Adrian Mannarino

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Adrian Mannarino
Image illustrative de l’article Adrian Mannarino
Adrian Mannarino à l'US Open en 2010.
Carrière professionnelle
2005
Nationalité Drapeau de la France France
Naissance (35 ans)
Soisy-sous-Montmorency (France)
Taille 1,83 m (6 0)
Prise de raquette Gaucher, revers à deux mains
Gains en tournois 1 949 974 $
Palmarès
En simple
Titres 0
Finales perdues 1
Meilleur classement 36e (19/01/2015)
En double
Titres 0
Finales perdues 0
Meilleur classement 315e (22/07/2013)
Meilleurs résultats en Grand Chelem
Aust. R-G. Wim. US.
Simple 1/32 1/32 1/8 1/16
Double 1/32 1/32 - -
Mixte 1/16

Adrian Mannarino, né le à Soisy-sous-Montmorency (Val-d'Oise), est un joueur de tennis professionnel français.

Biographie

Carrière

2006 : Premiers succès sur le circuit secondaire

Adrian Mannarino signe son premier fait d'armes au printemps 2006 lorsqu'à dix-sept ans seulement, il remporte son premier tournoi Future sur surface dure, à Melilla, en disposant en finale du Togolais Komlavi Loglo (6-2, 6-3). Il récidive deux mois plus tard, toujours sur le sol espagnol, cette fois-ci à Santa Cruz de Tenerife. Sa victime en finale n'est autre qu'Albert Ramos-Viñolas (6-0, 6-2). Ces deux succès lui permettent d'occuper en juillet 2006 le 462e rang mondial.

En octobre, il sillonne le circuit Future sur les terrains de l'Hexagone, mais s'incline successivement face à Denis Istomin et Andrey Golubev.

2007 : Une progression lente

La saison 2007 voit le Val-d'Oisien poursuivre sa progression, le talentueux gaucher du CSM Eaubonne continuant à évoluer sur le circuit secondaire pour s'aguerrir tennistiquement et psychologiquement. Le Français se voit offrir une wild card pour les qualifications de Roland-Garros, mais chute logiquement dès le premier tour, face à Marin Čilić (2-6, 3-6). C'est ici que tout commence vraiment. En récupération à Lacanau, il décide de s'inscrire au TNM. Il rencontre le Basque Raphael Jannel dit "le pisteur" qui, cette année, renverse tout sur son passage. Dans un match épique, parsemé de coup droit gagnants, Mannarino obtient la victoire 6-3, 6-2. Cette victoire face à un joueur très en forme lui donne une confiance qui ne le quittera plus.

Après plusieurs mois de « galère » sur les tournois Futures, Adrian Mannarino débloque son compteur à l'automne, remportant deux Futures coup sur coup, en France (octobre) et en Angleterre (novembre). Ces deux succès lui permettent de finir l'année 2007 à la 367e place mondiale, soit une modeste progression de 95 places en une saison. À dix-neuf ans, le gaucher marque le pas au niveau de ses résultats.

2008 : L'explosion à Metz

Classé no 46 français après avoir participé à de nombreux tournois Challenger où il a obtenu des résultats prometteurs, il reçoit une invitation pour le tournoi de Roland-Garros où il est opposé au premier tour à l'Argentin Diego Junqueira, spécialiste de la terre battue issu des qualifications, qui le bat 6-1, 6-2, 6-2.

À l'Open de Moselle, il réussit une très bonne performance en battant l'Italien Andreas Seppi, tête de série no 6, au premier tour 6-3, 6-2, ce qui constitue sa première victoire sur le circuit ATP, puis Rik De Voest 6-4, 7-5. En quart de finale, il bat Marc Gicquel 6-4, 7-6 puis dispute sa première demi-finale, perdue contre Paul-Henri Mathieu 7-68, 7-61. La semaine suivante, il est battu en finale du Challenger de Rennes par Josselin Ouanna.

