Claira
Claira | |||||
Clocher de l'église Saint-Vincent. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Pyrénées-Orientales | ||||
Arrondissement | Perpignan | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Corbières Salanque Méditerranée (siège) |
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Maire Mandat |
Marc Petit 2020-2026 |
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Code postal | 66530 | ||||
Code commune | 66050 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Clairanencs | ||||
Population municipale |
4 681 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 242 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 42° 45′ 40″ nord, 2° 57′ 22″ est | ||||
Altitude | Min. 5 m Max. 20 m |
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Superficie | 19,34 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Claira (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Perpignan (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de la Côte salanquaise | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Liens | |||||
Site web | www.claira.fr | ||||
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Claira Écouter est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.
Ses habitants sont appelés les Clairanencs.
Géographie
Localisation
La commune de Claira se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[1].
Elle se situe à 9 km à vol d'oiseau de Perpignan[2], préfecture du département, et à 3 km de Saint-Laurent-de-la-Salanque[3], bureau centralisateur du canton de la Côte salanquaise dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Laurent-de-la-Salanque[1].
Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Saint-Hippolyte (2,8 km), Torreilles (3,2 km), Saint-Laurent-de-la-Salanque (3,2 km), Pia (3,3 km), Bompas (3,7 km), Villelongue-de-la-Salanque (4,3 km), Sainte-Marie (6,2 km), Rivesaltes (6,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Claira fait partie de l'ancienne province du royaume de France, le Roussillon, qui a existé de 1659 jusqu'à la création du département des Pyrénées-Orientales en 1790[5] et qui recouvrait les trois vigueries du Roussillon, du Conflent et de Cerdagne[6].
Géologie et relief
La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[8].
Hydrographie
Le village de Claira est situé sur la rive gauche de l'Agly, à environ 10 kilomètres de Perpignan, en Salanque.
Climat
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Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat méditerranéen franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[9]. En 2020, la commune ressort du type « climat méditerranéen » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, les hivers sont doux et les étés chauds, avec un ensoleillement important et des vents violents fréquents[10].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[11]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-contre[9].
Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[12] complétée par des études régionales[13] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Torreilles », sur la commune de Torreilles, mise en service en 1983[14]et qui se trouve à 3 km à vol d'oiseau[15],[Note 3], où la température moyenne annuelle est de 15,1 °C et la hauteur de précipitations de 556,3 mm pour la période 1981-2010[16]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Perpignan », sur la commune de Perpignan, mise en service en 1924 et à 9 km[17], la température moyenne annuelle évolue de 15,4 °C pour la période 1971-2000[18], à 15,7 °C pour 1981-2010[19], puis à 16,1 °C pour 1991-2020[20].
Milieux naturels et biodiversité
Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[21],[22],[23].
Urbanisme
Typologie
Claira est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[24],[25],[26]. Elle appartient à l'unité urbaine de Claira, une unité urbaine monocommunale[27] de 4 181 habitants en 2017, constituant une ville isolée[28],[29].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[30],[31].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (96,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), cultures permanentes (36,7 %), zones urbanisées (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,3 %)[32].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La commune est accessible depuis l'autoroute A9 (échangeur 41) par la route départementale 83 (sorties 5 et 6).
Claira est également desservie par une voie verte de 14 km, entre Le Barcarès et Rivesaltes, le long de la rive gauche de l'Agly.
Au sud du village subsiste une partie de la plateforme de la ligne ferroviaire qui reliait Rivesaltes au Barcarès via Pia, Claira et Saint-Laurent-de-la-Salanque (Ligne de Perpignan au Barcarès). Il reste notamment un pont restauré qui enjambait un chemin de desserte locale. Le pont sur l'Agly a quant à lui été démantelé.
La ligne 503 du réseau régional liO relie la commune à la gare de Perpignan en partant de Salses-le-Château.
Toponymie
Le nom désigne le domaine de Clarius, gentilice (« nom de famille ») latin formé sur le nom de personne Clarus (clarus = clair, brillant, illustre). Le suffixe latin -anum donne la finale catalane -à. La forme Clayrà a été utilisée en catalan par le passé, mais elle ne respecte pas les conventions orthographiques de cette langue, et donc tend à disparaitre[33].
En catalan, le nom de la commune est Clairà[34].
Histoire
L'antique Via Domitia passait à l'ouest du village actuel. Des chemins en reprennent d'ailleurs plus ou moins le tracé[35]. Aux alentours de 118 av. J.-C., le domaine d'un certain Clarus (ou Clarius) s'organise sur une petite éminence à proximité de la Via Domitia, constituant le point d'origine du village.
