Ranville-Breuillaud

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Ranville-Breuillaud
Ranville-Breuillaud
Monument du jardin du Souvenir, du 19 mars 1962.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Karine Jeune
2020-2026
Code postal 16140
Code commune 16275
Démographie
Gentilé Ranvillois
Population
municipale
170 hab. (2021 en diminution de 8,6 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 54′ 11″ nord, 0° 06′ 58″ ouest
Altitude Min. 84 m
Max. 144 m
Superficie 12,84 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Charente-Nord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Ranville-Breuillaud
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Liens
Site web http://www.ranville-breuillaud.fr/

Ranville-Breuillaud est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente, en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont les Ranvillois et les Ranvilloises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Ranville-Breuillaud est une commune du Nord-Ouest du département de la Charente, limitrophe de la Charente-Maritime, située 10 km à l'ouest d'Aigre et 35 km au nord-ouest d'Angoulême. Elle est une des plus petites en surface du canton d'Aigre.

Le bourg est aussi à 15 km au nord de Rouillac, 16 km à l'est de Matha, 28 km au nord-est de Cognac, 31 km de Saint-Jean-d'Angély, et 62 km de Confolens, sa sous-préfecture depuis 2008[2].

À l'écart des grandes routes, la commune est au nord de la D 739, entre Aigre et Matha, qui passe à 2,5 km du bourg. La D 183 et la D 66 desservent la commune et le bourg[3].

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les villages sont Ranville et Breuillaud et les hameaux Orfeuille à l'ouest, Lucheville, en limite avec Barbezières, Chez Negret, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologiquement, la commune est dans le calcaire du Jurassique du Bassin aquitain, comme toute la moitié nord du département de la Charente. Le Kimméridgien occupe plus particulièrement la surface communale[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui d'une plaine à l'est et de bas plateaux à l'ouest. Le point culminant est à une altitude de 144 m, situé à Breuillaud. Le point le plus bas est à 84 m, situé sur la limite orientale au sud de la Brousse. Le bourg de Ranville est à 110 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Ranville-Breuillaud.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par des petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Une petite partie ouest est sur le bassin versat de l'Antenne, tandis que la grande partie orientale est sur celui de l'Aume.

Aucun cours d'eau ne traverse la commune[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Ranville-Breuillaud est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (88,3 %), zones agricoles hétérogènes (10,6 %), forêts (1,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Ranville-Breuillaud est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité modérée)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Ranville-Breuillaud.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 80,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 122 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 115 sont en aléa moyen ou fort, soit 94 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Ranville[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes de Ranville sont Aranvilla en 1254, Airanvilla [Quand ?][21], Ranvilla en 1302[22], Ramevilla, Romvilla [23]; celle de Breuillaud est Brolhau (non datée)[23].

Ranville est une formation toponymique médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Pour Albert Dauzat, le premier élément est un nom de personne d'origine germanique Rado, ce qui correspondrait à Radone villa, « domaine de Rado »[24]. L'évolution phonétique Rado- > Ran- ne va pas forcément de soi et est, en tout cas, indémontrable par les formes anciennes, c'est pourquoi Ernest Nègre suggère d'y voir l'anthroponyme germanique Aran, cité par Marie-Thérèse Morlet. L'aphérèse du [a] initial s'explique par la préposition à, dans « à Aranville » pris pour une redondance[25]. L'homographie avec Ranville (Calvados, Ranvilla 1066) est fortuite.

Les noms en -ville en Charente, plus fréquents entre Barbezieux et Châteauneuf, seraient liés à la distribution de terres à des colons francs après le VIe siècle en Aquitaine, comme au sud-est de Toulouse[26].

Breuillaud[modifier | modifier le code]

Breuillaud est une mauvaise graphie pour Breuillot, diminutif de l'ancien français Breuil ou ancien occitan Brolh issu du gaulois brogilos qui signifie « bois »[24],[Note 2]. Le suffixe diminutif -ot a été altéré graphiquement d'après le suffixe français péjoratif -aud (cf. nigaud, etc.) issu des anthroponymes germaniques en -wald > -ald.

La paroisse de Breuillaud, créée commune en 1793, s'est appelée Le Breuillaud en 1801, avant d'être fusionnée à la commune de Ranville en 1845[27].

