Roqueredonde

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Roqueredonde
Roqueredonde
La mairie de Roqueredonde
Blason de Roqueredonde
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité CC du Lodévois et Larzac
Maire
Mandat
Félicien Venot
2022-2026
Code postal 34650
Code commune 34233
Démographie
Gentilé Roqueredondais
Population
municipale
212 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 9,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 48′ 05″ nord, 3° 12′ 46″ est
Altitude Min. 453 m
Max. 853 m
Superficie 22,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lodève
Législatives 5e circonscription de l'Hérault
Localisation
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Roqueredonde
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Roqueredonde
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Roqueredonde

Roqueredonde est une commune française de l'Hérault en région Occitanie. C'est une petite commune rurale du nord de l'Hérault, situé sur le plateau de l'Escandorgue, en bordure du plateau du Larzac. Ses habitants sont appelés les Roqueredondais.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par l'Orb, la Tès, le ruisseau de Tirounan et par divers autres petits cours d'eau.

Roqueredonde est une commune rurale qui compte 212 habitants en 2021.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Roqueredonde se situe dans le nord du département de l'Hérault, à la limite de l'Aveyron, à 16 km au nord-ouest de Lodève et à 70 km au nord-ouest de Montpellier, chef-lieu du département.

Incluse dans le parc naturel régional du Haut-Languedoc, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Le territoire communal, accidenté et boisé, est traversé par la haute vallée de l'Orb et ses affluents. Il est constitué en partie du plateau basaltique de l'Escandorgue, qui résulte d'épanchements volcaniques datés entre 2,5 et 1,5 million d'années[1].

Les communications sont assurées principalement par la route départementale D 902 (ex RN 602) qui relie Roqueredonde à Lodève.

Sur le plan ferroviaire, la ligne des Causses (Béziers - Neussargues-Moissac), ligne à voie unique électrifiée en 1 500 V continu, longe la limite communale ouest. La gare de Ceilhes - Roqueredonde, située à l'extrémité nord-ouest de la commune, est desservie par les services TER Languedoc-Roussillon[2].

Le village est traversé par le sentier de grande randonnée GR 71 et par un sentier de grande randonnée de pays.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Provence, Languedoc-Roussillon » et « Sud-est du Massif Central »0[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 290 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 4,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune des Plans à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 540,9 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9],[10].

Un espace protégé est présent sur la commune : le parc naturel régional du Haut-Languedoc, créé en 1973 et d'une superficie de 307 184 ha, qui s'étend sur 118 communes et deux départements[11]. Implanté de part et d’autre de la ligne de partage des eaux entre Océan Atlantique et mer Méditerranée, ce territoire est un véritable balcon dominant les plaines viticoles du Languedoc et les étendues céréalières du Lauragais[12],[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 1] est recensée sur la commune[14] : le « plateau de Guilhaumard et corniches sud » (4 068 ha), couvrant 5 communes dont trois dans l'Aveyron et deux dans l'Hérault[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[14] : le « massif de l'Escandorgue » (7 245 ha), couvrant 7 communes du département[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Roqueredonde est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[I 1],[18]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (65,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (46,9 %), prairies (21,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,8 %), zones agricoles hétérogènes (12,5 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

L'habitat est réparti en plusieurs hameaux dispersés dans le territoire communal : Autignaguet, la Borie Noble, Nogaret, le Mas de Grèze, le Mas de Mourié, le Mas Neuf et Roqueredonde situé au centre de la commune.

Hameau de Nogaret, Roqueredonde.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2013 et 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 119, alors qu'il était de 99 en 2008[I 4].

Parmi ces logements, 59,1 % étaient des résidences principales, 40 % des résidences secondaires et 0,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 83,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 15,9 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Roqueredonde en 2018 en comparaison avec celle de l'Hérault et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (40 %) très supérieure à celle du département (18,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 53,3 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (52,3 % en 2013), contre 53,2 % pour l'Hérault et 57,5 % pour la France entière[I 5].

Le logement à Roqueredonde en 2018.
Typologie Roqueredonde[I 4] Hérault[I 6] France entière[I 7]
Résidences principales (en %) 59,1 74,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 40 18,3 9,7
Logements vacants (en %) 0,9 7,3 8,2

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Roqueredonde est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Roqueredonde est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 4],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Roqueredonde.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 35 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 94 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 86 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1992, 1997, 2014 et 2015.

