Belokourikha

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Belokourikha
(ru) Белокуриха
Blason de Belokourikha
Héraldique
Drapeau de Belokourikha
Drapeau
Belokourikha
Vue générale depuis les montagnes.
Administration
Pays Drapeau de la Russie Russie
Région économique Sibérie de l'Ouest
District fédéral Sibérien
Sujet fédéral Drapeau du kraï de l'Altaï Kraï de l'Altaï
Maire Konstantine Islamdjanovitch Bazarov (ER)
Code postal 659900 – 689901
Code OKATO 01 404
Indicatif (+7) 38577
Démographie
Population 14 791 hab. (2023)
Densité 160 hab./km2
Géographie
Coordonnées 52° 00′ nord, 84° 59′ est
Altitude 250 m
Min. 240 m
Max. 1 200 (Sinioukha) m
Superficie 9 230 ha = 92,3 km2
Fuseau horaire UTC+07:00 (KRAT)
Heure de Krasnoïarsk
Cours d'eau Belokourikha
Divers
Fondation années 1850
Statut Ville (depuis 1982), d'importance régionale et okroug urbain
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Russie
Voir sur la carte topographique de Russie
Belokourikha
Géolocalisation sur la carte : kraï de l'Altaï
Voir sur la carte topographique du kraï de l'Altaï
Belokourikha

Belokourikha (en russe : Белокуриха) est une ville d'importance régionale du kraï de l'Altaï, en Russie, qui forme un okroug urbain. Située en Sibérie méridionale au pied des monts Altaï, c'est une station thermale d'importance fédérale et une station sports d'hiver. Sa population s'élevait à 14 791 habitants en 2023.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Belokourikha est situé dans le kraï de l'Altaï, un sujet du sud-ouest de la Sibérie. La ville fait ainsi partie du district fédéral sibérien, se situant à 170 km au sud-est de Barnaoul, la capitale du sujet, à 360 km au sud-est de Novossibirsk, la capitale du district, ainsi qu'à 3 050 km à l'est de Moscou. Elle est arrosée par la rivière Belokourikha.

La ville, comme tout le kraï, est située dans le fuseau horaire MSK+3 (heure de Krasnoïarsk). Le décalage horaire appliqué par rapport au temps universel coordonné est +07:00[1]. La ville proprement dite, incorporée dans l'oblast sous le nom d'okroug urbain de Belokourikha, dans ses limites actuelles, couvre une superficie de 94 km2, soit 5,5 % de la superficie du kraï de l'Altaï. Le raïon est frontalier des raïons de Smolenskoïe et d'Altaïskoïe[2].


Localités limitrophes[modifier | modifier le code]

Les localités limitrophes sont les suivantes[3] :

Localités limitrophes de Belokouricha
Novotyrychkino Totchnilnoïe Starobelokourikha
Tchernovaïa Belokouricha
Danilovka

Topographie et hydrographie[modifier | modifier le code]

La ville se situe au pied des contreforts des monts Tcherga (ru), une crête des piémonts de l'Altaï, un vaste système montagneux d'Asie centrale, et à la limite sud de la vaste plaine de l'Ob, une grande steppe. Plus précisément, la plaine au niveau de Belokourikha est celle du Pré-Altaï, une division de celle de l'Ob[4]. L'altitude de la ville se situe à environ 240–250 mètres d'altitude[2], voire 350 mètres. Les montagnes dominant la ville atteignent 400 à 500 mètres par rapport à la plaine. Les sommets sont le Tserkovka et ses 794 mètres d'altitude, le Krouglaïya à 803 mètres, le Chisha à 980 mètres et le Sinioukha à 1 200 mètres[5]. La vallée de la Belokourikha, dans laquelle se trouve la ville, se rétrécit de plus en plus, devenant au sud de la ville une vallée étroite[6].

De nombreuses rivières et ruisseaux traversent le territoire citadin, la région étant riche en eau. La rivière Belokourikha coule dans la ville avec ses affluents Bolchoï, Svetly, Krestiki, Chichi, Tatarski, Medvejy entre autres. On trouve aussi les rivières Danilovaka, Berezovka, Malaïa Sychevka, Bolchaïa Sychevka et Kouznetsovka. Toutes les rivières appartiennent au bassin de la rivière Pestchanaïa, qui coule à 13 km de la ville[7].

