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Réseau du Clot d'Aspres

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Schéma en coupe d'un sous-sol.
Coupe nord-sud du réseau du Clot d'Aspres.

Le réseau du Clot d'Aspres est un ensemble de conduits souterrains situés majoritairement sous le vallon du Clot d'Aspres qui appartient à la commune de Villard-de-Lans dans le Nord du Vercors, en Isère. Ce vaste réseau karstique se compose de 42 kilomètres de galeries s'étageant sur 1 066 mètres de dénivelé, entre le point le plus haut (amont de la grotte de l'Oréade +74 m) et le point le plus bas (siphon du scialet des Nuits-Blanches plongé jusqu'à −34 m).

Le réseau du Clot d'Aspres est ainsi le second « moins mille » du massif du Vercors. Les eaux du collecteur rencontrées au contact des marnes hauteriviennes ressortent à l'exsurgence de Goule-Blanche[1] dans les gorges de la Bourne à 832 mètres d'altitude[2].

Le réseau se développe uniquement dans les calcaires urgoniens. Les marnes hauteriviennes sont atteintes au niveau du collecteur. On note la présence d'importantes galeries horizontales à un niveau intermédiaire de l'Urgonien.

Photographie de crêtes et d'un vallon aride.
Le vallon du Clot d'Aspres vu du sud.

L'hypothèse est que les puits et le collecteur basal ont été creusés dès le Quaternaire ancien, (entre 750 000 ans et 1,8 million d'années) ; les réseaux souterrains préexistants ont ensuite été décapités par le glacier local descendant dans le vallon de la Fauge[3] jusqu'à la fin du Würm II, (50 000 ans)[4].

La galerie dénommée « L'Autoroute du Soleil » a probablement été formée avant le creusement des gorges de la Bourne et le soulèvement du Vercors, c'est-à-dire il y a plus de cinq millions d'années[5].

Des datations d'un plancher stalagmitique de la grotte des Deux Sœurs ont permis de dater sa formation à l'interglaciaire Riss-Würm. Cela prouve que la grotte possédait encore son bassin d'alimentation il y a 100 000 ans, bassin aujourd'hui disparu à la suite des dernières glaciations quaternaires[6],[7].

Explorations

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Homme casqué, engagé à mi-corps dans une cavité dont l'accès est étroit.
Un méandre étroit du scialet des Brumes-Matinales.
Deux accès rocheux dans le sol d'un vallon.
Entrées du scialet de la Bourrasque au milieu du vallon.

Les explorations du réseau ont débuté avec la visite de la grotte des Deux-Sœurs en 1902 par Fonne et Muller. En 1952 la section grenobloise du CAF de Lyon avec la participation de Pierre Chevalier découvre le réseau des Grenoblois avec arrêt à −181 m. Ceci permet en 1954, aux Lyonnais du Clan de la Verna d'atteindre un siphon à −315 mètres[8],[9],[a].

Sur le plateau, depuis le scialet de la Nymphe-Émue, situé 200 mètres au-dessus de cette grotte, une descente de 341 mètres est réalisée en 1964 par le Clan des Tritons de Lyon, sans réaliser de jonction. En septembre 1986 un groupe de Drômois et le groupe spéléo Le Graoully trouvent la suite de la cavité. Les Drômois et les Lorrains découvrent des kilomètres de galeries à partir du scialet de la Nymphe-Émue et une nouvelle entrée : la grotte de l'Oréade, située sur le flanc extérieur est du Clot, sur la commune du Gua.

Le Spéléo club du Veymont (SCV) trouve fin 1987 le scialet de la Bourrasque qui rejoint à −370 mètres l'aval du scialet de la Nymphe-Émue[10],[11].

En 1988, le scialet des Brumes-Matinales est dévoilé jusqu'à une profondeur de −645 mètres par le SCV[12]. Des spéléologues drômois, indépendants des clubs, trouvent aussi en 1988 le scialet du Pré de l'Achard et descendent jusqu'à −410 mètres.

Mi-août 1989, le scialet du Blizzard est désobstrué il s'avère qu'il rejoint les Brumes-Matinales à −521 mètres[13],[14]. Dans la foulée le SCV explore le scialet du Silence jusqu'à −542 mètres.

En , le scialet des Nuits-Blanches est découvert par le Spéléo club du Veymont et rejoint le collecteur[b] à −688 mètres[16].

En 1991, les Drômois trouvent une jonction entre la grotte des Deux-Sœurs et le scialet de la Nymphe-Émue. Le réseau supérieur comprend désormais quatre entrées : les Deux-Sœurs, l'Oréade, la Nymphe-Émue et la Bourrasque. Dans l'été 1991, le SCV découvre des galeries qui mettent en communication les scialets des Brumes-Matinales, du Blizzard[17], du Silence et du Pré de l'Achard[18]. Cet ensemble est désigné comme le réseau médian.

