Larnage

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Larnage
Larnage
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Arche Agglo
Maire
Mandat
Gérard Roberton
2020-2026
Code postal 26600
Code commune 26156
Démographie
Gentilé Larnageois
Population
municipale
1 044 hab. (2021 en diminution de 2,52 % par rapport à 2015)
Densité 115 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 05′ 52″ nord, 4° 51′ 52″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 360 m
Superficie 9,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tain-l'Hermitage
Législatives Première circonscription
Localisation
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Larnage
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Larnage
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Larnage

Larnage est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont dénommés les Larnageois et Larnageoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Larnage est situé à 20 km au nord de Valence et à 4 km au nord de Tain-l'Hermitage.

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

Géologie[modifier | modifier le code]

La composition des sols est diversifiée. La commune se situe sur deux zones présentant des caractéristiques distinctes : une terre granitique à l'ouest, une terre argilo-calcaire à l'est[1].

L'histoire de la composition des sols est marquée par un phénomène qui se produisit durant l'Éocène. Les eaux salées et chaudes de la mer, qui occupait la vallée du Rhône à cette époque, provoquèrent des transformations souterraines. Le feldspath, composante du granite se transforma peu à peu en argile blanche. Le kaolin, ou « terre blanche », se forma[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants :

  • Ravin de la Bouzande[2] ;
  • Ravin de Roche Pierre[2] ;
  • Ravin des Chaux[2] ;
  • Ruisseau de Crozes-Hermitage[2] ;
(le Ruisseau de Crozes (autrefois appelé Ruisseau d'Humilian) : il s'écoule en direction de Crozes-Hermitage avant de se jeter lui aussi dans le Rhône[1]) ;
  • Ruisseau de la Bouterne[2] ;
(il est le plus important et sépare les communes de Larnage et de Mercurol-Veaunes sur plus d’un kilomètre. Sa rive droite fait partie de la commune. L’activité de pêche à la truite à longtemps été pratiquée sur ce ruisseau[1]) ;
  • Ruisseau de Torras[2] ;
(il prend sa source au nord de la commune, la traverse sur toute sa longueur puis se jette dans le Rhône au niveau de la commune de Tain-l'Hermitage).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 7,5 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mercurol »sur la commune de Mercurol-Veaunes à 3 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 864,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

L'autoroute A7 / E15 passe sur la commune. Le péage le plus proche est situé sur la commune voisine de Mercurol[2].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Larnage est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,1 %), forêts (30,4 %), cultures permanentes (12,9 %), zones urbanisées (6,6 %), prairies (5,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[2] :

  • Champ Clevet
  • Charret
  • Chautin
  • Chirouze
  • Côte de Meyer
  • Creux du Renard
  • Fournier
  • les Bonnassons
  • la Bouvatte et les Rennes
  • la Croix
  • Lebris
  • le Pérou
  • les Billaudes
  • les Brouas
  • les Chaux (nord)
  • les Chaux (sud)
  • les Chorets
  • les Condamines
  • les Coulaires
  • les Creux
  • les Fournaches
  • les Garennes
  • les Grand Bois
  • les Massonnières
  • les Méjans
  • les Mionets
  • les Plots
  • les Pouillards
  • les Sautons
  • les Trompas
  • Massurel
  • Merjurol
  • Roche Brune
  • Roche Pierre
  • Simat
  • Tarel
  • Torras

Logement[modifier | modifier le code]

En 2017, on compte 448 résidences dont 408 principales, 14 secondaires et 26 logements vacants[15].

