Utilisateur:Utilisateur168221055/Brouillon/Curtis Yarvin
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| Naissance | |
|---|---|
| Nationalité |
américain |
| École/tradition | |
| Œuvres principales |
Unqualified Reservations |
| A influencé |
- Pour l'anglais: Utilisateur:Utilisateur168221055/Brouillon/Curtis Yarvin/anglais
Curtis Guy Yarvin (né le 25 juin 1973), également appelé Mencius Moldbug, est à la fois informaticien, théoricien de philosophie politique, et penseur néo-réactionnaire[1]. Ses écrits jouent un rôle important dans la formation des Lumières sombres[5]. Il est le créateur de la plateforme d'ordinateur Urbit[6][7], via son start-up Tlon (soutenu par Peter Thiel)[8], et l'auteur du blog «Unqualified Reservations».
Le travail de Yarvin sur le néo-réactionisme inspire le philosophe anglais Nick Land marquer le plus large mouvemente de pensée favorable au néo-réactionnisme les «lumières sombres»[9]. Le néo-réactionnisme et les lumières noires constituent un des fondements philosophiques de l'alt-droite[1][10], mais contrairement au alt-droit, l'approche de Yarvin et Land est considéré comme élitiste et non populiste[11].
Biographie[modifier | modifier le code]
Selon les propos de Curtis Guy Yarvin, son père est juif[12]. Il abandonne ses études comme étudiant de deuxième cycle à l'Université de Californie à Berkeley au début des années 1990[13] et écrit le noyau d'un navigateur mobile de Protocole WAP en 1998 pour une grande start-up, Openwave (en). Ce navigateur devienne le plus installé de son genre du monde et par conséquent il achète assez d'argent soutenir sa vie comme un érudit pour plusieurs d'années[14].
En 2015, on annule son invitation parler concernant l'Urbit à la conférence de Strange Loop suivant des plaintes fait par d'autres participants[15][16]. En 2016, son invitation à la conférence de functional programming dit LambdaConf entraîne le retrait de cinq intervenants, deux sous-conférences, et plusieurs sponsors[6][17].
Yarvin attire l'attention publique en février 2017 quand Politico rapporte que Steve Bannon, qui sert comme stratège principal de la Maison-Blanche sous président des États-Unis Donald Trump, lit le blog de Yarvin et qu'on rapporte que Yarvin «ouvrirait une ligne à la Maison-Blanche, en communiquant avec Bannon et ses assistants par une intermédiaire..."[18] L'histoire est publiée par d'autres magazines et journaux, dont The Atlantic[19], The Independent[20], et Mother Jones[21]. Yarvin remarque, "Je n'ai jamais rencontré ou communiqué avec lui, directement or indirectement"[22].
En 2019, après une absence presque totale de cinq années de la blogosphère, Yarvin reprend son travail comme blogueur[23].
Philosophie et opinions politiques[modifier | modifier le code]
Au bébut, Yarvin appelle sa philosophie politique dans laquelle il insiste sur l'alignement de droit de propriété avec le pouvoir politique le formalisme[9][24], du concept de formalisme juridique (en), bien que plus tard il le renomme le néo-caméralisme, en expliquant, «Le mot est principalement choisi pour sa virginité de Google, mais aussi il doit rappeler aussi de caméralisme, la philosophie de Frédéric le Grand, dont Anti-Machiavel est une bonne lecture pour quiquonque se demande ce qui ne s’est pas bien passé dans les IXe et XXe siècles.»[25]
L'étiquette «néo-réactionnaire» est appliquée à la philosophie de Yarvin par Arnold Kling (en) en 2010 et adopté par les adeptes de Yarvin;[9] Yarvin accepte l'étiquette mais s'étiquette comme «restaurationiste», en expliquant que la restauration duquelle il garde à l'esprit est un défaut souverain avec la restructuration pour produire «une nouvelle époque dans laquelle le gouvernement sécurisé, responsable, et efficace est aussi facile pour considérer comme acquis que l'eau de robinet qui on peut boire, l'électricité qui est toujours allumée, ou un moteur de recherche qui rend le porno seulement si tu cherches le porno.»[26] Yarvin différe des néo-réactionnaires monarchistes en cela que sous son système proposé, le néocamérisme, les gouvernements seraient organisés comme républiques par actions[27].