Adrian Mannarino dispute son premier Masters Series à Bercy où il reçoit une wild card, mais s'incline d'entrée contre Dmitri Toursounov. Mannarino participe au tournoi Challenger de Jersey, qu'il gagne en finale face à Andreas Beck.

La semaine suivante, il dispute son dernier tournoi de l'année : le Challenger d'Helsinki et s'incline au second tour contre Jan Hernych. Il participe en décembre au Masters France, où il est considéré comme un outsider. Placé par le tirage au sort dans le groupe bleu, il s'incline dans ses trois matchs de poule face à Michaël Llodra (6-3, 6-2), Paul-Henri Mathieu (6-1, 6-2) et Arnaud Clément (6-1, 6-4).

2009 : Une blessure qui tombe mal

Adrian Mannarino débute sa saison par une défaite face à Jean-René Lisnard (62-7, 6-2, 6-2) dès le premier tour du tournoi Challenger de Nouméa. Il reçoit quelques jours plus tard une wild card pour entrer directement dans le grand tableau du premier Grand Chelem de la saison, l'Open d'Australie. Il hérite d'un tirage au sort délicat, puisqu'il est amené à affronter au premier tour Fernando Verdasco. Le Val-d'Oisien ne peut éviter une sévère défaite, s'inclinant sèchement (6-0, 6-2, 6-2). Le gaucher espagnol réalisera par la suite un parcours homérique, ne s'inclinant qu'après un combat de plus de cinq heures, en demi-finale face au futur vainqueur, Rafael Nadal.

Conscient des progrès qu'il lui reste à accomplir pour se hisser au niveau des tout meilleurs, le Français repart « bourlinguer » sur le circuit Challenger. Fin janvier, il s'incline en quart de finale à Heilbronn, face à Benjamin Becker (7-61, 0-6, 2-6). Début mars, Mannarino parvient à se hisser dans le dernier carré de l'épreuve de Cherbourg, mais subit la loi d'Arnaud Clément en demies (1-6, 2-6). Pourtant disputé sur terre battue, une surface qui ne réussit guère au Tricolore, en raison de son jeu de contre parfaitement adapté à la surface dure et à l'indoor, le tournoi de Saint-Brieuc, début avril, voit l'Eaubonnais atteindre la première finale de sa saison. Une première ratée, puisqu'il ne parvient à se défaire des griffes de son compatriote Josselin Ouanna (5-7, 6-1, 4-6). Parvenu au 124e rang mondial grâce à ses bons résultats sur le circuit secondaire, Adrian Mannarino tente à nouveau sa chance sur le grand circuit. Mais la surface ocre ne lui permet pas d'exploiter à plein ses capacités, et il s'incline au premier tour des qualifications à Rome (face à Arnaud Clément à nouveau (3-6, 6-3, 1-6), puis à Munich (face à Dinter Kindlmann (2-6, 2-6).

Bénéficiaire d'une wild card à Roland-Garros, Mannarino ne voit pas le jour face à Tommy Robredo, véritable « crocodile » sur l'ocre de la Porte d'Auteuil, et se voit infliger une véritable leçon par l'Ibère (2-6, 1-6, 2-6).

À Wimbledon, le gazon londonien le voit reverdir, l'intéressé franchissant les trois tours de qualification brillamment, face à Bruno Echagaray (7-66, 6-3), puis Stéphane Robert (2-6, 6-3, 6-4) et enfin Blaž Kavčič (6-3, 6-2, 7-66). Retrouvant un compatriote lors de son premier match dans le grand tableau du Grand Chelem Britannique, Marc Gicquel, Mannarino ne parvient à remporter sa première rencontre en Majeur, cédant en trois petits sets (2-6, 2-6, 4-6).

