Rothau

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Rothau
Rothau
Mairie de Rothau.
Blason de Rothau
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Molsheim
Intercommunalité Communauté de communes de la Vallée de la Bruche
Maire
Mandat
Marc Scheer
2020-2026
Code postal 67570
Code commune 67414
Démographie
Gentilé Rothauquois, Rothauquoises [1]
Population
municipale
1 491 hab. (2021 en diminution de 4,05 % par rapport à 2015)
Densité 384 hab./km2
Population
agglomération
12 879 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 48° 27′ 20″ nord, 7° 12′ 33″ est
Altitude Min. 319 m
Max. 690 m
Superficie 3,88 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine La Broque
(ville-centre)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Mutzig
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Rothau
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Rothau
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Rothau
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Rothau

Rothau est une commune française du département du Bas-Rhin, en région Grand Est.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Située dans la vallée de la Bruche, à proximité de Schirmeck, dans l'ancien comté du Ban de la Roche, c'est une petite ville qui a connu une forte activité industrielle, d'abord centrée sur les mines de fer et les forges, puis sur le tissage et les filatures[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
Mairie
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes.

Située dans la vallée de la Bruche, Rothau forme avec les communes de La Broque et de Schirmeck une agglomération d'environ 7 000 habitants.

Rothau se situe exactement au centre de la communauté de communes de la haute vallée de la Bruche.

Rothau est l'unique des anciennes annexes du Ban de la Roche à avoir aujourd'hui une population supérieure à 1 000 habitants. Des localités incluses dans les anciens cantons de canton de Saales et de Schirmeck réunis, ce qui fait ainsi 23 communes, Rothau est la quatrième plus grande commune en nombre d'habitants, derrière La Broque, Schirmeck et Wisches.

Si Rothau subit aujourd'hui une légère baisse de sa population, la fermeture de l'usine textile Steinheil, en 2005, en est la principale cause. Cette structure, implantée dans la commune durant plus d'un siècle, était une source d'emploi importante dans la vallée de la Bruche.

Sa surface inclut la rive Est de la Bruche. L'agglomération se situe de part et d'autre de la Rothaine, mais le reste du territoire continue de s'étendre au Sud de cette rivière, et s'arrête avant d'atteindre les vallées de Solbach et de Wildersbach. Comme dit plus haut, Rothau est une ville centrale, avec systématiquement un village à proximité, quel que soit son azimut. Cela rend son territoire très limité.

Pour résumer, à l'échelle locale, Rothau a une population élevée pour une superficie qui n'est pas des plus grandes de la vallée. Cela classe cette commune comme la plus dense de ses environs (à l'échelle du canton de Mutzig, elle est derrière Mutzig et Villé).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 006 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 11 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belmont », sur la commune de Belmont à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 7,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 341,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 30,9 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,3 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rothau est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Broque, une agglomération intra-départementale regroupant 8 communes[13] et 12 879 habitants en 2021, dont elle est ville-centre[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (85,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (78,5 %), zones urbanisées (19,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

La première mention de Rothau est de 1398 (Roto). La localité faisait partie de l'ancienne seigneurie du Ban de la Roche dont elle était la capitale administrative au XVIe siècle (après la destruction du château médiéval en 1469 - le château de la Roche à Bellefosse) et siège des paroisses du Ban de la Roche.

La localité a également été du XVIe siècle (sous l'administration des comtes de Veldenz[19]) au début du XIXe siècle (de Dietrich puis Champy) un centre sidérurgique concurrent à celui de Framont-Grandfontaine.

La guerre de Trente Ans (1618-1648) n'affecta le Ban de la Roche que vers 1633. Quoique le secteur de Rothau ne fut touché qu'à une date relativement tardive de ce long conflit, celui-ci causa de nombreux dégâts notamment sous forme de pillages. Les exploitations agricoles et minières furent de même très endommagées.

Rothau fut une localité de confession protestante puisqu'elle avait été autrefois annexée par le Ban de la Roche. Étant toutefois située au plein centre de la vallée de la Bruche, à la croisée de celle-ci avec la vallée de la Rothaine comprenant trois localités en amont ; Rothau a vu très vite augmenter sa population avec, notamment, les installations de forges et, plus tard, de filatures. Rothau est dès lors devenue une commune biconfessionnelle, à la fois protestante et catholique.

