Arfeuilles
Arfeuilles | |||||
La rivière Barbenan à Arfeuilles. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Allier | ||||
Arrondissement | Vichy | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Vichy Communauté | ||||
Maire Mandat |
Michel Guicherd 2022-2026 |
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Code postal | 03120 | ||||
Code commune | 03006 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Arfeuillats | ||||
Population municipale |
629 hab. (2020 ![]() |
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Densité | 11 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 09′ 25″ nord, 3° 43′ 42″ est | ||||
Altitude | Min. 335 m Max. 795 m |
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Superficie | 59,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Lapalisse | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Allier
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | arfeuilles.com | ||||
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Arfeuilles est une commune rurale française située en Montagne bourbonnaise dans le sud-est du département de l'Allier, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Elle comptait 629 habitants au recensement de 2020, appelés les Arfeuillats.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Sur l'un des premiers contreforts des monts de la Madeleine, Arfeuilles (canton de Lapalisse) est une petite commune de moyenne montagne qui s'étend sur une vaste étendue de près de 60 km2, à peu près à égale distance entre les villes de Roanne et de Vichy (respectivement 29,6 km à l'ouest-nord-ouest[1] et 23,3 km à l'est[2]).
Le bourg, situé à une altitude de 424 m, est entouré d'un réseau de collines culminant à 795 m, appartenant à la Montagne bourbonnaise. Au sud, elle est bordée par la côte roannaise du côté est et du côté ouest par les monts du Forez. Vers le nord, l'altitude s'abaisse en direction des plaines vers Lapalisse.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Au sud, sur la commune limitrophe de Saint-Nicolas-des-Biefs, à un peu plus de 1 000 mètres d'altitude, prend naissance un ruisseau, le Barbenan, qui deviendra une dizaine de kilomètres plus loin, avec l'apport d'affluents des collines voisines, la rivière qui traverse le bourg d'Arfeuilles. Le Barbenan rejoint ensuite la Besbre, un affluent de la Loire, au Breuil, une commune limitrophe.
À l'est de la commune coule de sud en nord le Douanon qui se jette dans le Barbenant à hauteur du hameau Pont Morel. Il était anciennement appelé Douanan.
Il est à remarquer que les deux rivières d'Arfeuilles possède le suffixe -nan du gaulois nanto qui signifie « vallée », « ruisseau » ou « rivière ».
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
La commune est traversée par les routes départementales 26 (reliant Droiturier à la frontière Allier-Loire à Saint-Bonnet-des-Quarts, au lieu-dit Les Biefs) et 207 (reliant Le Mayet-de-Montagne et Châtel-Montagne à Saint-Pierre-Laval et Saint-Martin-d'Estréaux)[Carte 1]. La route nationale 7 peut être empruntée à Droiturier ; celle-ci rejoint Moulins et Roanne.
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Arfeuilles est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].
La commune est en outre hors attraction des villes[6],[7].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (46,3 %), forêts (45 %), zones agricoles hétérogènes (7,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,8 %), zones urbanisées (0,6 %)[8].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Logement[modifier | modifier le code]
En 2016, la commune comptait 658 logements, contre 655 en 2011. Parmi ces logements, 50,9 % étaient des résidences principales, 29,9 % des résidences secondaires et 19,2 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,6 % des appartements[a 1].
La proportion des résidences principales, propriétés de leurs occupants était de 83,9 %, en nette hausse par rapport à 2011 (77 %). La part de logements HLM loués vides était de 0,3 % (contre 0 %)[a 2].
Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]
L'ancienne communauté de communes de la Montagne bourbonnaise, dont Arfeuilles était membre, avait élaboré un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi). À la suite de sa fusion avec la communauté d'agglomération de Vichy Val d'Allier le , c'est Vichy Communauté qui se charge de l'élaboration de ce document. Ce PLUi, approuvé en conseil communautaire le , est exécutoire depuis le [9].
Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]
La commune est soumise à deux risques : feu de forêt, et risque sismique (zone de sismicité de niveau 2). Elle n'a pas élaboré de DICRIM[10].
Toponymie[modifier | modifier le code]

Plusieurs hypothèses ont été émises sur l'origine du toponyme Arfeuilles.
- La plus commune ferait venir le nom du latin acrifolium désignant un lieu où pousse le houx. La forme réduite arfuèlha, du nord-occitan, a produit une f en perdant le e pré-tonique (agr[e]fuèlha > agrfuèlha > arfuèlha) pour aboutir à Arfeuille. La commune est, en effet, située dans l'aire linguistique du bourbonnais du Croissant, langue intermédiaire entre langue occitane et langue d'oïl[11].