Début août, le Français se distingue en parvenant à battre un membre du top 100, Marcel Granollers (7-65, 6-3), en demi-finale du Challenger de Ségovie. En finale, il s'incline logiquement face à l'atypique Feliciano López (3-6, 4-6), alors 41e mondial. Cette performance lui permet, le Modèle:Date sport, de faire pour la première fois de sa jeune carrière son entrée dans le très prisé Top 100, à la 94e place.

Fin septembre, le Français améliore sa position au sein de la hiérarchie mondiale, occupant le 88e rang. Mais cela lui importe peu, puisque sa préoccupation à la fin de la saison 2009 est une vilaine blessure au genou, qui l'handicape depuis plusieurs mois et qu'il n'a jusqu'alors pas pris le temps de soigner. Contraint et forcé, le Val-d'Oisien met le pied à terre, et se retrouve éloigné des terrains pendant plusieurs mois.

2010 : Retour sur le devant de la scène

Adrian Mannarino à l'Open de Nice 2010.

Éloigné des terrains jusqu'en mars 2010, le Français effectue son grand retour au Challenger de Jersey, où il s'incline dès le deuxième tour face au Belge Yannick Mertens (5-7, 3-6). Retombé au 300e rang mondial, Adrian Mannarino parvient en mai à s'extirper des qualifications de l'Open de Nice, après un succès difficile face à Jonathan Eysseric (65-7, 7-63, 6-4). Éprouvé par cette rencontre, le Val-d'Oisien rend les armes dès le premier tour du grand tableau, balayé par le Belge Olivier Rochus (3-6, 1-6). Lors des qualifications des Internationaux de France, il trébuche à une rencontre de l'accession au tableau final, s'inclinant en deux sets secs face à l'Indien Somdev Devvarman (4-6, 1-6). Même résultat aux qualifications de Wimbledon où, au troisième tour, il ne parvient pas à disposer de Jesse Huta Galung (3-6, 3-6, 3-6).

L'été 2010 marque le retour d'Adrian Mannarino au premier plan, le gaucher français brillant lors de plusieurs tournois Challengers. Fin juillet, il s'incline en finale à Recanati, sur surface dure extérieure, face à Stéphane Bohli (0-6, 6-3, 65-7). Deux semaines plus tard, il se hisse en finale à Ségovie, toujours sur surface dure, mais ne peut rien face à Daniel Gimeno-Traver, membre du Top 100 (4-6, 62-7). Le Challenger d'Istanbul en Turquie voit le Français triompher brillamment, et concrétiser sa bonne forme du moment. En finale, Adrian Mannarino se paye le luxe de battre Mikhail Kukushkin (6-4, 3-6, 6-3).

Adrian Mannarino à l'US Open en 2010.

Revenu à son meilleur niveau, il poursuit sur sa lancée à l'US Open où, après s'être extirpé des qualifications, il gagne son premier match en Grand Chelem face à l'Espagnol Pere Riba en 5 sets (3-6, 6-1, 6-4, 4-6, 7-6). Au tour suivant, il est battu par Fernando Verdasco en trois petits sets (1-6, 2-6, 2-6). Cette performance lui permet d'entrevoir à nouveau le top 100, puisque le Modèle:Date sport, il est classé 136e mondial.

Bénéficiaire d'une wild card à Metz, tournoi qui l'avait révélé en 2008 lorsqu'il avait atteint la demi-finale du tournoi lorrain, Adrian Mannarino s'incline dès son entrée en lice, face à son bourreau de 2008, Paul-Henri Mathieu (3-6, 3-6). Début octobre, le Français remporte le plus gros tournoi de sa carrière à Mons, son deuxième titre en Challenger de la saison. Il s'offre le scalp du Jamaïcain Dustin Brown en demi-finale (7-5, 6-3), avant de disposer du local Steve Darcis en finale (7-5, 6-2). Également inscrit à Montpellier, il franchit aisément le stade des qualifications, avant de faire tomber le 75e joueur mondial, Lukáš Lacko, lors de son premier tour (6-3, 64-7, 6-4). Au deuxième tour, il livre le meilleur match de sa jeune carrière face au géant américain John Isner, 19e mondial, auquel il parvient à prendre un set (65-7, 7-65, 3-6). Il termine l'année 2010 au meilleur classement de sa carrière, à la 83e place mondiale.