De 1725 à 1863, Rothau eut ainsi la particularité d'être une commune disposant d'un simultaneum, c'est-à-dire d'une église unique affectée aux deux confessions, catholique et protestante. Des horaires furent établis afin que les habitants puissent y pratiquer leur culte. Cette pratique du simultaneum faisait de Rothau une exception pour le territoire vosgien, dans lequel la confession catholique était largement dominante. Il fallut attendre l'arrivée du curé Charles Lamy, en 1837, pour faire bouger les choses. Il demanda l'avis des habitants quant à la pratique du simultaneum. Contrairement à d'autres cas, ceux-ci ne se disputaient pas l'édifice, mais pensaient cependant que cette situation ne pouvait durer. En effet, des situations conflictuelles ont déjà eu lieu lorsque les horaires d'église, changeantes, n'étaient pas toujours précisées.

Les décennies suivantes se passèrent dans la négociation ; notamment du côté des protestants qui avaient pour objectif la construction d'un temple. A cette fin il leur fallut demander au préfet de l'Empire des subventions qui finirent par être accordées. Le temple luthérien fut dès lors construit entre 1861 et 1862 et son inauguration eut lieu l'année d'après. La fin du simultaneum fut ensuite proclamée par le préfet. Cependant, l'ancienne église biconfessionnelle était en piteux état. A sa place fut érigée l'actuelle église catholique, en 1868. Celle-ci fut consacrée en 1874 par l'évêque de Saint-Dié-des-Vosges.

Après la Révolution, la commune, comme la plupart de celles du haut de la vallée de la Bruche, faisait partie du département des Vosges.

Aux XVIIIe et XIXe siècles, c'était l'apogée de la manufacture d'armes blanches de Klingenthal, seule de ce cas de tout le royaume de France. Cette fabrique « vallée des lames » pour ainsi dire son nom s'approvisionnait beaucoup aux forges de Rothau car les armes qu'elles donnaient valaient plus cher et étaient très estimées. Il est probable que les armées napoléoniennes sillonnaient l'Europe avec un attirail dont les matières premières provenaient de Rothau. Ces dernières, qui fournissaient les forges dudit village, laissent encore aujourd'hui des traces en forêt évoquant d'anciennes carrières. Elles se localisent notamment au Bambois (forêts communales de Natzwiller et de Grendelbruch). À ces endroits se trouve la grotte des partisans. Comme son nom l'indique, elle a fait objet de refuge à Nicolas Wolff, maire bonapartiste sous le Premier Empire.

Selon la carte d'état-major (Géoportail), au milieu du XIXe siècle, l'agglomération se concentrait encore exclusivement au Sud de la Rothaine, territoire initial du village (vu qu'il appartenait au Ban de la Roche). Selon les anciens recensements de 1880, seules les rues de la Renardière, du Heydé et de la Bessate portent toujours le même nom aujourd'hui.

À la fin du XIXe siècle, un pionnier de l'industrie nommé Gustave Steinheil fit construire une grande usine qui employa de nombreuses personnes issues de toute la vallée. Les habitations vont progressivement se construire sur le territoire nord de la Rothaine et au lieu-dit la Claquette (annexe de La Broque). Aujourd'hui, la population de Rothau est sensiblement répartie aussi bien au nord qu'au sud de la rivière.

En 1940, la commune devint lieu d'accueil des habitants évacués de Schirrhein.

L'usine Steinheil fut définitivement fermée en 2005 puis démantelée à partir de 2013.

Héraldique[modifier | modifier le code]


Blason de Rothau

Les armes de Rothau se blasonnent ainsi :
« De gueules aux trois tours d'argent, ajourées de sable. »[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Roto en 1371.
En welche, on dit Rôte ou Ronte et en alsacien, Rodöü ou Ruudöi.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1971 Paul Horter socialiste  
1972 1988 Guy Schweitzer Gauliste médecin généraliste
1989 2001 Pierre Maire   électricien
2001 En cours
(au 31 mai 2020)
Marc Scheer[21],[22]
Réélu pour le mandat 2020-2026
  médecin
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[24].

