Champrond-en-Gâtine

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Champrond-en-Gâtine
Champrond-en-Gâtine
L'église Saint-Sauveur.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes Terres de Perche
Maire
Mandat
Éric Legros
2020-2026
Code postal 28240
Code commune 28071
Démographie
Population
municipale
712 hab. (2021 en augmentation de 11,6 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 24′ 11″ nord, 1° 04′ 35″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 277 m
Superficie 33,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Chartres
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent-le-Rotrou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Champrond-en-Gâtine
Liens
Site web Site de la mairie

Champrond-en-Gâtine [ʃɑ̃pʁɔ] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Sur la commune se trouve la réelle source la plus amont de la rivière le Loir, affluent de la Sarthe, sous-affluent de la Loire, 22km en amont de Saint-Éman qui est pourtant désigné comme le lieu officiel de sa source.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Sud-ouest du bassin Parisien » et « Normandie (Cotentin, Orne) »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 740 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de La Loupe à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 718,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS).

Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles. L'objectif est de promouvoir une gestion adaptée des habitats tout en tenant compte des exigences économiques, sociales et culturelles, ainsi que des particularités régionales et locales de chaque État membre. Les activités humaines ne sont pas interdites, dès lors que celles-ci ne remettent pas en cause significativement l'état de conservation favorable des habitats et des espèces concernés[7].

Une partie du territoire communal est incluse dans le site Natura 2000[8] : « Arc forestier du Perche d'Eure-et-Loir » (Habitats), d'une superficie de 522 ha[9], lui-même étant inclus dans le site « Forêts et étangs du Perche » (Oiseaux), d'une superficie de 47 681 ha.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Champrond-en-Gâtine est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), terres arables (40,5 %), prairies (2,3 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %), zones urbanisées (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Champrond-en-Gâtine est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Loir, le ruisseau de l'Étang Chaud, la Vallée du Gros Caillou et la Vallée de Reuse. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[18],[16].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Champrond-en-Gâtine.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[19]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 315 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 288 sont en aléa moyen ou fort, soit 91 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Campus Rotundus in Gastina en 1366[23], ce qui se traduit mot pour mot par « Champ Rond en Gâtine », Champrond en Gâtine au XVIIIe siècle[24].

Un rendez-vous de chasse perdu dans l’immense forêt du Perche, donna naissance à une agglomération qui essarta un coin de bois, puis finit par dégager une vaste clairière quasi circulaire. Ce fut le « Champ Rond » où s’implanta le futur village.
« Gâtine » partage le même radical que les termes gâter et l'ancien français gast « désert, inculte ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'histoire de la commune du Xe siècle au XIIIe siècle, ainsi que celle de Friaize et de Montlandon, était intimement liée aux puissants barons de Châteauneuf-en-Thymerais. Champrond constituait l'un de leurs principaux fiefs avant que leur lignée ne disparaisse et que leur baronnie dont le domaine couvrait l'ensemble du Thymerais ne soit démembrée.

La Révolution française[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Champrond-Marat[25].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

XIXe siècle[modifier | modifier le code]

Le loup chassé[modifier | modifier le code]

Une battue faite dans la forêt de Champrond-en-Gâtine, le 14 avril courant (1871), sous la direction de M. Brissonnet-Texier, régisseur de M. le marquis d'Aligre, a produit un assez beau résultat : deux loups mâles ont été tués, l'un âgé de deux ans, par M. Juillet, garde particulier, l'autre, déjà vieux de six ans, par M. Hamelin, garde-forestier[26].

XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Le variant de la Covid-19 apparu à Champrond-en-Gâtine[modifier | modifier le code]

En mai 2021, dans une intervention sur la chaîne de l'IHU Méditerranée Infection, le professeur Raoult déclare que l'élevage de visons de Champrond-en-Gâtine est, à son avis, « la source de cette épidémie et c'est le variant le plus mortel dans le monde de la Covid-19, c'est le plus mortel chez nous et il s'est répandu dans toute l'Europe, c'est un vrai tueur, le pire des tueurs, le pire de ceux que l'on a eu ! »[27].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1995 ? Pierre Michel DVD  
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 En cours Éric Legros[28],[29]   Professeur des écoles ou instituteur ou assimilé

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 712 habitants[Note 3], en augmentation de 11,6 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
900853968904871900929947965
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
829845867826826786726752746
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
716739711633618597584637540
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
530507446430356416464459541
2015 2020 2021 - - - - - -
638702712------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La tour d'Aligre.
Clocher de l'église Saint-Sauveur.
Ancien lavoir du fossé de Champrond.
Ancien lavoir du fossé de Champrond.

