Pont-Saint-Pierre
Pont-Saint-Pierre | |
La mairie. | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Eure |
Arrondissement | Les Andelys |
Intercommunalité | Communauté de communes Lyons Andelle |
Maire Mandat |
Valérie Lavigne 2020-2026 |
Code postal | 27360 |
Code commune | 27470 |
Démographie | |
Gentilé | Pétripontain |
Population municipale |
1 140 hab. (2021 ) |
Densité | 165 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 20′ 10″ nord, 1° 16′ 33″ est |
Altitude | Min. 10 m Max. 157 m |
Superficie | 6,9 km2 |
Type | Ceinture urbaine |
Unité urbaine | Romilly-sur-Andelle (banlieue) |
Aire d'attraction | Rouen (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Romilly-sur-Andelle |
Législatives | Cinquième circonscription |
Localisation | |
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Pont-Saint-Pierre est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est traversée par l'Andelle.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 762 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Pont-Saint-Pierre est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Romilly-sur-Andelle, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (45,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (46,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (45,3 %), terres arables (26,8 %), zones urbanisées (11,7 %), prairies (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la localité est attesté sous les formes Pontis Sancti Petri entre 1050 et 1066[15], Sancti Petri Ponte en 1063[16], Pons Sancti Petri en 1118 (Suger, Vie de Louis le Gros)[17].
Pont [pɔ̃] est un mot français répandu en toponymie.
Le nom primitif est déterminé par un hagionyme.
L'hagiotoponyme Saint-Pierre est emprunté au vocable de l'une des deux églises paroissiales, la seconde étant dédiée à saint Nicolas[18].
Le gentilé est Pétripontains.
Histoire
[modifier | modifier le code]Aux XIe – XIIe siècles, les rois-ducs Guillaume le Conquérant et Henri Ier Beauclerc ont un château (le Catelier ou Castelet)[19] à Pont-Saint-Pierre, confié à leur vassal et parent FitzOsbern seigneur de Breteuil.
Au Moyen Âge, la baronnie de Pont-Saint-Pierre se trouve être la « première » de Normandie et est détenue par la famille d'Hangest, après les familles de Beaumon-le-Roger-Neubourg puis de Poissy, qui eurent aussi Acquigny et Longboel, Hacqueville. La possession des Beaumont-le-Roger-Neubourg-Warwick s'établit elle-même après celle des Crépon FitzOsbern sires de Breteuil-sur-Iton : mais Guillaume II de Breteuil et Raoul de Gaël de Montfort-sur-Meu, son gendre, se révoltent contre le roi-duc avant 1100, puis Eustache de Breteuil[Note 2], fils de Guillaume de Breteuil et beau-frère de Raoul de Gaël, se soulève à son tour après 1100 en prenant le parti de Guillaume Cliton. Les Breteuil sont alors définitivement vaincus et dépouillés de leurs fiefs en 1119 : Ivry-la-Bataille ira à Ascelin Goël d'Ivry-Bréval, Breteuil et Pacy-sur-Eure confisqués seront rendus plus tard à la fille de Raoul II de Gaël de Montfort, Amicie, épouse de Robert II de Beaumont le Bossu de Beaumont-le-Roger-Meulan-Leicester, comte de Leicester et Winchester[Note 3].
De plus, Henri Ier obligea les Breteuil et les Gaël de Montfort à céder Pont-Saint-Pierre, Romilly et Longboël, avec le val de Pîtres, à Raoul III-IV de Tosny († 1126), seigneur de Conches et d'Acquigny. La fille de Raoul, Gode(c)hilde, tante de Raoul IV-V ci-dessus, transmit Pont, Romilly-Longboël et une moitié d'Acquigny à son mari Henri de Beaumont du Neubourg, fils et frère de deux comtes de Warwick, cousin germain de Robert le Bossu[Note 4]. Leur fille Isabelle de Neubourg les apporta à son époux Robert III de Poissy, seigneur de Malvoisine.
Mais le roi Philippe Auguste saisit les biens de leur fils Robert IV de Poissy vers 1203-1204, pendant la conquête française. Auparavant, les fiefs de Robert de Poissy s'étaient agrémentés de ceux de sa femme Luce Le Chambellan du Plessis-(Nicole), fille de Brice, chambellan d'Henri II et panetier de Normandie (Gouy ; Noyon-sur-Andelle, Radepont, Fleury-sur-Andelle), mais le roi Philippe II les avait aussi confisqués pour les donner à un de ses fidèles, Pierre de Moret. Philippe II saisit donc la baronnie de Pont-Saint-Pierre et la donna pour moitié à Aubert II ou III d'Hangest, seigneur picard, avec aussi la moitié de Romilly, Longboël et Pîtres. L'autre moitié de ce que le roi Philippe avait saisi fut restituée à Robert IV de Poissy vers 1213, avec Hacqueville, Gouy, Noyon-sur-Andelle, Radepont, et la moitié d'Acquigny venue des Neubourg. Pierre de Moret fut dédommagé par le don de Venables par un échange avec le roi, et après la mort de Robert IV (vers 1213-1218 ?) il épousa sa veuve Luce du Plessis[Note 5].