Microtoponymes[modifier | modifier le code]

Le nom du hameau d'Orfeuille est attesté sous la forme occitane Orfolha en 1274. Il s'agit d'un hybride gallo-latin *are-fodicula, basé sur fodiculare « creuser »[28]. En effet, le type toponymique initial était *Arfolha (cf. Arfeuilles, Arpheuilles Ce lien renvoie vers une page d'homonymie, etc.), altéré d'après latin aurum « or »[28]. La plupart de ces localités sont voisines de souterrains ou de cavités[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Il a existé un camp antique à Orfeuille à l'emplacement où ont été construits la maison noble puis le château[29]. Sous l'Ancien Régime, ce fief a changé plusieurs fois de propriétaires, dont Foucaud de Saint-Martin, écuyer, au XVIIe siècle[30].

Jean Babin est le plus ancien seigneur de Ranville connu, vers la fin du XVIIe siècle, également propriétaire d'une partie du fief de Barbezières. Ranville dépendait de la haute justice de Marcillac[31].

Cette famille Babin était comme la famille Briand des gens de loi de la principauté de Marcillac. Elle avait acquis la noblesse en 1697. Jacques Babin, juge assesseur de la principauté, en fut le premier bénéficiaire. Son fils prit le titre de seigneur de Ranville et vint s'installer au logis, comme ses descendants.

En 1755, Pierre Babinet, écuyer, seigneur d'Auge, est devenu seigneur de Ranville par mariage[30],[Note 3].

Administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2014 Didier Viaud SE Agriculteur viticulteur
2014 En cours Alain Brouté    

Fiscalité[modifier | modifier le code]

La fiscalité est d'un taux de 21,65 % sur le bâti, 43,52 % sur le non bâti, 12,50 % pour la taxe d'habitation et 7,97 % de taxe professionnelle(chiffres 2007).

La communauté de communes prélève 2,61 % sur le bâti, 6,06 % sur le non bâti, 1,09 % pour la taxe d'habitation et 1,45 % de taxe professionnelle.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 170 habitants[Note 4], en diminution de 8,6 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
430397404453453638607636654
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
642631551569487496506457400
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
410444398378390361327298243
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
240211193180178180180184176
2021 - - - - - - - -
170--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 22,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 87 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 50,29 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
16,1 
75-89 ans
20,2 
21,8 
60-74 ans
18,0 
20,7 
45-59 ans
28,1 
14,9 
30-44 ans
15,7 
11,5 
15-29 ans
4,5 
14,9 
0-14 ans
13,5 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarque[modifier | modifier le code]

Ranville absorbe le Breuillaud (199 habitants en 1831) en 1845[27].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'agriculture est principalement céréalière. La viticulture occupe une partie de l'activité agricole. La commune est classée dans les Fins Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[37].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Ranville-Breuillaud et Verdille. Ranville-Breuillaud et Verdille ont chacune une partie de l'école élémentaire, avec une classe unique. Le secteur du collège est Aigre[38].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Notre-Dame de Ranville date du XVe siècle. Elle est à un vaisseau et présente des décors de sculpture avec la représentation d'un blason[39].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le logis de Ranville serait du XVIIIe siècle, construit sur des fondations plus anciennes et une dépendance est datée de 1777. Il est formé d'un corps de logis à un étage couvert de tuiles encadré de pavillons rectangulaires coiffés d'un haut toit d'ardoises. L'avant-cour est entourée de murs aux angles marqués l'un d'un pigeonnier, l'autre d'une tourelle ronde de même dimensions[31],[41].

Le château d'Orfeuille a été ajouté au XIXe siècle à une maison noble du XVIIIe siècle qui possédait enclos, jardin et pigeonnier[29].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Avant les repeuplements du XVe siècle à la suite des ravages de la guerre de Cent Ans en Aquitaine, Angoumois et Saintonge étaient en langue d'oc et la toponymie dans les Charentes en garde de nombreuses traces.
  3. Un membre de la famille Babinet était M. Babinet de Rencogne, archiviste du département de la Charente, de Gourville.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Ranville-Breuillaud » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille d'Aulnay », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Ranville-Breuillaud », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Ranville-Breuillaud », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Ranville-Breuillaud », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 324
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 133
  23. a et b Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, , p. 333
  24. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 113,557.
  25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : étymologie de 35 000 noms de lieux, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, coll. « Publications romanes et françaises » (no 194), , 676 p. (ISBN 978-2-600-00133-5, lire en ligne), p. 946.
  26. Michel Rouche, L'Aquitaine des Wisigoths aux Arabes (418-781), t. 2, Jean Touzot, , 776 p. (présentation en ligne), p. 135-136, fig.18
  27. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. a b et c Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 26
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  30. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 278-279
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  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Ranville-Breuillaud (16275) », (consulté le ).
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
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  38. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
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  41. « Logis de Ranville », notice no IA00040849, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]