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Manaurie

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Manaurie
Manaurie
Les toits du village de Manaurie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de l'Homme
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Gérard Dézenclos
2020-2026
Code postal 24620
Code commune 24249
Démographie
Gentilé Manauriens
Population 146 hab. (2021)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 57′ 34″ nord, 0° 59′ 24″ est
Altitude Min. 60 m
Max. 209 ou 210 m
Superficie 9,97 km2
Élections
Départementales Vallée de l'Homme
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Les Eyzies
Localisation
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Manaurie
Géolocalisation sur la carte : France
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Manaurie
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Manaurie
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Manaurie

Manaurie est une ancienne commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Au , elle est intégrée à la commune nouvelle des Eyzies en tant que commune déléguée.

Géographie

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Généralités

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Le ruisseau de Manaurie au nord du village de Manaurie.

Dans le quart sud-est du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune déléguée de Manaurie s'étend sur 9,97 km2. Représentant la partie nord-ouest de la commune nouvelle des Eyzies, elle est arrosée par le ruisseau du même nom, un affluent de la Vézère.

L'altitude minimale, 60 mètres, se trouve à l'est, là où le Manaurie quitte la commune et entre sur celle des Eyzies-de-Tayac-Sireuil. L'altitude maximale avec 209 ou 210 mètres[Note 1] est localisée au nord, près du lieu-dit Calais. Sur le plan géologique, le sol se compose principalement de calcaires du Crétacé, avec des sables, argiles et graviers éocènes au nord-est et au sud-ouest du territoire, ainsi que des alluvions holocènes recouvrant la vallée du Manaurie[1].

À l'intersection des routes départementales 31 et 47 et traversé par la ligne ferroviaire Périgueux-Agen, le village de Manaurie se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-est du Bugue et dix-huit kilomètres au sud-ouest de Montignac-Lascaux.

Communes limitrophes

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Carte de Manaurie et des communes avoisinantes en 2018, avant la création de la commune nouvelle des Eyzies.

En 2018, année précédant la création de la commune nouvelle des Eyzies, Manaurie était limitrophe de cinq autres communes.

Villages, hameaux et lieux-dits

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Panneaux de lieux-dits.

Outre le bourg de Manaurie proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[2] :

  • les Bruyères
  • Calais
  • Cap del Roc
  • Carpe-Diem
  • le Cazal
  • Château de Roucaudou
  • les Corbeilles
  • la Croix du Soleil
  • les Croupoulous
  • Fompudie
  • Fondoubine
  • les Fosses
  • la Gane
  • le Garry
  • Grand Parti
  • les Grifoulets
  • la Guerletine
  • Lomple
  • Lortal
  • le Moulin de Peyre
  • la Mouthe
  • Navarre
  • les Ourtaloux
  • Pataye
  • les Pièces
  • les Placials
  • Prouillac
  • la Queyrelie
  • le Roc de la Pepue
  • Rouquette
  • la Rousselie
  • la Sablière
  • Seriols
  • la Tregandie
  • la Vermondie.
Panneau bilingue français-occitan d'entrée au bourg de Manaurie.

La première mention écrite connue du lieu, Manauria, n'apparaît qu'en 1382[3].

Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Manorie[4].

Le nom de la commune provient du nom d'un personnage d'origine germanique « Manaud »[5].

En occitan, la commune porte le nom de Manàuria[6].

En bordure de la vallée de la Vézère et des sites préhistoriques de Laugerie-Basse, Laugerie-Haute, du Poisson et de La Micoque, le territoire communal a été occupé par les hommes dès l'époque préhistorique comme le prouvent les gravures préhistoriques du Roc de la Pépue[7].

Bien que son église soit d'architecture romane, la première mention écrite connue du lieu, Manauria, n'apparaît qu'à la fin du XIVe siècle[5].

La construction du manoir de Roucaudou date des XVe et XVIe siècles, alors même que le lieu, « Bord. de la Recaudia », était déjà cité en 1304[8].

Le , la commune nouvelle des Eyzies résultant de la fusion de la commune avec Les Eyzies-de-Tayac-Sireuil et Saint-Cirq est créée pour une prise d'effet au [9].

Politique et administration

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Rattachements administratifs

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La commune de Manaurie a, dès 1790, été rattachée au canton du Bugue qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, ce canton est rattaché à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[10].

Intercommunalité

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Fin 2000, Manaurie intègre dès sa création la communauté de communes Terre de Cro-Magnon. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes de la Vallée de l'Homme.