2011 : Une explosion attendue

L'année 2011 commence de bien belle manière pour Adrian, puisqu'il bat la tête de série no 5 et 26e mondial Juan Mónaco (6-4, 6-3) au tournoi d'Auckland. Opposé au Français Arnaud Clément au deuxième tour, il remporte le match 7-5, 6-4. Cette victoire lui offre un nouveau quart de finale dans un tournoi ATP et lui permettra d'atteindre le meilleur classement de sa carrière à l'ATP. Il est battu en demi-finale par Nicolás Almagro dans un match accroché, 7-63, 61-7, 6-2. Mais cette défaite apparaît comme encourageante pour la suite de la saison et confirme le début d'une explosion du jeune joueur français.

Adrian Mannarino au tournoi du Queen's en 2011.

À l'Open d'Australie, Adrian Mannarino se défait au premier tour du jeune Américain Ryan Harrison, dix-huit ans (dont John McEnroe a déclaré qu'il serait sans doute l'avenir du tennis américain), sur le score de 6-4, 6-3, 6-4. Puis il perd au deuxième tour contre Richard Gasquet (3-6, 64-7, 4-6).

Au tournoi de Johannesburg, Adrian Mannarino (tête de série no 6, profitant de son statut de 67e mondial), gagne son premier tour face à Yuri Schukin (7-6, 7-6), puis se qualifie pour les quarts de finale en battant Denis Gremelmayr (6-7, 6-4, 6-4). Il parvient à entrer dans le dernier carré d'un tournoi ATP 250 pour la deuxième fois de sa carrière, en s'imposant face à Frank Dancevic (6-3, 6-2). En demi-finales, il perd contre Kevin Anderson (6-7, 6-0, 6-4). Il va jusqu'en huitièmes à Memphis et à Delray Beach.

Pour la saison sur terre battue, il se qualifie pour le tableau principal du Masters de Madrid et remporte une victoire prometteuse contre Juan Ignacio Chela (4-6, 6-4, 6-4). Au second tour, il résiste à David Ferrer, sixième mondial et spécialiste de la surface, mais finit par céder (5-7, 6-0, 0-6).

De même qu'en 2008 et 2009, il ne passe pas le premier tour à Roland-Garros cette année puisqu'il est dominé par un autre Français, Guillaume Rufin.

Deux semaines plus tard, au tournoi du Queen's, Adrian réalise un beau parcours en disposant tour à tour du Letton Ernests Gulbis, de son compatriote Gilles Simon suite à un abandon dans le troisième set, et du « géant » argentin Juan Martín del Potro en deux manches accrochées (7-63, 7-67). Il est stoppé en quart de finale par l'espoir du tennis britannique, James Ward (2-6, 7-614, 4-6).

Malheureusement, une bursite à la main l'empêche de continuer à défendre ses chances à 100 %[1], impuissance symbolisée par une lourde défaite contre Florian Mayer à l'US Open. Il parvient néanmoins à atteindre les quarts de finale à Saint-Pétersbourgen fin de saison.

2012 : Année difficile

1/8 à Auckland dès son 2e tournoi et finale au Challenger d'Istanbul en septembre. Il passe de la 87e place en début d'année à la 185e en fin d'année.

2013 : Huitième de finale à Wimbledon

À Roland-Garros, il rate l'occasion d'atteindre pour la première fois le deuxième tour en ratant une balle de match contre Pablo Cuevas, ancien 45e mondial mais redescendu à la 762e place (3-6, 6-2, 3-6, 7-5, 5-7). Il sort vainqueur des Challengers de Nouméa et Sarajevo où il remporte 6 tie-breaks sur 7 lors de ses cinq matchs.

