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Chenay-le-Châtel

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Chenay-le-Châtel
Chenay-le-Châtel
La mairie.
Blason de Chenay-le-Châtel
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Charolles
Intercommunalité Communauté de communes de Marcigny
Maire
Mandat
Philippe Duplatre
2023-2026
Code postal 71340
Code commune 71123
Démographie
Gentilé Chenaillots
Population
municipale
372 hab. (2021 en évolution de −5,82 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 13′ 42″ nord, 3° 56′ 24″ est
Altitude Min. 267 m
Max. 344 m
Superficie 32,14 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Roanne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Paray-le-Monial
Législatives 2e circonscription de Saône-et-Loire
Localisation
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Chenay-le-Châtel
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Chenay-le-Châtel
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Chenay-le-Châtel
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Chenay-le-Châtel

Chenay-le-Châtel est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie

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Chenay-le-Châtel, commune de Saône-et-Loire, limitrophe du département de la Loire, fait partie du Brionnais.

C'est l'une des six communes du département de Saône-et-Loire située sur la rive gauche de la Loire (à l'ouest du fleuve dans cette partie de son cours).

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Céron, La Pacaudière, Saint-Martin-d'Estréaux, Urbise, Vivans, Artaix et Melay.

Rose des vents Céron Artaix Rose des vents
Urbise
(Loire)
Saint-Martin-d'Estréaux
(Loire)
N Melay
O    Chenay-le-Châtel    E
S
La Pacaudière
(Loire)
Vivans (Loire)

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 32,14 km2 ; son altitude varie de 267 à 344 mètres[1].

Hydrographie

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Carte hydrographique de la commune.
L'Arçon à la station épuration de Chenay-le-Châtel.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 798 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Arfeuilles », sur la commune d'Arfeuilles à 18 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 951,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −18 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Brionnais est une terre d'embouche[C'est-à-dire ?], un peu de céréales et de vignes. Territoire ondulé, formé de petites collines renfermant des vallées peu profondes comme celle de l'Arçon et de l'Arcelles, deux rivières tributaires de la Loire à Artaix.

Au , Chenay-le-Châtel est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Roanne, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 88 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (80,5 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), terres arables (8 %), forêts (3,2 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 246, alors qu'il était de 240 en 2015 et de 228 en 2010[I 2].

Parmi ces logements, 69,8 % étaient des résidences principales, 16,1 % des résidences secondaires et 14,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,3 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chenay-le-Châtel en 2020 en comparaison avec celle de Saône-et-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,1 %) supérieure à celle du département (7,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 83,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84 % en 2015), contre 64,2 % pour la Saône-et-Loire et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Chenay-le-Châtel en 2020.
Typologie Chenay-le-Châtel[I 2] Saône-et-Loire[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 69,8 82,3 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,1 7,4 9,7
Logements vacants (en %) 14,1 10,2 8,2

Chenay-le-Châtel (Castrum chanoeum) tire son suffixe d'un antique château « implanté dans un lieu où poussent les chênes », château dont il ne reste aujourd'hui que la motte.

Ancien Régime

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Chenay faisait autrefois partie du diocèse d'Autun, et son patron était le prieur d'Anzy-le-Duc, dont la cure était sous le patronage de l'abbaye Saint-Martin d'Autun, qui en eut confirmation par une bulle du pape Alexandre III réfugié en France, et datée d'avril 1164[13], charte dans laquelle Chenay est désigné sous le nom de Canato.

La paroisse dépendait de la justice du château de Maulevrier et du bailliage et recette de Semur-en-Brionnais. Mais une partie des hameaux était en Forez (bailliage de Montbrison).

La motte de Chenay

En 1390, une visite du château qui a donné son suffixe au nom de la commune nous précise qu'il comprend : une salle, une cuisine, une tour carrée, une tour ronde, un pont-levis et une basse-cour, le tout défendu par une enceinte de bois[14]. Aujourd'hui le site est occupé par une exploitation agricole. La motte de forme circulaire mesure 25 mètres de diamètre et elle est haute de 6 mètres. Deux enclos large chacun de 30 mètres l'entourait et sa défense était assurée par des fossés partiellement comblés de nos jours.