- La seconde du nom d'une ville gauloise nommée Ariolica, qui signifie devant la montagne ; elle est située entre Roanne et Vichy sur la Table de Peutinger.
Une étude récente de la toponymie d’Arfeuilles s’est intéressée au thème celtique rand, représenté à Arfeuilles par le toponyme Guérande, indice d’une ancienne frontière de territoire, cité ou pagus. En se fondant principalement sur le dépouillement complet des plans et matrices cadastrales du cadastre napoléonien, elle a montré que ce thème faisait localement l’objet d’une importante diffusion dans la microtoponymie locale, confirmant ainsi l’existence à Arfeuilles d’une telle frontière. Elle a par ailleurs étudié les traces, dans la toponymie, des nombreux souterrains que recèle la commune ainsi que des voies anciennes qui la traversaient[12].
Histoire[modifier | modifier le code]
Du Moyen Âge à la Révolution française[modifier | modifier le code]
À l'époque féodale, Arfeuilles n'était qu'une petite bourgade où quelques religieux du prieuré de Châtel-Montagne avaient édifié l'ancienne église d'Arfeuilles (démolie au XIXe siècle et remplacée par l'église actuelle). Les habitants vivaient sous la protection d'un sire d'Arfeuilles, Hugues d'Arfoglia, vassal du comte de Forez. Vers 1310, à la suite d'un conflit local (avec le seigneur de Montmorillon ?) le fief tomba dans les mains du vainqueur, la famille seigneuriale de Châtel-Montagne. Arfeuilles intégrait la province du Bourbonnais en dépendant de la châtellerie de Vichy comme Montmorillon et Châtel-Montagne[13],[14]. Les guerres de religion aboutirent vers 1600 à la destruction de l'ancien château fort et de la maison seigneuriale édifiée à côté de l'église.
Les XVIIe et XVIIIe siècles sont marqués par une nette augmentation de la population d'Arfeuilles et le développement commercial du bourg. Dans les villages, l'industrie du chanvre procure un apport important aux métairies qui disposent généralement d'une chènevière. Elle est aussi source de travail pour les peigneurs de chanvre, sergiers, filetiers et tisserands.
L'organisation rurale aux XVIIe et XVIIIe siècles[modifier | modifier le code]
Dans les sociétés rurales anciennes, pour faire face aux difficultés et dangers de tous ordres, des familles, vivant en commun sous un même toit, se regroupaient en communautés. Elles exploitaient en indivision un patrimoine transmis de génération en génération. Ce mode d'exploitation familiale et collective était fréquent dans la Montagne Bourbonnaise jusqu'au XIXe siècle où il a ensuite disparu avec l'application du Code civil napoléonien qui ne reconnaissait pas ce type d'association. La communauté était structurée autour d'un chef de communauté, dit « le Maître », qui gérait les intérêts communs et exerçait une véritable autorité morale sur le groupe. Les membres de la communauté appelés « parsonniers » avaient chacun une part du patrimoine commun[15]. En général, la communauté a donné son nom au village ou au lieu-dit où elle était installée.
Dans la région d'Arfeuilles, plusieurs communautés ont été identifiées à partir des actes d'état civil disponibles, bien qu'il n'existe pas de contrat écrit d'association.
Nom du village | Nom de la communauté | Chef de communauté ou maître |
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Verger | Duvergier | Georges Duvergier (~1673, 1730) |
Géranton | Géranton | Louis Cote (~1655, 1735) |
Morel | Morel | Claude Morel (~1600, ?) |
Vignaud | Vignaud | Anthoine Despalles (1622, ?) |
La période révolutionnaire[modifier | modifier le code]
Pendant la Révolution française, avec la nouvelle organisation territoriale mise en place par l'Assemblée constituante de 1789, le territoire d'Arfeuilles s'est trouvé rattaché au département de l'Allier et à son district de Cusset.
Les premières mesures politiques et sociales prises par la Constituante n'ont pas créé d'agitation particulière à Arfeuilles, la population étant préoccupée par les mauvaises récoltes et la disette. Il n'en fut pas de même avec la constitution civile du clergé votée le . La nomination et l'installation des prêtres constitutionnels, les jureurs, la confiscation des biens de la paroisse échauffèrent les esprits et déclenchèrent une véritable guerre de clocher. Arfeuilles, où sévissait le conventionnel « montagnard » Jacques Forestier, président de l'assemblée cantonale d'Arfeuilles, ne fut pas épargnée par la Terreur.