La tour d'Aligre[modifier | modifier le code]

Au XIe siècle, le comte du Perche fait construire un château fort à Champrond-en-Gâtine ; les assauts de l'histoire l'ont anéanti. En 1820, le marquis d'Aligre acquiert la grand'maison de Champrond, 159 hectares des forêts de Champrond[9] et de la Magnane, la ferme du Valdon et la tour de Montlandon. Et c'est en 1876, que la filleule de la marquise d'Aligre fait édifier l'actuelle tour d'Aligre, sur les soubassements de l'ancienne tour du château féodal[33],[34]. Avant la famille d'Aligre, les ruines appartenaient aux Gontaut-Biron.

« C’est ma mère qui, filleule de la marquise d’Aligre, a posé en 1876, la première pierre de la « Tour » de Champrond, propriété de la famille d'Aligre et dépendant du château des Vaux.

Cette tour est située sur les ruines d'un ancien château fort qui aurait été bâti vers 1070 par le comte du Perche, seigneur de Champrond, et la base qui subsiste seule actuellement, est en maçonnerie si solide que la pioche aurait été impuissante à la démolir et qu'on dut y renoncer. Ma grand-mère habita cette tour pendant plus de cinquante ans et c’est là que j’ai passé toutes mes vacances jusqu’à ma dix-huitième année.

À quelques centaines de mètres du bourg, s’étendent les grandes forêts de Champrond et Montécot. »

— Docteur Siméon Langlois, médecin en chef honoraire de l’administration générale de l’Assistance Publique à Paris en 1973 - Un million de malades[35].

L'église Saint-Sauveur[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Sauveur présente des éléments des XIIe, XVIIe et XIXe siècles.

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Étang et ancien lavoir du fossé de Champrond

Arbre remarquable de France[modifier | modifier le code]

Le chêne du bois Landry « Les quatre Frères », hauteur 31 m, circonférence 7 m, bicentenaire est labellisé « Arbre remarquable de France », privé, en [36],[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gilles III du Buat, écuyer, né 1639, mort 1705, habitait Champrond-en-Gâtine[38]
  • François-Lubin Passard, libraire-éditeur et écrivain, né à Champrond-en-Gâtine en 1817. Pour le pseudonyme "Eugène Le Gai", l'auteur se qualifie parfois de "docteur" et pour "Louis Delanoue", d'avocat[39].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Champrond-en-Gâtine Blason
Écartelé : au 1) d'argent au village au naturel toituré de gueules, au 2) d'azur au gland d'or feuillé de deux pièces de sinople en chevron, au 3) d'azur à l'épi de blé d'or posé en bande, au 4) d'argent aux cinq ondes alésées d'azur ; sur le tout d'argent aux trois chevrons de gueules.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Bases de données et dictionnaires[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Champrond-en-Gâtine et La Loupe », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « La Loupe », sur la commune de La Loupe - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « La Loupe », sur la commune de La Loupe - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Réseau européen Natura 2000 », sur le site du ministère de la Transition écologique et solidaire, (consulté le ).
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Champrond-en-Gâtine », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. a et b « Site Natura 2000 « Arc forestier du Perche d'Eure-et-Loir » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Champrond-en-Gâtine », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Champrond-en-Gâtine », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. A.D. 28-G 907.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Champrond-en-Gâtine », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  26. Journal L'Union Agricole du 27 avril 1871
  27. « Covid-19, le professeur Raoult estime que l'élevage de visons d'Eure-et-Loir a engendré "un monstre, le pire des tueurs" / Actu Chartres », sur actu.fr, (consulté le ).
  28. « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  29. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. La tour d'Aligre sur le site de généalogie Perche-Gouët.
  34. La tour d'Aligre sur le site officiel de la commune.
  35. Langlois Siméon, Un million de malades : mémoires d'un médecin…, Paris : la Pensée universelle, 1977. BNF Notice n° : FRBNF34594554.
  36. Exposition « Arbres remarqués d'Eure-et-Loir », maison des Espaces Naturels d'Écluzelles, 2022.
  37. Carte de France interactive « Comment trouver les arbres labellisés par l’association ? », sur le site de l'association A.R.B.R.E.S., consulté le 8 septembre 2022.
  38. Le Court Henri, Généalogie des branches normandes et percheronnes de la maison Du Buat, seigneurs, barons, comtes et marquis Du Buat, dressée sur documents authentiques, Lisieux : Impr. de E. Lerebour, 1885 (dépôt 1900), In-4°, 68 p. BNF Notice n° : FRBNF34210468
  39. BNF Notice d'autorité personne nº : FRBNF12425692