Bien que Yarvin autrefois se considére un Misesien, plus tard il devient un Carlylean. Il remarque, «Quand je suis allé de Misesien à Carlylean, ma vision de l'état idéal n'a pas changé. Je, et d'autres comme moi, désire habiter et dois pouvoir habiter dans un régime libéral d'ordre spontané, qui n'est pas planifié d'en haut mais émerge par l'interaction naturelle et incontrôlée des atomes humains libres. Hayek en particulier, même s'il n'est sûrement pas un Mises, est éloquent ici. Ce que ma conversion au culte de Carlyle a changé - complètement - est ma compréhension des moyens par lesquels cette société libre doit être réalisée.»
Yarvin se décrit comme une royaliste parce que, il dit, «toutes les organisations, grandes ou petites, publiques ou privées, militaires ou civiles, sont dirigés le mieux par un seul cadre. D'où: le royalisme. Peu importe comment il ou elle est choisi, le titre d'un tel cadre, dans une capacité souveraine, est Le Roi - ou, au moins, quelque chose d'autre est un euphémisme.»[2] Il préfère sa forme raffinée de royalisme, le néocameralisme, parce qu'il élimine l'action héréditaire, en engagant plutôt le meilleur cadres malgré les lignées ou les nationalités. Tandis que il trouve la «gouvernement libertarien un résultant extrêmement désirable» il remarque qu'il ne se considère pas un libertarien parce que, il dit, «comme un impératif moral, ou une conception politique, ou une tradition historique, le libertarianisme ne me semble pas être un moyen efficace à cette fin.»[28] Plutôt, il voit le néo-camérisme comme un moyen plus efficace pour réaliser les buts libertariens en alignant la fiabilité financiere intéressé sur la fiabilitée morale[29].
Yarvin également se décrit comme un extrémiste[30], un pronomien (pro-loi)[31], et un jacobite (ne pas falloir confondre avec Jacobin)[32]. Il nié être anarchiste[33], anarcho-capitaliste[34], un antisémite[35], un fasciste[36], ou un nationaliste blanc[37]. Il voit le progressisme comme le contraire de sa philosophie[38], en expliquant qu'à son avis, «Le droit représente la paix, l'ordre et la sécurité; la gauche représente la guerre, l'anarchie et le crime» et qu'il choisit de «construire une méthode d'évaluation très rangée dans laquelle l'ordre est simplement bien, et le chaos est simplement mal»[39].
Yarvin s'oppose au totalitarisme, en décrivant le fascisme et le communisme comme «les pire formes de démotisme» et «la démocratie dans sa forme véritable et plus maligne»[25]. Adam Riggio décrit la méthode de replacement de la démocratie, proposé par Yarvin, comme «le gouvernement autoritaire par une blanche élite des affaires technocratique»[40]. Alexandra Wolfe la décrit comme «la monarchie ou la dictature»[41].
Yarvin voit Donald Trump comme en avant «pas d'idéologie de toute» mais dit qu'il voudrait voir «un PDG avec un vrai bilan d'exécution stratégique dans une grosse entreprise — un Elon Musk ou Jeff Bezos — se présente contre Trump" quelle que soit l'idéologie du candidat[42].