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[16] :

  • 1100 : de Larnaggio (cartulaire de Romans, 154).
  • 1192 : Larnatge (cartulaire de Léoncel, 25).
  • 1201 : mention de la paroisse : capella de Larnataco (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 142).
  • 1285 : la paroisse est quelquefois appelée parrochia de Humiliano (archive de la Drôme, E 600) (voir Humilian).
  • 1336 : castrum de Larnaje (inventaire des dauphins, 90).
  • 1380 : Larnagium (choix de documents, 196).
  • 1386 : castrum de Larnajo (choix de documents, 205).
  • 1891 : Larnage, commune du canton de Tain.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[16] :

  • Au point de vue féodal, Larnage était un arrière-fief de la baronnie de Clérieux.
  • Possession des Bressieux.
  • 1191 : possession des Clérieux.
  • Recouvrée par les Bressieux.
  • 1329 : passe (par mariage) aux Claveyson.
  • 1336 : la terre est inféodée par les dauphins aux Poitiers-Saint-Vallier.
  • Vers 1400 : elle passe aux Brunier.
  • 1710 : passe aux Soubeyran de Montgiraud.
  • 1768 : vendue aux Mure, derniers seigneurs.

Démographie[16] :

  • 1688 : 30 familles.
  • 1789 : 130 familles.

Avant 1790, Larnage était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne, appelée quelquefois paroisse d'Humilian parce qu'elle dépendait du prieuré de ce nom. Son titulaire avait droit à la dîme et présentait à la cure.
Son église, qui était peut-être celle du prieuré d'Humilian, était dédiée à saint André[16].

Le prieuré d'Humilian[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[17] :

  • 1120 : ecclesia Sancti Andree de Humiliano (cartulaire de Saint-André-le-Bas, 197).
  • 1285 : mention de la paroisse : parrochia de Humiliano (archives de la Drôme, E 600).
  • 1344 : prioratus de Humilhano (cartulaire Clayriaci [Clérieux], 65).
  • XIVe siècle : prioratus de Humiliano (pouillé de Vienne).
  • 1521 : prioratus Humilliani (pouillé de Vienne).

Ce prieuré dépendait de l'abbaye de Saint-André-le-Bas (Vienne) dont le titulaire était collateur et décimateur dans la paroisse de Larnage. Ses biens étaient tenus en arrière-fief des barons de Clérieux.
Il existait encore au XVIe siècle mais son emplacement précis, sur la commune de Larnage, était inconnu en 1891[17].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune fait partie du canton de Tain[16].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendance politique et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1959 ?    
1959 1965 ?    
1965 1971 ?    
1971 1977 ?    
1977 1983 ?    
1983 1989 ?    
1989 1995 ?    
1995 2001 Max Osternaud DVD retraité (fonction publique)
2001 2008 Max Osternaud   maire sortant
2008 2014 Max Osternaud   maire sortant
2014 2020 Max Osternaud   maire sortant
2020 En cours
(au 21 décembre 2020)
Gérard Roberton[18][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[20].

En 2021, la commune comptait 1 044 habitants[Note 3], en diminution de 2,52 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
384521489537645675721741728
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
731737748767771705670706763
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
689703670592602562541542550
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
514526566631663770940965993
2015 2020 2021 - - - - - -
1 0711 0461 044------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une bibliothèque. Elle propose environ 700 livres pour les enfants et plus de 1000 pour les adultes. Des livres sont également prêtés par la médiathèque de Saint-Vallier[23].

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école allant de la petite section au CP[24].

Santé[modifier | modifier le code]

Aide sociale[modifier | modifier le code]

Le centre communal d'aide social (C.C.A.S.) informe et conseille. Il mène une action générale de prévention et de développement social en lien avec les institutions publiques[25].

L'association Rephuge, crée en 2016, a pour objectif de faciliter l'accueil de la famille Almareï, des réfugiés syriens. Cette association compte une centaine d'adhérents[26].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Fête : le deuxième dimanche de septembre[27].

Loisirs[modifier | modifier le code]

L'association Larnage Loisir propose des activités. En 2020, un atelier « découverte du travail du bois » a été organisé[28].

L'ACCA est une association regroupant les chasseurs de la commune.

Sports[modifier | modifier le code]

  • L'association F.C.L.S (Football Club Larnage Serves) a été fondée en 1962 par la fusion entre L'AS Larnage et le FC Serves. L'équipe première des séniors participe au championnat de promotion d'excellence Drôme-Ardèche.
  • L'association des Rustines (fondée le 23 Janvier 2015) propose chaque année des activités de rando-cyclo de plusieurs kilomètres[29].

