Badecon-le-Pin
Badecon-le-Pin | |||||
L'église en 2010. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | Châteauroux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse | ||||
Maire Mandat |
François Broggi 2020-2026 |
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Code postal | 36200 | ||||
Code commune | 36158 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Badeconnais | ||||
Population municipale |
774 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 78 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 32′ 28″ nord, 1° 35′ 34″ est | ||||
Altitude | Min. 111 m Max. 259 m |
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Superficie | 9,88 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Argenton-sur-Creuse (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Argenton-sur-Creuse | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Badecon-le-Pin est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune est située dans le Sud[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.
Les communes limitrophes[1] sont : Ceaulmont (2 km), Le Menoux (2 km), Chavin (3 km), Gargilesse-Dampierre (3 km) et Pommiers (5 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Argenton-sur-Creuse (8 km), Châteauroux (31 km), La Châtre (31 km), Le Blanc (42 km) et Issoudun (54 km).
Hameaux et lieux-dits
[modifier | modifier le code]Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : le Pin, Feuillets, les Touchards, la Roche bat l'Aigüe, Châtillon, le Pilori, les Granges, les Chocats et les Minières[2].
-
Le lieu-dit le Pin en 2017.
Géologie et hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].
Le territoire communal est arrosé par la rivière Creuse[2], ainsi que par trois ruisseaux : le riau du Gué, le riau de Chatillon et le riau de Terron.
-
La rivière Creuse en 2017.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 810 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 934,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 38, 38C, 40 et 48[10].
La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Argenton-sur-Creuse[10], à 8 km.
Badecon-le-Pin est desservie par la ligne J du réseau de mobilité interurbaine[11].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 43 km.
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays du Val de Creuse[2].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Badecon-le-Pin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,5 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38,3 %), zones agricoles hétérogènes (27,3 %), forêts (25,4 %), zones urbanisées (6 %), eaux continentales[Note 2] (3,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
[modifier | modifier le code]Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :
Date du relevé | 2013 | 2015 |
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Nombre total de logements | 497 | 502 |
Résidences principales | 65 % | 65 % |
Résidences secondaires | 29,2 % | 29,2 % |
Logements vacants | 5,8 % | 5,8 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 83 % | 82,8 % |
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Badecon-le-Pin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
[modifier | modifier le code]Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Creuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1999 et 2008[20],[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 96,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 485 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 370 sont en aléa moyen ou fort, soit 76 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[22].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[18].
Risques technologiques
[modifier | modifier le code]La commune est en outre située en aval du Barrage d'Éguzon, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI, mis en eau en 1926, d’une hauteur de 58 mètres et retenant un volume de 57,3 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].
Risque particulier
[modifier | modifier le code]Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Badecon-le-Pin est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].
Toponymie
[modifier | modifier le code]En , la paroisse du Pin et la collecte de Badecon forment la municipalité du Pin. La commune du Pin prit le nom de Badecon-le-Pin, par décret du .
Ses habitants sont appelés les Badeconnais[26].
Histoire
[modifier | modifier le code]La paroisse[27] du Pin, à l’origine, recouvre son actuel territoire mais elle se prolongeait jusqu’au cours de la Gargilesse. Elle incluait la position de l’actuel château de Gargilesse. Ainsi, lorsque Hugues II de Naillac, en 1200, construit la chapelle du château, celle-ci est dédiée à Notre-Dame du Pin en raison de sa dépendance spirituelle à l’égard de son église mère, celle dédiée à Saint Denis au Pin.
Le bourg[28] du Pin était siège d’un prieuré rattaché à l’abbaye Saint-Gildas de Châteauroux, tout comme l’église paroissiale Saint-Denis-du-Pin datant elle-même du XIIe siècle.
Lors de l’érection de la chapelle féodale de Gargilesse, en 1200, Hugues de Naillac accorda au prieur du Pin le droit de justice sur les habitants du village du Pin et il donna à ceux-ci franchise dans un espace compris entre les croix plantées. Ces croix fourniront à certains endroits l’actuelle limite entre Gargilesse et Le Pin.
En mai 1782, un ouragan emporta le clocher, rasa la nef, laissant seulement debout le cœur de la sacristie.
En 1786, la paroisse du Pin perd définitivement une partie de son territoire, rattachée à celle de Gargilesse.
