Dingé

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Dingé
Dingé
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Saint-Malo
Intercommunalité Communauté de communes Bretagne Romantique
Maire
Mandat
Annabelle Quentel
2022-2026
Code postal 35440
Code commune 35094
Démographie
Population
municipale
1 676 hab. (2021 en augmentation de 0,6 % par rapport à 2015en augmentation de 0,6 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 21′ 27″ nord, 1° 42′ 58″ ouest
Altitude Min. 54 m
Max. 108 m
Superficie 52,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Combourg
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dingé
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dingé
Géolocalisation sur la carte : Ille-et-Vilaine
Voir sur la carte topographique d'Ille-et-Vilaine
Dingé
Géolocalisation sur la carte : Bretagne
Voir sur la carte administrative de Bretagne
Dingé
Liens
Site web dinge.fr

Dingé est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 1 676 habitants[Note 1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune de Haute-Bretagne, Dingé est située entre Rennes et Saint-Malo, en Ille-et-Vilaine, à proximité de Combourg.

Carte de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 767 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Feins à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 816,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dingé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (69,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (42,2 %), forêts (28,3 %), terres arables (18,7 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), zones urbanisées (0,7 %), eaux continentales[Note 4] (0,2 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Dingiaco en 1080 et en 1122, Dingeum en 1146, Dinge en 1199 et 1453[14],[15].

Le nom est formé du gaulois din « eau »[source insuffisante][16], mais on ne voit pas comment analyser la mécoupe -giaco > -gé. En outre, *din « eau » est absent des dictionnaires de la langue gauloise.

Il s'agit d'un type toponymique gallo-roman en -(i)acum[17], comme le montrent d'ailleurs les formes anciennes latinisées de 1080 et de 1122 qu'Albert Dauzat ne connaissait pas. En effet, le suffixe -(i)acum a régulièrement abouti à la terminaison , caractéristique de plusieurs centaines de noms de lieux à l'ouest de la France. Alors qu'ailleurs au nord et au centre, la terminaison est plutôt -y.

Le premier élément Ding- représente pour le même Dauzat, l'anthroponyme latin Dimius, d'où un hypothétique *Dimiacum « propriété de Dimius ». Il rapproche en outre Dingé de Dingy en Savoie, bien qu'il n'en connaissait pas non plus les formes anciennes[17]. Cependant, certaines formes anciennes de Dingy (Dungiacus en 1227) sont effectivement proches de celles de Dingé. On interprète Dingy par *Tinciacum, toponyme basé sur le nom de personne latin Tincius[18], hypothèse également plus satisfaisante pour Dingé.

Histoire[modifier | modifier le code]

La population de la commune est favorable aux changements apportés par la Révolution française, surtout après la fin de la Terreur. La principale fête révolutionnaire est celle célébrant l’anniversaire de l’exécution de Louis XVI, accompagnée d’un serment de haine à la royauté et à l’anarchie, fêtée à partir de 1795[19]. La fondation de la Ire République est aussi fêtée tous les ans.

Durant la première guerre mondiale, le village perd 84 jeunes soldats au front[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Dingé appartient à l'arrondissement de Saint-Malo depuis 2017 et au canton de Combourg depuis le redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle faisait partie du canton de Hédé.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie depuis 1986 de la deuxième circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis 2017 par Laurence Maillart-Méhaignerie (RE). Auparavant, elle a successivement appartenu à la circonscription de Rennes (Second Empire), la 2e circonscription de Rennes (1876-1919), la 1re circonscription de Rennes (1928-1940) et la 1re circonscription (1958-1986).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis le , Dingé appartient à la communauté de communes Bretagne Romantique.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[21].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Michel François    
Les données manquantes sont à compléter.
Élu maire en 1912 ? Eugène Papail Républicain Propriétaire
Chevalier du Mérite agricole
décembre 1919[22] ? M. Bataille    

(démission)
Armand Chabot[23] RGR Marchand de bois, résistant[24]
Conseiller général du canton de Hédé (1945 → 1949)
av. 1949 apr. 1960 Émile Riollier Ind.G Menuisier
av. 1965 Constant Girouard    
1984
(démission)
André Arribard   Agriculteur retraité, maire honoraire (1989)
Chevalier du Mérite agricole
1984 [25] Jean-Yves Aoustin DVD Agriculteur
Suppléant du député Yvon Jacob (1993 → 1997)
Rémy Bourges[26]
(1947-2022)
PS Cadre supérieur retraité
1er vice-président de la CC Bretagne Romantique
[27] [28]
(démission)
Pierre Girouard   Agriculteur retraité
[29] [30]
(démission)
Patricia Bénis   Aide médico-psychologique, ancienne 1re adjointe
[31] En cours Annabelle Quentel   Commerciale, ancienne 1re adjointe

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[33].