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

Jusqu'au XXe siècle, les cultures étaient variées et nombreuses. Les habitants possédaient souvent des parcelles pour cultiver la vigne ou s'approvisionner en bois[1].

En 1992 : vignes (vin AOC Crozes-Hermitage et Côtes-du-Rhône), vergers (abricots, cerises), apiculture (miel)[27].

  • Marché aux fruits (juin à août : abricots)[27].
Viticulture

La vigne est cultivée sur la commune depuis longtemps. Les coteaux de Crozes-Hermitage et de Côtes-du-Rhône ont obtenu la certification AOC en 1992
. L'exposition lumineuse est favorable à l'exploitation viticole. Cet atout est renforcé par les graviers de feldspath qui augmentent la réverbération des rayons lumineux[1].

Fruits

La culture de l'abricot, sur environ 250 hectares, permet à la commune d'être l'une des plus productives de la Drôme[1].
Des années 1950 à celles 1970, il y avait un marché aux abricots[1].
Aujourd'hui, la production s'est intensifiée et s'organise autour des coopératives de Tain-l'Hermitage (le GIE) et de Tournon (la SCAF), où les producteurs livrent eux-mêmes leurs récoltes[réf. nécessaire].

Industrie[modifier | modifier le code]

Exploitation des terres blanches

Sur le territoire de la commune, il y a des carrières de terre réfractaire[27]. La Carrière de Terre Blanche de Larnage est une caractéristique de la commune.

Depuis plusieurs siècles, les terres blanches de Larnage ont marqué l'économie locale.
L'utilisation de la terre de Larnage est attesté en 1552 avec le potier Jehan Delome.
Des tessons de poteries, remontant au milieu du XVIIe siècle, ont été découverts lors de fouilles archéologiques à Lyon et à Vienne[1]. Ils permettent de confirmer le travail de l'argile sur la commune de Larnage.
Au XIXe siècle, l'artisanat fut remplacée par une production industrielle. Trois usines s'installent à Larnage. Elles utilisent une importante main d'œuvre et entrainent une forte exploitation des carrières.
« Jusqu'à la dernière guerre, les carrières de Larnage fournissaient près de la moitié de la France en produits réfractaires, destinés essentiellement à la fabrication de fours à pain. »
Le déclin de l'activité provoque, à la fin du XXe siècle, la fermeture des usines présentes à Larnage. Cependant l'exploitation des carrières et la production de kaolin n'ont jamais cessé[1].

Tourisme[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ruines du château médiéval[27] : enceinte quadrangulaire à tours circulaires aux angles du XVIe siècle[réf. nécessaire].
Le château aurait été bâti au XIIe siècle par le seigneur de Larnaggio. Au XVe siècle, la riche famille Brunier modifie le château : trois tours sont construites, reliées par un rempart percé d'embrasures de tirs.
En 1567, pendant les guerres de Religion, le château est ruiné par les huguenots.
L'association Larnaggio, les amis du patrimoine a été créée pour protéger le site[30][source insuffisante].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Larnage possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i et j Yves Dumaine et Raymond Ponson, Histoire & histoires de Larnage.
  2. a b c d e f g et h https://www.geoportail.gouv.fr/
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Larnage et Mercurol-Veaunes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. « Dossier complet − Commune de Larnage (26156). Insee », sur www.insee.fr (consulté le ).
  16. a b c d et e J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 189 (Larnage).
  17. a et b J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 178 (Humilian).
  18. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. « La bibliothèque », sur www.larnage.fr (consulté le ).
  24. « Ecole de Larnage », sur www.larnage.fr (consulté le ).
  25. « C.C.A.S. », sur www.larnage.fr (consulté le ).
  26. « Rephuge », sur www.larnage.fr (consulté le ).
  27. a b c d e et f Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Larnage.
  28. Gérard Roberton, Larnage le lien 2021, Larnage, La mairie de Larnage, , 39 p., p. 30.
  29. « Les rustines », sur larnage.fr (consulté le ).
  30. « Les amis du patrimoine », sur www.larnage.fr (consulté le ).