Dominique Simonnet

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Dominique Simonnet
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Nicole Bacharan (depuis )Voir et modifier les données sur Wikidata
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Dominique Simonnet, né le à Lille, est un journaliste, écrivain et essayiste français, également éditeur, parolier, auteur animateur d’émissions de radio et de télévision. Il est l’auteur de plus d’une vingtaine de romans et d’essais dans le domaine des arts, des sciences, de la société et de la politique américaine. Rédacteur en chef à l’hebdomadaire L'Express jusqu’en 2007, il intervient depuis régulièrement à la télévision, notamment sur les chaines d’information, et publie tribunes et chroniques dans la presse écrite. Il est également l’un des fondateurs de l’écologie en France.

Journalisme[modifier | modifier le code]

Après un début à l’ORTF (Office de radio télévision française) où il travaille avec le réalisateur Claude Santelli sur ses adaptations filmées de Guy de Maupassant[1], il se consacre à la presse écrite et collabore à plusieurs magazines, dont le mensuel Le Sauvage[2], lancé par le groupe Le Nouvel Observateur[3], et la Gueule Ouverte[4], hebdomadaire créé par Charlie Hebdo avec Pierre Fournier et les dessinateurs Cabu et Reiser.

En 1978, Dominique Simonnet rejoint Jean-François Revel et Olivier Todd à l’hebdomadaire L’Express[5] où il exercera diverses fonctions, reporter, journaliste scientifique, chef du service société, directeur de la rédaction du magazine L’Express Aujourd’hui, rédacteur en chef. Il anime pendant plusieurs années la rubrique des « Grands entretiens » dans laquelle il dialogue avec des personnalités du monde entier. Il enseigne également le journalisme à l’université Paris V. En 2007, il quitte l’hebdomadaire L’Express pour se consacrer à ses activités d’auteur, d’éditeur et de chroniqueur.

Auteur et éditeur[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est l’auteur de romans, dont Délivrez-nous du corps (Plon, 2016), et de plusieurs essais, dont, en 1996, La Plus Belle histoire du monde, publié aux éditions du Seuil, longue conversation en forme de récit avec Hubert Reeves, Joël de Rosnay et Yves Coppens, ouvrage vendu à plus de 300 000 exemplaires. Il lance ensuite, chez le même éditeur, une collection homonyme, « La Plus Belle Histoire » qui aborde différents domaines des arts et du savoir et accueille des auteurs tels que Michelle Perrot, Françoise Héritier, André Glucksmann, Vaclav Havel, Paul Veyne, Mona Ozouf, André Comte-Sponville, Boris Cyrulnik, René Frydman, Luc Ferry, etc.

En tant qu'éditeur, il publie des livres de combat comme Lettres à Maman de Mélanie et Lorenzo Betancourt (Le Seuil, 2008) avec le concours d'Elie Wiesel, pour alerter sur la détention d'Íngrid Betancourt, ou encore, en 2009, Au nom des enfants du monde écrit avec Caroline de Monaco sur l'aide d'urgence à l'enfance.

Radio et télévision[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est notamment l'auteur et l'animateur du magazine hebdomadaire Drôle de planète[6] sur France 2 (prix Roberval télévision), destiné aux adolescents, ainsi que Tranches de science[7] sur France 3. À partir de 1995, il est également l’un des chroniqueurs de l'émission Le Cercle de minuit[8] sur France 2, animée par Laure Adler, puis, en 2000, Des mots de minuit de Philippe Lefait sur la même chaine. Il est l’auteur avec Nicole Bacharan du film documentaire « Clinton-Obama, les secrets d’une rivalité », diffusé sur France 5 en 2016.

En radio, il a également produit la série Aventures sans gravité diffusée sur France Culture (prix des radios francophones Paul-Gilson) avec le journaliste Jacques Girardon[9].

Promotion de la culture scientifique[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet fut également l'un des acteurs de la culture scientifique, participant à plusieurs initiatives destinées à rapprocher les mondes littéraire, artistique et scientifique. Président de l'Association des journalistes scientifiques de la presse d'information (AJSPI) dans les années 1980[10], il siège au conseil d’orientation de la Cité des sciences de la Villette, au Conseil interministériel de la culture scientifique, au Conseil scientifique de la grotte Chauvet, et contribue, en tant qu’expert, à la mise en place de la chaîne de télévision, la Cinquième[11],[12].