La commune fut chef-lieu d'un canton au début de la Révolution. Elle est rattachée en 1801 au canton de Lapalisse[17].
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Découpage territorial[modifier | modifier le code]
La commune d'Arfeuilles est membre de la communauté d'agglomération Vichy Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Vichy. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Vichy, au département de l'Allier et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[19]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Lapalisse pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[19], et de la troisième circonscription de l'Allier pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[20].
Administration municipale[modifier | modifier le code]
Équipements et services publics[modifier | modifier le code]
Enseignement[modifier | modifier le code]
Arfeuilles dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école élémentaire publique[25].
Les élèves poursuivent leur scolarité au collège de Lapalisse[26], puis au lycée Albert-Londres de Cusset[27].
Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]
Arfeuilles dépend de la cour administrative d'appel de Lyon, de la cour d'appel de Riom, du tribunal administratif de Clermont-Ferrand, du tribunal de proximité de Vichy et des tribunaux judiciaire et de commerce de Cusset[28].
Une brigade de gendarmerie était implantée à Arfeuilles. Elle a fermé en 2015 et les six militaires qui occupaient le site ont été transférés principalement au Mayet-de-Montagne[29],[30].
Population et société[modifier | modifier le code]
Démographie[modifier | modifier le code]
Les habitants de la commune sont appelés les Arfeuillats[31].
Évolution démographique[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].
En 2020, la commune comptait 629 habitants[Note 4], en diminution de 5,41 % par rapport à 2014 (Allier : −2,17 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des âges[modifier | modifier le code]
La population de la commune est âgée.
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 21,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 43 % la même année, alors qu'il est de 34,6 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 321 hommes pour 314 femmes, soit un taux de 50,55 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (47,95 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Jusqu'au XIXe siècle, la commune d'Arfeuilles a été une commune prospère avec l'agriculture comme activité principale. Des ateliers de carderie de laine, de filature, de fabriques de serge et de draps étaient installés au voisinage du bourg. Le long de la rivière Barbenan plus de quatorze moulins à grain, pressoirs à huile et scieries ont été recensés sur le cadastre de 1829.
Avec un terrain accidenté et des exploitations rurales morcelées et dispersées, l'agriculture était mal adaptée à la mécanisation agricole et les terres ont fait place peu à peu à une reforestation. Avec une gare à plus de sept kilomètres du bourg, à l'écart de l'axe routier de la route « nationale 7 », Arfeuilles n'a pas profité des désenclavements routiers et ferroviaires du XIXe siècle, avec pour conséquences un déclin progressif de l'activité et de l'évolution démographique. Actuellement, un second souffle est apporté à la région par le développement du tourisme vert.
Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]
Chaque année, Arfeuilles participe aux Grands Jeux de la Montagne bourbonnaise.
Tous les se déroule la fête patronale d'Arfeuilles, à cette occasion se déroule « le cou de l'oie », une tradition qui daterait de 1789. C'est une sorte de concours qui consiste pour des cavaliers armés de sabres d'essayer de trancher le cou d'une oie morte pendue par les pattes au milieu de la rue principale. Au même moment prend place une fête foraine et le soir un bal[37],[38].
Économie[modifier | modifier le code]
Emploi[modifier | modifier le code]
En 2016, la population âgée de quinze à soixante-quatre ans s'élevait à 368 personnes, parmi lesquelles on comptait 65,5 % d'actifs dont 51,4 % ayant un emploi et 14,1 % de chômeurs[a 3].
On comptait 105 emplois dans la zone d'emploi. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la zone étant de 200, l'indicateur de concentration d'emploi s'élève à 52,5 %, ce qui signifie que la commune offre moins d'un emploi par habitant actif[a 4].
141 des 200 personnes âgées de quinze ans ou plus (soit 70,8 %) sont des salariés[a 5]. 39,6 % des actifs travaillent dans la commune de résidence[a 6].
Entreprises[modifier | modifier le code]
Au , Arfeuilles comptait 29 entreprises : 3 dans l'industrie, 8 dans la construction, 9 dans le commerce, le transport, l'hébergement et la restauration, 5 dans les services aux entreprises et 4 dans les services aux particuliers[a 7].
En outre, elle comptait 33 établissements[a 8].
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
- Église Saint-Germain, de style néo-gothique, qui a remplacé l'ancienne église. Elle a été construite entre 1854 et 1870. Elle conserve un bénitier du XIIe siècle.