Administration municipale

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La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2011, onze conseillers municipaux ont été élus en 2014[11],[12]. Ceux-ci sont membres d'office du conseil municipal de la commune nouvelle des Eyzies, jusqu'au renouvellement des conseils municipaux français de 2020.

Liste des maires puis maires délégués

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La mairie (à gauche) et l'ancienne mairie en 2018.
Liste des maires successifs[13]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
juin 1884 1907 ou 1908 Eugène Borderie    
mai 1908 mai 1912 Fernand Carbonnière    
mai 1912 1915 ou 1916 Frédéric Carbonnière    
1915 ou 1916 décembre 1919 Amédée Delprat   Adjoint faisant fonctions de maire
décembre 1919 mai 1929 Amédée Delprat    
mai 1929 1932 Léo Delprat[Note 2]    
mai 1932 mai 1935 Julien Giat    
mai 1935 décembre 1940 Georges Delprat[Note 3]    
janvier 1941 1941 Gaston Garrigue   Adjoint faisant fonctions de maire
1941 mai 1945 Arthur Borderie   Conseiller municipal faisant fonctions de maire, puis maire
mai 1945 octobre 1947 Pierre Guitard    
octobre 1947 mars 1965 Edmond Fongauffier    
mars 1965 janvier 1970 Charles Mourey    
janvier 1970 mars 1983 Pierre Bazinet    
mars 1983 mars 2008 Marie-Thérèse Chaussade UDF  
mars 2008 décembre 2018 Gérard Dézenclos SE[14] Retraité de l'éducation nationale
Liste des maires délégués successifs de Manaurie
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2019
(réélu en mai 2020[15])
En cours Gérard Dézenclos SE Retraité de l'éducation nationale

Instances judiciaires

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Dans les domaines judiciaire et administratif, Manaurie relève[16] :

Démographie

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Les habitants de Manaurie se nomment les Manauriens[17].

En 2018, dernière année en tant que commune indépendante, Manaurie comptait 136 habitants. À partir du XXIe siècle, les recensements des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (2006, 2011, 2016 pour Manaurie[18]). Depuis 2006, les autres dates correspondent à des estimations légales.

Au , la commune déléguée de Manaurie compte 146 habitants[19].

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
427408390315447412395406410
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
450418425397403367384342305
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
301281255240249206220204197
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
174163151159141142158153140
2018 - - - - - - - -
136--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[10] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Les données économiques de Manaurie sont incluses dans celles de la commune nouvelle des Eyzies.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine naturel

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Paysage près du cimetière, en bordure des zones du coteau et des falaises calcaires (ZNIEFF de types I et II).
Près de Roucaudou, la vallée du ruisseau de Manaurie fait partie du site classé.

Du fait de sa proximité avec la Vézère, la commune présente plusieurs zones protégées à divers titres.

À l'est, environ 30 % du territoire communal fait partie d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II : la zone des falaises calcaires de la vallée de la Vézère qui s'étend depuis le nord du village de Saint-Léon-sur-Vézère jusqu'en bordure du village de Saint-Cirq et où sont recensées huit espèces déterminantes, une plante : l'Orchis des marais (Anacamptis palustris), et sept oiseaux : l'Accenteur alpin (Prunella collaris), le Choucas des tours (Coloeus monedula), le Faucon crécerelle (Falco tinnunculus), le Faucon pèlerin (Falco peregrinus), le Grand Corbeau (Corvus corax), l'Hirondelle de rochers (Ptyonoprogne rupestris) et le Tichodrome échelette (Tichodroma muraria)[29],[30].

Elle inclut la ZNIEFF de type I : le coteau des Eyzies et de Manaurie délimité à l'est par la Vézère et au nord par le ruisseau de Manaurie[31],[32].

Natura 2000

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Au niveau du territoire communal, sur une zone encore plus restreinte, les coteaux calcaires de la vallée de la Vézère sont protégés par le réseau Natura 2000 au titre de la directive habitats pour un papillon : le Damier de la succise (Euphydryas aurinia), et neuf espèces sédentaires de chauves-souris : la Barbastelle (Barbastella barbastellus), le Grand murin (Myotis myotis), le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum), le Minioptère de Schreibers (Miniopterus schreibersii), le Murin à oreilles échancrées (Myotis emarginatus), le Murin de Bechstein (Myotis bechsteinii), le Petit murin (Myotis blythii), le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros) et le Rhinolophe euryale (Rhinolophus euryale)[33],[34].