Politique américaine[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet poursuit, avec la politologue Nicole Bacharan, une analyse de la politique des États-Unis et de l’histoire de la démocratie américaine, qui a débouché sur plusieurs ouvrages écrits en commun, notamment Le Guide des élections américaines[13], 11-Septembre le jour du chaos[14], Les Secrets de la Maison Blanche[15] et First Ladies[16].

Il intervient régulièrement dans la presse écrite, à la radio et à la télévision sur les sujets concernant les États-Unis, notamment sur les chaines d’information (CNews, LCI, BFM TV, France Info TV, TV5 Monde, France 24, LCP, M6)[17],[18],[19]. En 2016, sur le plateau de Sonia Mabrouk, il incite les journalistes à plus d’audace face au président Donald Trump, affirmant qu’il est de leur responsabilité de rétablir la vérité des faits[20]. En 2020, il déclare que, pour lui, le mandat de Donald Trump, marqué par les abus de pouvoir, le mépris des institutions et les conflits d’intérêts, révèle un affaiblissement des valeurs américaines et une crise grave de la démocratie[21],[22].

Écologisme[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est l’un des premiers animateurs de l'écologie politique en France, auteur de L’Écologisme (PUF). Selon les auteurs du livre « Génération Verte »[23], il s'engage à 23 ans en organisant une manifestation pour protester contre la censure d’un film télévisé sur l’énergie nucléaire : reçu en urgence à l’Élysée avec le leader Brice Lalonde, il obtient l’engagement du président Valéry Giscard d'Estaing pour la diffusion de l’émission. Il écrit ensuite plusieurs ouvrages sur l’écologie politique et préside l’association Les Amis de la Terre en 1977 et 1978[24],[25],[26].

Dans L’Écologisme, ouvrage qui tente de synthétiser la pensée écologiste, Dominique Simonnet défend une écologie réformiste et humaniste : pour lui, la culture prime sur la nature. L’individu doit continuer à s’arracher à ses racines archaïques, développer des valeurs universelles plutôt que de promouvoir le culte du terroir, « ré-inventer la nature » en en gérant la diversité avec intelligence.

Après la répression de la manifestation pacifique contre le projet de surrégénérateur Superphénix à Creys-Malville en juillet 1977, il accuse le préfet de l’Isère René Jannin[27] d’avoir fait preuve d’une violence inouïe et d’être responsable de la mort d’un jeune homme et d’une centaine de blessés[28]. Avec Les Amis de la Terre et plusieurs autres associations, il fonde les listes Paris-Écologie et se porte candidat aux élections municipales de 1977[29] puis aux législatives de 1978, où il obtient 12 % des voix dans la 11e circonscription de Paris[30].

Il quitte ensuite le mouvement écologiste, convaincu que « l’écologie politique doit agir au niveau national en tant qu’acteur de la société civile et non institué en un parti »[31].

En 1992, il fonde néanmoins le mouvement Génération écologie avec Brice Lalonde, ministre de l’Environnement[32], dont il est l'un des porte-parole[33]. Élu aux élections régionales sur la liste parisienne[34], il préside alors le groupe de 23 élus au conseil régional d'Île-de-France, engageant un partenariat critique avec la majorité de droite[35] pour créer une agence de l’environnement et donner la priorité au développement des transports en commun[36],[37],[38]. Il démissionne publiquement de sa fonction en 1995 « pour se consacrer à nouveau à ses activités journalistiques » [39],[40],[41]

Dans les années 2000, Dominique Simonnet se montre toujours critique envers les Verts, qu’il accuse d’avoir discrédité l’écologie en l’ancrant à l’extrême gauche. « L'écologie est culturelle, sociale, philosophique peut-être, voire poétique, déclare-t-il dans une tribune au journal Le Monde. C'est une pratique, un regard porté sur le monde. Ce n'est pas une politique. Un parti écologiste n'a pas plus de sens qu'un parti humanitaire ou féministe »[42]. Plus tard, lors du départ de Nicolas Hulot du gouvernement, dans une autre tribune du Monde, il interroge sur la pertinence d’un ministère de l’Environnement, avançant qu’une « vraie politique écologique doit imprégner toute l’action gouvernementale et irriguer tous les domaines »[43].

