Colombiers (Hérault)
Colombiers | |||||
Le canal du Midi. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Hérault | ||||
Arrondissement | Béziers | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes la Domitienne | ||||
Maire Mandat |
Alain Caralp 2020-2026 |
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Code postal | 34440 | ||||
Code commune | 34081 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
2 668 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 263 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 18′ 50″ nord, 3° 08′ 29″ est | ||||
Altitude | 25 m Min. 21 m Max. 100 m |
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Superficie | 10,14 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Colombiers (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Béziers (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Cazouls-lès-Béziers | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Colombiers [ko.lɔ̃.bje] (en occitan Colombièrs [ku.lun.'βjɛs]) est une commune française située dans le département de l'Hérault en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Colombiéraines et les Colombiérains.
Géographie
Colombiers se situe dans l'Hérault entre Narbonne et Béziers au pied de l'ancien oppidum antique d'Ensérune et dans un méandre du Canal du Midi.
Communes limitrophes
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[3]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[1].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[4] complétée par des études régionales[5] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lespignan », sur la commune de Lespignan, mise en service en 1989[6]et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[7],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 15,3 °C et la hauteur de précipitations de 620,7 mm pour la période 1981-2010[8]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Sete », sur la commune de Sète, mise en service en 1949 et à 46 km[9], la température moyenne annuelle évolue de 15 °C pour la période 1971-2000[10], à 15,4 °C pour 1981-2010[11], puis à 15,8 °C pour 1991-2020[12].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].
Urbanisme
Typologie
Colombiers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Colombiers, une unité urbaine monocommunale[19] de 2 484 habitants en 2017, constituant une ville isolée[20],[21].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béziers, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 53 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[22],[23].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (50,8 %), terres arables (17 %), zones agricoles hétérogènes (14,3 %), zones urbanisées (11,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[24].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Le village est issu de l'installation d'une partie des habitants de l'oppidum d'Ensérune dans la plaine. Colombiers est traversé par la voie domitienne.
Au XVIe siècle, la seigneurie de Colombiers appartient à Michel de Montmeton de Corneillan. Par sa veuve, elle passe par le remariage de celle-ci avec Pierre Dax de La Serpent, à la branche de La Serpent de la Famille Dax, une très ancienne famille originaire de Carcassonne[25] qui donna plusieurs consuls de la Cité au Moyen Âge et resta présente en Haute vallée de l'Aude, où elle possédait de nombreuses seigneuries, notamment à Axat, jusqu'à l'orée du XXe siècle. Cette famille est celle des seigneurs d'Axat, d'Artigues (Aude), de Cailla, Le Clat, La Serpent, Leuc, Trèbes et autres places. Le plus connu des seigneurs de Colombiers (dit alors Colombiés), fut au XVIIe siècle Paul Dax, écuyer, sgr de Colombiers, de Ressan et autres places, maréchal des camps et armées du roi en 1632 et gentilhomme ordinaire de la chambre du roi Louis XIII le 5 mai 1634[26],[27],[28],[29],[30],[31],[32],[33].
En 1709, la paroisse de Colombiers est aussi connue sous le toponyme de Coulombiez[34]. Puis en 1736, le nouveau compoix du lieu lui donne le nom de « Coulombiès » dont Messire François de Sarret, évêque d'Aire et demoiselle Françoise de Sarret, frère et sœur, sont tous deux seigneurs des terres de Gaujac, Clairac, Coulombiès et autres places[35].
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2021, la commune comptait 2 668 habitants[Note 5], en augmentation de 12,62 % par rapport à 2015 (Hérault : +7,29 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Ce village viticole est désormais un pôle industriel et commercial important entre Narbonne et Béziers avec une zone d'activités commerciales de 31 hectares[Note 6].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'étang de Montady[40] : (Classé depuis 1974), aujourd'hui partagé entre les communes de Colombiers et de Montady, est une cuvette naturelle qui couvre plus de 400 hectares. Il est asséché au XIIIe siècle, entre 1248 et 1268, par les seigneurs de Montady et de Colombiers.
