Bardenac

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Bardenac
Bardenac
Habitat traditionnel.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Dany Poirier
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16029
Démographie
Gentilé Bardenacais
Population
municipale
221 hab. (2021 en diminution de 4,33 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 18′ 06″ nord, 0° 00′ 49″ ouest
Altitude Min. 61 m
Max. 162 m
Superficie 8,04 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bardenac
Géolocalisation sur la carte : France
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Bardenac
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Bardenac
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Bardenac

Bardenac est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Bardenacais et les Bardenacaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Bardenac est une commune du Sud-Charente située entre Brossac et Chalais.

Elle est à 5 km au nord-ouest de Chalais et 4 km au sud-est de Brossac. Elle est aussi à 22 km de Barbezieux, 7 km de Montboyer, 16 km de Montmoreau et 42 km d'Angoulême[2].

La commune est traversée du sud-est au nord-ouest par la D 731, route de Chalais à Brossac, Barbezieux, Archiac et Cognac, que le bourg surplombe. La commune est aussi traversée par la D 89, petite départementale de Montboyer à Saint-Vallier et qui passe au bourg[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune compte de nombreux hameaux et fermes. Il n'y a pas de hameau particulièrement important. On peut citer : le Haut et le Bas Bousson au nord-est, chez Vrignaud au pied du bourg, chez le Fourrier, chez Barret à l'ouest, la Motte à Coyron au sud-est, la Moulinasse au nord, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Bardenac
Brossac Brie-sous-Chalais
Saint-Vallier Bardenac Curac
Yviers

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune, comme son bourg, est partagée entre les coteaux calcaires crayeux du Campanien (Crétacé supérieur) sur sa moitié nord-est, et les terrains composés de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôts datant du Tertiaire, de la forêt de la Double saintongeaise pour sa partie sud-ouest[4],[5],[6].

Le terrain communal est plus élevé à l'ouest dans ces sols pauvres et argileux qui sont boisés, et une cuesta faisant face au nord-est et qui est celle du bourg de Brossac fait la séparation de la forêt et de la champagne. La Motte à Coyron est une butte-témoin de cette côte.

Le point culminant de la commune est à une altitude de 162 m, situé dans la forêt à l'ouest du bourg au sud de Bel-Air. Le point le plus bas est à 61 m, situé à la limite orientale de la commune le long de la Viveronne. Le bourg, construit sur un promontoire, est à 130 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Argentonne, la Viveronne, la Laine, la Vauzelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Au sud du bourg, l'Argentonne prend sa source dans la commune et descend au sud vers Yviers. D'une longueur totale de 4 km, et se jette dans la Tude à Médillac, après avoir traversé 5 communes[9].

La Viveronne limite la commune au nord. D'une longueur totale de 11,5 km, elle prend sa source dans la commune de Brossac et se jette dans la Tude à Chalais, après avoir traversé 5 communes[10].

À l'extrémité occidentale de la commune, naissent de petits ruisseaux intermittents descendant vers la Poussonne, affluent du Palais qui se jette dans le Lary. Le ruisseau de la Vauzelle, affluent de la Viveronne, borde la commune au nord-ouest[3].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[11]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne[7] qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [12].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bardenac est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (72,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,1 %), zones agricoles hétérogènes (30,3 %), forêts (21,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bardenac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par ruissellement et coulée de boue, notamment la Viveronne et l'Argentonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999 et 2009[21],[19].

Bardenac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[22]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[22],[23],[24].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bardenac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 78,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 141 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 131 sont en aléa moyen ou fort, soit 93 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme a peu évolué puisqu'une forme ancienne est Bardenac en 1302[28], et de Bardenaco (non daté)[29].

L'origine du nom de Bardenac remonterait à un personnage gallo-romain Bardinus ou Bardannus, lui-même dérivé du gaulois Bardos, auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Bardinacum, ou « domaine de Bardinus »[30],[31]. Ce serait aussi un nom d'homme franc, d'où dérive Bardinus ou Bardenus[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Quelques vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur le territoire communal, et encadrent une voie ancienne reliant Brossac et Chalais, supposée voie romaine entre Saintes et Cahors et se confondant avec la route actuelle[33],[34].

La motte castrale de Coyron, au bord de la route de Chalais, appartenait en 1302 aux seigneurs de Barbezieux, et relevait de la châtellenie de Chalais, possession de l'archevêque de Bordeaux. La châtellenie s'étendait sur toutes ou partie des six paroisses de Bardenac, Brossac, Châtignac, Saint-Cyprien (dans l'actuelle commune de Châtignac), Sainte-Souline et Saint-Vallier.