En 928 est mentionné un premier hameau autour de l'église de Saint-Jaume de Predacalç puis, plus tard, celui autour de l'église de Saint-Pierre. Autour de l'an 1000, Claira devient un village fortifié, avec son église Saint-Vincent et son château de Biterna ou réside le seigneur. En 1140, première mention du prieuré de Saint-Pierre-del-Vilar ou réside une communauté de moines. En 1233, des privilèges sont accordés aux habitants par le comte de Roussillon, Nuno Sanç, à qui avaient été confiés les biens de Bernard-Guillaume de Clayrà, condamné comme hérétique (cathare). En 1356, le roi Pierre III le Cérémonieux donne Claira en héritage à ses deux filles, les infantes Constance (14 ans), reine de Sicile, et Jeanne (12 ans), future Comtesse d'Empories. Les consuls et les habitants protestent car ils voulaient rester dans le domaine royal. En 1365, Claira est le village le plus important de la Salanque et le reste pendant plus de 250 ans. Il compte alors 143 feux. En 1372, création de la chapelle du Christ par Guillem Capdevilla. En 1428, vente du château de Claira à Raymond de Périllos par la reine Marguerite, veuve du dernier roi catalan Martin l'Humain. En 1443, charte de privilèges accordées par le roi Alphonse V d'Aragon pour la création du ruisseau de Claira et la création d'un moulin. Les habitants de Claira pourront prendre les eaux de l'Agly où ils le voudront et autant qu'ils en désireront. La digue est établie au pied de Rivesaltes.
Le 10 juin 1639 a lieu la bataille de Claira où la population entière lutte contre les soldats français. De 1639 à 1659, Claira connait deux exodes dont l'un dura 7 ans et les habitants abandonnent le village en grande partie détruit par les soldats français. Les cloches du village sont sauvées car Claira sert de garnison et les cloches à ameuter les alentours, les cloches des autres villages étant fondues pour faire des canons. En 1659, les habitants réintègrent le village avec leur curé, Francisco Cases et Claira devient française.
Le village est cité à partir du XIe siècle (1013, 1070 et 1091). Les siècles suivants (XIIIe siècle au XVe siècle), plusieurs textes font état des fortifications du village et des réparations à y effectuer. Lors des guerres qui opposèrent la France à l'Espagne au XVIIe siècle, une des batailles prit place à proximité de la localité[36].
Politique et administration
Canton
En 1790, la commune de Claira est incluse dans le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque. Elle rejoint en 1801 le canton de Rivesaltes puis revient, en 1935, dans le canton de Saint-Laurent-de-la-Salanque, qu'elle ne quitte plus par la suite[37],[38].
À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton de la Côte salanquaise.
Administration municipale
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Population et société
Démographie ancienne
La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).
Démographie contemporaine
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[43].
En 2021, la commune comptait 4 681 habitants[Note 6], en augmentation de 16,24 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
selon la population municipale des années : | 1968[45] | 1975[45] | 1982[45] | 1990[45] | 1999[45] | 2006[46] | 2009[47] | 2013[48] |
Rang de la commune dans le département | 40 | 46 | 45 | 38 | 34 | 30 | 30 | 28 |
Nombre de communes du département | 232 | 217 | 220 | 225 | 226 | 226 | 226 | 226 |
Enseignement
Manifestations culturelles et festivités
- Fête patronale et communale : 22 janvier[49].
Sports
- Rugby à XIII : Claira compte un club de rugby à XIII, Claira XIII.
- Taekwondo : Taekwondo Kang Claira.
- Football : Claira a un club de football depuis 1979 et qui est associé avec Pia depuis 2009, Claira-Pia Salanque Méditerranée Football Club.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 27 615 €[50].
Entreprises et commerces
La commune abrite le siège social d'une société crée en 2005 M+ Matériaux : négoce de matériaux de construction filiale de Samse et premier employeur local (538 personnes en 2017).[réf. nécessaire]
Culture locale et patrimoine
Monuments et lieux touristiques
Le vieux village était protégé par une enceinte fortifiée de plan rectangulaire flanquée de tours. Remontant au XIIe siècle, plusieurs fois réparée, elle fut rasée au XIXe siècle. Il n'en reste que de rares vestiges et la trace sur le cadastre du village[51].