Climat[modifier | modifier le code]

Vue estivale de la ville.

Le climat de la ville est continental, et il est particulier pour la région grâce à sa situation au pied des montagnes dans une vallée la protégeant des vents dominants, adoucissant fortement l'hiver et la chaleur estivale. Il est ainsi différent de la steppe du kraï de l'Altaï[8]. L'hiver s'installe début novembre et dure jusqu'à la mi-avril. La température moyenne en janvier est de −16,8 °C, tandis que la température minimale atteint −23 °C. Le minimum absolu pour janvier est de −51 °C. En hiver, il y a peu de précipitations, et le temps est généralement clair. Le printemps commence avec la fonte des neiges et avec le passage des températures moyennes quotidiennes à 0 °C[4].

L'été est chaud, commence dans la seconde quinzaine de mai et dure 4 mois et demi. Il est relativement chaud, avec des températures mensuelles moyennes en juillet de +19,2 °C. Le maximum moyen en juillet est de +25,4 °C, et le maximum absolu est de +37 °C. C'est la saison la plus pluvieuse, avec 278 mm en moyenne. L'automne est lui sec et chaud au début (été indien), avant que les températures tombent rapidement[4].

Belokourikha est l'un des endroits les plus ensoleillés de Russie, avec 1 926 heures par an. Il y a plus de jours ensoleillés que dans les stations touristiques d'Ukraine ou du Caucase. Les précipitations sont en moyenne de 564 mm par an[8]. La hauteur de la couverture neigeuse atteint son maximum en fin février et en début mars, et elle est de 60 à 80 cm. La direction du vent prédominante est le sud-ouest[9].

Environnement[modifier | modifier le code]

Tamia de Sibérie à Belokourikha.

La ville se situe à la transition entre les forêts mixtes, la taïga et la steppe. Dans la partie steppique de la ville poussent des bouleaux et des pins, et à mesure que le relief s'élève, les plantations de pins prédominent, mais aussi des sapins et des mélèzes. Dans les vallées des rivières poussent des sorbiers, dont des sorbier des oiseleurs, des cerisiers des oiseaux, des groseilles et d'autres arbustes[5],[6]. La faune est également diversifiée, avec les forêts qui abritent le cerf porte-musc, le lynx, l'ours, le tamias de Sibérie et d'autres animaux. Rien que dans l'avifaune, il y a plus de 200 espèces[10].

La superficie occupée par les forêts est de 2 410 hectares en 2021. Les arbres de Bélokourikha sont dominés à hauteur de 80 % par les conifères, parmi lesquels les pins prédominent. Dans les espèces de feuillus, le tremble prédomine. Pour restaurer les zones forestières, la ville entreprend la pousse de conifères sur le versant sud de la vallée de la rivière Belokourikha. Néanmoins, les zones forestières sont coupées par les pistes de ski, et l'urbanisation avec de nouvelles infrastructures touristiques grignote l'espace naturel[7].

Par ailleurs au pied du mont Tserkovka, avec des pommiers, des poiriers, des framboises et des groseilles ainsi que des dizaines de cépages qui y sont cultivés[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Plusieurs risques existent, en particulier celui d'affaissement[11] et le risque sismique. Des tremblements de terre jusqu'à 9 points sur l'échelle Medvedev-Sponheuer-Karnik peuvent avoir lieu[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

En 2021, la superficie totale de la ville s'élevait à 9 377 hectares[7].

Occupation des sols de Belokourikha[13]
Année 2021 (ha) %
Immeubles d'habitations à plusieurs étages 25
Lotissements individuels 587
Zones commerciales 38
Zones industrielles, municipales et entrepôts 76
Zones publiques 356
Zones agricoles 22
Espaces forestiers 2410
Infrastructures de santé 101
Espaces aquatiques 5
Zone à vocation spéciale 21
Sans usage 19
Autres 5717
Total 9 377 100

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ville est reliée à Biïsk par la route d'importance régionale Biïsk — Belokourikha, d'une longueur de 75 km. La ville dispose d'une gare routière, et la gare la plus proche est la gare de Biïsk[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Forêts à Belokourikha.