En 2021, la commune comptait 1 676 habitants[Note 5], en augmentation de 0,6 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5381 6251 6471 7631 8271 8291 7571 9021 874
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9471 8922 0322 1082 2142 2492 3382 5112 513
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5142 5072 1081 8011 8101 7571 6531 7041 585
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 5121 4361 2591 2681 2651 3271 4721 4931 653
2017 2021 - - - - - - -
1 6361 676-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

La commune dispose de quelques commerces : une boulangerie-pâtisserie, une épicerie, une boucherie-traiteur et un bar-tabac-PMU[36].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ancienne motte féodale du Plessis aux Chats vraisemblablement située au lieu-dit la Butte d’Ille et appartenant à la famille Le Chat branche issue de la famille des seigneurs de Combourg et Dol[37].
  • Le château du Plessis-au-Chat (XVIIe siècle). Le premier château date du XIe siècle et est édifié par Haimon Cattus et son père Gimondus. En 1445, est mentionnée l'existence d'un château de bois. L'ancien manoir ou château du Plessis-au-Chat appartient d'abord à la famille Le Chat alias Bouttier ; puis successivement aux familles Plesguen : en 1445 et 1552, Pierre de Plesguen le possède en 1480 ; La Haye en est propriétaire en 1580 et en 1674 ; puis à nouveau la famille Bouttier — branche des seigneurs du Boishamon en 1678 ; Thierry en 1704 ; Fresne, seigneurs de Virel au XVIIIe siècle. Le manoir du Plessix-au-Chat tirait vraisemblablement son nom de la famille Le Chat, premier seigneurs et dont le nom fut changé pour Bouttier à l'époque de Thomas Le Chat surnommé Bouttier[38], puissante famille au XIIe siècle tant à Dingé qu'à Combourg. Les seigneurs du Plessix-au-Chat, qui devaient au seigneur de Combourg une paire de gants blancs à chaque Angevine, fondèrent la chapelle voisine de leur demeure et desservie en 1663 par Julien Mary[39].
  • Le manoir de Hanault ou de Hunault (XVe siècle). Propriété successive des familles Langan en 1441, Plesguen en 1540, de La Haye en 1580 et 1622, et enfin propriété de Julienne le Liepvre, veuve et donataire de Bertrand Bouttier, sieur du Boishamon.
  • Église paroissiale Saint-Symphorien, œuvre néo-romane de Jacques et Jules Mellet[40].
  • Marais des Petits-Vaux[41].

Activité et manifestations[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale 2021, légale en 2024.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Dingé et Feins », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Feins Sa » (commune de Feins) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. KEROFIS : base de données du service Patrimoine linguistique de l'Office public [1]
  15. « Étymologie et histoire de Dingé », infobretagne (consulté le ).
  16. François Falc'hun, Les noms de lieux celtiques, Volume 1, Page 80.[réf. non conforme].
  17. a et b Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 247a.
  18. Henry Suter, « Dingy-Saint-Clair », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
  19. Louis Dubreuil, « Fêtes révolutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
  20. « Monument à Dingé | Les monuments aux morts », sur monumentsmorts.univ-lille.fr (consulté le ).
  21. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  22. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
  23. « Les obsèques de M. Armand Chabot, ancien maire de Dingé et ancien conseiller général du canton de Hédé », Ouest-France (archives du journal),‎ (lire en ligne Accès payant)
  24. http://memoiredeguerre.free.fr/cvr/prison-vitre.htm
  25. « Élections municipales 2001 », sur municipales2001.ouestfrance.fr, Ouest-France (consulté le ).
  26. « L'ancien maire de Dingé, Rémy Bourges, est décédé à 74 ans », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne)
  27. « Municipales à Dingé. Pierre Girouard a été élu maire », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. « Dingé. En désaccord avec ses adjoints, le maire, Pierre Girouard, démissionne », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  29. « Dingé. Patricia Bénis a été élu maire, samedi », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  30. « Près de Combourg : Patricia Bénis démissionne de sa fonction de maire de Dingé », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne).
  31. « Près de Combourg : Dingé vient d'élire son 3e maire... depuis 2020 », Le Pays Malouin,‎ (lire en ligne, consulté le )
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « commerçants et artisans de Dingé », sur dinge.fr, mairie de Dingé (consulté le ).
  37. Manoirs et château dans le comté de Rennes. Michel Brand’Honneur, PUR, Rennes
  38. Les descendants de la famille Boutier auraient dû normalement s'appeler Le Chat. Ce fut Thomas filius Buterus Catus qui en décida autrement en se faisant appeler Thomas Boutier.
  39. Chanoine Guillotin de Corson, pouillé de Rennes
  40. « Église paroissiale Saint-Symphorien », notice no IA00130842, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 67.

Liens externes[modifier | modifier le code]