En 1233[14], le chevalier Himbertus de Sarreceyo reprend en fief le domaine de Chenay du comte de Nivernais et Forez. En 1380[14], le château est cité et il est la possession de la famille de Chaugy qui le conservera jusqu'à la fin du XVIe siècle[14]. Il passe alors aux familles de Blot, puis de Thenay et de la Guiche qui le cède à François Andrault de Langeron, marquis de Maulevrier (Melay) en 1670[14]. Après la Révolution, Adélaïde Geneviève de Langeron donnera Chenay et Maulevrier à Léonce Louis Melchior de Vogüé, son petit-fils.

Les Hospitaliers

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Le territoire actuel de Chenay a comporté jadis la petite paroisse de l'Hôpital-de-Chenay qui a été supprimée à la Révolution française. Le hameau de l'hôpital était une possession des Hospitaliers l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, initialement membre de la commanderie d'Anglure puis de celle de Beugnet au sein du grand prieuré d'Auvergne[15].

Son nom proviendrait de l'existence d'un hôpital sur une route menant à Saint-Jacques-de-Compostelle. Qui dit paroisse dit église. Il existait effectivement une chapelle (avec son cimetière). De cette chapelle subsiste un petit bâtiment à usage de grange et situé non pas au lieu-dit l'Hôpital, mais aux Sagets. Les cahiers paroissiaux de l'hôpital sont annexés à ceux de Chenay dans l'exemplaire des archives départementales (les BMS de la mairie n'existent plus).

Époque contemporaine

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En 1897, la commune comptait sept aubergistes, deux marchands de bois, deux bouchers, deux boulangers, un charpentier, deux charrons, un marchand de chaux, trois cordonniers, six couturières, six épiciers, trois forgerons, un jardinier, quatre maçons, deux maréchaux-ferrants, trois menuisiers, trois meuniers, deux modistes, deux quincailliers, deux marchands de sabots, deux marchands de tabac et quatre tailleurs d'habits. Tous ces commerçants et artisans on pratiquement disparu (il reste néanmoins un épicier faisant office de dépôt de pain et un boucher plus quelques artisans ainsi qu'une école et un bureau de poste)[16].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Charolles du département de la Saône-et-Loire.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Marcigny[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Paray-le-Monial

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de Saône-et-Loire.

Intercommunalité

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Chenay-le-Châtel est membre de la communauté de communes de Marcigny, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1993 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
octobre 1947 juin 1995 Maurice Peguet[17]   Éleveur, syndicaliste agricole
Président fondateur de deux Cuma
Président d’une caisse locale d’assurance
Administrateur de la caisse locale et régionale du Crédit agricole
Officier du Mérite agricole
juin 1995 2014[18] Hubert Rondy[19]    
2014 mai 2023[20] Cathy Bailly   Vice-présidente de la communauté de communes de Marcigny ( ? → 2023)
Chevalière de l’ordre des Palmes académiques
Morte en fonction
juillet 2023[21] En cours
(au 30 novembre 2023)
Philippe Duplatre   Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

Équipements et services publics

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L'école.

Enseignement

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Un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) regroupe les écoles de Melay, Chenay-le-Châtel et Artaix.

Population et société

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Les habitants sont les Chenaillots et les Chenaillotes[22], Chenayots[23].

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[25].