- Souterrain mentionné au sommet de la butte du Renard[39].
- Gour de la Pisserotte au sud-est ; cascade de sept mètres de haut sur le Barbenan (que l'on peut apercevoir dans le clip de Tree House du groupe Myriagon entièrement tourné sur le lieu[40]).
- Colline Saint-Pierre au nord-ouest avec statue de la Vierge (1875) et panorama.
- « Châtelet » de Montmorillon des XVe – XVIe siècles[41].
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
Héraldique[modifier | modifier le code]
![]() |
Blason | D'azur à la fleur de lys d'or accompagnée de trois étoiles du même. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Lucienne Vallery, Histoire d'Arfeuilles en Bourbonnais, Saint-Étienne, éditions Dumas,
- Didier Pible-Razia, Arfeuilles un passé riche d'avenir, Edition des Amis de la Montagne Bourbonnaise,
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- Site de la mairie
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Arfeuilles sur le site de l'Institut géographique national (archive)
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Selon le zonage publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Réélu en 2014[21] et en 2020.
- 15e vice-président de la communauté d'agglomération Vichy Communauté chargé de la politique d'accueil, des services publics en milieu rural et des commerces de proximité (2017-2020)[23].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- Carte d'Arfeuilles sur le site Géoportail de l'IGN.
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références[modifier | modifier le code]
- « Dossier complet – Commune d'Arfeuilles (03006) », sur insee.fr, (consulté le ) :
- LOG T2 – Catégories et types de logements.
- LOG T7 – Résidences principales selon le statut d'occupation.
- EMP T1 – Population de 15 à 64 ans par type d'activité.
- EMP T5 – Emploi et activité.
- ACT T1 – Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2016.
- ACT T4 – Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone.
- DEN T3 – Nombre d'entreprises par secteur d'activité au .
- DEN T5 – Nombre d'établissements par secteur d'activité au .
- Autres sources :
- « Orthodromie entre Arfeuilles et Roanne »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Orthodromie entre Arfeuilles et Vichy »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur Lion 1906 (consulté le ).
- « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
- « PLUI Montagne Bourbonnaise », sur vichy-communaute.fr, Communauté d'agglomération Vichy Communauté (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur georisques.gouv.fr, Ministère de la Transition écologique et solidaire et BRGM (consulté le ).
- « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur le site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, Paris, .
- « Microtoponymie frontalière. Exemple de la commune d'Arfeuilles (Allier) » [PDF], sur aurisse.fr, (consulté le ).
- Lucienne Vallery, Histoire d'Arfeuilles en Bourbonnais.
- Aubert de la Faige et Roger de la Boutresse, Les fiefs du Bourbonnais : Lapalisse, Paris, E. Plon, Nourrit et Cie, (lire en ligne), p. 53 et suivantes.
- Les communautés taisibles
- Archives départementales de l'Allier, état civil.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Vichy Communauté - fiche descriptive au », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Code officiel géographique- Rattachements de la commune d'Arfeuilles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Allier (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « Jacques Terracol, réélu maire », La Montagne, Vichy, , p. 15.
- « Liste nominative des communes de l'Allier » [PDF], sur maires-allier.fr, Association des maires et présidents d'intercommunalité de l'Allier, (consulté le ).
- « Les élus »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Vichy Communauté (consulté le ).
- Laurence Torres, « La commune d'Arfeuilles a un nouveau maire »
, La Semaine de l'Allier, (consulté le ).
- « École élémentaire publique »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
- Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, « Sectorisation des collèges du département de l'Allier » [PDF], (consulté le ).
- Direction des services départementaux de l'Éducation nationale de l'Allier, « Sectorisation des lycées du département de l'Allier » [PDF], Académie de Clermont-Ferrand, (consulté le ).
- « Recherche de tribunaux », sur justice.fr, Ministère de la Justice (consulté le ).
- Brigitte Cante, « Dans la montagne bourbonnaise, la commune d'Arfeuilles veut garder ses gendarmes », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « Arfeuilles : la gendarmerie a définitivement fermé »
, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
- « Arfeuilles (03120) », sur habitants.fr, SARL Patagos (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Arfeuilles (03006) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Allier (03) », (consulté le ).
- Michaël Charrondière, « Le cou de l'oie fait son retour à Arfeuilles pour la fête patronale du mardi 15 août »
, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
- « Le « Cou de l'oie » à Arfeuilles (Allier) : une attraction uique en France qui a traversé les siècles »
, sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
- Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 320.
- Clip.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 44 (cf. Arfeuilles).