Saint-Piat

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Saint-Piat
Saint-Piat
La mairie.
Blason de Saint-Piat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Michael Blanchet
2020-2026
Code postal 28130
Code commune 28357
Démographie
Gentilé Saint-Piatais
Population
municipale
1 091 hab. (2021 en augmentation de 3,41 % par rapport à 2015)
Densité 97 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 32′ 55″ nord, 1° 35′ 07″ est
Altitude Min. 101 m
Max. 162 m
Superficie 11,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Épernon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Saint-Piat
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Liens
Site web http://www.saint-piat.fr

Saint-Piat est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Saint-Piat est situé en vallée de l'Eure entre Maintenon (5,5 km) et Chartres (16 km).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

Changé, Grogneul, Dionval.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière l'Eure, affluent en rive gauche du fleuve la Seine, traverse la commune.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

la gare.
La gare.

La gare SNCF de Saint-Piat se situe sur la ligne de Paris-Montparnasse à Brest, entre la gare de Maintenon et celle de Jouy.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 612 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Houx à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 622,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Piat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (56,6 %), forêts (27,1 %), prairies (8,1 %), zones urbanisées (5,2 %), eaux continentales[Note 3] (3,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Piat est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment l'Eure et la Vallée aux Loups. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999 et 2016[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Piat.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 71,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 590 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 589 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Vitrail saint Piat à Chartres.
Saint Piat à la cathédrale de Chartres.

Le nom de la localité est attesté sous les formes Sanctus Piatus en 1087[18] (martyr local)[19], Sanctus Piatus super Auduram vers 1130 (cart. de Josaphat, p. 49)[20].

Saint-Piat est un hagiotoponyme. Selon la légende, saint Piat, né au IIIe siècle à Bénévent en Italie, tente d'évangéliser en pays chartrain mais ne rencontre que des « cœurs endurcis ». Ses reliques seront cependant recueillies, peut-être à l'abbaye de Coulombs, lors des invasions normandes[21],[22].

Pendant la Révolution française le village, débaptisé, s'appela Martel-les-Vaux[23].

Le hameau de Grogneul, ancien village, attesté sous les formes Groynellum en 1300 (polypt. de Chartres), Grongneul en 1334 (ch. du pr. d’Épernon), Groigneul en 1480 (navig. de l’Eure)[24], doit probablement son nom au gaulois grunna, d'où l'ancien français gronne désignant une dépression herbeuse et humide, voire marécageuse.

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Le , en sonnant les vêpres, le battant de la grosse cloche s'est détaché, tuant Marie Anne Girard âgée de 50 ans, femme d'Emmanuel Mouton, vigneron à Grogneul[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

École Pierre-Binet, maire de Saint-Piat de 1945 à 1977.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1977 Pierre Binet PS Artisan
mars 2001 mars 2008 Jean-Pierre Binet UMP Agriculteur
mars 2008 juillet 2020 Michèle Martin DVG Employée
juillet 2020 En cours Michael Blanchet DVG Cadre fonctionnaire

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27].

En 2021, la commune comptait 1 091 habitants[Note 4], en augmentation de 3,41 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
804859892830852871843854856
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
815784777733735723692666654
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
636630618577664675616670582
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
6316798328361 0091 0911 1091 0901 147
2014 2019 2021 - - - - - -
1 0611 0591 091------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements publics[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

On trouve à Saint-Piat les commerces suivants :

  • Pharmacie
  • Boulangerie pâtisserie
  • Coiffeur
  • Épicerie générale
  • Boucherie
  • Restaurant proposant une cuisine française
  • Bar-tabac

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Les dolmens du Berceau et Léon Petit.
Monument aux morts devant l'église.
Le monument aux morts devant l'église.
À la mémoire des 21 soldats du 26ème RTS
À la mémoire des 21 soldats du 26e RTS.
Maison, 11 rue de la République.
La briqueterie Lambert.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le site mégalithique de Changé[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Classé MH (1974)[29].