Histoire ancienne[modifier | modifier le code]

Des fouilles préventives ont montré qu'aux Ve et IVe siècles av. J.-C. vivaient des tribus scythes à proximité des sources chaudes. Des pointes de flèches, des mors et des étriers ont été découverts, appartenant à des guerriers scythes[15].

Empire russe[modifier | modifier le code]

Les sources thermales sont connues selon les documents d'archives depuis l'installation des premiers colons dans la région au XVIIIe siècle[16]. En 1803, ces derniers fondèrent le village, alors appelé Belokourovo (aujourd'hui Starobelourikha). C'est au cours du XIXe siècle qu'il fut remarqué les propriétés curatives des sources thermales[15].

En 1855-1857, au sud de Starobelourikha fut fondé le village de Novo-Belokourikha. La population s'installa ici pour profiter des sources chaudes[16].

En 1866, Stepan Ivanovitch Gouliaïev, ingénieur du Département des Mines de l'Altaï et conseiller d'État, fut informé des propriétés curatives des sources par deux locaux. Il arriva en août de la même année, et après les avoir examinées à Tomsk, il a ordonné leur préservation. Le , la gazette du gouvernement de Tomsk publia les premières informations sur les sources[16]. Il revint en 1867, accompagné d'un prêtre et d'un conseiller, et posa la première pierre de la première piscine de la station thermale. Peu de temps après, une piscine fut ouverte, déclarée d'utilité publique[15]. Mais au printemps 1868, une crue emporta les ponts, les moulins, les barrages et tous les bâtiments de villégiature de la nouvelle station. Gouliaïev alloua de l'argent pour la construction de seize bains et de digues pour protéger les infrastructures des inondations[5]. L'État tsariste ne se préoccupait pas de la station, c'était la région et les locaux, car les nobles et bourgeois russes allaient dans le Caucase et à l'étranger, et ne se préoccupaient peu de la santé des ouvriers et des paysans[16].

À la fin du XIXe siècle, 300 à 500 personnes étaient soignées chaque année, et la station a acquis une certaine réputation, mais à l'été 1898, un incendie détruisit tous les bâtiments. En 1903, la station désolée fut transférée au Département des Mines de l'ouïezd de l'Altaï, et la reconstruction commença qu'en 1908[16]. En 1916, le département de Biïsk de la Société d'aide aux malades et aux blessés loua la station, station thermale qui disposait déjà de plusieurs bâtiments[5].

Période soviétique[modifier | modifier le code]

Le développement de la station a commencé pendant les années soviétiques. En 1920, elle fut nationalisée, et en 1926, le médecin-chef de la station N.K. Nemchanov élabora un plan directeur pour le développement de la station-thermale[5]. En 1928, la première clinique thermale a été construite. Trois sanatoriums ont été construits entre 1931 et 1934, suivis par d'autres dans les années suivantes. Parallèlement, des scientifiques de Tomsk et de Novossibirsk sont recrutés pour travailler dans la station[16].

Novo-Belokourikha accéda au statut de commune urbaine en 1958, étant alors renommé Belokourikha , et reçu le statut de station balnéaire d'importance pour toute l'Union en 1970. Elle acquit le statut de ville en janvier 1982, devenant la douzième ville du kraï[16].

Depuis 1991[modifier | modifier le code]

Centre-ville.

Après la fin de l'URSS, le tourisme a dynamisé la ville, avec des constructions modernes[17]. Elle a de plus acquis une certaine notoriété en accueillant plusieurs conférences internationales, comme le XXVe symposium international de l'UNESCO, du Comité international pour la muséologie et du Conseil international des musées en 2003 (organisée aussi à Barnaoul et à Krasnoïarsk)[18]. Elle a aussi accueilli un forum sur la région de l'Altaï-Saïan de la WWF en octobre 1990[19], ainsi que des réunions annuelles regroupant des économistes et politologues de haut rang.

