Lussat (Puy-de-Dôme)

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Lussat
Lussat (Puy-de-Dôme)
La mairie de Lussat.
Blason de Lussat
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans
Maire
Mandat
Dominique Duché
2020-2026
Code postal 63360
Code commune 63200
Démographie
Population
municipale
939 hab. (2021 en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015)
Densité 102 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 50′ 22″ nord, 3° 12′ 58″ est
Altitude Min. 311 m
Max. 368 m
Superficie 9,17 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aigueperse
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lussat
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Lussat
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Lussat
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Lussat
Liens
Site web http://www.lussat63.fr

Lussat est une commune française, située dans le département du Puy-de-Dôme en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire urbaine de Clermont-Ferrand.

Il ne faut pas la confondre avec Lussat, commune de la Creuse située en distance orthodromique, 77 km au nord-ouest.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Lussat se situe à 415 km de Paris et 15 km de Clermont-Ferrand, dans la plaine de la Limagne. Elle appartient à la communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans.

La commune a la particularité d'être composée de deux villages, Lussat et Lignat.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Elle jouxte six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Opale-CT (lussatite) sur calcaire bitumineux provenant de Lussat, exposée au Muséum national d'histoire naturelle.

Le point culminant de la commune est le lieu-dit « La Motte ». C'est sur ce site qu'a été découvert et identifié au XIXe siècle un minéral particulier : la lussatite. Il s'agit d'une calcédoine guttulaire ; ce sont des petits cristaux blanc translucides. C'est un minéral très rare. Un échantillon de lussatite est exposé dans un musée à New York.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La rivière la plus proche est l'Allier. Autrefois, la commune était traversée par la Tiretaine, rivière souterraine de Clermont-Ferrand.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute A89 passe au sud de la commune, qui ne bénéficie pas d'accès direct.

Le territoire communal est traversé par les routes départementales 6 (en direction de Saint-Beauzire et de Pont-du-Château), 8 (au nord vers Chappes), 54 (Malintrat et les Martres-d'Artière) et 84 (Chavaroux). Il existe une RD 6c traversant le village.

Les gares SNCF les plus proches sont Riom - Châtel-Guyon et Pont-du-Château.

Depuis le , Lussat est desservie par le transport à la demande du réseau RLV Mobilités. La ligne TAD 5 permet de se rendre au centre commercial Riom Sud, à Ennezat ou à la gare de Riom, où sont possibles des correspondances avec les lignes régulières du réseau[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 595 mm, avec 8 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 563,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lussat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (93,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91 %), zones urbanisées (5,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,7 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Histoire[modifier | modifier le code]

En haut à gauche : statue équestre et figure humaine agenouillée, trouvées sur Lussat avant 1759[14].

Le territoire communal a livré plusieurs découvertes archéologiques, dont une incinération gallo-romaine rarement étudiée dans la région[15].

Fossés de drainage antiques

Deux fossés de drainage ont été trouvés. L'un est à l'est et nord-est du village, l'autre au sud[16].

Celui à l'est et nord-est du village est long d'environ 1 km. Il se dirige dans une direction approximative nord-sud de part et d'autre de la D54, puis forme un coude vers l'ouest en direction du village[17]. Sa profondeur est de 2 m, pour 2 m de largeur au sommet et 0,5 m au fond (profil en V)[18]. Il est accompagné de nombreux aménagements : 11 puits droits, 2 puits en cloche, 5 structures qui sont peut-être des puits elles aussi, plusieurs fossés secondaires, 31 rigoles (et peut-être 4 autres rigoles), un drain en briques et pierres, et une sépulture. Des poteries donnent comme datation la période gallo-romaine précoce, d'autres artéfacts datent de l'âge de Fer et quelques-uns datent de la Préhistoire[17].

La sépulture est une incinération du milieu[19] du Ier siècle[20]. Elle est accompagnée d'orge commune (985 grains), de lentille cultivée (113 graines), de pois cultivé (53 graines) et d'un grain de graminée non identifié[19]. Avec cette sépulture se trouvait aussi un assez grand nombre de poteries ; Collis et al. mentionnent pour certaines d'entre elles une possible provenance de la Graufesenque — rappelons que les immenses ateliers de poterie de Lezoux se trouvent à seulement 12 km à l'est de Lussat, que dans ses premiers temps Lezoux a beaucoup imité les poteries de la Graufesenque et qu'au milieu du Ier siècle il est sur le point d'éclipser ce dernier, qui de plus se trouve à environ 230 km au sud. Enfin, en 1990 (date de la publication de Collis), la production des ateliers de Lezoux n'était pas aussi bien connue que seulement 20 ans plus tard, le gros des études sur ces ateliers ayant commencé précisément avec les années 1990.

Une autre sépulture, momifiée celle-là, a été découverte au XVIIIe siècle. La statue équestre ci-contre se trouvait à quatre ou cinq cent pas de cette sépulture[21].

Comme toutes les villes dont le nom se termine par « at », Lussat-Lignat est d'origine médiévale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie a été construite en 1835. C'est le plus vieil édifice de la commune.

