Pégairolles-de-Buèges

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Pégairolles-de-Buèges
Pégairolles-de-Buèges
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Grand Pic Saint-Loup
Maire
Mandat
Georges Capus
2020-2026
Code postal 34380
Code commune 34195
Démographie
Gentilé Pégach(e)
Population
municipale
56 hab. (2021 en augmentation de 36,59 % par rapport à 2015)
Densité 4,2 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 23″ nord, 3° 35′ 15″ est
Altitude Min. 160 m
Max. 780 m
Superficie 13,35 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site officiel

Pégairolles-de-Buèges (en occitan Pegairòlas de Buòja) est une commune française située dans le nord du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Buèges, le ruisseau du Pontel et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (les « gorges de l'Hérault » et les « hautes garrigues du Montpelliérais ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique. Ses habitants sont appelés les Pégachs.

Pégairolles-de-Buèges est une commune rurale qui compte 56 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 266 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier.

Géographie[modifier | modifier le code]

Carte de Pégairolles-de-Buèges.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 207 mm, avec 7,3 jours de précipitations en janvier et 2,9 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 302,2 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[8] :

  • les « gorges de l'Hérault », d'une superficie de 21 736 ha, entaillent un massif calcaire vierge de grandes infrastructures dont les habitats forestiers (forêt de Pins de Salzman et chênaie verte) et rupicoles sont bien conservés. La pinède de Pins de Salzmann de Saint-Guilhem-le-Désert est une souche pure et classée comme porte-graines par les services forestiers. Il s'agit d'une forêt développée sur des roches dolomitiques[9]

et un au titre de la directive oiseaux[8] :

  • les « hautes garrigues du Montpelliérais », d'une superficie de 45 444 ha, abritant trois couples d'Aigles de Bonelli, soit 30 % des effectifs régionaux[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[11] : le « massif du Roc de la Vigne et plaine de Lacan » (1 314 ha), couvrant 3 communes du département[12] et la « rivière de la Buèges de la source à Saint-Jean-de-Buèges » (18 ha), couvrant 2 communes du département[13] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[11] :

  • le « causse et contreforts du Larzac et montagne de la Séranne » (44 035 ha), couvrant 33 communes dont une dans l'Aveyron, deux dans le Gard et 30 dans l'Hérault[14] ;
  • le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » (21 342 ha), couvrant 17 communes du département[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pégairolles-de-Buèges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[16],[I 1],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (97,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (18,5 %), cultures permanentes (2,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Pégairolles-de-Buèges est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Buèges. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1995[21],[19].

Pégairolles-de-Buèges est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 6],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pégairolles-de-Buèges.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[23]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 26,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 80 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 32 sont en aléa moyen ou fort, soit 40 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[25].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Pégairolles-de-Buèges est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[26].

Spéléologie : Réseau de la Buèges souterraine[modifier | modifier le code]

Le village de Pégairolles-de-Buège appartient à une région karstique, englobant le massif de la Seranne et des Monts de Saint-Guilhem, présentant de nombreuses cavités dont un inventaire a été réalisé par de GERSAM (Groupe d'études et de recherches spéléologiques et archéologiques de Montpellier).

Parmi les phénomènes karstiques remarquable, le territoire de la commune abrite l'exsurgence de la Buèges, qui représente la convergence d'un des systèmes souterrains hydrokarstiques les plus importants du sud-Larzac. Une étroiture immergée fut forcée dans les années 1970 par les équipes de plongeurs du GERSAM renforcées par un groupe de Marseille. Dans les années 1980 la profondeur de −126 m fut atteinte avec des perspectives de continuation.

En amont de la source, en 1983, Gilles Barrau du GERSAM découvre le trou souffleur de la Leicasse[27], possédant notamment un grand puits de 100 m de profondeur. Les premières explorations de cette cavité difficile contribuèrent à faire entrer le GERSAM dans la spéléologie moderne, utilisant des techniques alpines avec notamment des cordes semi-statiques de diamètre 8 mm.

À l'heure actuelle (2013), la progression dans l'aven de la Leicasse continue. Elle a déjà livré plus de 15 km de développement pour une profondeur de −356 m, avec trois rivières souterraines. La coloration de l'une d'elles est ressortie à la source de la Buèges[28],[Note 7].

Une partie de ce réseau souterrain se développe sous le territoire de la commune voisine de Saint-Maurice-Navacelles.

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune a été connue sous les variantes : castri de Pegayrolis (1284), castri de Pegairolis de Bueja (1284), Peguerolles (1526), etc.

Le nom Pégairolles dérive de l'occitan pegairòla = sol argileux[29].