En 2021, un nouveau complexe d'hébergement touristique a été ouvert dans le quartier de Belokourikha Gornaïa[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Chefs[modifier | modifier le code]

Le maire actuel est depuis 2016, Konstantine Bazarov, de Russie unie, élu par le conseil municipal de la ville[21].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
14 décembre 2016 En cours
(au 6 avril 2024)
Konstantine Islamdjanovitch Bazarov Russie unie Ingénieur en génie mécanique[21]
Les données manquantes sont à compléter.

Résultats électoraux[modifier | modifier le code]

La ville se trouve dans la circonscription législative fédérale de Barnaoul (n°39).

Scrutin 1er tour 2d tour
1er % 2e % 3e % 4e % 1er % 2e % 3e % 4e %
Présidentielle 2012[22] ER 55,88 KPRF 21,74 LDPR 8,36 SE 7,77 Victoire au premier tour
Législatives 2016[23] ER 37,01 LDPR 19,61 KPRF 15,51 SRZP 13,55 Tour unique
Présidentielle 2018[24] ER 64,83 KPRF 24,09 LDPR 5,98 GRANI 1,23 Victoire au premier tour
Législatives 2021[25] KPRF 29,63 ER 29,45 SRZP 9,85 LDPR 8,81 Tour unique


Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

La population au est de 14 735 habitants, soit 0,6 % de la population du kraï de l'Altaï[26].

Recensements (*) et estimations de la population[27],[28]:


Évolution démographique
1959* 1970* 1979* 1989* 2002*
4 9267 0609 23314 43514 533
2006 2010* 2012 2013 2014
14 72714 66114 40614 34414 529
2021* 2023 - - -
14 73514 791---

Éducation[modifier | modifier le code]

Sur le territoire de la commune se trouvent 2 établissements d'enseignement général, 4 établissements d'enseignement préscolaire et 2 établissements d'enseignement complémentaire[29].

Santé[modifier | modifier le code]

La ville possède un hôpital avec 128 lits et une clinique. L'espérance de vie moyenne est de 69 ans, avec celles des hommes de 66 ans et celles des femmes de 72 ans[13].

Sports[modifier | modifier le code]

Remontée mécanique à Belokourikha.

La ville comptait en 2007 deux stades[14]. La principale station de ski est Blagodat, qui se situe au pied du mont Tserkovka, avec cinq pistes, d'une longueur allant de 950 à 2600 mètres. Depuis 2019, une nouvelle station a été ouverte sur le mont Michina[30].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population[modifier | modifier le code]

Le revenu monétaire moyen par habitant pour 2021 s'élevait à 40 394 roubles. Le salaire mensuel moyen en 2022 était de 47 440 roubles. Les salaires les plus élevés sont dans l'administration publique (50 172 roubles) et la santé (51 003 roubles), tandis que les plus bas sont dans la sphère culturelle (31 004 roubles)[31].

Emplois[modifier | modifier le code]

Le nombre de personnes dans la population active en 202 dans la ville était de 8 210 personnes. Sur le nombre total de salariés, 64,5 % sont des salariés de grandes et moyennes entreprises et 35,5 % sont des salariés de petites entreprises et des auto-entrepreneurs[32].

Le nombre de chômeurs officiellement enregistrés en 2022 était de 51 personnes, et le taux de chômage officiel en 2022 était de 0,6 % de la population active[32].

Entreprises[modifier | modifier le code]

En 2022, 187 petites et moyennes entreprises et 1 095 entrepreneurs individuels opéraient dans la ville[33].

Tourisme et activité thermale[modifier | modifier le code]

La base de l'économie est l'activité des sanatoriums et des établissements de villégiature. Belokourikha est en effet un des principaux centres touristiques du kraï de l'Altaï, et l'un des principaux secteurs économiques de la ville. Neuf agences de voyages opèrent dans la ville, et elle est traversée par 56 itinéraires touristiques. Le secteur emploie de nombreuses personnes, avec des guides, la restauration, les moniteurs de ski, etc[34],[33]. En 2022, la ville a été visitée par 225 000 touristes et 645 millions de roubles ont été investis dans le secteur touristique. Par comparaison, il y avait 115 000 touristes en 2006[35]. Le taux d'occupation moyen de la station était de 80,4 % en 2022, soit le chiffre le plus élevé de ces dernières années[33].

