Valcebollère

Valcebollère
Valcebollère
Vue du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Cerdagne
Maire
Mandat
Jean-Claude Ribelaygue
2020-2026
Code postal 66340
Code commune 66220
Démographie
Gentilé Valcebollèrenchs
Population
municipale
35 hab. (2021 en diminution de 16,67 % par rapport à 2015)
Densité 1,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 23′ 18″ nord, 2° 02′ 09″ est
Altitude Min. 1 339 m
Max. 2 661 m
Superficie 26,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Valcebollère
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Valcebollère
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Orientales
Valcebollère
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Valcebollère

Valcebollère Écouter (en catalan Vallcebollera) est une commune française située dans le sud-ouest du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Riu Llavanera et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « massif du Puigmal » et « Puigmal-Carança ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Valcebollère est une commune rurale qui compte 35 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 360 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Valcebollerenchs ou Valcebollèrennes.

Géographie[edit | edit source]

Localisation[edit | edit source]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Valcebollère se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie et est frontalière avec l'Espagne (Catalogne)[I 1].

Elle se situe à 78 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, et à 41 km de Prades[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Nahuja (5,3 km), Osséja (5,5 km), Err (5,9 km), Sainte-Léocadie (6,1 km), Palau-de-Cerdagne (6,5 km), Llo (7,9 km), Saillagouse (8,1 km), Bourg-Madame (9,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Valcebollère fait partie de la région de la Cerdagne, une haute plaine à une altitude moyenne de 1 200 m d'altitude, qui s'étend d'est en ouest sur une quarantaine de kilomètres entre Mont-Louis et Bourg-Madame[4].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes
Communes limitrophes de Valcebollère[5],[6]
Err
Osséja Valcebollère
Palau-de-Cerdagne
(sur 100 m)
Toses (Espagne) Queralbs (Espagne),
Planoles (Espagne)

Le point de jonction avec la commune de Palau-de-Cerdagne et Toses est marqué par la borne frontière 504[5].

Situation de la commune.

Géologie et relief[edit | edit source]

La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[7].

Hydrographie[edit | edit source]

La Vanéra (ou Riu Llavanera[5]), affluent du Sègre, traverse la commune et arrose le bourg.

Climat[edit | edit source]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 6,4 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Formiguères à 26 km à vol d'oiseau[10], est de 7,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,3 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[edit | edit source]

Espaces protégés[edit | edit source]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[14],[15].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional des Pyrénées catalanes, créé en 2004 et d'une superficie de 139 062 ha, qui s'étend sur 66 communes du département. Ce territoire s'étage des fonds maraîchers et fruitiers des vallées de basse altitude aux plus hauts sommets des Pyrénées-Orientales en passant par les grands massifs de garrigue et de forêt méditerranéenne[16],[17].

Réseau Natura 2000[edit | edit source]

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[19].

  • le « massif du Puigmal », d'une superficie de 8 784 ha, présence une richesse patrimoniale avec onze habitats naturels et deux espèces végétales au niveau régional. Ainsi la station de Botryche simple est très importante compte tenu du faible nombre de stations en France[20] et au titre de la directive oiseaux[19]
  • « puigmal-Carança », d'une superficie de 10 260 ha, un site qui a une responsabilité forte ou très forte pour cinq espèces d'oiseaux au niveau régional, dont le gypaète barbu[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[edit | edit source]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[22] : la « Haute vallée de Valcebolère » (1 435 ha), couvrant 2 communes du département[23] et les « Replat de la Serra à Osséja » (182 ha), couvrant 2 communes du département[24] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[22] : les « chaine du Puigmal et vallées Adjacentes » (28 390 ha), couvrant 15 communes du département[25].

Urbanisme[edit | edit source]

Typologie[edit | edit source]

Valcebollère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[26],[I 2],[27]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[edit | edit source]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (97,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,1 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (24,4 %), prairies (1,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,2 %)[28]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[edit | edit source]

Une seule route relativement étroite, la D.30, permet d'atteindre la commune et le bourg distant de 6 km depuis Osséja par les gorges de la Vanéra.

Risques majeurs[edit | edit source]

Le territoire de la commune de Valcebollère est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne)[29],[30].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin du Sègre[31].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[32]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[33].

Toponymie[edit | edit source]

En catalan, le nom de la commune est Vallcebollera[34].

Histoire[edit | edit source]

Sous l'ancien régime, Valcebollère dépend de la paroisse d'Osséja. Valcebollère est érigée en commune en 1832 à partir de territoires distraits de ceux de la commune d'Osséja. Elle est réunie ensuite avec cette même commune par l'arrêté préfectoral du [35]. Enfin, elle reprend son indépendance en 1984 en étant de nouveau détachée d'Osséja[36].

