Saint-Jean-Pierre-Fixte

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Saint-Jean-Pierre-Fixte
Saint-Jean-Pierre-Fixte
Mairie
Blason de Saint-Jean-Pierre-Fixte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Nogent-le-Rotrou
Intercommunalité Communauté de communes du Perche
Maire
Mandat
Julie Rachel
2020-2026
Code postal 28400
Code commune 28342
Démographie
Population
municipale
264 hab. (2021 en augmentation de 0,38 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 17′ 36″ nord, 0° 50′ 14″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 199 m
Superficie 6,91 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nogent-le-Rotrou
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nogent-le-Rotrou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Jean-Pierre-Fixte

Saint-Jean-Pierre-Fixte est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune se situe dans la région naturelle du Perche.

Communes et département limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Saint-Jean-Pierre-Fixte
Nogent-le-Rotrou
Mâle (Orne) Saint-Jean-Pierre-Fixte Trizay-Coutretot-Saint-Serge
Souancé-au-Perche

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 735 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Vichères à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,9 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-Pierre-Fixte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nogent-le-Rotrou, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (96,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60 %), prairies (36,1 %), forêts (3,6 %), zones urbanisées (0,4 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

Ce tableau liste les lieux-dits présents sur la commune de Saint-Jean-Pierre-Fixte[13].

  • Aumônerie (l)
  • Petit Aunay (le)
  • Bel Air
  • Bigotière (la)
  • Haut Bois (le)
  • Boisserie (la)
  • Bordes (les)
  • Boulaye (la)
  • Bout du Bois (le)
  • Cascade (la)
  • Chambeyron (le)
  • Chanerie (la)
  • Grand Charme (le)
  • Petit Charme (le)
  • Grand Châtillon (le)
  • Petit Châtillon (le)
  • Chênes (les)
  • Chèvrerie (la)
  • Cormier (le)
  • Fuye (la)
  • Gatys (les)
  • Gouenneteries (les)
  • Granges (les)
  • Petit Gros Bois (le)
  • Gros Bois Charon (le)
  • Gros Bois Gaslin (le)
  • Gros Bois Roger (le)
  • Guerrière (la)
  • Guimpier (le)
  • Houdonnière (la)
  • Isles (les)
  • Jevrie (la)
  • Joustière (la)
  • Mahotière (la)
  • Maillardière (la)
  • Maison Neuve (la)
  • Malbrou
  • Malleterie (la)
  • Marchais (les)
  • Menardière (la)
  • Montrousset
  • Moulin à Papier (le)
  • Moulin de Prainville (le)
  • Pilloisière (la)
  • Piternière (la)
  • Poussineries (les)
  • Grand Prainville (le)
  • Sablon (le)
  • Taillis (le)
  • Tertillère (la)
  • Valettes (les)
  • Vallée (la)
  • Vieux Moulin (le)

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jean-Pierre-Fixte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Jambette, la Berthe et la Rhône. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[16],[14].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean-Pierre-Fixte.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile, des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des effondrements généralisés[17]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 88,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 134 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 119 sont en aléa moyen ou fort, soit 89 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Petra Fixa en 1142 (cart. de Saint-Denis de Nogent-le-Rotrou, fol. 3)[21], Petra Fracta vers 1220[22] et vers 1250 (pouillé)[21], Pierre Ficte en 1449 (reg. des contrats du chap. de Chartres)[23], Pierre Fixte[21] et Saint Jean Pierre Fixte en 1793, Pierre-Sixte et Saint-Jean-Pierre-Fixte en 1801[24].

Saint-Jean est un hagiotoponyme.

Pierre Fixte : du latin Petra Fracta, « pierre fracturée »[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Fontaine-Libre[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[26]
Période Identité Étiquette Qualité
1800 1807 Jean-Sébastien Aubert    
1807 1816 Jean-Denis Brouard    
1816 1828 Grégoire Leroy    
1908 ? Julien Pelletier    
1919 1920 Varenne    
1920 ? Félicien Picard    
1953 1977 Maurice Charpagne    
1977 1980 André Filoche    
1981 1989 Maurice Herry    
1989 2001 André di Giovanni    
2001 2013 Pierre Bequignon    
septembre 2013 mai 2020 Alain Josse SE Retraité
mai 2020 en cours Julie Rachel    
Les données manquantes sont à compléter.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 264 habitants[Note 3], en augmentation de 0,38 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
284290297258270268295326314
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
309260219203208196232210224
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222219212191225223212206193
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
183145180210307291292289280
2015 2020 2021 - - - - - -
263265264------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • Aucun établissement scolaire sur la commune, l'éducation est faite à Nogent-le-Rotrou.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Comité des fêtes, chargé de l'organisation de la fête de la Saint Jean, vide-grenier, beaujolais nouveau et l'arbre de noël[30].