La ville compte, en 2023, 16 sanatoriums, 23 établissements d'hébergement, avec un nombre total de lits pendant la haute-saison de 5 544 lits. 55,3 % de la population active de la ville de Belokurikha est employée dans l'activité des sanatoriums et des hôtels en 2023. La ville compte trois grands complexes thermaux : Resort Belokurikh, le sanatorium Rassiïa et le sanatorium Altaï[36].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

La ville possède en 2024 selon le décompte du département de protection des objets du patrimoine culturel du kraï de l'Altaï, 5 objets patrimoniaux culturels, tous d'importance régionale. Les objets classés sont le monument aux morts de la Grande Guerre patriotique, le monument aux révolutionnaires morts de la guerre civile, le bâtiment de l'hôpital du radon n°1, le bâtiment du serpent (musée de la ville de Belokourikha Gouliaïeva), et la plaque commémorative du camp Artek[37].

Une église, à Saint-Nicolas-le-Thaumaturge, se trouve dans la ville[38].

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (ru) Gouvernement de la fédération de Russie, Loi fédérale du 3 juin 2011 no 107-FZ (telle que modifiée le 14 avril 2023) « Sur le calcul du temps », Moscou, (lire en ligne)
  2. a et b Administration de Belokourikha 2023, p. 1.
  3. (ru) « Carte du centre scientifique et technique fédéral pour la géodésie, la cartographie et l'infrastructure des données spatiales », sur fsgs.cgkipd.ru (consulté le )
  4. a b et c Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 9.
  5. a b c d et e Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 8.
  6. a et b Gavrilov 2015, Localisation, nature.
  7. a b c et d Administration de Belokourikha 2023, p. 4.
  8. a et b Administration de Belokourikha 2023, p. 3.
  9. Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 10.
  10. Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 8-9.
  11. Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 14.
  12. Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 15.
  13. a et b Administration de Belokourikha 2023, p. 22.
  14. a et b Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 16.
  15. a b et c Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 7.
  16. a b c d e f et g Gavrilov 2015, Histoire.
  17. (ru) « Белокуриха - история города-курорта », sur Курорт Белокуриха (consulté le )
  18. (en) V.А. Lamine et al., Cultural heritage in Asian countries: from theory to practice : The collective monograph, Pavlodar, О.N. Truevtseva, Vieregg H. K., Pavlodar State Pedagogical Institute,‎ , 227 p. (lire en ligne), p. 45
  19. (en) Fonds mondial pour la nature, Altai-Sayan Ecoregion Conservation Strategy, , 100 p. (lire en ligne), p. 10
  20. Administration de Belokourikha 2023, p. 14.
  21. a et b (ru) « Базаров Константин Исламджанович », sur Единая Россия (consulté le )
  22. (ru) Commission électorale centrale de la fédération de Russie, « Tableau récapitulatif des résultats des votes : Élections du Président de la fédération de Russie : Date du vote : 04/03/2012 », sur web.archive.org, (consulté le ).
  23. (ru) Commission électorale centrale de la fédération de Russie, « Tableau sommaire des résultats des élections pour la circonscription électorale fédérale : Élections des députés à la Douma d'État de l'Assemblée fédérale de la fédération de Russie de la septième législature » [« Date de vote : 18/09/2016 »]
  24. (ru) Commission électorale centrale de la fédération de Russie, « Tableau récapitulatif des résultats des élections : Élections du Président de la fédération de Russie : Date de vote : 18/03/2018 », sur web.archive.org, (consulté le )
  25. (ru) Commission électorale centrale de la fédération de Russie, « Élections des députés à la Douma d'État de l'Assemblée fédérale de la fédération de Russie de la huitième législature : Date de vote : 19/09/2021 », sur web.archive.org, (consulté le )
  26. Administration de Belokourikha 2023, p. 2.