En 1347, le château (fortalicium) est repris par les Anglais, et, la même année, le roi de France Philippe VI de Valois le promet à Henri de Barbezieux « comme un sien chasteau, appelé Coyron, lequel est en Xaintonge, et aux frontières de nos ennemis, où estait capitaine Pierre Arnaud, de Broussac et emprès ait esté pris par traïson par Guillaume de Guellande, chevalier, lequel l'aurait occupé depuis. »

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, le fief de Coyron était possédé pour les trois cinquièmes par les seigneurs de Saint-Vallier, les du Verdier. Ils le tenaient à foi et hommage lige du marquis de Barbezieux, sous le devoir « d'un épervier sor garny de sonnettes et de gants », c'est-à-dire d'un jeune épervier muni de ses accessoires de chasse.

La petite seigneurie de Masperier appartenait, avant la Révolution, à des familles du parlement de Bordeaux[35].

Bardenac absorbe Brie-sous-Chalais en 1973 et devient Brie-Bardenac, mais la recède en 1993[36].

Administration[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1981 2008 André Jouannet    
2008 2014 Alain Vallet DVG Retraité EDF
2014 En cours Dany Poirier    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[38].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 3], en diminution de 4,33 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
402269330463468464510477450
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
461447443436409386408367336
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
353364340314286297292270238
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
232405362367238232229253231
2020 2021 - - - - - - -
225221-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 23,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,9 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 113 hommes pour 114 femmes, soit un taux de 50,22 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,59 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,8 
8,0 
75-89 ans
12,4 
26,8 
60-74 ans
15,9 
31,2 
45-59 ans
31,0 
10,7 
30-44 ans
14,2 
8,9 
15-29 ans
14,2 
13,4 
0-14 ans
10,6 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Remarques[modifier | modifier le code]

Bardenac absorbe Brie-sous-Chalais en 1973, qu'il recède en 1993[36].

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[42].

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Gîte rural
  • Restaurant.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

École de Bardenac.

L'école est un regroupement pédagogique intercommunal entre Bardenac et Yviers. Yviers accueille l'école primaire, et Bardenac l'école élémentaire[43].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Saturnin[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Saturnin[44],[45] (ou Saint-Germain selon la source[46]) était à son origine, au XIe siècle le siège commun d'une cure et d'un prieuré dont on ne connaît pas l'abbaye d'affiliation. Probablement à la suite des destructions des guerres de Religion, la voûte a été refaite au XVe siècle. Mais menaçant ruine au XIXe siècle, l'église a été démolie et entièrement refaite sur ses bases, avec un clocher-porche. L'édifice fut consacré en 1897[46].

L'église possède une cloche en bronze datée 1537 et classée monument historique au titre objet depuis 1943[44]. Elle a été restaurée et bénie en 2011. Elle aurait été fondue en 1537 par des ouvriers du Doubs, compagnons du tour de France. La cloche, en bronze airain (78 % de cuivre et 22 % d'étain), pèse 280 kilos. Pour la restauration, le maire de la commune Alain Vallet a fait appel à l'entreprise Bodet près de Tours. Des inscriptions découvertes ont été traduites du vieux français : « Je fus fait, damoiselle Cheminie, dame de Coyron de Grange et Borde. Fabriqueur M. Poupeau me fit. »[47].

Motte à Coyron[modifier | modifier le code]

La motte, quoique entamée par la construction d'une ferme, est bien conservée. De plan ovale, cernée de fossés, elle est probablement associée à un souterrain d'une part et à une basse-cour d'autre part[48].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Bardenac » sur Géoportail (consulté le 20 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. a et b « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Bardenac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. Sandre, « l'Argentonne »
  10. Sandre, « la Viveronne »
  11. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  12. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur eau-grandsudouest.fr (consulté le ).
  13. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bardenac », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  25. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  26. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Bardenac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  28. Archives historiques de la Saintonge et de l'Aunis, Cartulaire du prieuré Notre-Dame de Barbezieux (1201-1300), , 426 p. (lire en ligne)
  29. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. III, Angoulême, imprimerie Despujols, , 582 p., p. 393
  30. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 53.
  31. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  32. Foerstemann, Altdeutsches Namenbuch, Berlin, 1856, p.214 in Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  33. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 103
  34. Joseph Piveteau, Bulletins et mémoires, Société archéologique et historique de la Charente, Constantin, (lire en ligne), p. 41-42
  35. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 73.
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  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bardenac (16029) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  42. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  43. Site de l'inspection académique de la Charente
  44. a et b « Cloche en bronze », notice no PM16000101, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  45. « Clocher d'une église de France - Bardenac », sur clochers.org, (consulté le ).
  46. a et b Christian Gillet, Églises et chapelles de la Charente, imprimé à Rioux-Martin, Le vent se lève, , 387 p. (ISBN 978-2-7466-7404-2), p. 62-63.
  47. Journal La Charente libre, « La cloche de Bardenac est de retour », (consulté le ).
  48. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 323.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]