La Sentinelle (Nord)

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La Sentinelle
La Sentinelle (Nord)
L'église était auparavant un des bâtiments de la fosse La Sentinelle de la Compagnie des mines d'Anzin. Au premier plan, le puits.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Nord
Arrondissement Valenciennes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut
Maire
Mandat
Éric Blondiaux
2020-2026
Code postal 59174
Code commune 59564
Démographie
Gentilé Sentinellois, Sentinelloises
Population
municipale
3 143 hab. (2021 en diminution de 1,78 % par rapport à 2015)
Densité 808 hab./km2
Population
agglomération
333 383 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 50° 21′ 00″ nord, 3° 29′ 20″ est
Altitude Min. 21 m
Max. 66 m
Superficie 3,89 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Valenciennes (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Valenciennes (partie française)
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes
Législatives Dix-neuvième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Sentinelle
Géolocalisation sur la carte : France
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La Sentinelle
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La Sentinelle

La Sentinelle est une commune française, située dans le département du Nord en région Hauts-de-France.

Géographie

Localisation

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Géologie et relief

Hydrographie

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 2,7 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 732 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 9,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Valenciennes », sur la commune de Valenciennes, mise en service en 1987[7] et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 10,9 °C et la hauteur de précipitations de 708 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Lille-Lesquin », sur la commune de Lesquin, mise en service en 1944 et à 38 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 10,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 10,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,3 °C pour 1991-2020[13].

Voie de communication et transport

La Sentinelle est desservie par la station Bois des Montagnes du Tramway de Valenciennes. Trois lignes de bus la relient également au centre-ville de Valenciennes, à Denain, Hérin, et aux communes environnantes grâce au réseau Transvilles/Semurval.

La Sentinelle est traversée de part en part par les autoroutes A2 et A23, qui la relient directement à Lille, Bruxelles et Paris. L'échangeur entre ces deux autoroutes est situé sur le territoire de la commune. Deux sorties la desservent, la sortie 20 sur l'A2, et la sortie Valenciennes Nord, sur l'A23.

Urbanisme

Typologie

La Sentinelle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Valenciennes (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 56 communes[17] et 333 383 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française), dont elle est une commune du pôle principal[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 102 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (60 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (35 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,4 %), zones urbanisées (35,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (24,3 %), prairies (1,3 %), eaux continentales[Note 8] (0,3 %)[22].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].

Toponymie

Histoire

L'origine de sa dénomination provient du nom donné à un puits de mine jouant le rôle de sentinelle en cas de montée des eaux.

Commune née de la mine, La Sentinelle est un des plus remarquables témoins de l'histoire économique du Valenciennois. Jusqu'au début du XIXe siècle, son territoire, entièrement consacré à l'agriculture, appartient à Trith-Saint-Léger. Les cartes du temps n'y signalent qu'une auberge. La Compagnie des Mines d'Anzin cherche alors de nouveaux gisements de charbon vers l'ouest de sa concession. Le est ouverte la fosse «  Sentinelle ». Son nom lui vient de sa proximité de l'étang du Vignoble alimenté par des sources souterraines. En cas de montée des eaux et de risque d'inondation, les mineurs de La Sentinelle peuvent donner l'alerte aux autres puits voisins. Des corons sont construits dès 1826 et, bientôt, le nombre d'habitants du hameau minier dépasse largement celui du bourg de Trith-Saint-Léger. La création d'une nouvelle commune est alors décidée et le le décret no 4601 officialise la division de la commune de Trith-Saint-Léger[24]. La mairie y est construite peu après. La vie associative est très vivante dans cette population longtemps stabilisée autour de 3 000 habitants.

Le , la Compagnie des Mines d'Anzin déplaçait ses travaux vers le sud, sur le territoire de la commune de Valenciennes en ouvrant le puits Long/Prés (Lomprez) d'un diamètre de 2,20 m. Elle fut instruite entre-temps des démarches d'une Société de recherche concurrente, connue sous le nom de Desmaisières, qui sollicita en , auprès de l'intendant du Hainaut, une permission d'exploiter du charbon sur les Seigneuries de Trith (La Sentinelle actuelle). La Compagnie d'Anzin, désireuse de supplanter cette dernière, se hâta d'extraire la houille au puits Long Près à la profondeur de 78 mètres, et d'ouvrir d'autres puits sur Trith (La Sentinelle) et deux autres sur St Waast (fosse Dutemple). C'est en 1770, au terme d'un long procès, qu'un arrangement fut enfin trouvé entre les deux sociétés rivales.