Économie[modifier | modifier le code]

  • Une douzaine d'entreprises est présente sur la commune[31]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Jean-Baptiste[modifier | modifier le code]

Carte postale ancienne.
Carte postale ancienne.
Église Saint-Jean-Baptiste

L'église Saint-Jean-Baptiste est recensée dans l'inventaire général du patrimoine culturel[32]. La nef et le chœur datent du XIIe siècle. La tour-clocher actuelle date de 1622, en effet, la première, construite en 1619 s'effondra faute de fondations correctes en 1620. L'église est dédiée à Saint-Jean-Baptiste.

Cette tour-clocher a une particularité. Le presbytère, bâtiment annexe à l'église a été vendu comme bien national en 1796. L'abbé du moment, Joseph Adolphe Vidal, n'avait plus de salle ni de logement. Les moyens financiers de la commune ne permettant pas la construction d'un logement pour l'abbé et d'une mairie, l'abbé, menuisier et ancien compagnon du Devoir, décida de transformer la tour-clocher et de faire trois étages, au premier étage, la salle du curé, au deuxième, la salle du conseil municipal et au troisième, sa chambre à coucher, le tout, desservi par un escalier inclus dans la tour[33].

En 1904, la mairie considérant que le logement n'était plus adapté, relogea le curé, non loin de l'église, dans la maison du garde-barrière qui était vacante depuis la suppression de la ligne du chemin de fer Nogent-le-Rotrou à Patay . La salle du conseil municipal prit place dans la mairie construite en face de l'église en 1956. La tour-clocher a été restaurée en 2009.

Cette église abrite :

  • Deux verrières des XVIe et XIXe siècles : saint Jean-Baptiste, sainte Barbe, l'Annonciation, sainte Marthe (baies 1 et 2), Logo monument historique Inscrit MH (1908)[34] ;

Fontaine Saint-Jean[modifier | modifier le code]

La commune fut un des lieux sacrés du paganisme et la Fontaine Saint-Jean, aurait la particularité d'avoir des vertus miraculeuses[37].

Placée en face de l'église, elle ressemble à une grotte dans laquelle est placée une statue de Saint-Jean. Chaque année, la veille de la Saint-Jean, les visiteurs, avant le soleil levé, venaient des départements voisins avec pour but de toucher l'eau miraculeuse qui coulait de la fontaine. Certains visiteurs achetaient directement au curé de la paroisse de l'eau, d'autre s'en versaient sur le corps ou uniquement sur la partie malade, d'autres encore, dont la totalité du corps était malade, trempaient une chemise et l'enfilaient. Des mères plongeaient des bébés malades tout nus dans l'eau glacée pensant qu'un miracle aurait lieu. Au vu du nombre de décès infantiles, le Docteur Robbe en 1834 dénonça ces pratiques.

La Gazette des Hôpitaux de Paris, en 1834 avait publié le pamphlet suivant :

« Il existe dans es environs (Nogent-le-Rotrou) une fontaine dite du Bon Saint-Jean, véritable piscine, renommée pour ses miracles. C'est la panacée universelle, le remède à tous maux. Malgré sa grande réputation, on peut établir toutefois qu'elle produit plus de maladies qu'elle n'en guérit véritablement. En effet, à une certaine époque de l'année, on voit arriver de toutes parts une foule de nourrices, qui viennent plonger dans ses eaux glacées leurs enfants au maillot. Par cela même qu'ils ont le corps couvert de gourme, on peut croire que, de cette immersion froide, il doit résulter souvent la rétrocession subite de cet exhantème, et, par la suite, des maladies graves qui entraînent la mort de plusieurs d'entre eux. Je n'ai point l'intention de dérouler ici le chapitre des accidens occasionés par le fanatisme aux crédules habitans de nos campagnes[38]. »

