Puyvalador

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Puyvalador
Puyvalador
Vue du bourg et du lac de Puyvalador
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées catalanes
Maire
Mandat
Daniel Marin
2020-2026
Code postal 66210
Code commune 66154
Démographie
Gentilé Puyvaladorois
Population
municipale
59 hab. (2021 en diminution de 21,33 % par rapport à 2015)
Densité hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 38′ 50″ nord, 2° 07′ 14″ est
Altitude Min. 1 351 m
Max. 2 363 m
Superficie 19,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Puyvalador
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Puyvalador
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Puyvalador
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Puyvalador

Puyvalador Écouter (catalan: Puigbalador) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Orientales en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Puyvaladorois et Puyvaladoroises.

Géographie

Localisation

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2. carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune de Puyvalador se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 64 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 25 km de Prades[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Réal (2,1 km), Fontrabiouse (2,2 km), Formiguères (3,8 km), Quérigut (6,1 km), Sansa (6,6 km), Matemale (6,6 km), Carcanières (7,6 km), Le Puch (8,2 km).

Sur le plan historique et culturel, Puyvalador fait partie de la région du Capcir, un haut plateau situé à plus de 1 400 m d'altitude, constitué d'une ancienne cuvette glaciaire resserrée entre les massifs granitiques du Carlit et du Madrès[4].

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[6].

Hydrographie

Le territoire de la commune abrite une partie d'un lac artificiel de 90 ha, le lac de Puyvalador, formé par une retenue de l'Aude et son affluent le Galbe grâce à un barrage hydroélectrique construit en 1932[réf. nécessaire].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[7]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[8].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[7].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 7,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 9,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 1,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,9 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 692 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 7,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,6 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[10] complétée par des études régionales[11] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Olette », sur la commune d'Olette, mise en service en 1983[12] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[13],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,4 °C et la hauteur de précipitations de 571,7 mm pour la période 1981-2010[14]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 64 km[15], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[16], à 15,7 °C pour 1981-2010[17], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[18].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[19],[20].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[21],[22].

Réseau Natura 2000

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 5]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la directive habitats[24] :

et deux au titre de la directive oiseaux[24]

  • le « massif du Madres-Coronat », d'une superficie de 21 396 ha, présente un fort intérêt écologique pour 17 espèces inscrites à l'annexe I de la directive oiseaux, dont le Gypaète barbu[28] ;
  • « Capcir, Carlit et Campcardos », d'une superficie de 39 760 ha, recèle une grande diversité d'habitats naturels se traduiant par un patrimoine ornithologique remarquable puisque le site accueille la plupart des espèces caractéristiques des zones de montagne, que ce soit parmi les rapaces (Gypaète barbu, Circaète Jean-le-Blanc, aigle royal, Faucon pèlerin), les galliformes (Lagopède, grand Tétras) ou les espèces forestières (Pic noir) et de milieux plus ouverts.[29].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 6] sont recensées sur la commune[30] :

  • les « montagnes et vallées du Donezan centre et ouest » (8 618 ha), couvrant 12 communes dont sept dans l'Ariège, trois dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[31] ;
  • le « plateau de Quérigut, gorges de l'Aude et forêt du Carcanet » (3 215 ha), couvrant 7 communes dont cinq dans l'Ariège, une dans l'Aude et une dans les Pyrénées-Orientales[32] ;
  • les « prairies de Pinata » (69 ha), couvrant 2 communes du département[33] ;
  • le « val de Galbe » (1 950 ha), couvrant 3 communes du département[34] ;

et quatre ZNIEFF de type 2[Note 7],[30] :

  • les « Capcir » (3 227 ha), couvrant 6 communes du département[35] ;
  • la « forêt de pins à crochets de la périphérie du Capcir » (13 788 ha), couvrant 12 communes du département[36] ;
  • le « massif de Quérigut et forêt du Carcanet (Donezan) » (12 107 ha), couvrant 16 communes dont neuf dans l'Ariège, cinq dans l'Aude et deux dans les Pyrénées-Orientales[37];
  • le « massif du Madres » (8 031 ha), couvrant 10 communes dont quatre dans l'Aude et six dans les Pyrénées-Orientales[38].

Urbanisme

Typologie

Puyvalador est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8],[39],[I 2],[40]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (31,8 %), zones agricoles hétérogènes (4 %), prairies (3,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,8 %), eaux continentales[Note 9] (0,7 %)[41].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Hameaux et lieux-dits

Le principal hameau de la commune est Rieutort qui a une mairie annexe. On le rencontre en montant à la station de ski, situé au fond du vallon du riu tort.