En 1367, une descendante d'Aubert, Isabelle d'Hangest dame d'Heuqueville et de Pont-Saint-Pierre épousa Jean de Roncherolles (à Cuverville). Leur fils Guillaume V de Roncherolles († 1415 à Azincourt) épousa Marguerite de Léon dame d'Hacqueville, héritière des Léon et des Poissy à la fois par son père Guillaume II de Léon d'Hacqueville et par la deuxième femme de son père, Catherine de Léon : cf. la filiation aux articles Léon, Acquigny et Radepont. Vers 1400, un accord avec les Rohan (les vicomtes Alain VIII et Alain IX) héritiers des Léon[Note 6], toujours seigneurs de Pont-Saint-Pierre en partie, Radepont et Noyon-sur-Andelle, semble organiser un partage rationnel et attribuer les biens normands des Rohan aux Léon d'Hacqueville[Note 7] qui cèdent en échange aux Rohan leurs droits bretons. Ainsi Pont-Saint-Pierre était-il réuni. Les Roncherolles sont seigneurs de Pont jusqu'à la Révolution[Note 8] ; en août 1684, les Roncherolles sont titrés marquis de Pont-Saint-Pierre (AD Seine-Maritime, série C.2887).
Avant la Révolution, Pont-Saint-Pierre comprenait deux paroisses, Saint-Pierre et Saint-Nicolas. L'église Saint-Pierre, située sur la rive gauche de l'Andelle et relevant du doyenné de Gamaches, a été démolie sous la Révolution, après avoir été vendue comme bien national[Note 9]. Saint-Nicolas relevait du doyenné de Perriers, et sert, depuis, d'église paroissiale.
Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre a été chef-lieu de canton durant la Révolution (de 1790 au 8 pluviôse an IX (). En 1809, Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre absorbe Saint-Pierre-de-Pont-Saint-Pierre. En 1905, Saint-Nicolas-de-Pont-Saint-Pierre prend le nom de Pont-Saint-Pierre.
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[21].
En 2021, la commune comptait 1 140 habitants[Note 10], en évolution de −2,4 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
[modifier | modifier le code]Pont-Saint-Pierre est le lieu d'embouteillage de l'eau de source de marque Pierval (sources Lilas et Emma).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Château de Douville, vestiges[24].
- Église Saint-Nicolas, des XIIe et XIXe siècles, recensée à l'Inventaire général du patrimoine culturel[25]. Elle abrite des éléments mobiliers provenant de l'abbaye de Fontaine-Guérard, dont un abat-voix du XVIIe siècle. Au pied de la tour (construite en 1846 par Élie Courtonne) s'élève une croix en fer forgé provenant de la cathédrale de Rouen.
- Filature Levavasseur (vestiges), du XIXe siècle, recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel[26].
- Château de Logempré, dit château de Pont-Saint-Pierre, des XVe et XIXe siècles, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[27], bâti à l'emplacement du château fort de la Malemaison, des XIIe et XIVe siècles[28].
- Siège d'une ancienne baronnie, le château joua un rôle au cours de la guerre de Cent Ans. La famille de Roncherolles le reconstruit à la fin du XVe siècle, et il est remanié à la fin du XVIIIe siècle par le marquis de Montesquieu, puis par Antoine Caillot de Coqueréaumont, aïeul du baron d'Houdemare qui le restaura à la fin du siècle dernier[29].
- Le château apparaît dans le film Pas si bête (1946), avec Bourvil. Inhabité depuis 1998 et dégradé, il est racheté en 2024 par un couple qui souhaite le restaurer[30].
- Parc du château de Logempré, créé en 1810 par l'architecte Le Poigneux, recensé à l'inventaire général du patrimoine culturel[31].
-
La filature Levavasseur.
-
Le château de Pont-Saint-Pierre.
-
L'église Saint-Nicolas.
Patrimoine naturel
[modifier | modifier le code]- Les falaises de l'Andelle et de la Seine, Site inscrit (1981)[32].
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]- Marcel Berthet (1887-1953), cycliste. Il dirigea l'usine Tron et Berthet avec sa femme, à la suite de son beau-père, Jean-François Tron, qui avait implanté son usine de sellerie dans une ancienne filature.
Liste des curés de Pont-Saint-Pierre
[modifier | modifier le code]Suivant une liste des curés de Pont-Saint-Pierre présentée dans l'église.