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1800 1802 Giraud Germain    
1802 1809 Mathias Cohade    
1809 1811 Antoine Germain    
1811 1814 Mathias Cohade    
1814 1825 Michel Germain    
1825 1832 Annet Germain    
1832 1836 Benoît Pérousat    
1836 1840 Pierre Lavie    
1840 1841 Annet Germain-Rouchier    
1841 1858 Germain Fervel    
1858 1859 ?    
1859 1872 Charles Tabarier    
1872 1873 Rémy Bassin    
1873 1874 François Lavie    
1874 1892 Aventin Bassin    
1892 1894 Baptiste Lastiolas    
1894 1900 François Bassin    
... ... ... ... ...
mars 1988   M. Monnet    
mars 1995 Christian Arveuf[22]   11e vice-président de la communauté de communes[23]
En cours
(au )
Dominique Duché[24]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Sur le plan administratif, Lussat a fait partie :

Les limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme ont été modifiées afin que chaque nouvel établissement public de coopération intercommunale à fiscalité propre soit rattaché à un seul arrondissement au [26]. La communauté d'agglomération Riom Limagne et Volcans à laquelle appartient la commune est rattachée à l'arrondissement de Riom ; aussi, Lussat est passée le de l'arrondissement de Clermont-Ferrand à celui de Riom[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 939 habitants[Note 3], en augmentation de 2,07 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4501 015658791812873873961966
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
978944962925912962840789777
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
784798748642620600555492542
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
563557602653765713826858910
2018 2021 - - - - - - -
916939-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lussat possède une école construite en 1885 : "L'école des Marronniers". À l'époque, cette école n'était pas mixte, c'était l'école des garçons. Les filles étaient éduquées dans une salle de la mairie. L'association « Lussat Autrefois » a retrouvé dans les archives la trace d'un instituteur en 1792.

Depuis sa construction, le préau, la maternelle, les barrières, une salle de classe ont été ajoutés.

Dans une des classes de l'école, une plaque rend hommage à Gaston Meyvial, instituteur de l'école, mort pour la France en 1914.

Les collégiens se rendent à Pont-du-Château[32] et les lycéens à Clermont-Ferrand[33] :

  • aux lycées Blaise-Pascal ou Jeanne-d'Arc pour les filières générales ;
  • aux lycées Lafayette ou Roger-Claustres pour la filière STI2D ;
  • au lycée Sidoine-Apollinaire pour la filière STMG.

Sports[modifier | modifier le code]

Les Lussatois peuvent pratiquer plusieurs sports : le tennis, le basket, la gymnastique, la danse, le twirling-bâton, le tennis de table, la pétanque, le cyclisme ou le paintball.

Le village compte un boulodrome, une aire de plateau de terrains de jeux extérieurs, un terrain de grands jeux avec deux terrains, ainsi qu'un gymnase, d'après la base permanente des équipements de 2014[34].

Économie[modifier | modifier le code]

Lussat bénéficie d'une maison communale et a construit une médiathèque.

Entreprises[modifier | modifier le code]

Des entreprises sont installées dont Terrassements Semonsat, Roux Jourfier et l'entreprise Demas.

Agriculture[modifier | modifier le code]

Lussat est un village rural ; il comptait, en 2010, quinze exploitations agricoles[35], dont une exploitation d'élevage. Les agriculteurs cultivent du maïs, du blé, du tournesol, des légumes (pommes de terre, navets, betteraves) et de la vigne.

Commerce[modifier | modifier le code]

La base permanente des équipements de 2014 recense une boulangerie[36]. La commune possède aussi un coiffeur et un bar-tabac, ce dernier faisant office de poste.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Du château de Lignat, il ne reste plus que deux tours, un pont, et des ruines. La mairie l'a acheté et va l'aménager.

La ville compte un monument aux morts composé de quatre obus et d'une stèle où sont inscrits les noms des 18 Lussatois morts pour la France, dont l'instituteur, Gaston Meyvial.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « RLV Mobilités 2018-2019 : Mon Guide Bus » [PDF], sur rlv-mobilites.fr (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Lussat et Clermont-Ferrand », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Clermont-Ferrand », sur la commune de Clermont-Ferrand - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur insee.fr (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Guettard 1759, p. 576 bis.
  15. Laurent Bouby et Philippe Marinval, « Fruits and seeds from Roman cremations in Limagne (Massif Central) and the spatial variability of plant offerings in France », Journal of Archaeological Science, vol. 31, no 1,‎ , p. 77-86 (DOI 10.1016/j.jas.2003.07.006, lire en ligne, consulté en ), p. 78.
  16. John Collis, « Incinération gallo-romaine à Lussat et fouilles de sauvetage en grande Limagne (Puy-de-Dôme) en 1976 », Revue archéologique du Centre de la France, vol. 29, no 1,‎ , p. 5-17 (lire en ligne, consulté en ). Voir la carte p. 6.
  17. a et b Collis 1990, p. 7.
  18. Collis 1990, p. 6.
  19. a et b Bouby et Marinval 2004, p. 81.
  20. Bouby et Marinval 2004, p. 78.
  21. Jean-Étienne Guettard, « Mémoire sur la minéralogie de l'Auvergne », Histoire de l'Académie royale des sciences,‎ , p. 538-576 (lire en ligne, consulté en ), p. 557.
  22. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  23. « Frédéric Bonnichon élu à la tête de Riom, Limagne et Volcans », La Montagne,‎ , p. 11 (éditions du Puy-de-Dôme).
  24. « Dominique Duché est élu maire de Lussat (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
  25. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  26. « Modification des limites territoriales des arrondissements du Puy-de-Dôme au  », sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  27. Préfecture de la région Auvergne-Rhône-Alpes, « Arrêté no 16-536 du 21 décembre 2016 portant sur les modifications des limites territoriales des cinq arrondissements du Puy-de-Dôme » [PDF], Recueil des actes administratifs no 63-2016-065, sur puy-de-dome.gouv.fr, Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ), p. 211-214.
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « SECTORISATION - DEPARTEMENT du PUY-DE-DÔME » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  33. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  34. « Base permanente des équipements : sports, loisirs et culture » [zip], Insee, .
  35. « Données générales des exploitations ayant leur siège dans Lussat commune », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr, Ministère de l'Agriculture (consulté le ).
  36. « Base permanente des équipements : commerce » [zip], Insee, .