  27. (ru) « Le premier recensement général de la population de l'Empire russe en 1897 . La population réelle dans les provinces, les raïons, les villes de l'Empire russe (sans la Finlande) », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement de la population de toute l'Union de 1926. Population des territoires, ASSR, provinces et raïons de la RSFSR selon l'état matrimonial, le sexe et l'âge », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement de la population de toute l'Union de 1959 - La population réelle des villes et autres agglomérations, districts, centres régionaux et grandes agglomérations rurales au 15 janvier 1959 dans les républiques, territoires et régions de la RSFSR », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement de la population de toute l'Union de 1970 - La population réelle des villes et autres agglomérations, districts, centres régionaux et grandes agglomérations rurales au 15 janvier 1970 dans les républiques, territoires et régions de la RSFSR * », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement de la population de toute l'Union de 1979 - La population réelle des villes et autres agglomérations, districts, centres régionaux et grandes agglomérations rurales au 15 janvier 1979 dans les républiques, territoires et régions de la RSFSR * », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement de la population de toute l'Union de 1989 Population de l'URSS, de la RSFSR et de ses unités territoriales par sexe », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement panrusse de la population 2002 Population de la Russie et de ses unités territoriales par sexe », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) « Recensement panrusse de la population 2010 Population de la Russie et de ses unités territoriales par sexe », sur demoscope.ru (consulté le )(ru) Tableau 5. Population de la Russie, districts fédéraux, entités constitutives de la fédération de Russie, districts urbains, districts municipaux, districts municipaux, agglomérations urbaines et rurales, agglomérations urbaines, agglomérations rurales de 3 000 habitants ou plus. Résultats du recensement panrusse de la population 2020-2021 (lire en ligne [xlsx]).
  28. (ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur web.archive.org(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population résidente par municipalité de la fédération de Russie au  » [rar], sur rosstat.gov.ru(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population permanente de la fédération de Russie par municipalités au (en tenant compte des résultats du recensement panrusse de la population de 2020) » (consulté le )(ru) Service fédéral des statistiques de l'État russe, « Population permanente de la fédération de Russie par municipalités au (en tenant compte des résultats du recensement panrusse de la population de 2020) » (consulté le )
  29. Administration de Belokourikha 2023, p. 23.
  30. Administration de Belokourikha 2023, p. 15.
  31. Administration de Belokourikha 2023, p. 8.
  32. a et b Administration de Belokourikha 2023, p. 9.
  33. a b et c Administration de Belokourikha 2023, p. 16.
  34. Administration de Belokourikha 2023, p. 14-15.
  35. Dolnakov, Anissiforov et Galkine 2008, p. 21.
  36. Administration de Belokourikha 2023, p. 10.
  37. (ru) Département de protection des objets du patrimoine culturel du kraï de l'Altaï, Список объектов культурного наследия (памятников истории и культуры) расположенных на территории Алтайского края [« Liste des objets du patrimoine culturel (monuments historiques et culturels) situés sur le territoire du kraï de l'Altaï »], 110 p. (présentation en ligne, lire en ligne [PDF]), p. 28-29
  38. « О курорте Белокуриха », sur www.sanrussia.ru (consulté le )

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (ru) Dolnakov, P.I. Anissiforov et A.K. Galkine (Client : Administration de Belokourikha, kraï de l'Altaï), Plan général de Belokourikha, kraï de l'Altaï, vol. II : Matériel de justification du projet de plan directeur, Novossibirsk, ZAPSIBNIPROEKT, , 131 p. (lire en ligne)
  • (ru) Administration de Belokourikha, Passeport d'investissement de la municipalité de la station balnéaire de Belokourikha, kraï de l'Altaï, Belokourikha, (présentation en ligne, lire en ligne [docx])
  • (ru) Ievgueni Gavrilov, « Белокуриха » [« Belokourikha »], vtourism,‎ (lire en ligne)

Liens externes[modifier | modifier le code]

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