Controverse[modifier | modifier le code]
On décrit les avis de Yarvin comme raciste et interprét ses écrits comme en faveur du esclavage et la croyance que les blancs ont des QIs plus élevé que les noirs pour raisons génétiques. Yarvin maintient qu'il n'est pas un raciste parce que, même s'il doute que «toutes les races soient également intelligentes», il trouve que la notion «que les personnes qui marquent plus haut aux tests de QI sont d'une certaine façon les êtres humains supérieurs» est «louche». Il aussi nie qu'il soit un «défenseur franc pour l'esclavage»[6][16], mais argumente que des races sont plus adapté à l'esclavage que d'autres[43]. Yarvin voit l'idée d'uniformité humaine comme une «version mutée et métastasée de la doctrine quakeriste de la lumière intérieure. Simplement, tous les humains doivent être uniformes neurologiquement parce que nous tous avons la même petite pièce de Dieu dans nous.» Il argumente, «Par conséquent ce que nous appelons le discours de haine est simplement un nom du XXe siècle pour le crime ancient de blasphème."[44]
Références[modifier | modifier le code]
- (en) James Kirchick, « Trump's Terrifying Online Brigades », Commentary Magazine, (consulté le )
- Moldbug, Mencius, « From Mises to Carlyle: my sick journey to the dark side of the force », Unqualified Reservations,
- (en) Stanley, « SMPY College Freshmen », Precollege Newsletter, Study of Mathematically Precocious Youth at Johns Hopkins University, no 10, , p. 2 (lire en ligne)
- (en) Curtis Yarvin, Richard Bukowski et Thomas Anderson, « Anonymous RPC: Low-Latency Protection in a 64-Bit Address Space », Proceedings of the USENIX Summer 1993 Technical Conference, USENIX, , p. 175–186 (lire en ligne)
- (en) Edwin Dyga, « The Future of Australian Conservatism », Quadrant, vol. 58, no 10, , p. 46–58 (ISSN 0033-5002, lire en ligne)
- (en) Tess Townsend, « Why It Matters That An Obscure Programming Conference Is Hosting 'Mencius Moldbug' », sur Inc.com,
- (en) Aaron van Wirdum, « Urbit: The Bold Pitch to Re-Decentralize the Internet, on Top of the Internet », sur bitcoinmagazine.com, (consulté le )
- (en) Park MacDougald, « Why Peter Thiel Wants to Topple Gawker and Elect Donald Trump », New York Magazine: SelectAll, (consulté le )
- (en) Klint Finley, « Geeks for Monarchy: The Rise of the Neoreactionaries », sur TechCrunch,
- (en) Rosie Gray, « How 2015 Fueled The Rise Of The Freewheeling, White Nationalist Alt Right Movement », BuzzFeed News, (consulté le )
- (en) Sixsmith, Ben, « Is this Mencius Moldbug’s moment? », Spectator,
- « Why I am not an anti-Semite », (consulté le )
- (en) Corey Pein, « Mouthbreathing Machiavellis Dream of a Silicon Reich », The Baffler, (lire en ligne)
- (en) Moldbug, Mencius, « The Mencius Moldbug Babysitting Fund », Moldburg, Mencius,
- David Auerbach, « The Curious Case of Mencius Moldbug », sur Slate,
- Mitchell Byars, « Speaker Curtis Yarvin's racial views bring controversy to Boulder conference », sur Daily Camera: Boulder News, (consulté le )
- Tess Townsend, « Citing 'Open Society,' Racist Programmer's Allies Raise $20K on Indiegogo », sur Inc.com,
- Johnson, Eliana and Eli Stokols (February, 2017) "What Steve Bannon Wants You to Read." Politico. (Retrieved April 17, 2017.)