Il participe peu de temps après à Wimbledon, où il crée la surprise en se qualifiant jusqu'en huitième de finale. Il a pour cela battu Pablo Andújar (6-1, 6-2, 6-3), puis a ensuite bénéficié de l'abandon du numéro 21 mondial John Isner, alors qu'il y avait seulement 1-1 dans le premier set. Il bat ensuite Dustin Brown (6-4, 6-2, 7-5) mais s'incline cependant en huitième de finale au terme d'un match serré en cinq sets face à Łukasz Kubot (6-4, 3-6, 6-3, 3-6, 4-6). A l'US Open, après avoir remporté son premier tour (4-6, 6-4, 6-2, 6-1) contre l'Argentin Horacio Zeballos, puis son deuxième tour face à l'Américain Sam Querrey (7-64, 7-65, 65-7, 6-4) il connaît une sévère défaite face à Roger Federer (6-3, 6-0, 6-2) au troisième tour.

2014 : Fantastique sur le circuit Challenger

Il connaît un début de saison difficile qui l'amène à se séparer de son entraîneur en avril[2]. Il débute une collaboration avec Éric Prodon à Roland-Garros[3] où il remporte enfin son premier match en prenant le meilleur en trois sets sur Lu Yen-hsun.

À la suite de son élimination à Wimbledon, il s'envole pour l'Équateur afin de disputer le Challenger de Manta en disputant les qualifications. Il finit par gagner ce Challenger[4] et se maintient dans le top 100. Quelques semaines plus tard, il remporte le tournoi Challenger de Ségovie puis en septembre celui d'Istanbul.

Après une demi-finale au Challenger de Tashkent en Ouzbékistan et un quart de finale au tournoi ATP de Stockholm, il remonte à la 73e place mondiale. Au Masters 1000 de Paris Bercy, il prend le meilleur au 1er tour sur son compatriote Pierre-Hugues Herbert (7-6, 6-3), mais s'incline au tour suivant face à Tomáš Berdych. Il remporte ensuite deux trophées aux tournois Challenger de Knoxville face à Sam Groth et de Champaign face à Frederik Nielsen pour terminer la saison dans le top 50.

2015 : 1re finale ATP

Il débute bien sa saison en ralliant pour la première fois la finale d'un tournoi ATP à Auckland. Il perd en finale contre le Tchèque Jiří Veselý.

Style de jeu

Adrian Mannarino fait plutôt partie des petits gabarits du circuit en termes de poids / taille (65 kg pour 183 cm) comparable à Gilles Simon (69 kg pour 183 cm)[5], et tout comme son compatriote, il sait combler ce manque de puissance par d'autres atouts :

  • une bonne technique et une préparation courte à la fois en coup droit et en revers qu'il joue à plat ou slicé[6]. Il trouve des angles en coup droit qui laissent l'adversaire hors de portée de la balle ;
  • sa volée, qu'il considère comme son meilleur coup. Tout en toucher, il doit sa qualité de volée en partie grâce à de bon reflexes[7],[8] ;
  • un service efficace, en constante progression[7] ;
  • un excellent retour[7] ;
  • son sens tactique : il est doué pour varier le jeu et faire déjouer les joueurs puissants ayant besoin de rythme[6].

Adrian Mannarino est très à l'aise sur les surfaces rapides telles que le gazon et le dur. Bien que moins à l'aise sur terre battue où son service est moins performant, il s'améliore d'année en année sur cette surface[8].