En mai 1993 le siphon du scialet des Nuits Blanches est plongé par Frédéric Poggia jusqu'à −34 mètres[19].

L'amont du collecteur du Blizzard est repris par le groupe spéléo montagne de Fontaine en juillet 1994, après l'escalade d'une cascade de 25 mètres. Une superbe rivière est remontée sur 700 mètres avec arrêt sur un siphon[20]. Ce dernier est plongé en septembre 1995 par Frédéric Poggia et permet la découverte de 800 m de rivière avec deux nouveaux siphons et une trémie[21].

Les réseaux aval et médian, puis amont et médian sont reliés en passant par le collecteur et en «bravant» les trémies par les Spéléos grenoblois du club alpin français (SGCAF) en 2008[22],[23], ce qui fait du réseau le deuxième -1 000 du Vercors[24].

Le , le SGCAF découvre l'entrée d'un puits de 70 mètres nommé Jeunesse d'Automne. Le scialet, en communiquant avec les Nuits-Blanches le , appartient au réseau du Clot d'Aspres[25]. La jonction entre les deux cavités se fait à l'aplomb du siphon terminal des Nuits-Blanches[26].

En 2015, 2016 et 2017, les explorations se concentrent en aval. L'enjeu est de savoir si la grotte du Clot d'Aspres[c] (Clan des Tritons)[27], les scialets de la Chambre-Froide[d] et du Candy[e] (SGCAF) communiquent avec le réseau[28],[29]. Une nouvelle cavité, le Puits Sans Fond-Arche de Noé, située sous le sommet Agathe, l'une des Deux-Sœurs, fait aussi partie du réseau mais aucune jonction n'a pu être encore réalisée en 2019[30].

Coupes des scialets du Clot d'Aspres

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Description

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Vallon rocheux.
Début du vallon du Clot d'Aspres où se trouvent trois entrées du réseau[f].
Schéma d'un vallon.
Brumes-Matinales et vallon du Clot d'Aspres.

Les ruines de la bergerie du Clot d'Aspres, au bord d'une doline, sont le point de départ d'une sente dirigée vers le sud. Celle-ci permet l'accès à toutes les cavités du plateau qui sont positionnées en amont du scialet des Brumes-Matinales.

Au nord se situent les scialets des Nuits Blanches et Jeunesse d'Automne.

Au pied du col des Deux Sœurs, versant Drac se trouve la grotte des Deux-Sœurs sur la commune de Le Gua ; la grotte de l'Oréade et la grotte Agnès sont au-dessus dans la même falaise.

Les différentes entrées du réseau du Clot d'Aspres sont repérées sur le Géoportail[31].

Le réseau du Clot d'Aspres[g], est composé, du sud au nord, des cavités suivantes :

Les cotes positives et négatives dépendent du scialet de la Nymphe-Émue, qui est l'entrée la plus haute du réseau, et donc le point de référence.

Du sud au nord du vallon et en considérant les galeries les plus en amont vers l'aval, il est possible de décrire quatre parties.

Les entrées de la première partie sont la grotte des Deux Sœurs et la grotte Agnès. À leur niveau se distinguent d'une part les galeries horizontales qui suivent le pendage des couches calcaires et qui sont de dimensions moyennes (réseau d'entrée, des enragés, des grenoblois et réseau Lesdiguières qui est la voie d'accès de la grotte Agnès), et d'autre part des éléments verticaux avec les puits et son collecteur. En effet une série de puits et de galeries de dimensions modestes amène au collecteur qui suit le pendage descendant vers l'ouest et se termine sur un siphon à -513 m.

Les entrées de la seconde partie sont le scialet de la Nymphe-Émue, la grotte de l'Oréade, le scialet du Mistral et le scialet de La Bourrasque. Le scialet de la Nymphe-Émue donne accès à une série de puits entrecoupée de méandres étroits se développant à contre pendage. Le puits des tritons (110 m) recoupe à -256 m un gros méandre [h] amont-aval[2]. En amont se trouvent la grotte de l'Oréade et un autre réseau — les ailes du désir — remonté jusqu'à +74 m. En aval, après une série de puits s'arrêtant à -368 m, se trouve une galerie de 4 × 4 m. Cette galerie suit le pendage et rencontre de nombreuses arrivées dont l'une correspond au scialet du Mistral — réseau du trou noir. Dès -450 m la galerie devient plus grande et plus ébouleuse. Dans la salle noir, c'est noir débouche le scialet de La Bourrasque. La large galerie se poursuit jusqu'au réseau des cascades du fond à -633 m. Une trémie[i] donne accès à la rivière du ménisque qui après un siphon continue jusqu'au scialet du Blizzard[34].