Politique et administration

La commune a été créée en 1875, par détachement de Trith-Saint-Léger

Rattachements administratifs et électoraux

La commune se trouve dans l'arrondissement de Valenciennes du département du Nord. Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la dix-neuvième circonscription du Nord.

Elle faisait partie depuis sa création en 1875 du canton de Valenciennes-Sud[25]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune a été rattachée au canton d'Aulnoy-lez-Valenciennes

La commune relève du tribunal d'instance, du tribunal de grande instance, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes et du tribunal de commerce de Valenciennes de Valenciennes, et de la cour d'appel de Douai, de Valenciennes.

Dans l'ordre administratif, la commune fait partie du ressort du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.

Intercommunalité

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de la Porte du Hainaut (CAPH), créée fin 2001.

Tendance politique

Liste des maires

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
août 1875 février 1879 M. Boulangier    
février 878 juin 1884 M. Laurette    
juin 1884 octobre 1894 M. Parmentier    
octobre 1894 mai 1900 A. Moreau    
mai 1900 février 1911 Florent Linard    
février 1911 novembre 1916 Jules Heloir    
novembre 1916 décembre 1918 Jean-Baptiste Bultex    
décembre 1918 janvier 1943 François Durieux    
janvier 1943 juin 1945 Charles False    
juin 1945 janvier 1955 Hippolyte Legrand   Décédé en fonction
janvier 1955 avril 1977 Marcel Choquet    
avril 1977 août 1987 Albert Herbecq PCF Décédé en fonction
août 1987 décembre 1999 Claude Tréfois[27]
(1928-2021)
PCF Ancien contremaître mécanicien, adjoint au maire (1977 → 1987)
Démissionnaire
décembre 1999 mars 2008 Roger Blondiaux PCF Retraité, ancien adjoint
mars 2008 juin 2020 Bernadette Sopo PS Retraitée
juillet 2020 juin 2021 Éric Blondiaux UDI Aide-soignant
juin 2021 septembre 2021 Délégation spéciale[28]    
septembre 2021 En cours
(au 12 septembre 2021[29])
Éric Blondiaux UDI Aide-soignant
Réélu à la suite de l'élection municipale partielle du 5 septembre 2021[30]

Politique de développement durable

Jumelages

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[32].

En 2021, la commune comptait 3 143 habitants[Note 9], en diminution de 1,78 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
2 6582 9472 8902 8902 7352 6762 6952 7462 570
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
2 6412 7852 8172 8163 2033 5863 2883 6803 729
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
3 5883 3603 2533 2323 3323 2263 1173 143-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 24,8 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 537 hommes pour 1 589 femmes, soit un taux de 50,83 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,6 
4,8 
75-89 ans
7,6 
18,0 
60-74 ans
18,2 
21,0 
45-59 ans
20,9 
19,4 
30-44 ans
16,7 
17,8 
15-29 ans
16,5 
18,6 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département du Nord en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,4 
5,1 
75-89 ans
14,6 
60-74 ans
16 
19,2 
45-59 ans
18,6 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,6 
15-29 ans
19,1 
20,5 
0-14 ans
18,2 

Santé

Enseignement

La Sentinelle fait partie de l'académie de Lille.

Sports

Média

Cultes

Économie

Le taux de chômage au recensement de 2006 était de 15,5 %, contre 11 % pour la population en France métropolitaine.