À l’est se dresse l'église paroissiale Saint-Vincent, dont le chevet prenait appui contre le rempart est. Citée en 1091[51], l'édifice roman fut reconstruit au XIVe siècle puis remanié aux XVIIIe siècle et XIXe siècle. Le mur sud conserve des vestiges intéressants : une fenêtre romane en plein cintre, un enfeu gothique surmonté par un bas-relief et une inscription datée de 1372, encadré de deux gargouilles. L'édifice est dominé par un clocher gothique en brique, remanié postérieurement[52].
Environ 2 kilomètres à l'ouest du village se dresse l'église Saint-Pierre-du-Vilar (catalan : Sant Pere del Vilar). Citée dès 951, possession de l'abbaye Sainte-Marie de Lagrasse, elle fut le siège d'un prieuré qui fut sécularisé au XIVe siècle. L'édifice actuel date du XIe siècle et possède une nef unique terminée par une abside semi-circulaire. Elle fut surélevée et remaniée postérieurement (période indéterminée), comme le montre la fenêtre axiale de l'abside qui est maintenant au ras du sol. Les traces de reprise de la maçonnerie sont également très visibles sur la façade occidentale, avec l'adjonction d'un clocher-mur et d'un portail modernes. Les traces d'un ancien portail sont visibles sur le mur nord[53].
- Église Saint-Pierre-du-Vilar. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[54]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[54].
- Église Saint-Vincent de Claira. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général Région Occitanie[55]. De nombreux objets sont référencés dans la base Palissy (voir les notices liées)[55].
-
Chapelle Saint-Pierre (vue du nord-est).
-
Chapelle Saint-Pierre (façade occidentale).
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Enfeu gothique du mur sud de l'église Saint-Vincent.
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Pont ferroviaire de l'ancienne ligne Rivesaltes - Le Barcarès.
-
Église Saint-Vincent de Claira
Personnalités liées à la commune
- Dacien Olive (1924-2003), né à Claira, joueur français de rugby à XV, qui a joué avec l'équipe de France et l'AS Montferrand au poste de trois-quarts aile (1,78 m pour 77 kg).
- John Tchicai (1936-2012), saxophoniste et compositeur danois de jazz, résidait à Claira depuis 2001.
- Alain Esclopé, homme politique né à Claira en 1942.
Héraldique
Blason | D'azur au dextrochère armé d'une épée haute posée en bande, le tout d'or, issant d'une burelle ondée d'argent en pointe; à la meule de moulin d'argent percée du champ, brochant sur l'épée, tiercée en pairle ondé renversé par un filet de sable, chargée au 1er d'une cloche de gueules, au 2e d'une tour donjonnée du même, ouverte et ajourée d'argent, au 3e d'un chardon de gueules[56]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Marcelle Pellicer, Clayrà ... fa temps : La vie dans un village de la Salanca de 1800 à 1914, Prades, Terra Nostra, , 271 p.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- « Métadonnées de la commune de Claira », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Claira et Perpignan », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Claira et Saint-Laurent-de-la-Salanque », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Claira », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Carrere, J.B., Description de la Province de Roussillon, Paris, chez Lamy, , 438 p. (lire en ligne).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 362-363.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Plan séisme » (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
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- « Station météorologique de Perpignan - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Marcelle Pellicer, Clayrà ... fa temps : La vie dans un village de la Salanca de 1800 à 1914, Prades, Terra Nostra, , 271 p..
- (ca)(fr)Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
- Ouvrage collectif, Voies romaines du Rhône à l'Èbre, Ed. de la Maison des Sciences de l'Homme, Paris, 1997, pages 90-91
- Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, pages 253-254
- Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Thierry Bouldoire, « José Puig, le maire de Claira, est décédé », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
- Espérance Abad, « Hélène Malé : « Être votre nouveau maire est un honneur » », L'Indépendant, , p. 19.
- « Claira : Une séance d’installation riche d’enseignements », L'Indépendant, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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- Lucien Bayrou, Entre le Languedoc et le Roussillon, 1258-1659, fortifier une frontière ?, Ed. Amis du Vieux Canet, 2004, page 254.
- Jean Tosti, Claira (page consultée le 1er septembre 2007)>
- Géraldine Mallet, Églises romanes oubliées du Roussillon, Montpellier, Les Presses du Languedoc, , 334 p. (ISBN 978-2-8599-8244-7).
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- « Eglise paroissiale Saint-Vincent », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
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