Les entrées de la troisième partie sont le scialet du Pré de l'Achard, le scialet du Silence, le scialet du Blizzard et le scialet des Brumes-Matinales où se distinguent deux types de réseaux. L'un est constitué d'une galerie horizontale perchée 200 mètres au dessus des marnes hauteriviennes. Cette galerie l'Autoroute du Soleil que l'on peut suivre sur plus de 1 500 mètres a une section de 8 × 5 m. Elle s'arrête sur des trémies débouchant dans les puits terminaux du scialet du pré de l'Achard et elle est perforée par des puits donnant dans des réseaux inférieurs. L'autre réseau est constitué d'une série de puits descendant jusqu'aux marnes et recoupant fortuitement cette galerie. Le scialet du Pré de l'Achard donne accès à des puits entrecoupés de passages étroits qui butent sur les marnes hauteriviennes à -410 m. Avant le puits terminal un long méandre rejoint le fond du scialet du Silence ainsi que le scialet des Brumes-Matinales. Le scialet du Silence amène à des puits et à quelques méandres confortables recoupant un actif, lequel s'arrête sur un siphon situé à -542 m[35]. Le scialet du Blizzard permet l'accès à l'Autoroute du Soleil à -320 m et débouche sur le collecteur à -500 m. En aval il rejoint le scialet des Brumes Matinales puis le scialet des Nuits Blanches. En amont après une rivière et un siphon le scialet de La Bourrasque est accessible. Le scialet des Brumes-Matinales conduit au gouffre le plus physique[36] du secteur. Une série de puits entrecoupés de passages étroits recoupe à -300 m une grosse galerie l'Autoroute du Soleil. D'autres puits conduisent au collecteur à -520 m. En aval, un puits de 30 mètres, suivi d'un parcours, conduit au scialet des Nuits-Blanches tandis qu'un autre s'arrête dans une salle ébouleuse à 645 mètres de profondeur.

Les entrées de la quatrième partie sont le scialet des Nuits-Blanches et le gouffre Jeunesse d'Automne. Le scialet des Nuits-Blanches livre accès, jusqu'à la profondeur de 300 mètres, à une série de puits entrecoupés de courts méandres. Un méandre partiellement aquatique et une série de ressauts amènent à -340 m sur un grand méandre. Une autre série de verticales arrosées donne sur une galerie à -580 m. Il s'agit du départ du réseau de Vlad. Un méandre plus étroit, coupé de quelques ressauts, amène à -688 m dans le collecteur[37] où un siphon se présente. Le scialet Jeunesse d'Automne arrive au dessus des puits terminaux précédant le siphon[38]. Le collecteur a été remonté jusqu'à une trémie donnant accès au scialet des Brumes Matinales[39].

« L'Autoroute du Soleil » est le nom d'une galerie horizontale particulièrement vaste et longue dont la direction est plein sud[36].

En amont du siphon −400 m du scialet du Blizzard, le collecteur est dénommé « rivière du Ménisque ». En effet, un plongeur parti mener seul l’exploration d’un siphon y est victime d’une luxation de rotule. Néanmoins il refait surface et aidé de ses seuls compagnons, sans autre secours, il parvient à l’air libre[40].

Le réseau de Vlad (Vlad III l'Empaleur) tient son nom du fait qu'un spéléologue a échappé de peu à l'empalement sur une barre à mine glissée dans son sac[41].

Le nom réseau Lesdiguières dans la grotte des Deux Sœurs a été donné par le clan Lesdiguières des Eclaireurs de France de Grenoble, l'un des premiers clubs explorateurs de la grotte en 1942 [42].

Notes et références

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  1. En spéléologie, les mesures négatives ou positives se définissent par rapport à un point de référence qui est l'entrée du réseau, connue, la plus élevée en altitude.
  2. En spéléologie un collecteur est une « galerie principale recueillant les eaux des autres galeries[15] ».
  3. la grotte du Clot d'Aspres a pour coordonnées45° 01′ 33″ N, 5° 34′ 34″ E.
  4. le scialet de la Chambre-Froide a pour coordonnées45° 01′ 46″ N, 5° 34′ 47″ E.
  5. le scialet Candy a pour coordonnées45° 01′ 43″ N, 5° 34′ 37″ E.
  6. Les entrées des scialets du Silence, des Brumes-Matinales et du Blizzard sont visibles en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  7. Les coordonnées génériques du Clot d'Aspres sont 45° 01′ 20″ N, 5° 34′ 28″ E.
  8. En spéléologie un méandre est une « galerie très étroite mais assez haute. En principe les roches des méandres sont très tranchantes [32] ».
  9. En spéléologie une trémie est un « passage assez étroit et dangereux car il est très instable du point de vue  qu'un éboulement peut se produire à tout instant car le plafond est constitué de sable et de gravier[33] ».
  10. L'entrée du scialet du Blizzard est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  11. L'entrée du scialet des Nuits-Blanches est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  12. L'entrée du scialet du Pré de l’Achard est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  13. L'entrée du scialet des Brumes-Matinales est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  14. L'entrée du scialet du Silence est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  15. L'entrée du scialet du Mistral est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.
  16. L'entrée du scialet Jeunesse d’Automne est visible en passant la souris sur cette illustration sur Wikimedia Commons.