Palmarès

Titre en simple

Aucun

Finale en simple (1)

No Date Nom et lieu du tournoi Catégorie Surface Vainqueur Score
1 12/01/2015  Heineken OpenAuckland ATP 250 Dur (ext.) Jiří Veselý 6-3, 6-2

Titre en double

Aucun

Finale en double

Aucune

Parcours dans les tournois du Grand Chelem

En simple

Année Open d'Australie Internationaux de France Wimbledon US Open
2008 1er tour (1/64) D. Junqueira
2009 1er tour (1/64) F. Verdasco 1er tour (1/64) T. Robredo 1er tour (1/64) M. Gicquel
2010 2e tour (1/32) F. Verdasco
2011 2e tour (1/32) R. Gasquet 1er tour (1/64) G. Rufin 2e tour (1/32) R. Federer 1er tour (1/64) F. Mayer
2012 1er tour (1/64) J.M. del Potro 1er tour (1/64) F. Fognini
2013 1er tour (1/64) J.M. del Potro 1er tour (1/64) P. Cuevas 1/8 de finale Ł. Kubot 3e tour (1/16) R. Federer
2014 2e tour (1/32) D. Ferrer 2e tour (1/32) G. García-López 2e tour (1/32) T. Robredo 3e tour (1/16) R. Bautista-Agut

N.B. : à droite du résultat se trouve le nom de l'ultime adversaire.

En double

Année Open d'Australie Internationaux de France Wimbledon US Open
2008 1er tour (1/32)
J. Eysseric
C. Kas
R. Wassen
2009
2010
2011 1er tour (1/32)
T. Gabachvili
M. Kukushkin
2012 1er tour (1/32)
A. Dolgopolov
D. Molchanov
2013 1er tour (1/32)
M. Mirnyi
H. Tecău
2014 1er tour (1/32)
R. Bopanna
A-U-H. Qureshi
1er tour (1/32)
J-J. Rojer
H. Tecău

N.B. : le nom du ou de la partenaire se trouve sous le résultat ; le nom des ultimes adversaires se trouve à droite.

En double mixte

Année Open d'Australie Internationaux de France Wimbledon US Open
2014 - 1er tour (1/16)
Mathilde Johansson
Alizé Lim
Jérémy Chardy
- -

Modèle:Historique tournoi tennis/fin mixte

Parcours dans les Masters 1000

Année Indian Wells Miami Monte-Carlo Rome Hambourg puis Madrid[9] Canada Cincinnati Madrid puis Shanghai[10] Paris
2008 1er tour
D. Toursounov
2009
2010
2011 1er tour
S. Devvarman
1er tour
R. Ramírez
1er tour
J. Nieminen
2e tour
D. Ferrer
1er tour
A. Bogomolov
2e tour
R. Federer
2012
2013 1er tour
J. Chardy
1er tour
S. Giraldo
2014 1er tour
A. González
2e tour
J-W. Tsonga
2e tour
T. Berdych

N.B. : sous le résultat se trouve le nom de l’ultime adversaire.

Meilleures performances

Victoires sur Andreas Seppi (no 28), Juan Ignacio Chela (no 26), Juan Mónaco (no 26), Juan Martín del Potro (no 22), Nicolás Almagro (no 17), Fabio Fognini (n°17) et Gilles Simon (no 12).

Personnel

Parisien de cœur, Adrian Mannarino voue une passion sans borne au club de football du Paris Saint-Germain et à l'humoriste Thomas N'Gijol[5].

Notes et références

  1. Mannarino reste a quai, www2.lequipe.fr
  2. Mannarino à la recherche d'un entraîneur, tennisactu.net
  3. [1], tennisactu.net
  4. Mannarino, un vainqueur malin, sports.fr
  5. a et b Informations personnelles, www.atpworldtour.com
  6. a et b Mannarino déregle Toursounov, www.lequipe.fr
  7. a b et c Adrian Mannarino selon Arnaud Clement, www.youtube.com
  8. a et b Description Adrian Mannarino, www.atpworldtour.com
  9. L'ordre chronologique des Masters 1000 de Rome, de Hambourg (jusqu'en 2008) et de Madrid (depuis 2009) a changé au cours des ans.
  10. Les Masters 1000 de Madrid (2002-2008) et de Shanghai (depuis 2009) se sont succédé.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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