Tresbœuf

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Tresbœuf
Tresbœuf
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Redon
Intercommunalité Bretagne Porte de Loire Communauté
Maire
Mandat
Laurence Roux
2020-2026
Code postal 35320
Code commune 35343
Démographie
Gentilé Tresbourgeois
Population
municipale
1 236 hab. (2021 en diminution de 2,75 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 53′ 00″ nord, 1° 32′ 41″ ouest
Altitude 90 m
Min. 25 m
Max. 113 m
Superficie 25,33 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bain-de-Bretagne
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tresbœuf
Liens
Site web www.tresboeuf.fr

Tresbœuf [tʁɛbœf] est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Géographie[modifier | modifier le code]

Le territoire communal n'est pas d'un seul tenant ; il comporte une exclave comprenant le hameau de Haut Verrion à 3 km du centre du village.

Carte de la commune.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 741 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de La Noë-Blanche à 17 km à vol d'oiseau[4], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 780,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tresbœuf est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs, la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover, est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,3 %), zones agricoles hétérogènes (38 %), prairies (14,9 %), zones urbanisées (1,6 %), forêts (0,2 %)[13].

L'institut national de l'information géographique et forestière met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Trebeo, Treboio mais aussi Trebo en 1158[15], Tresbou en 1170, Trebou en 1185[15], Tresbou en 1240[16], Treboyum en 1516[17], Trebeu en 1731[16].

Il s'agit peut-être d'une formation toponymique en Tré-. L'élément Tré- est issu du breton trev « paroisse »[18], comprendre vieux breton treb « lieu habité » (moyen breton treff > breton trev, tre[o])[19]. La graphie Tres- est inspirée de l'ancien français tres « au-delà » (même mot que très « beaucoup », issu du latin trans). D'après les formes anciennes, le second élément ne représente pas le gallo-roman BOVE (du latin bos, bovis) > « bœuf » attesté dès le XIIe siècle en français sous la forme buef, mais un élément -(b)o. La forme actuelle relève d'une analogie avec tres bœufs « trois bœufs ». La forme néo-bretonne Trevo[16], non attestée, rapproche implicitement ce toponyme de Trévoux. Quoi qu'il en soit, le toponyme le plus proche bien identifié comme étant d'origine bretonne est Pléchâtel situé à 17 km à l'ouest.

Tresbœuf se dit Trébeu en gallo (prononcé [trebœ])[20],[21]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trevo[16].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1152, la paroisse de Tresbou est donnée à l'abbaye Saint-Melaine de Rennes. Celle-ci y installe un prieuré et y envoie ses moines.

En 1218, l'abbaye de Rennes fait connaître un accord conclu avec le seigneur voisin, Alain Giffart seigneur du manoir de La Roche-Verrion (et probablement propriétaire du fief de la Bosse). Les religieux et le seigneur s'accordent sur la possession des terres, des moulins ainsi que la jouissance des dîmes et de la juridiction seigneuriale.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

En 1513, la seigneurie des Cours (famille Grameaux) détenait deux importants manoirs en Tresboeuf. Le premier se nommait le "Manoir des Cours" (il existe encore trois villages juxtaposés, nommés la Cour-Jambot, la Cour-Landais et les Cours-Audouart) et le second 'Manoir de la Rivière-Garmeaux" et sa chapelle. Cette famille de nobles était également propriétaire des Garmeaux en Janzé. Vers la fin du XVIe siècle, les deux terres nobles des Cours et de la Rivière passèrent aux mains d'une famille de riches bourgeois malouins, les de Launay.

Au XVIIe siècle, Tresboeuf fait partie du territoire de la famille Bourbon-Conde (baronnie de Chateaubriant) et du marquis de Brie qui étaient les seigneurs supérieurs de la région, mais le seigneur de la Rivière ou Rivière-Garmeaux ou Rivière-Tresboeuf[22]. était regardé comme seigneur absolu de Tresbœuf et prenait le titre de seigneur de la paroisse[23].