En 1789, dans les cahiers de doléances, les habitants de Badecon, se plaignent d’être obligés d’aller à la messe au bourg du Pin. Ils réclament donc l’érection de Badecon en paroisse et donc de ne plus dépendre spirituellement de Saint-Denis-du-Pin. À cette époque, la seigneurie de Badecon compte 191 feux et Le Pin, 200 feux.
En 1790, la paroisse du Pin et la collecte de Badecon sont regroupés en une municipalité.
La rivière Creuse est directement liée au développement économique de la commune. La géologie a longtemps fait que l’activité économique de la commune était basée sur la viticulture. Les côtes de la Creuse sont alors la continuité et la fin du vignoble du Menoux. Les côtes Gareuilles, de Châtillon, les Gardes sont alors couvertes de vignes. Les vins sont exportés principalement vers le Limousin. L’autre activité est directement liée aux moulins implantés sur le cours de la rivière. Cinq moulins se sont implantés sur la rive droite de la Creuse. Le moulin Drap fut longtemps spécialisé dans le foulage du chanvre d’où le nom de moulin à drap. Les moulins du Pin, Loup, de la Dine Jacques et le Grand Moulin étaient des moulins à blé.
La mise en eau du barrage de la Roche-bat-l’Aigue amena l’électricité à Badecon et Argenton-sur-Creuse dès 1907, mais provoqua la fin des moulins. Le surélèvement du barrage en 1976 noya la vallée sur tout le territoire de la commune, jusqu’au Pont Noir.
La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Éguzon-Chantôme et du au à la communauté de communes du pays d'Éguzon - Val de Creuse.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton d'Argenton-sur-Creuse, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Éguzon - Argenton - Vallée de la Creuse[13].
Elle dispose d'un bureau de poste[29].
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].
En 2021, la commune comptait 774 habitants[Note 4], en évolution de +4,74 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
[modifier | modifier le code]La commune dépend de la circonscription académique de La Châtre.
Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Équipement culturel
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Médias
[modifier | modifier le code]La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, L'Écho du Berry, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]La commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d’Argenton-sur-Creuse[13].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]- Barrage de La Roche-Bat-L'Aigue
- Pont Noir
- Boucle du Pin
- Église Sainte Solange de Badecon
- Église Saint-Denis du Pin
- Monument aux morts
- Deux maisons (XIIe siècle)
-
Le barrage de La Roche-Bat-L'Aigue en 2018.
-
Le Pont Noir en 2018.
-
La boucle du Pin en 2018.
-
L'église du Pin en 2017.
Labels et distinctions
[modifier | modifier le code]Badecon-le-Pin a obtenu au concours des villes et villages fleuris une fleur en : 2004[41], 2005[42], 2006[43], 2007[44], 2008[45], 2011[46], 2013, 2014, 2015 et 2016[47].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Fernand Monsacré[48] (1890-1944), est un ancien sénateur de la IIIe République, né à Badecon.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Badecon-le-Pin sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Indre »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- « Badecon-le-Pin » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Badecon-le-Pin et Éguzon-Chantôme », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Éguzon », sur la commune d'Éguzon-Chantôme - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Badecon-le-Pin »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Badecon-le-Pin ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Argenton-sur-Creuse », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Comparateur de territoire : Commune de Badecon-le-Pin (36158) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
- « Les risques près de chez moi - commune de Badecon-le-Pin », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « Nom des habitants des communes françaises, Badecon-le-Pin », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Eugène Hubert, Les Origines de Gargilesse.
- Paroisses et communes de France : Indre, Éditions CNRS.
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- « ? », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, .
- « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- Site du journal Le Monde : Badecon-le-Pin, consulté le 8 mai 2016.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- [PDF] 45e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2004, consulté le 23 septembre 2009.
- [PDF] 46e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2005, consulté le 23 septembre 2009.
- [PDF] 47e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2006, consulté le 23 septembre 2009.
- [PDF] 48e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2007, consulté le 23 septembre 2009.
- [PDF] 49e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2008, consulté le 23 septembre 2009.
- [PDF] 52e concours des villes et villages fleuris - Palmarès 2011, consulté le 23 septembre 2011.
- Site des villes et villages fleuris : Toutes les communes fleuries, consulté le 22 décembre 2016.
- Site du Sénat français : Monsacré Fernand, consulté le 20 août 2012.