Sites remarquables

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Depuis 2015, le site de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes est un site classé qui regroupe l’ensemble des sites préhistoriques majeurs de la vallée de la Vézère, en cohérence avec les sites préhistoriques et grottes ornées de la vallée de la Vézère, classés au patrimoine mondial par l’Unesco en 1979[35]. Concernant vingt communes, ce site concerne près de la moitié du territoire communal[36],[37]

Dans des zones situées autour de ce site classé, et concernant 31 communes, le site de la vallée de la Vézère est inscrit depuis 2016[38]. Il occupe la presque totalité du reste du territoire de Manaurie[39],[40].

Personnalités liées à la commune

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Articles connexes

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Liens externes

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Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

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  1. Deux données contradictoires selon le Géoportail : 209 mètres sur la carte de l'Institut géographique national et 210 sur son ancien site.
  2. Décédé en fonctions.
  3. Suspendu de ses fonctions par le préfet.

Références

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  1. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
  2. « Manaurie » sur Géoportail (consulté le 1er novembre 2018).
  3. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (L-Z), article « Manaurie », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 16 novembre 2018.
  4. « Manorie » sur Géoportail (consulté le 16 novembre 2018)..
  5. a et b Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 208.
  6. Le nom occitan des communes du Périgord - Manàuria sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  7. Chronique du Périgord (1920-1930), Annales du Midi, sur Persée, p. 359, consulté le 16 novembre 2018.
  8. a et b Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord : châteaux, manoirs, gentilhommières, chartreuses, maisons-fortes, Bordeaux, éditions Sud Ouest, , 316 p. (ISBN 2-87901-221-X), p. 246.
  9. « recueil des actes administratifs de la Dordogne » [PDF], (consulté le ), p. 72-76
  10. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  11. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 8 octobre 2018.
  12. Résultats des élections municipales et communautaires 2014 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 8 octobre 2018.
  13. Période 1884-2008 : registres de délibérations communales consultés le 19 novembre 2018 à la mairie de Manaurie.
  14. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 4.
  15. Léna Badin, « Philippe Lagarde est un habitué », Sud Ouest édition Dordogne-Lot-et Garonne, 24 mai 2020, p. 16.
  16. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  17. Nom des habitants des communes françaises sur le site habitants.fr, consulté le 1er novembre 2018.
  18. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le )
  19. [PDF] Populations légales 2021 à compter du - Fichier Dordogne, p. 24-7 sur le site de l'Insee, consulté le .
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
  21. a et b Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 188-189.
  22. Manaurie sur le site de la communauté de communes Terre de Cromagnon (archive), consulté le 16 novembre 2018.
  23. DREAL : Gorges d'Enfer, site classé
  24. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 61.
  25. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 162.
  26. « Manoir de Roucaudou », notice no PA00082626, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 16 novembre 2018.
  27. Jean-Marie Bélingard, Dominique Audrerie, Emmanuel du Chazaud, préface d'André Chastel, Le Périgord des chartreuses, Pilote 24 édition, Périgueux, mai 2000, (ISBN 2-912347-11-4), p. 265
  28. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 101.
  29. [PDF] Zone des falaises calcaires de la vallée de la Vézère, INPN, consulté le 16 novembre 2018.
  30. Carte de la ZNIEFF 720020011, INPN, consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
  31. [PDF] Coteau des Eyzies et de Manaurie, INPN, consulté le 16 novembre 2018.
  32. Carte de la ZNIEFF 720008210, INPN, consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à gauche sur le globe terrestre bleu, descendre la valeur de la couche « Métropole : ZNIEFF1 » à 0 et augmenter l'opacité de la couche « Cartes IGN » à 1.
  33. [PDF] FR7200667 - Coteaux calcaires de la vallée de la Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 16 novembre 2018.
  34. Carte de localisation des coteaux calcaires de la vallée de la Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 16 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
  35. SCL0000684 - Site classé de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes, DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
  36. Carte de localisation du site classé de la vallée de la Vézère et de sa confluence avec les Beunes, DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
  37. [PDF] Décret de classement de trois sites, 11 décembre 2015, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
  38. Vallée de la Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.
  39. Carte de localisation du site inscrit de la vallée de la Vézère, DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, dans la « Légende » (en bas à gauche), ouvrir la couche « Référentiels » et barrer la couche « Photographie IGN ».
  40. [PDF] Arrêté d'inscription du site de la vallée de la Vézère, 28 juillet 2016, sur le site de la DREAL Aquitaine, consulté le 17 novembre 2018.