Chaque rayon est un drain qui conduit l'eau de la périphérie au centre vers un fossé circulaire, le redondèl[Note 7]. Du centre part le fossé principal, la grande maïre[Note 8], construit à contre pente, qui évacue toutes les eaux. Le fossé se prolonge sous la colline de l'oppidum d'Ensérune par un aqueduc souterrain de 1 364 mètres de long, puis, de nouveau à ciel ouvert, il atteint les anciens étangs de Poilhes et de Capestang[41],[42] ; - Le port fluvial, l'un des rares encore en service sur le canal du Midi ;
- Clinique Jean-Causse, spécialisée dans la chirurgie ORL et plus spécifiquement en otologie ;
- L'église Saint-Sylvestre-et-Sainte-Colombe, restaurée aux XIXe et XXe siècles comprenant un autel wisigothique ;
- L'oppidum d'Ensérune, site archéologique comprenant les vestiges d'un village antique ;
- La cave du château, d'une surface de 1 000 m2, renommée pour sa charpente inspirée du carénage d'un bateau renversé effectuée par les compagnons charpentiers du tour de France.
Personnalités liées à la commune
- La famille Dax, originaire de Carcassonne, fut liée à Colombiers depuis le XVIe siècle, lorsque ses représentants devinrent seigneur de Colombiers. Parmi eux s'est notamment distingué Paul Dax, écuyer, sgr de Colombiers, de Ressan et autres places, né au château de La Serpent le , capitaine d'une compagnie au régiment du marquis des Fosses, maréchal des camps et armées du roi en 1632, gentilhomme ordinaire de la chambre du roi Louis XIII le 5 mai 1634, il reçut de Henri II de Bourbon, prince de Condé un certificat constatant qu'il avait servi pendant toute la campagne en qualité de gentilhomme volontaire, exempté par M. de Malherbe (Jean-Baptiste de Balthazard, seigneur de Malherbe) intendant de justice, police et finances de Languedoc lui et les siens du service du ban et arrière ban en raison de ses services en 1647, il avait épousé Gloriande de Genibrousse Montbrun fille de Jacques et de Claire de Roquefort, décédé à Béziers le date 14 novembre 1661[26],[43],[28],[29],[30],[31],[33].
- Auguste Fabregat né le à Colombiers et décédé le . Joueur de rugby, il a été finaliste du championnat de France de rugby avec le Stade Olympien des Étudiants de Toulouse en 1903 et avec le Stade Toulousain en 1909 (capitaine de l'équipe). Il jouait trois-quarts centre (1,71 m). Clubs : Stade Olympien des Étudiants de Toulouse, Stade Toulousain, Montpellier, Captieux[réf. nécessaire].
- Auguste Cavaillé né en 1858 et décédé en 1951 à Colombiers, mécène, propriétaire terrien, fondateur de la chorale Sainte-Cécile et de l'Orphéon de Colombiers.
- Louis Cavaillé né en 1881 et décédé en 1970 à Colombiers, médecin réputé dans la région, homme de lettres, organiste de Colombiers durant 75 ans, chevalier de la Légion d'Honneur, chevalier de l'ordre national du Mérite, combattant de la Première Guerre mondiale[44].
- Paul Martin né en 1877 à Saint-Brieuc et décédé en 1955 à Colombiers, capitaine au 130e Régiment d'Infanterie, officier de la Légion d'honneur[44].
Héraldique
Blason | De gueules à une tour couverte couverte d'or, maçonnée et ouverte de sable, mouvant à senestre d'une champagne crénelée d'argent, aussi maçonnée de sable, accostée de deux colombes volantes affrontées d'argent, au franc canton cousu de sable chargé d'une colombe essorante aussi d'argent, au comble d'azur chargé de trois étoiles d'or. |
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Détails | ||
Alias | D'azur à un pélican et sa criée d'argent[45]. |
Sports
Football
La ville de Colombiers dispose d'un club de football amateur, l'US Colombiers Nissan Montady fondée en 1998[46]. En 2019, le club portant le nom d’Union Sportive Colombiers Nissan Méditerranée (USCNM Via Domitia) change de nom, pour : Union Sportive Colombiers Nissan Montady, avec l'arrivée d'un troisième village : Enserune et ses infrastructures[47],[48]. Ce club évolue au niveau District (départemental)[réf. nécessaire].
