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Saint-Front-sur-Nizonne

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Saint-Front-sur-Nizonne
Saint-Front-sur-Nizonne
L'église Saint-Front de Saint-Front-sur-Nizonne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes du Périgord Nontronnais
Maire
Mandat
Gérard Chapeau
2022-2026
Code postal 24300
Code commune 24411
Démographie
Population
municipale
164 hab. (2021 en évolution de +4,46 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 28′ 56″ nord, 0° 38′ 12″ est
Altitude Min. 153 m
Max. 263 m
Superficie 13,05 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nontron
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Périgord vert nontronnais
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Front-sur-Nizonne
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Saint-Front-sur-Nizonne

Saint-Front-sur-Nizonne est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Elle est intégrée au parc naturel régional Périgord Limousin.

Géographie

Généralités

Communes limitrophes

Carte de Saint-Front-sur-Nizonne et des communes avoisinantes en 2015, avant la création des communes nouvelles de Brantôme en Périgord et de Mareuil en Périgord.

Saint-Front-sur-Nizonne est limitrophe de cinq autres communes.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,8 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 958 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 20 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 63 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

Milieux naturels et biodiversité

ZNIEFF

La vallée de la Nizonne est protégée dans sa traversée de la commune au titre de la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « Vallée de la Nizonne »[14],[15].

Sa faune est constituée d'environ 250 espèces dont trente sont considérées comme déterminantes :

Sa flore est également riche de plus de deux cents espèces de plantes, dont neuf sont considérées comme déterminantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), l'Hélianthème blanc (Helianthemum canum), l'Orchis à fleurs lâches (Anacamptis laxiflora), l'Orpin de Nice (Sedum sediforme), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sabline des chaumes (Arenaria controversa), le Scirpe des bois (Scirpus sylvaticus) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis).

Sur le territoire communal, sur moins de quatre hectares en aval de la station de pompage, une zone minime, riveraine de la Nizonne, fait partie d'une ZNIEFF de type I « Marais alcalins de la vallée de la Nizonne »[16],[17] dans laquelle ont été recensées douze espèces déterminantes d'animaux : l'Agrion de Mercure (Coenagrion mercuriale), l'Azuré de la croisette (Phengaris rebeli), l'Azuré de la sanguisorbe (Phengaris teleius), la Cistude (Emys orbicularis), la Cordulie à corps fin (Oxygastra curtisii), le Cuivré des marais (Lycaena dispar), le Fadet des laîches (Coenonympha oedippus), le Gomphe de Graslin (Gomphus graslinii), la Loutre d'Europe (Lutra lutra), la Rainette verte (Hyla arborea), le Triton marbré (Triturus marmoratus) et le Vison d'Europe (Mustela lutreola), ainsi que cinq espèces déterminantes de plantes : la Fritillaire pintade (Fritillaria meleagris), la Gentiane des marais (Gentiana pneumonanthe), le Pigamon jaune (Thalictrum flavum), la Sagittaire à feuilles en flèche (Sagittaria sagittifolia) et l'Utriculaire citrine (Utricularia australis). Par ailleurs, 160 autres espèces animales et 156 autres espèces végétales y ont été répertoriées.

Natura 2000

Dans leur traversée de la commune, la Nizonne et sa vallée[18] font partie d'une zone du réseau Natura 2000 également appelée « Vallée de la Nizonne » avec vingt espèces animales inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne[19] :

Urbanisme

Typologie

Saint-Front-sur-Nizonne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nontron, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (68,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (64,3 %), zones agricoles hétérogènes (30,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,2 %), prairies (1,3 %)[25].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

En occitan, la commune porte le nom de Sent Front de Champs Niers[26]. Cette appellation correspond au nom qu'avait la commune avant 1912 (Saint-Front-de-Champniers).

Histoire

Au XIIIe siècle, Saint-Front de Champniers était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[27].

En 1912, la commune de Saint-Front-de-Champniers prend le nom de Saint-Front-sur-Nizonne.

Politique et administration

Intercommunalité

Fin 2002, Saint-Front-sur-Nizonne intègre dès sa création la communauté de communes du Périgord Nontronnais. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Périgord vert nontronnais. Au , celle-ci fusionne avec la communauté de communes du Haut-Périgord pour former la nouvelle communauté de communes du Périgord Nontronnais.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[28],[29].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1973 août 2010 Hubert Chapeau[Note 7] SE[30] Retraité
septembre 2010[31] octobre 2021 Michel Gaborit[Note 8]    
novembre 2021 janvier 2022 Gérard Chapeau[Note 9]   Premier adjoint faisant fonction de maire
janvier 2022 En cours Gérard Chapeau[32],[Note 9]    

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Saint-Front-sur-Nizonne relève[33] :

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 164 habitants[Note 10], en évolution de +4,46 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
371308325340366374373395358
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
380357351328343354309318322
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
297322307232223215195155142
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
145949591122135138138151
2017 2021 - - - - - - -
157164-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Fromage de chèvre « Barot Domaine de Sansac ».

Emploi

En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 73 personnes, soit 46,5 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (huit) a augmenté par rapport à 2010 (quatre) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 11,0 %.

Établissements

Au , la commune compte vingt-trois établissements[39], dont douze au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans l'industrie, trois dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et deux dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[40].

Entreprises

Les Éditions de l'Encyclopédie des Nuisances ont leur siège social dans cette commune. Le domaine de Sansac commercialise des fromages de chèvre.

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Décédé en fonctions. Source : Julie Martinez, « Décès du maire Hubert Chapeau », Sud Ouest édition Périgueux, .
  8. Démissionnaire.
  9. a et b Fils de Hubert Chapeau, maire de 1973 à 2010. Source : « Gérard Chapeau, maire malgré lui », Sud Ouest édition Dordogne,, p. 17.
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Saint-Front-sur-Nizonne et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Saint-Front-sur-Nizonne et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. [PDF] 720008181 - Vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  15. Carte de la ZNIEFF 720008181, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  16. [PDF] 720020064 - Marais alcalins de la vallée de la Nizonne, GEREA, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  17. Carte de la ZNIEFF 720020064, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  18. Carte du site FR7200663, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  19. [PDF] FR7200663 - Vallée de la Nizonne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
  20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  26. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Front de Champs Niers sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 19 septembre 2021.
  27. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
  28. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 10 septembre 2020.
  29. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 12 novembre 2020.
  30. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 17.
  31. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 28 août 2014.
  32. Katia Scifo, « Deux nouveaux maires ont été élus », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 18.
  33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Dossier complet - Commune de Saint-Front-sur-Nizonne (24411) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 26 décembre 2018.
  39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  40. Dossier complet - Commune de Saint-Front-sur-Nizonne (24411) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 26 décembre 2018.
  41. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 18.
  42. « Ancienne résidence médiévale dite du Repaire », notice no PA24000025, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 septembre 2014.
  43. Hervé Lapouge: Châteaux du Nontronnais. Dans : Nontron & le Pays Nontronnais, sous la coordination de Jacques Lagrange, Pilote 24, vol.2, 1997, (ISBN 2-9509149-5-0), p. 48 à 74.
  44. « Église », notice no PA00082835, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 5 septembre 2014.