- (en) Gray, Rosie, « Behind the Internet's Anti-Democracy Movement », The Atlantic,
- (en) « Steve Bannon ‘connects network of white nationalists’ at the White House », The Independent,
- Levy, Pema, « Stephen Bannon Is a Fan of a French Philosopher...Who Was an Anti-Semite and a Nazi Supporter », Mother Jones,
- Matthews, Dylan, « Neo-monarchist blogger denies he's chatting with Steve Bannon », Vox,
- (en) Sixsmith, Ben, « Is this Mencius Moldbug’s moment? », Spectator,
- Mencius Moldbug, « A formalist manifesto », sur Unqualified Reservations, (consulté le )
- (en) Moldbug, Mencius, « Against political freedom », Unqualified Reservations,
- (en) Mencius Moldbug, « OLX: a simple sovereign bankruptcy procedure », sur Unqualified Reservations, : « Si je devais choisir un mot et me lui tenir, je choisirais «restaurationniste». Si de dois concéder un terme pejoratif que écrivains justes peuvent appliquer justement, je choisirai «réactionnaire». Je même répondrai au n'importe quel composé de ce dernier - «néo-reactionnaire», «post-réactionnaire», «ultraréactionnaire», etc. »
- (en) Steorts, Jason Lee, « Against Mencius Moldbug’s ‘Neoreaction’ », National Review,
- Moldbug, Mencius, « Why I am not a libertarian », Unqualified Reservations,
- Moldbug, Mencius, « Patchwork 2: profit strategies for our new corporate overlords », Unqualified Reservations,
- Moldbug, Mencius, « Why I am not a libertarian », Unqualified Reservations, : « UR est, en fait, un blog extrémiste. »
- Moldbug, Mencius, « OLXI: the truth about left and right », Unqualified Reservations, : « Je suis pronomien. Je soutiens la nomos sans condition. »
- Nicholas James Pell, « Overreacting to Neoreaction », (consulté le )
- Moldbug, Mencius, « Why I am not an anti-Semite », Unqualified Reservations, : « Je ne suis pas anarchiste. »
- Moldbug, Mencius, « Why I am not a libertarian », Unqualified Reservations, : « Les libertariens et anarcho-capitalistes, en attribuant la validité spirituelle incontestable à la distribution actuelle de la propriété secondaire, rejettent entièrement la distribution actuelle de la propriété primaire. En fait, un vrai anarcho-capitaliste rejette même la conception de propriété primaire, bien que ce puisse paraître étrange. À sa place, il y a un idéal presque mystique de loi auto-enforcant que me semble comme tout à fait injustifié par la réalité. »
- Moldbug, Mencius, « Why I am not an anti-Semite », Unqualified Reservations, : « Why I am not an anti-Semite »
- Moldbug, Mencius, « OLX: a simple sovereign bankruptcy procedure », Unqualified Reservations : « Les nazis nous importent, parce qu'un résultat naziesque est le mode d'échec le plus catastrophique de n'importe qu'effort de restauration. Le restaurationisme est au fascisme comme un pont est à un tas des décombres dans le lit de la rivière. Les effondrements des ponts peuvent être dangereux et désagréables, mais ce ne rend pas les ponts une mauvaise idée. »
- Moldbug, Mencius, « Why I am not a white nationalist », Unqualified Reservations, : « Je ne suis pas un nationaliste blanc. »
- Moldbug, Mencius, « OLX: a simple sovereign bankruptcy procedure », Unqualified Reservations, : « Alors, quand je traite quelqu'un de «progressiste», je veux dire que ses principes sont plus ou moins l'inverse exacte des miennes. Bien sûr, nous croyons tous les deux que le ciel est bleu, la tarte aux pommes est délicieuse, et Hitler était mal. Et puisque nous sommes tous les deux personnes poli, mûr, et ouvert d'esprit, nous pouvons converser malgré nos désaccords. Mais de la même manière qu'un réactionnaire progressif n'existe pas, un restaurationiste progressif n'existe pas. Ou vice-versa. »
- Moldbug, Mencius, « A gentle introduction to Unqualified Reservations (part 1) », Unqualified Reservations,
- (en) Riggio, Adam, « The Violence of Pure Reason: Neoreaction: A Basilisk. », Social Epistemology Review and Reply Collective, vol. 5, , p. 34-41 (ISSN 2471-9560, lire en ligne) :
« Yarvin est un autoritarien depuis le début, en présentant l'idéologie nocive de libertarianisme nationaliste aux communautés néo-reactionnaire. »
- (en) Wolfe, Alexandra, Valley of the Gods, Simon and Schuster, , 221 p., « Is This Really Right? »
- Matthews, Dylan, « The alt-right is more than warmed-over white supremacy. It’s that, but way way weirder. », Vox,
- « Behind the Internet's Anti-Democracy Movement », The Atlantic, (consulté le )
- Moldbug, Mencius, « OL9: how to uninstall a cathedral », Unqualified Reservations
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (en) « Unqualified Reservations » - Le blog de Mencius Moldbug
- (en) « Curtis Yarvin », The American Mind