Féminisme[modifier | modifier le code]

Dans son ouvrage pamphlet « La Défaite des femmes », plaidoyer pour la liberté des femmes[44], Dominique Simonnet dénonce une « contre-révolution sexuelle » et renvoie dos à dos les « pornographes et les dévots » qui, écrit-il, unis dans même puritanisme, poursuivent une « obsession millénaire » : le contrôle du corps des femmes. En 2013, dans le journal Le Monde, il condamne la pétition de 343 intellectuels masculins qui réclament le recours libre à la prostitution vue comme « libre et heureuse : « pauvres petits hommes, écrit-il, qui revendiquent le droit de se vider à volonté dans le corps des femmes »[45]. En 2016, dans le même journal, il affirme que « le féminisme n’a pas triomphé » et en appelle à un sursaut des féministes non pas contre mais avec les hommes, en mobilisant l’éducation et la culture[46].

Collaboration avec Nicole Bacharan[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet poursuit, avec l'historienne et politologue Nicole Bacharan, une démarche de vulgarisation sur un mode « ludique », qui s'est traduite par l'écriture de quatre romans (la série des Némo, de 1998 à 2004, destinée aux adolescents), dont Némo en Amérique, initiative d'apprentissage de l'anglais par la littérature[47],[48]. Ils ont également écrit ensemble L'Amour expliqué à nos enfants, petit livre d'initiation à l'amour et à la sexualité, paru en 2000. Les deux auteurs partagent un site Web, « Drôle de planète ».

Parolier[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est auteur de textes de chansons pour Louis Bertignac, dont le titre Je dis oui[49] (album Suis-moi) auquel l’actrice Mélanie Laurent prête sa voix[50],[51],[52].

Critique de danse[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est aussi critique de danse pour l’hebdomadaire L'Express, puis pour le mensuel Classica[53],[54]. Il a réalisé plusieurs entretiens avec les personnalités du monde chorégraphique dont Maurice Béjart, Angelin Prejlocaj, Sylvie Guillem, Jiri Kylian, Aurélie Dupont, Nicolas le Riche, Bill T Jones, etc. En 2007, dans une tribune du journal Le Monde, il s’insurge contre « les précieux ridicules d’une certaine danse contemporaine qui se proclame d’avant-garde » et il dénonce les chorégraphes subventionnés qui « cultivent un conformisme élitiste, raillent l’émotion et refusent l’esthétique »[55]. Il est également l’auteur de La Femme qui danse, livre co-écrit avec la danseuse-chorégraphe Marie-Claude Piétragalla.

Vie personnelle[modifier | modifier le code]

Dominique Simonnet est marié depuis 2010 avec Nicole Bacharan, historienne et politologue spécialiste des États-Unis. Il a deux enfants, Célia et Antonin.

Distinctions[modifier | modifier le code]

  • Prix littéraire Jean Rostand 1986
  • Prix Roberval Télévision 1989 [56],[57]
  • Grand prix des radios francophones Paul Gilson
  • Prix national du document littéraire 2015 [58]

Œuvres[modifier | modifier le code]

Essais[modifier | modifier le code]

Romans[modifier | modifier le code]

Livres d'entretiens[modifier | modifier le code]

Avec Caroline de Monaco
Avec Marie-Claude Pietragalla
Avec Michel Pastoureau
Autres livres d'entretiens