Voies de communication et transports

Les lignes 561 (Puyvalador - Gare de Perpignan) et 562 (Puyvalador - Latour-de-Carol) du réseau régional liO desservent la commune.

Toponymie

En catalan, le nom de la commune est Puigbalador[42].

Histoire

La station de Puyvalador a ouvert ses remontées mécaniques en 1983[43]. Par suite de problème d'argent, elle n'ouvre pas en 2017-2018 et son avenir est incertain[44].

La commune adhère à la Communauté de communes Capcir Haut-Conflent par arrêté préfectoral du [45].

Politique et administration

Canton

En 1790, la commune de Puyvalador est intégrée dans le canton de Formiguères. Celui-ci est dissous en 1801 et Puyvalador est alors rattachée au canton de Mont-Louis, dont elle fait partie jusqu'en 2015[46],[47].

À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1981 ? Joseph Rous    
mars 2001 mars 2008 Pierre Féron    
mars 2008 juillet 2011 Julien Sabarthes[48]    
juillet 2011 mars 2014 Gérard Andrillo    
mars 2014 En cours Rolland Gil[49]    

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1355 1359 1365 1378 1424 1515 1553 1709 1720
83 f80 f83 f22 f40 f16 f17 f38 f31 f
1767 1774 1788 1789 - - - - -
465 H44 f410 H108 f-----
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Notes :

  • 1378 : dont 9 f pour Rieutord ;
  • 1515 : dont 4 f pour Rieutord ;
  • 1553 : pour Puyvalador et Rieutord, Odeillo de Capcir et Villeneuve de Capcir ;
  • 1774 : Puyvalador, annexe de Fontrabiutre ;
  • 1789 : Puyvalador et la Châtellenie.

Démographie contemporaine

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[51].

En 2021, la commune comptait 59 habitants[Note 10], en diminution de 21,33 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
545546553554532489481482481
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
476461460438433340329331306
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
348311279234247255149144133
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
81626310882101939873
2014 2019 2021 - - - - - -
736359------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[53] 1975[53] 1982[53] 1990[53] 1999[53] 2006[54] 2009[55] 2013[56]
Rang de la commune dans le département 201 163 159 180 171 181 192 193
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête patronale et communale : 24 et [57].

Santé

Sports

Économie

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 9,8 % 15,2 % 11,4 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 47 personnes, parmi lesquelles on compte 88,6 % d'actifs (77,3 % ayant un emploi et 11,4 % de chômeurs) et 11,4 % d'inactifs[Note 11],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 40 en 2013 et 50 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 37, soit un indicateur de concentration d'emploi de 56,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 71,4 %[I 9].

Sur ces 37 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 4 travaillent dans la commune, soit 11 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 88,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 11,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 11].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

8 établissements[Note 12] sont implantés à Puyvalador au [I 12]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Puyvalador), contre 13,9 % au niveau départemental[I 13].

Entreprises et commerces

Revenus de la population et fiscalité

En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 19 753 [I 14].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 3 6 1 2
SAU[Note 13] (ha) 133 75 4 76

La commune est dans le Capcir, une petite région agricole située à l'extrême ouest du département des Pyrénées-Orientales[58]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 3]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 15] (trois en 1988). La superficie agricole utilisée est de 76 ha[60],[Carte 4],[Carte 5].

Emploi

Entreprises et commerces

Petite station de ski des Pyrénées de la haute vallée de l'Aude : voir Station de Puyvalador.

Église Saint-Martin de Riutort

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Église Saint-Jean-Baptiste
Église Saint-Jean-Baptiste de Puyvalador

L'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est située au bourg. Elle abrite une statue en bois polychrome du XIVe siècle d'une Vierge à l'Enfant, qui est classée monument historique au titre objet depuis 2000[61].

Église Saint-Martin de Riutort
Statue-menhir de Caramat

En 1992 une pierre gravée, d'abord interprétée comme statue-menhir, a été découverte enfouie dans un champ au lieu-dit Caramat.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[9].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].
  6. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  7. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[59].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Métadonnées de la commune de Puyvalador » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Puyvalador » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Puyvalador » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Puyvalador » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  14. « Fichier RFDM2010COM : Revenus fiscaux localisés des ménages - Année 2010 », sur le site de l'Insee (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Puyvalador et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Puyvalador et Prades », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Puyvalador », sur www.villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 183-184.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Plan séisme » (consulté le ).
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  9. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  10. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  11. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  12. « Station Météo-France Olette - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Orthodromie entre Puyvalador et Olette », sur fr.distance.to (consulté le ).
  14. « Station Météo-France Olette - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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