Politique et administration[edit | edit source]

La mairie

À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

Administration municipale[edit | edit source]

Liste des maires[edit | edit source]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
octobre 1919 décembre 1923 Félix Fort    
décembre 1923 février 1945 François Iglesis    
février 1945 décembre 1958 Joseph Fort    
décembre 1958 juin 1982 Antoine Ribelaygue   Maire délégué à partir de 1972
juin 1982 mars 2001 André Fort   Maire délégué jusqu'en 1984
mars 2001 En cours Jean-Claude Ribelaygue   Réélu en 2008, 2014 et 2020[37]

Population et société[edit | edit source]

Démographie ancienne[edit | edit source]

La population est exprimée en nombre de feux (f).

Évolution de la population
1515
6 f
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Note :

Démographie contemporaine[edit | edit source]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1831. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

En 2021, la commune comptait 35 habitants[Note 6], en diminution de 16,67 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872
101329314334360335350334310
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
302301315278265258259228141
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1990 1999
130116119939268263749
2005 2006 2010 2015 2020 2021 - - -
414043423635---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Note : Avant 1831 et pour les recensements de 1975 et 1982, Valcebollère est comptée avec Osséja[35].

Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[42] 1975[42] 1982[42] 1990[42] 1999[42] 2006[43] 2009[44] 2013[45]
Rang de la commune dans le département 228 204 196 214 213 213
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement[edit | edit source]

Il n'y a plus d'école à Valcebollère depuis les années 1960.

Manifestations culturelles et festivités[edit | edit source]

Santé[edit | edit source]

Sports[edit | edit source]

Économie[edit | edit source]

Emploi[edit | edit source]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 5,9 % 8,3 % 11,8 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 19 personnes, parmi lesquelles on compte 76,5 % d'actifs (64,7 % ayant un emploi et 11,8 % de chômeurs) et 23,5 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 8]. Elle compte 7 emplois en 2018, contre 4 en 2013 et 7 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 12, soit un indicateur de concentration d'emploi de 60,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 41,9 %[I 9].

Sur ces 12 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 3 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 81,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 18,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied[I 11].

Activités hors agriculture[edit | edit source]

Secteurs d'activités[edit | edit source]

4 établissements[Note 8] sont implantés à Valcebollère au [I 12]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 4 entreprises implantées à Valcebollère), contre 8,7 % au niveau départemental[I 13].

Entreprises et commerces[edit | edit source]

La commune possédant d'importants gisements de schiste, son économie reposait autrefois en grande partie sur l'extraction de cette roche, permettant ainsi la couverture d'une grande partie des toits cerdans. Aujourd'hui, la plupart des sites d'exploitation ne sont plus en activité.

Agriculture[edit | edit source]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 3 3 0 1
SAU[Note 9] (ha) 99 119 0 100

La commune est dans la Cerdagne, une petite région agricole située à l'extrême ouest du département des Pyrénées-Orientales[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage de bovins, pour la viande[Carte 3]. Une seule exploitation agricole ayant son siège dans la commune est recensée lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (trois en 1988). La superficie agricole utilisée est de 100 ha[49],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine[edit | edit source]

Monuments et lieux touristiques[edit | edit source]

  • Chapelle Saint-Barnabé[50], lieu de pèlerinage, de promenade ou de piquenique
Chapelle-Saint-Barnabé

Voir aussi[edit | edit source]

Bibliographie[edit | edit source]

Articles connexes[edit | edit source]

Liens externes[edit | edit source]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[edit | edit source]

Notes et cartes[edit | edit source]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[edit | edit source]

Site de l'Insee[edit | edit source]

  1. « Métadonnées de la commune de Valcebollère » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Valcebollère » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Valcebollère » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Valcebollère » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources[edit | edit source]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Valcebollère et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Valcebollère et Prades », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Valcebollère », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 186-187.
  5. a b et c Carte IGN sous Géoportail
  6. Institut cartographique de Catalogne, « Visualisateur cartographique Vissir » (consulté le ).
  7. « Plan séisme » (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Valcebollère et Formiguères », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Formigueres » (commune de Formiguères) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Formigueres » (commune de Formiguères) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes - le territoire. », sur parc-pyrenees-catalanes.fr (consulté le ).
  17. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  19. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Valcebollère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « site Natura 2000 FR9101472 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR9112029 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Valcebollère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  23. « ZNIEFF la « Haute vallée de Valcebolère » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  24. « ZNIEFF les « Replat de la Serra à Osséja » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  25. « ZNIEFF les « chaine du Puigmal et vallées Adjacentes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  26. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  27. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  30. « Les risques près de chez moi - commune de Valcebollère », sur Géorisques (consulté le ).
  31. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  32. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  33. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  34. (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  35. a et b Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Valcebollère », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  37. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  43. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  45. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  46. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
  47. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  48. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  49. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Valcebollère - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  50. « randonnée à Saint Barnabé ».