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Raymond Pronier et Vincent Jacques le Seigneur, Génération Verte, Paris, Presses de la Renaissance, , 334 p. (ISBN 2-85616-623-7), p 148-149
  2. « L'écologie politique existe », sur lesauvage.org, 1973-1980 (consulté le ).
  3. « Le Sauvage », Mensuel,‎ 1973-1980 (lire en ligne)
  4. « Les archives de la Gueule Ouverte », sur archivesautonomies.org, (consulté le ).
  5. Jean-François Revel, « Editorial », L'Express,‎
  6. « Dominique Simonnet : la science racontée aux enfants », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  7. « Précision », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  8. Krief Rebecca, « Les émissions cette semaine », L'Express,‎
  9. « Catalogue BNF », sur catalogue.bnf.fr, (consulté en ).
  10. « Les anciens présidents de l'AJSPI », sur ajspi.com, (consulté le ).
  11. (en) Alliance Française, « Biographie de Dominique Simonnet »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur placement.af.chicago.org, (consulté le ).
  12. Gala, « Biographie de Dominique Simonnet », sur gala.fr, (consulté le ).
  13. « Deux programmes que tout oppose », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  14. Alain Frachon, « Au fil des pages », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  15. Alain Frachon, « Les Etats-Unis, une histoire à pile ou face », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  16. « Hillary n'a à rougir ni de sa carrière ni de ses choix », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  17. TV5 Monde, « "Une chance inouïe pour Trump" Dominique Simonnet », sur information.tv5monde.com.
  18. BFM TV, « After Business », sur BFMTV.com, (consulté le ).
  19. France 24, « Présidentielle américaine : comment les candidats préparent leurs débats »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur France 24, (consulté le ).
  20. « Que se passerait-il si Hillary devait jeter l'éponge ? », sur cnews.fr, (consulté en ).
  21. Capucine Coquand, « Dominique Simonnet, essayiste et politologue: "le comportement de Donald Trump pose un problème démocratique" », Décideurs,‎ (lire en ligne)
  22. Dominique Simonnet et Nicole Bacharan, « Face à Donald Trump, défendons nos valeurs », Le Monde,‎
  23. Vincent Jacques le Seigneur et Raymond Pronier, Génération Verte, les écologistes en politique, Paris, Presses de la Renaissance, , 334 p (ISBN 2-85616-623-7), p 148-149
  24. « L'écologisme et l'Europe », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  25. « Les écologistes et la protection de la nature dans les années 1970 », sur cairn.info, (consulté le ).
  26. « Ecologie et politique dans les années 1970 : les Amis de la Terre en France », Vingtième siècle, revue d'Histoire,‎ (lire en ligne)
  27. « René Jannin préfet de l'Isère », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  28. Dominique Simonnet, « Où sont les responsables », Le Quotidien de Paris,‎
  29. « La bataille pour la mairie de Paris : les 109 candidats Paris Ecologie », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  30. « Spécial Municipales Paris », Le Courrier de la Baleine,‎
  31. « L'écologie est-elle morte ? », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  32. « Génération Ecologie », sur france-politique.fr, (consulté le ).
  33. « Le conseil national de Génération Écologie », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  34. « Les candidats de M. Brice Lalonde à Paris », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  35. « M. Michel Giraud (RPR) gouvernera sans majorité », Le Monde,‎ (M. Michel Giraud (RPR) gouvernera sans majorité)
  36. « Accord de Génération Ecologie avec l'exécutif du conseil régional d'Ile de France », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  37. « Après l'« accord de principe » de Génération Écologie une majorité se dessine pour adopter le budget de la région », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  38. « La majorité RPR-UDF concède aux écologistes le gel des travaux de l'A 86 », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  39. AFP, « Démission de Dominique Simonnet, président du groupe Génération Ecologie au Conseil régional d'Ile de France », Libération,‎
  40. « Deux élus de Génération Ecologie rejoignent les Verts au conseil régional », Libération,‎ (lire en ligne)
  41. « Election au groupe Génération Ecologie », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  42. Dominique Simonnet, « L'écologie n'est pas morte, c'est l'écologie politique qui n'existe plus », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  43. Dominique Simonnet, « « Le mal-être de Nicolas Hulot est un symbole » », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  44. Anne Irjud, « Dominique Simonnet est un homme qui défend la liberté des femmes », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne)
  45. Dominique Simonnet, « Invoquer la «liberté» d’user du corps d’une autre est une véritable honte », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  46. Dominique Simonnet, « Non, le féminisme n’a pas triomphé, par Dominique Simonnet », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  47. « "Nemo en Amérique" », sur Le Monde, (consulté le ).
  48. Géraldine Fais, « Apprendre l'anglais en suivant le périple imaginaire de deux adolescents à travers les Etats-Unis », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  49. « Je dis oui », sur nostalgie.fr, (consulté le ).
  50. Thomas C., « Chronique musicale : Suis-moi, nouvel album de Louis Bertignac », sur lycee.zebrock.org, (consulté le ).
  51. Luc Dehon, « Louis Bertignac : suis moi »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur idolesmag.com, (consulté le ).
  52. Benoit Gabariaud, « Louis Bertignac, l'amour, les femmes et les guitares », sur mensup.fr, (consulté le ).
  53. Dominique Simonnet, « Dansez maintenant », Classica,‎ 2005-2020
  54. Dominique Simonnet, « Dansez maintenant »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur fr.scribd.com, (consulté le ).
  55. Dominique Simonnet, « Les précieux ridicules de la danse », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  56. « Prix Roberval, le palmarès », sur prixroberval.utc.fr, (consulté le ).
  57. « Du côté des prix », Le Monde,‎ (lire en ligne)
  58. Fabienne Faire, « Le prix du document littéraire remis samedi », La Montagne,‎ (lire en ligne)
  59. Dominique Simonnet est crédité comme collaborateur dans la notice de l'ouvrage sur le catalogue BN-Opale Plus de la Bibliothèque nationale de France, avec le libellé indiqué.

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