En 1743, René Augustin Patier (recteur de Tresboeuf) et la riche demoiselle Yvonne Lunel, font des donations pour établir dans le bourg de Tresboeuf un bureau de charité et deux ou trois pieuses filles s'occupant de visiter et de soigner les pauvres malades de Tresboeuf, et leur fournissant gratuitement "bouillons et remèdes". L'évêque de Rennes, Henri des Nos, approuve ce projet et règle cette institution charitable le qui œuvra pendant plusieurs décennies pour les pauvres de Tresboeuf.

Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Tresbœuf en 1778 :

« Trebœufs ; à 6 lieues et demie au Sud-Sud-Est de Rennes, son évêché, sa subdélégation et son ressort. On y compte 1 500 communiants[24] ; la cure est présentée par l'abbé de Saint-Melaine. Ce territoire, coupé par la rivière de Semnon et quelques ruisseaux, est couvert d'arbres et de ruisseaux ; il offre à la vue des terres en labeur [labour], de bonnes prairies et des landes ; les habitants font beaucoup de cidre[25]. »

Révolution française[modifier | modifier le code]

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1848, les quatre chapelles en Tresboeuf (trois frairiennes et une domestique) sont malheureusement toutes détruites pour utiliser leurs matériaux pour construire l'église actuelle "Saint-Martin". (Chapelles de Lossac, St-Étienne de Monceaux, de la rivière et Verrion)[26].

Description de Tresboeuf 1845 - Dictionnaire de Bretagne.

A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Tresbœuf en 1853 :

« Tresbœuf (sous l'invocation de saint Martin) : Commune formée de l'ancienne paroisse de ce nom ; aujourd'hui succursale ; chef-lieu de perception. (...) Principaux villages : Le Bois-Le jard, Lossac, la Hamonière, la Solière, la Morinais, la Beltière, la Goupillère, la Bahuchais, Monceaux, la Hucheloire, Lunel. Maison importante : la Rivière-Garnault. Superficie totale : 2 533 hectares, dont (...) terres labourables 1 636 ha, prés et pâturages 337 ha, bois 49 ha, vergers et jardins 62 ha, landes et incultes 343 ha, châtaigneraies 8 ha (...). Moulins : 3 ( à eau : de Briand ; à vent : de la Beltière, du Chênot). Cette ancienne paroisse est nommée dans les vieux titres « ecclesia de Trebeo et de Treboio », ce qui donne à penser que son nom français a été dénaturé. Elle présente aujourd'hui cette bizarrerie, qu'une partie de son territoire est détachée complètement, à environ 700 mètres au sud. Cette section, dite de Verrien, contient les villages suivants : Verrien, Ville-Jean, Passac et la Roche. Du côté sud, elle atteint les limites d'Ercé-en-Lamée. Géologie : quartzite ; schistes dans la vallée du nord. On parle le français[27]. »

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Tresbœuf : le monument aux morts.

Le monument aux morts de Tresbœuf porte les noms de 66 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[28] ; parmi eux deux sont morts sur le front belge (Victor Choquené, dès le à Rossignol et Julien Robert en 1915) ; un (Pierre Guéguené) est mort en Serbie dans le cadre de l'expédition de Salonique ; tous les autres sont morts sur le sol français ; parmi eux deux au moins (François Bigot et Victor Choquené) ont été décorés à la fois de la Médaille militaire et de la Croix de guerre et deux (François Albert et Marie Joseph Baffel) de la Croix de guerre[29].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Tresbœuf porte les noms de 5 personnes (Albert Bizeul, Francis Gautier, Auguste Marsollier, Eugène Melaine et Aristide Messu) mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[28].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Deux soldats originaires de Tresbœuf (Robert Boudet et André Hersant) sont morts pour la France pendant la Guerre d'Algérie[28].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1971 juillet 1992
(décès)
Jean-Baptiste Chevrel   Agriculteur retraité
septembre 1992 juin 1995 Jean Paris   Agriculteur retraité
juin 1995 25 mai 2020 Annie Moutel[30] DVD Agricultrice
Conseillère générale du Sel-de-Bretagne (1998 → 2004)
25 mai 2020 En cours Laurence Roux[31] DVG Cadre de la fonction publique
Conseillère départementale de Bain-de-Bretagne (2021 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[33].

