Yviers

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Yviers
Yviers
L'église Notre-Dame d'Yviers.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Vincent Guglielmini
2020-2026
Code postal 16210
Code commune 16424
Démographie
Gentilé Yviérois
Population
municipale
535 hab. (2021 en augmentation de 5,52 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 16′ 33″ nord, 0° 00′ 13″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 147 m
Superficie 22,56 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Yviers

Yviers est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Yviérois et les Yviéroises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Yviers est une commune du Sud Charente limitrophe de la Charente-Maritime et proche du département de la Dordogne, située à 3,5 km à l'ouest de Chalais et 44 km au sud d'Angoulême.

Le bourg d'Yviers est aussi à 7 km au sud-est de Brossac, 16 km au nord-est de Montguyon, 25 km au sud-est de Barbezieux, 27 km à l'ouest de Ribérac et 66 km au nord-est de Bordeaux[2].

Il n'est qu'à 3 km de la D 674, route d'Angoulême à Libourne qui passe à Chalais. La D 731, route de Chalais à Barbezieux et Cognac, passe en limite nord-est de la commune.

Le bourg est desservi par la D 134, qui traverse la commune d'est en ouest et va à Chalais. La D 20, route qui va de Chalais à Rioux-Martin et Boscamnant, passe en limite sud de commune. La D 191 passe en limite ouest de la commune, dans la forêt, et va de Brossac à Mélac près de Sauvignac[3].

La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

L'habitat est assez dispersé, et de nombreuses fermes et hameaux sont disséminés sur la commune, principalement au pied de la forêt à l'ouest du bourg.

Parmi les hameaux les plus importants, on peut citer chez Parlant au sud, les Gorces et les Foucaudes au nord[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Commune d'une grande superficie, sa moitié occidentale est occupée par la forêt de la Double, composée principalement de pins maritimes. La moitié orientale est cultivée, principalement des céréales. Ces zones correspondent à des zones géologiques bien définies : calcaire crayeux du Campanien (Crétacé supérieur) à l'est, et à l'ouest, terrain accidenté composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôts datant du Tertiaire[4],[5],[6].

Le bourg est à 60 m d'altitude, et le point culminant se trouve dans les hauteurs à l'ouest dans la forêt, chez Finet (147 m). Le point le plus bas est à 48 m, situé en limite sud le long de l'Argentonne près du Moulin de la Motte[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Yviers.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Argentonne, la Laine, le ruisseau de la Tannerie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Yviers est traversé du nord au sud par l'Argentonne, petit ruisseau qui descend de Bardenac, passe au bourg et se jette dans la Tude après avoir traversé Rioux-Martin et longé Chalais.

L'Argentonne reçoit de nombreux petits affluents sur sa rive droite, qui descendent de la forêt au sol argileux, comme le ruisseau de la Tannerie ou la Gourdine, ainsi qu'un petit affluent qui se jette au bourg.

À l'extrémité occidentale de la commune, naissent de petits ruisseaux intermittents descendant vers la Poussonne, affluent du Palais qui se jette dans le Lary. Le ruisseau de la Laine fait la limite nord-ouest.

Il y a aussi quelques petits étangs dans la forêt, et des sources comme le Font Rouil au nord, la Fontaine de l'Aiguillon, ...)[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Yviers est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), terres arables (22,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones urbanisées (1,3 %), prairies (0,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Yviers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Yviers est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[19]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[19],[20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Yviers.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 294 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 215 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1999, 2009 et 2012. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Iverio en 1083-1098, Vier en 1109, Yverio en 1100[25].

Selon Talbert, l'origine du nom d'Yviers remonterait à un nom de personne gallo-romain Iberius, dérivant du nom du peuple des Ibères, ce qui correspondrait à Iberius [fundus], « domaine d'Ibérius »[26]. A.Dauzat, quant à lui, préfère une origine germanique de ce nom : Ew-hari[27].

Le "s" final a été ajouté plus tardivement, probablement bien après la guerre de Cent Ans lors de la francisation du nom.

La commune a été créée Yviers en 1793 du nom de la paroisse[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges antiques témoignent d'une ancienneté de l'occupation, en particulier des objets de l'époque romaine (céramique sigillée, tegulae, colonne de marbre, pointes d'amphores), à la combe de Saint-Front en dessous de Chez Camus, et aux Justices, autour du bourg, indiquant de probables emplacements de villas[29]. Dans un puits fouillé en 1872, on a aussi retrouvé 17 urnes rangées debout, au milieu de faïence plus grossière et fragments de tegulae[30].

Au Moyen Âge, le diocèse de la paroisse d'Yviers était celui de Saintes, la Tude faisant la limite avec celui de Périgueux.

Le logis de la Tour était le siège de la principale seigneurie de la paroisse. Au XVIe siècle, elle avait été acquises des Talleyrand par Bertrand de La Tour. En 1590, le fils de Bertrand, François, épousa la fille unique de Montaigne. De ce mariage vint une fille, aussi unique, qui porta en dot La Tour d'Yviers à son époux, Honoré de Lur-Saluces, comte d'Uza et vicomte d'Aureilhan, dans les Landes[Note 3], gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi et gouverneur de Bayonne. Plus tard, la seigneurie de la Tour fut rachetée par les Talleyrand et réunie à leur château de Chalais.

Dans la même paroisse, le logis de Fougerat appartenait à la famille de Brémond d'Ars[30].

La commune comportait aussi de nombreux moulins à eau, comme ceux de Touche Corde et de la Motte, et un moulin à vent (moulin de Vigent, point géodésique)[3].

Aux XIXe et XXe siècles, Yviers fournissait de la marne en grande quantité pour amender les terrains acides de la Double.

Pendant la première moitié du XXe siècle, une partie de la commune était traversée par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Barbezieux à Chalais par Brossac appelée le Petit Mairat[30].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 2001 2020 Jean-Claude Lafaye SE Retraité de l'agriculture
2020 En cours JVincent Guglielmini    

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 535 habitants[Note 4], en augmentation de 5,52 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0317358491 2071 0511 1541 1821 1561 138
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 1751 1451 030984956979892888811
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
826787692660608618548530493
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
428415516503468487491516507
2020 2021 - - - - - - -
533535-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 261 hommes pour 257 femmes, soit un taux de 50,39 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,9 
10,1 
75-89 ans
10,6 
21,6 
60-74 ans
23,8 
22,0 
45-59 ans
21,1 
17,6 
30-44 ans
15,1 
12,7 
15-29 ans
14,4 
15,6 
0-14 ans
13,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[36].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école publique est un RPI entre Bardenac et Yviers. Yviers accueille l'école primaire, et Bardenac l'école élémentaire. L'école communale possède une classe de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Chalais[37].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

Le clocher.

L'église paroissiale Notre-Dame est romane et date du XIIe siècle, mais seule en reste la muraille nord car elle a été remaniée au XIVe siècle. Cependant elle a gardé son aspect monumental et son portail est orné de fines sculptures Renaissance[30].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Le logis de la Tour, ou la Tour d'Yviers, est une demeure imposante située à l'ouest du bourg. Elle a appartenu aux Talleyrand-Périgord, mais aussi à Bertrand de La Tour au XVIe siècle, date de sa reconstruction[30].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Martin-Buchey indique par erreur «  Honoré de Lur, vicomte d'Ozillan ».
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Yviers » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Soixante carats », Sud Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale d'Yviers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune d'Yviers », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Yviers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 85,86,104
  26. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 737.
  28. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  29. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 105
  30. a b c d et e Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 416
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Yviers (16424) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  37. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • Catillus Carol, « Yviers », (consulté le )