Références

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  1. Robert Jean, Fédération française de spéléologie, « Inventaire des plongées effectuées dans les siphons du vercors », Scialet : bulletin du CDS de l'Isère, Grenoble, Comité départemental de spéléologie de l'Isère, no 2,‎ , p. 41-53 (ISSN 0336-0326, lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Maurice Chazalet (édité pour le prix De Joly), Recherche du réseau de la Goule Blanche, Lyon, clan des Tritons de Lyon, , 29 p. (lire en ligne).
  3. Jean-Jacques Delannoy, Association française de karstologie, « Le Vercors : un massif de la moyenne montagne alpine », Karstologia : revue de karstologie et de spéléologie physique de la Fédération française de spéléologie et de l'Association française de karstologie, Paris, Fédération française de spéléologie, no 1,‎ 1er semestre 1984, p. 38 (ISSN 0751-7688, lire en ligne, consulté le ).
  4. [vidéo]Geneviève Rouillon/Guy Meauxsonne «Le glacier de la Fauge» [4 min 23 s] (), consulté le , hébergé sur VercorsTV.
  5. Serge Caillault, Jean-Jacques Delannoy, Dominique Haffner, Thierry Krattinger et al., Spéléo sportive dans le Vercors, vol. 2, Aix-en-Provence, Édisud, coll. « Spéléo sportive », , 208 p., 24 cm (ISBN 2-7449-0088-5), p. 23.
  6. Jean-Jacques Delannoy, Recherches géomorphologiques sur les massifs karstiques du Vercors et de la transversale de Ronda (Andalousie) : les apports morphogéniques du karst (Thèse d’état : Géographie : Grenoble 1), Lille, Atelier national de reproduction des thèses, coll. « Thèses à la carte », , 678 p., 24 cm (ISBN 2-284-00526-8).
  7. Claude Beaudevin, « Circulation des glaciers dans l'ombilic grenoblois et en aval de Grenoble », sur geoglaciaire.net, site personnel hébergé par Vonfio, (consulté le ).
  8. « Plan de grotte des Deux Sœurs en 1979 ».
  9. Paul Courbon, « Chroniques-souterraines : Grotte des Deux Soeurs » [PDF], sur chroniques souterraines, (consulté le ).
  10. « Coupe Deux Sœurs - scialet de la Bourrasque ».
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  16. « Coupe du scialet des Nuits-Blanches en 1991 ».
  17. François de Felix (photogr. Serge Caillaut), « Exercices secours : Compte rendu de l’exercice de secours au scialet du Blizzard du samedi  », sur Spéléo secours Isère, (consulté le ).
  18. « Jonctions réseau du troisième âge-scialets du Silence et du Pré de l'Achard ».
  19. Frédéric Poggia, « France-Le scialet des Nuits Blanches -688 », Info Plongée: bulletin de la commission plongée de la Fédération française de spéléologie, commission plongée de la Fédération française de spéléologie, no 61,‎ , p. 14 (lire en ligne).
  20. Alain Maurice, Fédération française de spéléologie, « Les amonts du Blizzard », Scialet : bulletin du CDS de l'Isère, Grenoble, Comité départemental de spéléologie de l'Isère, no 24,‎ , p. 39-42 (ISSN 0336-0326, lire en ligne, consulté le ).
  21. Bruno Fromento, Fédération française de spéléologie, « Echos des profondeurs-France-Isère », Spelunca., Paris, Fédération française de spéléologie, no 76,‎ , p. 5-6 (ISSN 0249-0544, lire en ligne, consulté le ).
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  29. [vidéo] Adrien Ragiot, Équipe SGCAF, « Explo au scialet Candy », reportage vidéo avec écrits, YouTube (consulté le ) : « h 6 min 16 s ».
  30. [vidéo] Barnabé Fourgous, « Spéléo hivernale sous Agathe », reportage vidéo, (consulté le ) : « h 9 min 32 s ».
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Bibliographie

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Articles connexes

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