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Roqueredonde est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[25].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune est connue sous les variantes « Roderanicas », « Roqueronde » et « Roquereronde-de-Tieudas »[26],[27].

En occitan, la localité est dénommée Tiudaç.

Histoire[modifier | modifier le code]

Cadastre napoléonien : tableau d'assemblage (1827)

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé du maire et de dix conseillers dont deux sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 19426 dans l'arrondissement de Lodève du département de l'Hérault.

Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Lunas[28]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lodève

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Hérault, vaste circonscription qui va du centre de l'Hérault jusqu'aux limites de l'Aude et du Tarn

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Ronqueredonde était membre de la communauté de communes du Lodévois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1998 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes Lodévois et Larza, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 automne 2022 Jean Reverbel DVD Agriculteur
octobre 2022[29] En cours
(au 16 décembre 2022)
Félicien Vénot    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

Roqueredonde fait partie de la juridiction d’instance de Lodève et de grande instance de Montpellier, ainsi que de commerce de Montpellier[30].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
305288367335375353339380349
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
307281312313310352354350339
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
311290286224238250179164149
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
136202206196169138161163245
2015 2020 2021 - - - - - -
212210212------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Cultes[modifier | modifier le code]

Temple tibétain Lérab Ling

Un important temple du bouddhisme tibétain, Lerab Ling, dont le responsable est Sogyal Rinpoché[réf. nécessaire], y est situé.

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 66 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 130 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 15 380 [I 8] (20 330  dans le département[I 9]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 10] 6,5 % 8,2 % 6 %
Département[I 11] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 138 personnes, parmi lesquelles on compte 50,8 % d'actifs (44,8 % ayant un emploi et 6 % de chômeurs) et 49,2 % d'inactifs[Note 7],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 13]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 82 en 2013 et 67 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 62, soit un indicateur de concentration d'emploi de 95,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,1 %[I 14].

Sur ces 62 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 25 travaillent dans la commune, soit 40 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 77,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 11,8 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 10,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

13 établissements[Note 8] sont implantés à Roqueredonde au [I 17]. Le secteur de l'industrie manufacturière, des industries extractives et autres est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 38,5 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 13 entreprises implantées à Roqueredonde), contre 6,7 % au niveau départemental[I 18].

Agriculture[modifier | modifier le code]

1988 2000 2010 2020
Exploitations 12 10 7 5
SAU[Note 9] (ha) 878 1 524 1 379 963

La commune est dans le Causses du Larzac, une petite région agricole occupant une partie du nord du département de l'Hérault[34]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins ou de caprins[Carte 4]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (12 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 963 ha[36],[Carte 5],[Carte 6].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Le temple Lerab Ling.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Roqueredonde Blason
De sinople, au pairle losangé d'or et de sable[39].
Détails
Ces armes ont été enregistrées à la fin du XVIIe siècle dans l'armorial général de France de Charles d'Hozier. Elles appartiennent à une série de blasons au pairle losangé, attribués alors aux paroisses du diocèse de Lodève, qui ne diffèrent entre elles que par la couleur du fond d'écu et des losanges.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[35].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Roqueredonde - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Roqueredonde - Section LOG T7 » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Hérault - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
  9. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Hérault » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Roqueredonde » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Roqueredonde » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Hérault » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. La ligne Aubrac-Cap-d'Agde, Les volcans de France, BRGM
  2. Horaires Béziers - Millau -Clermont-Ferrand, SNCF TER Languedoc-Roussillon
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Roqueredonde et Les Plans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Les Plans » (commune des Les Plans) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Les Plans » (commune des Les Plans) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  12. [PDF]« Le parc naturel régional du Haut-Languedoc – charte 2011-2023 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur parc-haut-languedoc.fr (consulté le ).
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Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Association des amis de Lanza del Vasto, Nougaret au fil des âges : notes sur la géologie, la préhistoire et l'histoire de l'Escandorgue, Le Bousquet d’Orb, Association des amis de Lanza del Vasto, , 43 p.
  • Emmanuelle Coulomb, « Résistance non violente et maquis héraultais : la communauté de l'Arche de la Borie Noble », Études héraultaises, Montpellier, Association Études sur l'Hérault, nos 30-32,‎ 1999-2001, p. 297-308 (lire en ligne [PDF])

Fonds d'archives[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]