Ce site du Néolithique s'étend à la fois sur les communes de Saint-Piat et Maintenon, réunit trois dolmens et un menhir. Il a été notamment fouillé de 1983 à 2000 par Dominique Jagu[30] et son équipe.

Le camp de César[modifier | modifier le code]

Sur le plateau dominant le site archéologique de Changé, le site dit du Camp de César, qui n'est probablement pas un camp romain, est un éperon naturel du type éperon barré qui a été fortifié par le creusement d'un fossé long de 250 m sur 6 m de profondeur renforcé d'un rempart de plus de 7 m de hauteur[31]. L'ensemble couvre une superficie de 5,5 ha[31]. Le site n'a pas été fouillé mais il date probablement du début de l'époque gallo-romaine[32].

L'église Saint-Piat et le monument aux morts[modifier | modifier le code]

Cette église du XVIe siècle abrite plusieurs objets classés au titre de monuments historiques, dont un sarcophage du IVe siècle ou Ve siècle, peut-être d'origine provençale, dans lequel auraient été déposés les restes de saint Piat avant d'être transférés à la cathédrale de Chartres dans la chapelle du même nom. D'autres œuvres classées sont cependant portées disparues, détruites ou non localisées[33].

À droite du monument aux morts surmonté du coq français, une stèle rend hommage « A la mémoire des 21 soldats du 26e régiment de tirailleurs sénégalais tombés pour la défense de notre sol en  ».

La maison du XVIe siècle[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1928)[34].

Cette maison est située 11 rue de la République, anciennement rue Bourgeois. Sa particularité est de présenter, au premier étage, deux fenêtres du XVIe siècle.

La briqueterie Lambert[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1999)[35].

Ce patrimoine industriel figure parmi les quatre sites retenus en Eure-et-Loir dans le plan de sauvegarde du patrimoine par la mission Bern[36].

Le moulin[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Esprit-Aimé Libour (1784-1846), peintre et portraitiste. Ses parents, tous deux originaires de Chartres, se sont mariés à Saint-Piat le .
  • Constant Duval (1877-1956), artiste peintre, dessinateur et affichiste, y a vécu et y est décédé ;
  • Bernard Friot, auteur pour la jeunesse, y est né en 1951.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Saint-Piat se blasonnent ainsi :

De gueules au chevron d'or.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Piat et Houx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Houx », sur la commune de Houx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Piat », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  18. ch. du pr. de Nottonville
  19. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations dialectales (suite) et françaises, Droz, , p. 1570.
  20. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  21. « Saint Piat ou Piaton, prêtre, évangélisateur », sur nominis.cef.fr (consulté le ).
  22. « Sarcophage, fonts baptismaux : les apôtres », notice no PM28000543, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  25. Archives départementales d'Eure-et-Loir, registre des Baptêmes Mariages Sépultures, année 1783, vue 69
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Menhir dit Le But de Gargantua et dolmen dit Le Berceau », notice no PA00097147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Dominique Jagu Archéo
  31. a et b Fatima De Castro et Dominique Jagu, « Le Camp de César de Changé, commune de Saint-Piat », dans 1989-2014 : 25 ans d'activités, Comité archéologique d'Eure-et-Loir, (lire en ligne [PDF]).
  32. Dominique Jagu, Bernard Blum et Jean-Marc Mourain, Dolmens et menhirs de Changé à Saint-Piat (Eure-et-Loir), Lèves, ARCHÉA, , 24 p. (ISBN 2-912610-00-1), p. 17.
  33. Les objets classés de l'église.
  34. « Maison 11 rue de la République », notice no PA00097204, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. « Briqueterie Lambert », notice no PA28000005, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Patrimoine : quatre sites d'Eure-et-Loir parmi les 250 monuments qui vont bénéficier du loto du patrimoine de Stéphane Bern », sur lechorepublicain.fr, .