En 2021, la commune comptait 1 236 habitants[Note 3], en diminution de 2,75 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4246801 4721 3651 4841 5801 5651 5121 510
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4491 4721 5091 4171 5721 5901 6631 6711 600
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5061 5191 4211 2011 1651 1311 1581 021959
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
9779168608568789261 1201 1761 246
2018 2021 - - - - - - -
1 2461 236-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Martin[36]
  • le manoir du Haut-Verrion (XVIIIe – XXe siècles).
  • le four à pain du bas-Verrion (XIXe siècle).
  • l'ancien manoir du Clos-Neuf (XIXe – XXe siècles).
  • le bureau de poste (XVIIIe – XXe siècle).
  • 4 moulins : Les moulins à eau de Briand (XVIIIe siècle) et du Bas-Pussac, et les moulins à vent de la Beltière et du Chênot.
  • l'ancienne école privée (XIXe – XXe siècles).

Monuments disparus[modifier | modifier le code]

  • 4 chapelles de Tresboeuf ont été démolies pour construire l'actuelle église « Saint-Martin »[26].
  • Les menhirs situés près de Verrion et près du village du Plessis (dans le Champ de la Pierre, détruit vers 1880).
  • Dans l'enceinte de l'ancien manoir de Verrion, sa chapelle frairienne et son cimetière.
  • Plusieurs autres domaines seigneuriaux ont entièrement ou partiellement disparu (les Manoirs de la Jousselinière, de la Haultaye, des Cours, de la Rivière, de la Jousselière...)[37].
  • L'ancien abri de diligences (XIXe – XXe siècles).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Tresbœuf et La Noë-Blanche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « La-Noe-Blanche » (commune de La Noë-Blanche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  15. a et b Bulletin de la Société archéologique du Finistère, 2001, Volume 130, Page 429 .
  16. a b c et d Site de KerOfis / Office de la langue bretonne : Générique - formes anciennes [1]
  17. « Language Monographs, Numéros 18 à 21, page 93. ».
  18. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 684a.
  19. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise (approche linguistique du vieux celtique continental), éditions Errance, Paris, 2003, (ISBN 2-87772-237-6), p. 300
  20. Régis Auffray, Le Petit Matao, Broché, 2007, page 953
  21. Bulletin de la Société archéologique du Finistère, Volume 130.
  22. « Tresboeuf : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).
  23. G. de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes, Fougeray, (lire en ligne).
  24. Personnes en âge de communier.
  25. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, Vatar Fils Aîné, (lire en ligne), p. 432.
  26. a et b Amédée (1837-1905) Auteur du texte Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes. [Volume 6] / par l'abbé Guillotin de Corson,..., 1880-1886 (lire en ligne).
  27. A. Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, t. 2, Rennes, Deniel, (lire en ligne), page 935.
  28. a b et c « Tresboeuf. Monument aux Morts (Relevé n° 19628) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
  29. « Tresboeuf. Livre d'or du ministère des pensions (Relevé n° 102673) », sur MémorialGenWeb, (consulté le ).
  30. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
  31. « Tresboeuf. Laurence Roux élue maire de la commune », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Notice no IA00007618, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Tresboeuf : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton du Sel-de-Bretagne) », sur www.infobretagne.com (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Archives[modifier | modifier le code]

  • Seigneurie des Cours et la Hautais, en Tresbœuf, 15 J 73 à 15 J 78 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.
  • Seigneurie du Plessix de la Couyère : La Couyère, Tresbœuf, 15 J 37 à 15 J 55 > Fonds de Langle (15 J), Archives I&V.

Liens externes[modifier | modifier le code]