En 2021, la commune comptait 372 habitants[Note 3], en évolution de −5,82 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9601 0651 0271 0531 0551 0871 1181 1421 200
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 2471 2101 2501 2851 2501 2221 2171 1861 168
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1711 1341 105913913865831701679
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
646602531477404386396397402
2017 2021 - - - - - - -
382372-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Église Saint-Martin.
  • L'église actuelle (XIXe siècle) a remplacé une église assez remarquable datant du XIe siècle et dont la construction est à rattacher parmi les constructions des moines de l'abbaye de Saint-Martin d'Autun selon Jacques-Gabriel Bulliot, dont il donne la description suivante :
« Le plein cintre domine généralement dans toutes les arcatures, au sanctuaire, au chœur, dans les fenêtres; la porte principale offre seule une faible trace d'ogive. La nef, longue de 14,52 m, large de 7,90 m, présente contrairement aux autres basiliques de l'Abbaye d'Autun, une déviation sensible de l'axe longitudinal O-N. Quelques additions ont légèrement modifié le plan primitif de cette église. Plusieurs fenêtres furent supprimées pour faire place à des dispositions nouvelles ; une porte latérale a été ouverte à gauche en 1699, comme l'indique la date inscrite sur la clef de voûte.
Les chapiteaux des six colonnes qui soutiennent les arcs du sanctuaire sont ornés de feuille d'acanthe, d'un assez bon travail, renversées sur les chapiteaux de gauche. Dans le reste de l'église, ils sont chargés de sujets sculptés représentant des scènes de l'Ancien Testament. Sur la colonne engagée, Adam succombant à la tentation, reçoit le fruit défendu ; sur une des faces latérales, l'Ange le chasse du Paradis terrestre ; sur l'autre un horrible démon vomit un serpent. Sur le chapiteau opposé, la réparation correspond à la chute originelle. Le Rédempteur est né, et les Rois Mages sur des chevaux, suivent l'étoile mystérieuse. Hérode sur son siège royal, s'arrache les cheveux de désespoir ; les Mages prosternés baisent les mains de l'Enfant Sauveur assis sur les genoux de sa mère. Jésus-Christ emmailloté dans son berceau, est réchauffé par le bœuf et l'âne. La tentation dans le désert. Le Démon sous la figure du Sphinx, présent au Christ la pierre qu'il lui demande de changer en pain ; le Christ lui présent le livre, où est écrite la condamnation de Satan.
La lutte du Démon et de l'Ange gardien. L'Ange couvre le chrétien confié à sa protection de son bouclier où s'émousse le trident infernal ; il enfonce son glaive dans le front du Démon. Ailleurs, un homme accroupi, symbole du pécheur, voit ses seins dévorés par deux énormes serpents. »[27].

Personnalités liées à la commune

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  • Férréol Reuillet (1842-1887), médecin, chirurgien, homme politique, y est né. Conseiller général et député de la Loire le 1er octobre 1885 succédant à Charles Cherpin, sénateur. Auteur d'articles d'intérêt local et de publications scientifiques sur « Les Eaux granitiques du Roannais et les barrages ».

Héraldique

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Blason de Chenay-le-Châtel Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'azur à trois étoiles d'argent, aux 2e et 3e d'argent à trois fasces vivrées de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Chenay-le-Châtel et Arfeuilles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Arfeuilles », sur la commune d'Arfeuilles - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Arfeuilles », sur la commune d'Arfeuilles - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Roanne », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Cartulaire de l'abbaye Saint-Martin d'Autun : charte no XVIII.
  14. a b c d et e Jean-Marie Jal, Les châteaux du Brionnais Xe – XVIIIe siècle, Histoire et patrimoine rural en Bourgogne du Sud no 7, Les Éditions du Centre d'études des patrimoines - Pays Charolais-Brionnais, Saint-Christophe-en-Brionnais, 2013, (ISBN 979-10-91041-01-0), p. 41.
  15. Pierre-Frédéric Philippon, « Implantations et réseaux hospitaliers en Bourbonnais (XIIIe – XVe siècle) », dans Damien Carraz (dir.) et al., Les établissements hospitaliers dans le massif central et ses périphéries au Moyen Âge : des territoires aux réseaux, Presses universitaires Blaise Pascal, (ISBN 978-2-8451-6668-4, lire en ligne), p. 36-37,39,44.
  16. Almanach de Saône-et-Loire
  17. « Maurice Peguet n’est plus », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Dernière cérémonie des vœux pour le maire, Hubert Rondy », Le Pays,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « L’ancien maire et l’adjoint à la voirie distingués », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Emmanuel Daligand, « Maire de la commune, Cathy Bailly faisait l’unanimité : Maire de la commune depuis 2014, Cathy Bailly est décédée ce dimanche 21 mai des suites d’une longue maladie. Elle laisse derrière elle l’image d’une élue rurale particulièrement impliquée, discrète et appréciée », Le Journal de Saône-et-Loire,‎ (lire en ligne Accès limité)
  21. « Chenay-le-Châtel. Monsieur Duplatre est le nouveau maire de Chenay-le-Châtel », La Renaissance,‎ (lire en ligne)
  22. Lex Jacquelot, Le Langage populaire de Mâcon et des environs, Slatkine Reprints, Genève, 1978, p. 54
  23. habitants.fr
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Jacques-Gabriel Bulliot, Histoire de l'abbaye Saint-Martin d'Autun, p. 554-555.