Histoire[modifier | modifier le code]

Plan cadastral de la commune (1829)

ancienne Baronnie de Pegairolles de Bueges

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1947 mars 1977 Moïse Rouvière (5 mandats successifs)  
mars 1977 mars 2001 Jean-Louis Marines DVG (4 mandats successifs) Président du SIVOM de Saint-Martin-de-Londres au dernier mandat, maire honoraire en 2013
mars 2001 mars 2008 Michel Flye Sainte-Marie    
mars 2008 2014 Alain Plantier    
mars 2014 En cours Georges Capus SE Retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[31].

En 2021, la commune comptait 56 habitants[Note 8], en augmentation de 36,59 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
145146174201233226240247266
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
238223208184194215204214207
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1721601341099092977255
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
333332504254504940
2018 2021 - - - - - - -
5556-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 4] 12 % 12,5 % 13,8 %
Département[I 5] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 6] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 29 personnes, parmi lesquelles on compte 82,8 % d'actifs (69 % ayant un emploi et 13,8 % de chômeurs) et 17,2 % d'inactifs[Note 9],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 7]. Elle compte 7 emplois en 2018, contre 7 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 20, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 49 %[I 8].

Sur ces 20 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 95 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 10].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

9 établissements[Note 10] sont implantés à Pégairolles-de-Buèges au [I 11]. Le secteur des autres activités de services est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 9 entreprises implantées à Pégairolles-de-Buèges), contre 8,1 % au niveau départemental[I 12].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 34 19 11 4
SAU[Note 11] (ha) 972 835 791 151

La commune est dans les Garrigues, une petite région agricole occupant une partie du centre et du nord-est du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 13] (34 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 151 ha[36],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église de Pégairolles-de-Buèges

Personnalités et événements liés à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[7].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  7. Les spéléologues suivants ont contribué aux explorations du réseau de la Buèges souterraine : MM. Barreau, Colomina, les frères Sferlazza, Chéry, Brun, les frères Borg, Meyer, Roux, les frères Puech, Paloc, Bourdel, Baldy, Michavila, Maistre, Sallot, Ferrier, Garcia, Martinez, Coupevent, Gea, Camus, Blum, Cateland, Laurès.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Pégairolles-de-Buèges » (consulté le ).
  5. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  7. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  8. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Pégairolles-de-Buèges » (consulté le ).
  9. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  10. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  11. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Pégairolles-de-Buèges » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Pégairolles-de-Buèges et La Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Vacquerie_sapc » (commune de La Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La Vacquerie_sapc » (commune de La Vacquerie-et-Saint-Martin-de-Castries) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  8. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Pégairolles-de-Buèges », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  10. « site Natura 2000 FR9112004 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  13. « ZNIEFF la « rivière de la Buèges de la source à Saint-Jean-de-Buèges » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  15. « ZNIEFF le « massif des gorges de l'Hérault et de la Buège » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. GERSAM, L'Aven de la Leicasse, autoédition, , 125 pages, (66 photos, 24 figures dont 10 planches topo pleine page + un grand plan et une grande coupe hors texte). (ISBN 978-2-9507232-0-8)
    Historique de la découverte, description, géomorphologie, avec en supplément : ethnographie ; vie d'Edmond Milhau, chevrier au Méjanel dont le nom a été associé à la plus grande salle du réseau par les explorateurs.
    .
  28. www.plongeesout.com Aven de la Leicasse.
  29. Frank R. Hamlin et abbé André Cabrol, Les noms de lieux du département de l'Hérault : Dictionnaire Topographique et Étymologique, , 415 p. (ISBN 2-904624-00-7, lire en ligne), p. 277
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
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  37. « Eglise paroissiale Saint-Jean L'Evangéliste », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Isabelle Bonnet et Viviane Lagadec, Inventaire du patrimoine bâti de la vallée de la Buèges : Saint Jean de Buèges, Saint André de Buèges, Pégairolles de Buèges, S.n., s.l., , 115 p.
  • Louis Cazalet et Jean-Louis Cazalet, Essai historique sur Saint-Jean-de-Buèges, la Causse-de-la-Selle, Pégairolles-de-Buèges et St-André-de-Buèges formant l'ancienne baronnie de Pégairolles, Montpellier, Imprimerie Firmin et Montane, , 39 p.
  • Sylvie L'hostis, « Les paissières et leurs moulins sur la Buèges », Les Moulins de l'Hérault, nos 26-29,‎ , p. 34-42
  • François Lambert, Les noms de lieux de la vallée de Buège : essai de microtoponymie sur les communes de Causse de la Celle, Pégairolles de Buège, Saint André de Buège, Saint Jean de Buège et quelques lieux à l'entour, Saint Jean de Buège, Trescòl, , 112 p.
  • Marylène Dupire . Le souffle de la Séranne : roman historique familial se déroulant au Méjanel, à Pégairolles de Buèges et Saint Jean de Buèges entre 1910 et 1951. Livre disponible sur Amazon : https://www.amazon.fr/SOUFFLE-SERANNE-Mme-Maryl%C3%A8ne-DUPIRE/dp/B0C9SHLYFM

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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