Peyraube

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Peyraube
Peyraube
Paysage dans les environs du village de Peyraube.
Blason de Peyraube
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Bernard Larré
2020-2026
Code postal 65190
Code commune 65357
Démographie
Gentilé Peyraubais
Population
municipale
167 hab. (2021 en augmentation de 1,83 % par rapport à 2015)
Densité 48 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 09″ nord, 0° 14′ 44″ est
Altitude Min. 246 m
Max. 486 m
Superficie 3,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Peyraube
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Peyraube
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
Voir sur la carte topographique des Hautes-Pyrénées
Peyraube
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Peyraube

Peyraube est une commune française située dans le centre du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne. Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arros et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Peyraube est une commune rurale qui compte 167 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 373 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes. Ses habitants sont appelés les Peyraubais ou Peyraubaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Peyraube se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 14 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 2 km de Tournay[2], bureau centralisateur du canton de la Vallée de l'Arros et des Baïses dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tournay[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Bordes (1,6 km), Tournay (2,0 km), Clarac (2,3 km), Sinzos (2,9 km), Moulédous (3,1 km), Ozon (3,3 km), Lhez (3,9 km), Lanespède (4,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Peyraube fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[4].

Carte de la commune de Peyraube et des proches communes.
Communes limitrophes de Peyraube[5]
Clarac
Bordes Peyraube Moulédous
Tournay Bernadets-Dessus
(par un quadripoint)

Paysages et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin de l'Adour, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[6]. Elle est drainée par l'Arros, le ruisseau Barran, le ruisseau de Latarisse et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[7],[Carte 1].

L'Arros, d'une longueur totale de 130,8 km, prend sa source dans la commune d'Esparros et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour à Izotges, après avoir traversé 54 communes[8].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est tempéré de type océanique, dû à l'influence proche de l'océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Peyraube.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[9].


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte des ZNIEFF de type 2 localisées sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Deux ZNIEFF de type 2[Note 2] sont recensées sur la commune[10] :

  • les « coteaux de Capvern à Betplan » (10 246 ha), couvrant 46 communes dont huit dans le Gers et 38 dans les Hautes-Pyrénées[11] ;
  • le « cours de l'Arros » (1 675 ha), couvrant 41 communes dont 20 dans le Gers et 21 dans les Hautes-Pyrénées[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Peyraube est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[I 2],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Rue du village.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (51,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (51,2 %), zones agricoles hétérogènes (41,6 %), terres arables (6,5 %), prairies (0,7 %)[15].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 65[I 5].
Parmi ces logements, 92,3 % sont des résidences principales, 6,2 % des résidences secondaires et 1,5 % des logements vacants.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par les routes départementales D 20 et D 46.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Peyraube est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Arros. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[18]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[19],[16].

Peyraube est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[20]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyraube.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 73 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 73 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Peyraube au nord de Tournay.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[24] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

Étymologie : du gascon pèira (= pierre) et auba (= blanche) lui-même du latin petra alba.

Nom occitan : Peirauba.

Histoire[modifier | modifier le code]

Cadastre napoléonien de Peyraube[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Peyraube est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie en 2017.
Le foyer rural en 2019.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2014 Christian Garcia    
mars 2014 en cours Bernard Larré    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Pays et sénéchaussée de Bigorre, quarteron de Tarbes, canton de Tournay (depuis 1790)[26].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Peyraube appartient à la communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros créée en et qui réunit 54 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[29].

En 2021, la commune comptait 167 habitants[Note 5], en augmentation de 1,83 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
308261301312373355355336341
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
337341319317313315251250257
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
234224185180170145141147134
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
121116102111114120121157161
2021 - - - - - - - -
167--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle dispose d’une école en 2017[32].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 59 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 148 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 610 [I 6] (20 420  dans le département[I 7]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 4,1 % 8,8 % 8,1 %
Département[I 9] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 100 personnes, parmi lesquelles on compte 83,8 % d'actifs (75,8 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 16,2 % d'inactifs[Note 7],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 29 emplois en 2018, contre 14 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 78, soit un indicateur de concentration d'emploi de 37,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 67,2 %[I 12].

Sur ces 78 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 23 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 92,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,4 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saints-Adbdon-et-Sennen en 2017.
Le puits.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
De gueules à la croix d'argent, au chef cousu de sable chargé de trois croisettes d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Peyraube » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Peyraube » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la commune de Peyraube
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Peyraube » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Peyraube » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Peyraube » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Peyraube et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Peyraube et Tournay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Peyraube », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Fiche communale de Peyraube », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  8. Sandre, « l'Arros »
  9. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  10. « Liste des ZNIEFF de la commune de Peyraube », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF les « coteaux de Capvern à Betplan » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF le « cours de l'Arros » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Peyraube », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  20. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyraube », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  25. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Peyraube en 1824
  26. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  27. « Liste des juridictions compétentes pour Peyraube », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).