Culture et patrimoine

Lieux et monuments

  • L'église Sainte-Barbe : ancien édifice minier, entièrement maçonné, long de 35 m, haut de 20 m, transformé par la Compagnie des mines en église dès 1852. L'autorité diocésaine lui donne alors le nom de Sainte-Barbe, patronne des mineurs. Le , les travaux de réhabilitation de cet édifice ont été inaugurés. Notre église entrera bientôt au patrimoine minier.[Quand ?] Entièrement rénovée en 2006.
  • Les corons : le premier coron minier, dit « de l'Église » est construit dès 1826. Suivront ensuite les corons Carré et Demézières et enfin la cité Ernest.
  • « Saint-Christophe » : à l'entrée de la commune se trouve le lieu-dit « St Christophe ». Son nom a pour origine un oratoire, ou bien l'enseigne d'une auberge construite au milieu du XVIIIe siècle au carrefour de la grand-route, créée à l'époque, et du vieux chemin reliant Trith à Wallers. Le patronage du St protecteur des voyageurs se justifie amplement par l'importance du trafic routier.
  • Le puits Desmaizières, creusé en 1764 (le plus ancien sur le territoire de La Sentinelle), passa aux mains de la Compagnie d'Anzin. En contrepartie, celle-ci s'engagea à verser au Sieur Desmaizières, 300 livres par an tant qu'elle n'exploitait pas sur sa terre, 4800 livres dans le cadre de l'extraction du charbon. Le puits garda son nom ainsi que les Corons s'y rattachant.On remarquera l'orthographe du nom Desmaizières (Demézières actuel) et Long-Près (Lomprez actuel).
  • Le puits Ernest : Ouvert en 1826 sur le territoire de La Sentinelle (Hameau de Trith à cette époque), à 180 mètres au nord-est de Desmaizières et à 380 m au sud-ouest de la Réussite. Le puits Ernest, d'un diamètre de 3,80 m, traversa 50 m de morts terrains avant de rencontrer le terrain houiller à la profondeur de 80 m. Le fonçage constitua à lui seul, un record, puisqu'il avait duré moins de huit mois. L'aérage était en partie assuré par le puits Réussite et le puits Desmaizières. D'une profondeur de 387 m, le puits Ernest fut fermé en 1894, après une production totale de 617 000 tonnes. Le gisement plus profond fut repris par la fosse Réussite. C'est avec Ernest que s'achevèrent les dernières recherches dans le faisceau gras d'Anzin. L'intérêt principal de la compagnie allait en effet se déplacer vers la région de Denain, où la fosse Villars découvrit le charbon gras en 1826. Abandonnée par la police des « mines » avant 1909, une cité minière s'implanta sur l'ancien carreau de fosse (cité Ernest actuelle). Le puits fut relocalisé en 2001 par les charbonnages de France. L'origine du nom Ernest est inconnue dans les archives.

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
  7. « Station Météo-France Valenciennes - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre La Sentinelle et Valenciennes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Valenciennes - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre La Sentinelle et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Lille-Lesquin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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  15. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Unité urbaine 2020 de Valenciennes (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  18. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  19. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Valenciennes (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  23. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  24. No 4601 - Décret du Président de la République française sur Gallica, dans le Bulletin des lois de la république française, XIIe série, deuxième semestre de 1875, p. 583.
  25. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. « Les maires de La Sentinelle depuis », sur http://www.lasentinelle.fr, (consulté le ).
  27. Bruno Figurski, « La Sentinelle : l’ancien maire Claude Tréfois nous a quittés : Maire communiste de La Sentinelle d’août 1987 à décembre 1999, Claude Tréfois est décédé ce mercredi 24 mars à l’âge de 93 ans. Il était aussi très impliqué au sein de la musique et du club de foot local. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  28. Bruno Figurski, « La Sentinelle : Éric Blondiaux n’est plus maire, une délégation spéciale aux affaires : C’est officiel depuis le 3 juin : une délégation spéciale s’est installée en mairie de La Sentinelle pour gérer la ville dans l’attente de nouvelles élections prévues le 5 septembre. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  29. Bruno Figurski, « La Sentinelle: le maire retrouve son écharpe, après une cérémonie chahutée : Samedi après-midi à la salle culturelle, Eric Blondiaux a repris son écharpe de maire après une parenthèse de trois mois, l’annulation des élections de 2020 et un nouveau scrutin. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  30. V.A., « La Sentinelle : Éric Blondiaux va reprendre le mandat interrompu en juin : Dimanche, le maire sortant de La Sentinelle Éric Blondiaux a reçu la confiance de ses administrés. Parmi les 1 216 votants (1 190 exprimés), 706 lui ont accordé leur suffrage, contre 484 pour Bernadette Sopo. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne)
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Sentinelle (59564) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Nord (59) », (consulté le ).