En 2021, la commune comptait 1 491 habitants[Note 3], en diminution de 4,05 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
5405545877028199149591 0091 132
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
1 3611 5001 4951 5021 4091 4541 4401 5741 586
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 7261 7801 7861 6241 6271 5751 5781 6071 713
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 8971 8861 7801 5961 5831 5571 5811 5721 589
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5541 5291 491------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Économie et transports[modifier | modifier le code]

La gare de Rothau.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La défense du cimetière de Rothau par Nicolas Wolff et les partisans vosgiens, le 6 janvier 1814.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Jumelage avec Woolstock.

Comme sept autres communes du Ban de la Roche (Bellefosse, Belmont, Fouday, Neuviller-la-Roche, Solbach, Wildersbach et Waldersbach), Rothau est jumelée depuis le avec Woolstock, une petite localité américaine de l'Iowa qui a accueilli au XIXe siècle des immigrants en provenance du Ban de la Roche.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Bas-Rhin », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Léon Daul, Bernadette Algret-Specklin, Paul-André Befort et Marion Ley, 's Elsàssbüech. Le livre de l'Alsace, Éditions du Donon, 2010, p. 368 (ISBN 978-2-914856-65-2).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Rothau et Belmont », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Belmont », sur la commune de Belmont - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Belmont », sur la commune de Belmont - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de La Broque », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Maurice Falleix : L'Alsace, la Lorraine et les trois évêchés du début du XVIIe siècle à 1789, Delagrave (Paris), 1921, p. 7 Texte intégral.
  20. Jean-Paul de Gassowski, « Blasonnement des communes du Bas-Rhin », sur labanquedublason2.com (consulté le ).
  21. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  22. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Françoise Vigneron: « Nicolas Wolff et la défense des Vosges », in: L'essor, 73,1969.
  28. La Bataille de Rothau par Pierre Juillot.
  29. Jean-Marie Thiébaud, Gérard Tissot-Robbe: Nicolas Wolff in:Les Corps Francs de 1814 et 1815, La double agonie de l'Empire, L'Harmattan, 2011, p. 189-198 Extraits en ligne.
  30. Stèle Nicolas Wolff à Rothau.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (de) Karl Boch, Der Buergereid von Jonas Boeckel, Pfarrer in Rothau, 1910
  • (de) Friedrich Theodor Müller, Die Eisenerzlagerstätten von Rothau und Framont im Breuschtal (Vogesen), Strassburger Druckerei und Verlagsanstalt, Strasbourg, 1905, 56 p. (thèse de sciences naturelles)
  • La Paroisse protestante de Rothau : centenaire de la construction du temple 1863-1963, Bertrand, Bischwiller, 1964, 30 p.
  • Émile Dietz, Climat de Rothau en 1879, Fischbach G., 1880?
  • Émile Dietz, Le climat de Rothau et de la vallée supérieure de la Bruche, (1881-1885), 1887, (Congrès de Nancy, 1886)
  • Anne-Cécile Freyburger, Olivier Munoz et Fabienne Peyron, Le devenir du site industriel de Steinheil : une opportunité pour mieux vivre à Rothau, École nationale supérieure du paysage, Versailles, 2007, 183 p.
  • Denis Leypold, Le Ban de la Roche au temps des seigneurs de Rathsamhausen et de Veldenz (1489-1630), Oberlin, Strasbourg, 1989, 119 p.
  • Denis Leypold, « Les châteaux méconnus de Rothau et de St Blaise-la-Roche, données historiques », L'Essor, no 145
  • Claude Muller, « L'exercice du Simultaneum de Rothau (1802-1842) », L'Essor, no 121-122-149
  • Gaston Save, Nicolas Wolff et la défense de Rothau en 1814, Humbert L., 1887?
  • « Rothau », in La Haute vallée de la Bruche, Patrimoine d’Alsace, Inventaire général des monuments et des richesses artistiques de la France, Éditions Lieux Dits, Lyon, 2005, p. 49-52 (ISBN 978-2-914528-13-9)
  • Charles Théodore Kuntz : Sermon prononcé à l'église de Rothau, au Ban de la Roche, le , à l'occasion du service solennel d'actions de grâces pour l'avènement de S. M. Louis-Philippe 1er, impr. de F.-C. Heitz (Strasbourg), 1830,lire en ligne sur Gallica.
  • Annales de l'Est, Université de Nancy (Faculté des lettres et sciences humaines et Fédération historique lorraine, Berger-Levrault (Paris), 1910, lire en ligne sur Gallica.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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