Paroisse de Saint-Nicolas
- 1258 : Robert de Bonneval
- 1276 : Simon
- 1390 : Regnault Coquin
- 1432 : Michel Barbes
- 1452 : Du Hamel
- 1478 : Jean Levesque
- 1511 : Dufays (avocat)
- 1549 : Jean Duteurtre
- 1571 : Andrieux
- 1627 : Claude Flamen
- 1673 : Pierre Thierry
- 1674 : x, représenté par Dunat
- 1697 : Charles Pinel
- 1714 : Toussaint Goujon
- 1715 : François de Saint-Cierge Desterel, représenté par Colombel
- 1716 : Louis Girard, représenté par De Chaintron
- 1717 : Nicolas Pinel
- 1732 : Joachim Duval
- 1738 : Michel Chauvin
- 1744 : Toussaint Aveline
- 1760 : Jean Sainneville
- 1780 : Petel
- 1783 : Nicolas Blanchère
- 1787 : Charles Nicolas Le Gay (1755-1829)
Paroisse de Saint-Pierre
- 1213 : Gautier
- 1520 : Jacques Breher
- 1568 : Jean Blondel
- 1581 : Pierre Morin
- 1601 : Damiens Paumier
- 1606 : Étienne Fouquet
- 1612 : Nicolas Louvet
- 1621 : Robert Thibault
- 1663 : Paul Hardy
- 1682 : Chennevière
- 1697 : Jacques Lelièvre
- 1701 : Martin
- 1702 : André Delahaye
- 1743 : Denis-François Boismare
- 1748 : Michel-Philippe Le Monnier
- 1764 : Jacques Fréret (mort à Paris le )
- 1768 : Delalan
Les deux paroisses sont, par décret du , réunies en la paroisse Saint-Nicolas.
- 1809 : Charles Le Gay (1755-1829), précédemment curé de Saint-Nicolas
- 1829 : Jean Goujon
- 1884 : Pierre Morin
- 1894 : Pierre Tardif
- 1909 : Émile Bellencourt
- 1923 : Georges Geron
- 1940 : Félix Havard
- 1948 : Joseph Hervé
- 1970 : Marcel Rochard
- 1976 : Émile Leblond
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Auguste Le Prévost. Mémoires et notes pour servir à l'histoire du département de l'Eure. Tome 2, Partie 1. Pont-Saint-Pierre. 1862-1869 [1]
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Pont-Saint-Pierre sur le site de l'Institut géographique national
- Pont-Saint-Pierre sur le site de la Communauté de communes de l'Andelle
Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes
[modifier | modifier le code]- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Pourtant gendre du roi-duc Henri Ier Beauclerc !
- Leur propre fille Marguerite de Beaumont épousera Raoul IV ou V de Tosny, petit-fils de Raoul III ou IV qui suit.
- L'autre moitié d'Acquigny reste alors aux Tosny, confisqués en 1204 par Philippe Auguste lors de la victoire capétienne, et sera donnée aux de Roye puis aux Montmorency-Laval).
- D'où Jean de Moret, demi-frère de Robert V de Poissy ; un accord de famille partagea vers 1218 Radepont, Fleury et Fontaine-Guérard entre les Moret et les Poissy
- La femme de Jean Ier de Rohan père d'Alain VIII était Jeanne de Léon fille d'Hervé VII).
- D'où les Roncherolles par le mariage de Guillaume V évoqué ci-dessus.
- Sauf pendant les troubles de la guerre de Cent Ans au XVe siècle : Jean Possemer tient pour les Anglais Noyon, Pont-St-Pierre et Radepont. Et vers 1470-1473, le conseiller de Louis XI Olivier le Daim (exécuté en 1484) acquit le comté de Meulan et les seigneuries de Pont-Saint-Pierre, Noyon-sur-Andelle, Radepont.
- Elle était située face à l'entrée du château, à l'intersection de la route descendant de Flipou.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
[modifier | modifier le code]- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]- « Géoportail (IGN), couche « Communes 2016 » activée ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Pont-Saint-Pierre et Boos », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Romilly-sur-Andelle », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Ernest Nègre - Toponymie générale de la France, page 1584, (ISBN 2600028846).
- Dans une donation à la Trinité du Mont de Rouen (Cartulaire Trinité du Mont, n"58, page 26; édition A.Deville, page 452).
- Ernest Poret de Blosseville, Dictionnaire topographique du département de l’Eure, Paris, , p. 173.
- François de Beaurepaire - 1981 - Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure - Page 160.
- « Le Pont-Saint-Pierre, une motte féodale ».
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Château-fort », notice no IA00017342, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Église Saint-Nicolas », notice no IA00016791, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Filature », notice no IA00016804, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château », notice no IA00016793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de la Malemaison », notice no IA00017401, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Philippe Seydoux (photogr. Serge Chirol), La Normandie des châteaux et des manoirs, Strasbourg, Éditions du Chêne, coll. « Châteaux & Manoirs », , 232 p. (ISBN 978-2851087737), p. 210.
- Sylvie Callier, « Par amour du patrimoine, un couple achète un château Renaissance dans lequel il n'est encore pas possible d'entrer », france3-regions.francetvinfo.fr, 3 juillet 2024.
- « Parc du château de Logempré », notice no IA27000563, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Les Falaises de l'Andelle et de la Seine », sur Carmen - L'application cartographique au service des données environnementales (consulté le ).