Saint-Just (Hérault)

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Saint-Just
Saint-Just (Hérault)
Vue aérienne
Blason de Saint-Just
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Montpellier
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lunel
Maire
Mandat
Hervé Dieulefes
2020-2026
Code postal 34400
Code commune 34272
Démographie
Gentilé Saint-Justois
Population
municipale
3 282 hab. (2021 en augmentation de 4,09 % par rapport à 2015)
Densité 540 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 39′ 29″ nord, 4° 06′ 53″ est
Altitude Min. 2 m
Max. 9 m
Superficie 6,08 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Lunel
(banlieue)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lunel
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Just

Saint-Just [sɛ̃ ʒyst] (en occitan Sant Just ['sant 'd͡ʒyst]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Géographie


Carte

Commune de l'Hérault de 608 ha dans le canton de Lunel dont vignes, vergers et autres cultures se dispersent dans un territoire encore marqué par le cadastre romain - le cami salinié (chemin du sel), qui traverse la partie nord du finage, en est un élément.

Le centre ancien est entouré par plusieurs grands lotissements; cave coopérative, coopérative fruitière (Cofruidoc, 60 salarié). La commune n'avait que 580 hab. en 1975 et sa population a crû très vivement ensuite, passant par 1 600 hab. en 1990; le mouvement s'est toutefois ralenti, la commune ne gagnant que 120 hab. entre 1999 et 2005. Juste au sud, la commune de Saint-Nazaire-de-Pézan (540 habitants, 566 ha) s'avance dans la plaine submersible le long du canal de Lunel mais n'atteint pas l'étang de l'Or, dont la rive orientale appartient à Marsillargues.


Accès routier

Hydrographie

Le Ruisseau des Cabanettes est le principal cours d'eau de la commune.

Climat

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 14,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 11,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 16,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 679 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 5,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 2,3 j

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Marsillargues », sur la commune de Marsillargues, mise en service en 1988[6]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 14,8 °C et la hauteur de précipitations de 621,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Montpellier-Aéroport », sur la commune de Mauguio, mise en service en 1946 et à 10 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 14,7 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,1 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,5 °C pour 1991-2020[12].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 3]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux[14],[15], mais aussi de la directive habitats, l'« étang de Mauguio » ou « étang de l'Or ». D'une superficie de 7 020 ha, cette lagune communique avec la mer par un grau qui relie le Sud-Ouest de l'étang au port de Carnon. L'étang est entouré par une gamme variée d'habitats naturels : un système dunaire, des milieux saumâtres à hyper salés sur les rives sud et est et des milieux saumâtres à doux influencés par l'eau douce sur les rives nord. Ce site présente une diversité des milieux et des conditions d'hygrométrie et de salinité, lui conférant un intérêt ornithologique remarquable[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 4] est recensée sur la commune[17] : le « marais de Tartuguière et du Grès » (662 ha), couvrant 5 communes du département[18].

Urbanisme

Typologie

Saint-Just est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Lunel, une agglomération inter-départementale regroupant 9 communes[22] et 51 540 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[25],[26].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (81,7 %), zones urbanisées (14,9 %), cultures permanentes (3,3 %)[27].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Histoire

Plan cadastral napoléonien (1812).

Saint-Pierre d’Obilion

Le site de Saint-Pierre d’Obilion se trouve sur la commune de Saint-Just, à 250 m à l’est de la limite communale avec Lansargues, près du Mas de Viala. D’après les écrits : « Le , un certain Bernardus fait don aux chanoines de Nîmes de tout ce qu’il possède dans plusieurs domaines… ». Dans ce texte, OBILION ne possède pas le statut de ville, mais apparaît comme simple lieu-dit. En juin, 1168, Obilion, est rattaché au diocèse de Maguelone. L’église d’Obilion était dédiée à saint Pierre. On peut considérer que ce lieu est le site historique et originel de Saint-Just. Toujours d’après certains écrits, il semble que c’est en 1173 que les habitants des différents domaines agricoles, jusque-là dispersés (dont certains à Saint-Pierre d’Obilion), se regroupent et forment « Castum San Justi », qui signifie « Le château de Saint-Just ». Un document des archives nous permet de nous faire une idée sur les droits seigneuriaux et les mœurs de l’époque :

  • en 1202, Raymond de Saint-Just cède au seigneur de Lunel certains droits de justice et de finance qu’il avait au marché de Lunel. En échange, il reçoit en fief et hommage, pour lui et les siens, le lieu de Saint-Just, avec les forteresses qui y sont, et toutes les justices des hommes et des femmes, excepté celles des procès qui surgiront au sujet du bétail ou qui auront lieu entre un étranger et un habitant de Saint-Just, lesquels procès devront être menés, agités et terminés par la Cour de Lunel. En outre, le suzerain promet au vassal de ne plus faire à l’avenir aucune levée de taille, de quêtes sur les habitants du fief concédé, se réservant toutefois les chevauchées et corvées nécessaires pour son château de Lunel, ainsi que le droit de pouvoir lui faire « Bien et Mal qui lui plaira ».

