communes de plus de 49 ménages en métropole[44].

Emploi[modifier | modifier le code]

Le taux d'activité des 15 à 64 ans en 2009 est de 78 %[45]. Le taux de chômage est assez faible sur la commune : 8,5 %[45].

Établissements[modifier | modifier le code]

Les entreprises à Trévignin[45]
Établissements Trévignin
Nombre d'établissements actifs au 72
Part de l'agriculture, en % 12,5
Part de l'industrie, en % 5,6
Part de la construction, en % 12,5
Part du commerce, transports et services divers, en  % 56,9
dont commerce et réparation automobile, en % 11,1
Part de l'administration publique, enseignement, santé et action sociale, en % 12,5
Part des établissements de 1 à 9 salariés, en % 12,5
Part des établissements de 10 salariés ou plus, en % 1,4

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune de Trévignin, située dans la campagne, est donc couverte par de nombreuses terres en zones agricoles. En 2014, la surface agricole utilisée est de 261 ha[46]. La plus grande majorité de cette surface est occupée par des prairies permanentes avec 162 ha. Suivent ensuite, les prairies temporaires qui représentent 69 ha de la surface agricole utilisée. Les céréales représentent quant à elles 21 ha[46].

Tourisme[modifier | modifier le code]

La route départementale 913 en direction du mont Revard à la sortie de Tréviginin.

La commune de Trévignin est située sur les premières hauteurs de la station touristique d'Aix-les-Bains et sur la route du mont Revard accédant au domaine skiable de Savoie Grand Revard et donc au massif des Bauges. Le Revard est, par ailleurs, l'une des toutes premières stations de ski créées en France[47].

Ainsi, le nombre de lits d'hébergement dans la commune, en 2015, est de 280 lits marchands et de 68 non marchands[46].

Cyclisme[modifier | modifier le code]

La commune, située sur la route d'accès au mont Revard, est donc régulièrement traversée par les cyclistes[48]. En 2013, le tour de France est même passé par l'est de la commune lors de la 20e étape[49].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Histoire des communes savoyardes, Volume 3,Numéro 2, Horvath

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2020 à Trévignin » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Trévignin - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Trévignin - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la Savoie » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2020 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. « Orthodromie entre deux villes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Lion1906 (consulté le ).
  2. Lionel Delvarre Delvarre, « Orthodromie : Calcul de distance (à vol d'oiseau) entre deux villes : Trévignin et Chambéry »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur lion1906.com (consulté le ).
  3. « Le belvédère du Revard, un panorama d’exception », sur ledauphine.com (consulté le ).
  4. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière.
  5. « Mont Revard, crête et versant occidental »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Géol-Alp (consulté le ).
  6. a et b « PPRI du bassin aixois » [PDF] (consulté le ), p. 15.
  7. « Prim.net : ma commune face au risque majeur »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur macommune.prim.net (consulté le ).
  8. Jean Loup, Les précipitations annuelles dans les Alpes françaises du Nord, (lire en ligne), p. 255-285.
  9. « Météo Express - Fréquence des orages »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur meteo-express.com (consulté le ).
  10. a b c et d « INPN - Liste des ZNIEFF dans - Commune : Trévignin », sur inpn.mnhn.fr (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. a et b « Géoportail - version simple/tablette », sur tab.geoportail.fr (consulté le ).
  21. « Collège et Lycée de Marlioz Collège J.J Perret | Ondéa »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur ondea-bus.fr (consulté le ).
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  23. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7, lire en ligne).
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  25. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 23
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
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  26. a et b « Savoie - information savoisienne », sur savoie.free.fr (consulté le ).
  27. Philippe Paillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 3, Horvath (no 2).
  28. « Le rattachement de Nice et de la Savoie à la France (1860) », sur histoire-pour-tous.fr (consulté le ).
  29. François Fouger, Le Chemin de fer à Crémaillère Aix-les-Bains-Le Revard : Savoie, 1892-1937, Aix-les-Bains, Société d'art et d'histoire, , 160 p. (ISBN 2-908214-08-3).
  30. ajpn, Hellen Kaufmann, Bernard Lhoumeau, Bordeaux, Aquitaine, France, « Trévignin en 1939-1945 », sur ajpn.org (consulté le ).
  31. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. « Les maires de Trévignin », sur francegenweb.org (consulté le ).
  33. Florent Pecchio, « Trévignin en deuil suite au décès de son maire historique Gérard Gonthier : Le village situé sur les hauteurs du bassin aixois a perdu son maire historique, Gérard Gonthier, 72 ans, en poste depuis 1991 et décédé subitement samedi 18 mars 2023 », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. Alexandra Sabadello, « Trévignin : le programme et les colistiers du maire sortant Gérard Gonthier : Maire de la commune depuis 1991, Gérard Gonthier se présente pour un sixième mandat. Avant d’être maire, il était conseilleur puis adjoint, depuis 1977 », La Montagne,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  35. a et b Charlotte Ruyer, « Nicolas Chapuis : « Je souhaite que les Trévignerains se sentent bien et en sécurité dans leur commune » : Adjoint au maire depuis 2011, Nicolas Chapuis est devenu maire le 23 juin dernier, suite au décès de son prédécesseur Gérard Gonthier, le 18 mars dernier, qui occupait ce poste depuis 1991. Apiculteur de métier, il nous présente sa commune et ses projets pour le reste du mandat », La Vie nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. « LE JUMELAGE »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur trevignin.fr (consulté le ).
  37. a et b « Accueil », sur villes-villages-sourires.org (consulté le ).
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  40. « Accéder au centre hospitalier », sur ch-metropole-savoie.fr (consulté le ).
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