Briantes

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Briantes
Briantes
La mairie en 2020.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement La Châtre
Intercommunalité Communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère
Maire
Mandat
Jean-Claude Boury
2020-2026
Code postal 36400
Code commune 36025
Démographie
Gentilé Briantais
Population
municipale
603 hab. (2021 en diminution de 0,82 % par rapport à 2015)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 33′ 31″ nord, 2° 01′ 24″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 308 m
Superficie 23,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction La Châtre
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Châtre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Briantes
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Briantes
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Briantes

Briantes est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le sud-est[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Lacs (3 km), La Châtre (4 km), Montlevicq (4 km), Le Magny (5 km), La Motte-Feuilly (5 km), Pouligny-Saint-Martin (5 km) et Sainte-Sévère-sur-Indre (9 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : La Châtre (4 km), Châteauroux (38 km), Issoudun (43 km) et Le Blanc (74 km).

Carte
Localisation de la commune de Briantes

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Murailles, Champflorentin et Étrangle-Chèvre[2].

Géologie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Indre[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 803 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Ste--Sévère », sur la commune de Sainte-Sévère-sur-Indre à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 843,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 73B, 83, 83A, 83B, 84, 68A, 917 et 943[10].

Les gares ferroviaires les plus proches sont les gares de Châteauroux[10] (40 km) et Argenton-sur-Creuse[10] (44 km).

Briantes est desservie par la ligne F du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 44 km.

Le territoire communal est traversé par : le sentier de grande randonnée 46[2], le sentier de grande randonnée 654[2] et par le sentier de grande randonnée de pays : Sur les pas des maîtres sonneurs[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Briantes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de La Châtre dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 14 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (41,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,3 %), terres arables (21,6 %), forêts (4,4 %), zones urbanisées (1,1 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement[modifier | modifier le code]

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[18] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 389 390
Résidences principales 69,2 % 68,4 %
Résidences secondaires 14,2 % 15,3 %
Logements vacants 16,6 % 16,3 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 82,1 % 83,8 %

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Briantes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre et l'Igneraie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2020[21],[19].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Briantes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 67,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 392 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 286 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Briantes est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Briantes en 1291, Brienta en 1466, Brianta en 1351[25], puis Briantes pour l'année 1478.

Ernest Nègre propose prudemment le mot gaulois briga « forteresse, mont », doté du suffixe pré-latin -antium[25], sans doute à cause de l'absence de formes anciennes suffisamment caractérisées et ce, contrairement à Briançon (Hautes-Alpes, anciennement Brigantion) ou Brégançon (Var). Il s'agit sans doute plus certainement de la fixation du nom commun celtique (gaulois) brigantion « éminence » dans la toponymie, mot dérivé de brigant- « éminent, élevé ». En toponymie, il a le sens d'« éminence, lieu élevé »[26]. Le radical brigant- repose lui-même sur la racine celtique brig- « colline, mont »[26]. La racine celtique brigant- est bien identifiée par ailleurs[26]. En effet des équivalents en celtique insulaire l'attestent : le vieux gallois breehin « roi », cornique brentyn « noble » et vieux breton brientin « personne de rang élevé » qui remontent tous à brigantīnos[26]. En outre, il existe une déesse gauloise Brigantia, identique à l'hydronyme qui explique de nombreux noms de rivières de France, de Grande-Bretagne ou de Suisse[26]. Même radical également dans le nom de la sainte irlandaise Birgit, sous une forme un peu différente puisqu'il continue *brigentī « l'Eminente »[26], nom de déesse païenne à l'origine.

Ses habitants sont appelés les Briantais[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

La commune appartient au territoire des Bituriges.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1369, le comte de Cambridge, Edmond de Langley, et le comte de Pembroke, Jean de Hastings, pillent et incendient en partie le village[28].

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Le sanctuaire de Vaudouan, qui figure sur la liste des sanctuaires mariaux, est détruit par les huguenots conduits par le Duc des Deux-Ponts[29] pendant les guerres de Religion[30].

Révolution et Premier Empire[modifier | modifier le code]

XIXe et XXe siècles[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'arrondissement de La Châtre, du canton de La Châtre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes de La Châtre et Sainte-Sévère[31].

Elle dispose d'une agence postale communale[32].

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1945 mai 1953 Marcel Dussauzet ? ?
mai 1953 1973 Vincent Rotinat Radical Député de l'Indre (1936-1940)
Sénateur de l'Indre (1946-1971)
Président du conseil général de l'Indre (1951-1975)
1973 mai 1983 Robert Langlois ? ?
mai 1983 1987 Robert Lefort ? ?
1987[33] mars 2008 Jean Petipez ? ?
mars 2008[34] mars 2014 Jacky Gorge ? Infirmier psychiatrique
mars 2014[35] Jean-Marie Langlois   Agriculteur retraité
[36] En cours Jean-Claude Boury ? ?
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[38].

En 2021, la commune comptait 603 habitants[Note 3], en diminution de 0,82 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
603540558661699821768793809
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8208458939519749951 0331 0681 056
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1111 1001 041887864828829787737
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
711664554542526557589594608
2017 2021 - - - - - - -
605603-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Équipement culturel[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

La commune de Briantes compte une association sportive nommée A.S.E.B (association sportive et éducative de Briantes) créée en 1990. Celle-ci est constituée de plusieurs sections dont l'athlétisme, le football, l'art manuel, la gymnastique.

Médias[modifier | modifier le code]

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans l’aire urbaine de La Châtre, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de La Châtre[31].

La commune dispose d'une entreprise de vente directe de viande[43].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. La série télévisée Ces beaux messieurs de Bois-Doré inspirée du roman a été tournée dans les châteaux d'Ancy-le-Franc et de Tanlay dans l'Yonne.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b c d et e « Briantes » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Briantes et Sainte-Sévère-sur-Indre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ste--Sévère », sur la commune de Sainte-Sévère-sur-Indre - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ste--Sévère », sur la commune de Sainte-Sévère-sur-Indre - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b c et d « Briantes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. « Comparateur de territoire : Commune de Briantes (36025) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Briantes », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, , 708 p. (ISBN 978-2-600-02883-7 et 2-600-02883-8, présentation en ligne), p. 149, consulté le 20 janvier 2017.
  26. a b c d e et f Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : Une approche linguistique du vieux celtique continental, Paris, Errance, coll. « Hespérides », , 440 p. (ISBN 978-2-87772-237-7 et 2-87772-237-6), p. 86-87
  27. « Nom des habitants des communes françaises, Briantes », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  28. Marc du Pouget, « Donjons de la guerre de Cent Ans », vmf, no 288, novembre 2019, p. 70-77.
  29. Académie du Centre Auteur du texte, « Bulletin de la Société académique du Centre : archéologie, littérature, science, histoire et beaux-arts », sur Gallica, (consulté le ).
  30. Christine Méry-Barnabé, De la manufacture royale de draps à l’usine Balsan, catalogue de l’exposition Châteauroux et les cités lainières d’Europe, Archives municipales de Châteauroux, 2010, p. 20.
  31. a et b « Commune de Briantes (36025) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  32. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  33. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
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  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  36. « Jean-Claude Boury élu maire », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ (lire en ligne).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  42. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
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