À Saint-Just, il ne reste des forteresses qu’un vieux mur avec les traces de deux portes romanes et de la Renaissance, rue Frédéric-Mistral, et le nom d’une ferme communément appelée « Le Château ». La superficie cadastrée est de 587 hectares environ, à laquelle il faut ajouter un territoire de marais. En effet, un acte en date du , atteste d’une donation faite au monastère d’Arboras, des marais s’étendant de l’Hournède à l’étang, par Gaucelin, seigneur de Lunel.

  • Vers 1430, les sœurs du monastère d’Arboras, font don à leur tour des marais aux villages avoisinants. C’est ainsi que Saint-Just possède 43,50 hectares de ces marais.
  • Vers 1883, il fut procédé à la reconstruction du mazet communal de Portaïe, situé dans les marais, et qui était d’une grande utilité aux fermiers.
  • Il y avait déjà des taureaux à Saint-Just en 1891, pour la fête du village. Le bétail était fourni par le sieur Prosper Riey du Cailar.

Des traditions tauromachiques bien ancrées et qui se perpétuent chaque année, durant la fête locale qui a lieu à partir du premier dimanche d’août et les cinq ou six qui suivent. Pendant la fête, des journées à thème sont proposées : journée à l’ancienne, journée du taureau, journée du sport. Plusieurs déjeuners aux prés sont organisés afin de partager et de perpétuer la tradition camarguaise dans la convivialité.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1795 Antoine Castan    
1795 1798 Louis Boulet    
1798 1808 Antoine Castan    
1808 1816 André Boulet    
1816 1826 Pierre Boulet    
1826 1832 Etienne Boulet    
1832 1838 Jacques Granier    
1838 1843 Jacques Heraud    
1843 1848 Pierre Manse    
1848 1848 Pierre Castan    
1848 1852 Antoine Castan    
1852 1855 Louis Lambremon    
1855 1865 Jean Raynaud    
1865 1867 André Blaquisse    
1867 1870 Simon Vidal    
1870 1874 Jacques Astruc    
1874 1876 Simon Vidal    
1876 1877 Jacques Astruc    
1877 1877 Simon Vidal    
1877 1878 Jacques Astruc    
1878 1879 André Castan    
1879 1887 Jacques Vidal    
1887 1888 Jean Alverny    
1888 1892 Honoré Salvet    
1892 1896 Jacques Astruc    
1896 1900 Pierre Euzeby    
1900 1904 Eugène Lafon    
1904 1905 Guillaume Euzeby    
1905 1910 Adrien Menteyne    
1910 1915 Pierre Lignon    
1915 1915 Charles Castan   Adjoint qui remplace le Maire mobilisé
1915 1917 Albert Sondart    
1917 1919 Charles Castan   Adjoint qui remplace le Maire mobilisé
1919 1919 Pierre Lignon    
1919 1944 Alphonse Arnaud    
1944 1947 Léonce Boulet   Président du Comité local de Libération
1947 1959 Fernand Peyronnet    
1959 1971 Louis Mazauric    
1971 1983 René Valette[28] DVG  
mars 1983 En cours Hervé Dieulefes PS Retraité
1er vice-président de la communauté de communes
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 3 282 habitants[Note 7], en augmentation de 4,09 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
234247232286360424426459472
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
450480522518486474451480500
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
508535530568571591538440456
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5115445811 0341 5682 4932 6102 6362 851
2015 2020 2021 - - - - - -
3 1533 2903 282------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Sainte-Agathe
  • Église Notre-Dame du Lac

Héraldique

Les armoiries de Saint-Just se blasonnent ainsi :

Parti : au premier d'or aux lettres capitales de sable ST, J, U, S, T, rangées en pal, au second de sinople à la croix cléchée, pommetée d'or et remplie de gueules, posée dans le canton senestre de la pointe ; à Saint Just de carnation habillé d'une tunique de gueules et tenant dans sa senestre une palme d'argent, brochant sur la partition.

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  4. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  4. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  6. « Station Météo-France Marsillargues - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Saint-Just et Marsillargues », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France Marsillargues - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Saint-Just et Mauguio », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Montpellier-Aéroport - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Just », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR9101408 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  16. « site Natura 2000 FR9112017 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Just », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « marais de Tartuguière et du Grès » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Lunel », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  23. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  28. A parrainé la candidature de Huguette Bouchardeau (PSU) en 1981.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Valérie Luxey, « Lunel : Yassine Sakkam, djihadiste présumé, condamné à mort en Irak », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Louise Guiraud, « La reconstruction des églises du diocèse de Montpellier, après les guerres de religion : documents inédits », Revue historique du diocèse de Montpellier,‎ 1911-1912, p. 82-89
  • Christine Marichy, Réalité toponymique et représentation administrative : contribution méthodologique à une étude de microtoponymie portant sur 17 communes du département de l'Hérault (34), S.l., s.n., , 1848 p.
  • Benno Sternberg-Sarel, « Grands et moyens propriétaires dans deux villages de l'Hérault [Saint-Just et Saint-Nazaire de Pézan] », Revue françaises de sociologie, t. II, no 4,‎ , p. 259-271

Fonds d'archives

Articles connexes

Liens externes

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