Rugby
La ville de Colombiers dispose d'une équipe de rugby amateur l'USNC, entente de deux villages : Colombiers et Nissan-lez-Enserune. Ce club évolue en 1re série. La ville de Colombiers dispose d'une école de rugby, Les Coteaux d'Ensérune, qui regroupe quatre villages : Colombiers, Nissan-lez-Ensérune, Montady et Maureilhan.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Communauté de commune "la Domitienne"
- En occitan désigne un cercle concentrique.
- En occitan désigne un canal de recueillement des eaux.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Lespignan - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Colombiers et Lespignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Lespignan - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr.
- « Orthodromie entre Colombiers et Sète », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Sete - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Colombiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Colombiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune de Colombiers », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Colombiers », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Société des arts et des sciences de Carcassonne, « Mémoire touchant les familles plus anciennes de la ville » Famille Dax
- Louis-Pierre d'Hozier « Armorial général de la France », Firmin-Didot 1738, volume 1, p. 186-188 lire en ligne[1] et volume 7 p. 601-604 lire en ligne [2]
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 13, page 175-177, lire en ligne [3].
- Jean Villain, La France moderne, tome 3, page 732.
- Hubert Vergnette Lamotte, Filiations languedociennes, tome 2, page 14.
- Henri Jougla de Morenas "Grand Armorial de France », tome 3, page 156.
- voir l'Armorial du Pays d'Oc, en "archive"
- Francis Poudou, Opération Vilatge al País, Communauté de Communes du Canton d'Axat, Narbonne, , 340 p., pp. 209-222.
- Jean Luc Chaumeil, Jacques Rivière, L'alphabet solaire: introduction à la langue universelle, avec des textes inédits de l'abbé Boudet, Éditions du Borrégo, 1985, p. 382-383 [4]
- Claude Motte, Paroisses et communes de France - Dictionnaire d'histoire administrative et démographique - Hérault, Paris, Éditions du centre national de la recherche scientifique, , 490 p. (ISBN 2-222-04293-3), p. 188.
- Colombiers (Hérault) : Matrice du compoix de 1736 (Cote : 81 EDT 3), publié sur le site des archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jean-Loup Abbé, À la conquête des étangs. L’aménagement de l’espace dans le Languedoc méditerranéen (XIIe – XVe siècle), Presses Universitaires du Mirail, Toulouse, 2006, coll. Tempus, 331 p.
- Première photo aérienne
- Deuxième photo
- Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, vol. 13, page 176, lire en ligne [5].
- « Bases de données documentaires : statistiques mensuelles », sur www2.culture.gouv.fr (consulté le ).
- Armorial des communes de l'Hérault, Didier Catarina, Jean-Paul Fernon, avec le concours de Jacky David, éd. Artistes en Languedoc, 2004, (ISSN 1264-5354), p. 39.
- L'US Colombiers Nissan Méditerranée - Via Domitia, publié le sur le site herault-tribune.com (consulté le ).
- « Une nouvelle page s’ouvre pour un club du département ! », publié le par Bérenger Tournier, sur le site footballclub34.fr (consulté le ).
- Les terrains du Club, publié sur le site de l'uscnm.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Michel Laissac, Colombiers : 2000 ans d'histoire, Cazouls-les-Béziers (Hérault), Éd. du Mont, , 302 p.
- Laetitia Lignon, Colombiers, mon village : monographie d'un petit village de l'Hérault, Paris, L. Lignon, , 111 p.
- Université du Tiers Temps de Montpellier, La poste aux chevaux : dans le département de l'Hérault, tout au long du grand chemin, Montpellier, Université du Tiers Temps, , 21 p.
Fonds d'archives
- Fonds : Archives communales de Colombiers (1668-1888) [0,26 ml]. Cote : 81 EDT. Montpellier : Archives départementales de l'Hérault (présentation en ligne).
Articles connexes
- Liste des communes de l'Hérault
- Coteaux-d'ensérune
- Famille Dax
- Jean Dax, seigneur d'Axat
- Ange Jean Michel Bonaventure de Dax d'Axat
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à la santé :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Colombiers sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel de la mairie de Colombiers
- Site de l'UNESCO - Canal du Midi