Deux anticléricaux notoires, M. Lepecq, ancien médecin pédiatre à l'assistance publique de Paris et M. Morin, ancien notaire et avocat firent pression pour interdire cette pratique. Un arrêté sous-préfectoral l'interdit en 1844. La tradition était plus forte que la loi, et celle-ci perdura jusqu'en 1848, date à laquelle M. Morin, devenu sous-préfet de Nogent-le-Rotrou pris les mesures nécessaires pour stopper définitivement ces pratiques[39]. Cela a fait l'objet d'une Affaire de la vipère noire et de la fontaine miraculeuse[40].

Manoir de Prainville[modifier | modifier le code]

Le manoir de Prainville, recensé dans l'inventaire général du patrimoine culturel[41], est construit vers 1485 pour Patrice de Boisguyon, écuyer, fils cadet de Philippe de Boisguyon, seigneur de Montdoucet. Ce manoir est une propriété privée.

Monument aux morts et cimetière[modifier | modifier le code]

Le Monument aux morts se trouve dans l'enceinte du cimetière.

Sur ce dernier, sont inscrits les noms des soldats morts pour la France, dix durant la Première Guerre mondiale et un durant la Guerre d'Indochine[42].

Moulin à papier[modifier | modifier le code]

Déjà existant sur le cadastre de 1811, ce bâtiment a été modifié et agrandi au cours du XIXe siècle. Le propriétaire de l'époque, Gabriel Thibault, était papetier à Autheuil. Le moulin, transformé en usine produit du papier jusqu'au milieu des années 1860. Vendu à Louis Lepelley, tanneur à Paris, ce dernier l'exploite en tant que moulin à tan. Ce même propriétaire, décide une nouvelle transformation en fabrique de dominos et boutons qu'il cédera en 1921 à Émile Serrault, fabricant de bouton). L'activité de cette fabrique cessera à la veille de la seconde Guerre Mondiale.

Ce moulin, depuis 1952, est propriété de la Fédération départementale pour la pêche et la protection du milieu aquatique. Elle fait de ce bâtiment une pisciculture et son siège[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Jean-Pierre-Fixte Blason
Taillé: au 1er de sinople à la pierre du lieu fichée d'or et senestrée à sa base d'une pierre couchée du même, au 2e d'azur à la fontaine miraculeuse du lieu d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Pelletier, Saint-Jean-Pierre-Fixte – Carrefour d’histoire, monographie communale, . Ouvrage utilisé pour la rédaction de l'article

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Saint-Jean-Pierre-Fixte et Vichères », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Vichères », sur la commune de Vichères - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Vichères », sur la commune de Vichères - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Lieux-dits, hameaux et écarts
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jean-Pierre-Fixte », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Jean-Pierre-Fixte », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. a b et c Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  22. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 83.
  23. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations pré-celtiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 310.
  24. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Saint-Jean-Pierre-Fixte », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  26. Cercle de recherches généalogiques du Perche-Gouêt
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Comité des fêtes
  31. Économie
  32. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA28000284, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Église Saint-Jean-Baptiste.
  34. « 2 verrières : saint Jean-Baptiste, sainte Barbe, l'Annonciation, sainte Marthe (?) (baies 1 et 2) », notice no PM28000521, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  35. « Armoire de sacristie, style Louis XV », notice no PM28000522, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  36. « Estampes (8), dites images d’Épinal », notice no PM28000785, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  37. Histoire des villes de France, Volume 3, Aristide Guilbert, page 436.
  38. Orthographe de l'époque conservée, texte repris dans le Nogentais du dimanche 26 janvier 1834
  39. Ernest Sevrin, Croyances populaires et médecine supranaturelle en Eure-et-Loir au XIXe siècle,Revue d'histoire de l'Église de France, tome 32, n°121, 1946. page 268
  40. le Nogentais du dimanche 23 février 1845, Affaire de la vipère noire et de la fontaine miraculeuse
  41. « Le manoir de Prainville », notice no IA28000619, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Monuments aux morts
  43. Inventaire du patrimoine bâti, Saint-Jean-Pierre-Fixte