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Étoile Football Club Fréjus Saint-Raphaël

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ÉFC Fréjus Saint-Raphaël
Logo du ÉFC Fréjus Saint-Raphaël
Généralités
Nom complet Étoile Football Club Fréjus Saint-Raphaël
Surnoms L'Étoile
Fondation 2009
Statut professionnel Jamais
Couleurs Bleu, blanc et rouge
Stade Stade Louis-Hon
(1 300 places)
Siège Allée Victoria 249 avenue du 8 mai 1945
83700 Saint-Raphaël
Championnat actuel National 2 (4ème division)
Entraîneur Jean-Guy Wallemme
Meilleur buteur Mathieu Scarpelli (53)
Site web etoilefc.fr

Maillots

Domicile

Extérieur

Actualités

Pour la saison en cours, voir :
National 2 2021-2022
0
Carte
Localisation du Stade Louis-Hon par rapport aux villes de Fréjus et de Saint-Raphaël.

L'Étoile Football Club Fréjus Saint-Raphaël, couramment abrégé ÉFC Fréjus-Saint-Raphaël ou simplement Fréjus-Saint-Raphaël, est un club de football français fondé en 2009, à la suite de la fusion de l'Étoile sportive fréjusienne et du Stade raphaëlois. Le club est-varois est entraîné par Jean-Guy Wallemme depuis juillet 2020.

Le club représente les 2 villes voisines de Fréjus et Saint-Raphaël dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur au sud de la France.

Grâce à la deuxième place obtenue en CFA en 2009 par l'ES Fréjus, le nouveau club peut démarrer directement en National (troisième niveau), dont il est relégué en 2016 après avoir réalisé sa meilleure performance en 2013, échouant à un point de la Ligue 2. Le club évolue actuellement en National 2, le 4ème échelon du football français, dont il est actuellement 6ème du Groupe C en 2021.

Histoire

Fusion et genèse du club (2009)

Le club est issu de la fusion du Stade raphaëlois, club fondé en 1905, et de l'ES Fréjus, club fondé en 1938. La réunion des deux clubs, le , marque la création de l'Étoile Football Club Fréjus Saint-Raphaël, création officialisée le [1],[2].

La fusion est le résultat de l'entente entre les villes voisines de Fréjus et Saint-Raphaël, qui ont outrepassé leur ancienne rivalité et tentent d'unir leurs moyens pour favoriser les réussites, et non uniquement sur le plan sportif[3]. Elle permet des économies d'échelle, et crée par ailleurs le plus grand club du département, avec plus de 1 000 licenciés et une cinquantaine d'équipes[3]. La fusion se fait aussi pour des raisons économiques, de manière à optimiser l'allocation des subventions versées par la communauté d'agglomération de Fréjus Saint-Raphaël[4].

L'équipe fanion de l'ÉS Fréjus devient équipe première du nouveau club, tandis que celle de Saint-Raphaël devient équipe réserve. Les débuts du club sont donc intimement liés aux résultats de l'ÉSF en CFA 2008-2009[5]. Les Étoilistes visent donc la montée en National, et finissent deuxièmes d'un championnat où seul le champion est promu. La déception est immense[5] et la direction du nouveau club décide de reporter les objectifs de promotion à l'année suivante[5].

Toutefois, de nombreux clubs sont frappés par une rétrogradation administrative en National : le Football Club de Sète 34 est mis en liquidation, et remplacé par le Stade Plabennecois Football[6]. Le Football Club Libourne-Saint-Seurin[7] et le Besançon Racing Club[8] sont également rétrogradés, libérant deux places : l'une échoit à l'AS Moulins, et l'autre au nouveau club varois, qui est notifié de sa promotion le [9]. L'Étoile est donc assurée de jouer au troisième échelon national pour sa saison inaugurale.

Stabilité en National (2009-2016)

Le club débute en National 2009-2010 le , soit à peine un mois après avoir été invité à y participer[9]. Toutefois, le club varois réalise un excellent début de saison, restant invaincu pendant sept matchs[9]. Considéré comme un prétendant sérieux au podium[9], l'Étoile finit à une satisfaisante huitième place d'un groupe dominé par l'Évian TGFC, le Stade de Reims et l'ESTAC[10], devançant même leurs rivaux locaux de l'AS Cannes et glanant des victoires à domicile contre des adversaires de prestige comme L'US Créteil-Lusitanos, le Stade de Reims, Evian TGC ou bien le Paris FC.

De ce fait, à l'orée de la saison suivante, le club est pronostiqué très favorablement, au même titre que l'EA Guingamp, l'AS Cannes, le Paris FC, le SC Bastia, l'Amiens SC, et le RC Strasbourg[11]. L'ÉFC Fréjus-Saint-Raphaël se mêle rapidement à la lutte pour le podium[12],[13] et affirme ses ambitions de Ligue 2 à moyen terme[14]. Le club termine à la sixième place, entre l'AS Cannes et l'AS Beauvais[15] mais n'est pas impactée par la rétrogradation des 2 équipes devançant l’Étoile.

En 2011-2012 toutefois, malgré l'arrivée de Franck Priou comme entraineur, le club est rapidement en difficulté[16] et Priou est limogé en décembre 2011 au profit de Charly Paquille, auparavant entraîneur de la réserve. Onzième au départ de Priou[17], l'ÉFC termine à une décevante neuvième place[18], peinant à obtenir des résultats à l’extérieur de son antre de Pourcin.

En National 2012-2013, l'Étoile réalise un début de saison très décevant, et se retrouve rapidement relégable. Toutefois, le club entame après sa victoire 1-0 « contre le cours du jeu » à Colmar une remontée inespérée[19]. Dès le , l'équipe entraînée par Michel Estevan peut, en cas de victoire sur le FC Rouen, monter sur le podium[20]. Toutefois, le soir de la dernière journée, l'ÉFCFSR est troisième et alors qu'un match nul contre le Red Star, relégable, suffit à la promotion[21], les Varois s'incline 2-1 (après avoir mené 0-1 à la mi-temps) face à des Audoniens qui jouaient leur maintien[22]. À la suite de la victoire du CA Bastia contre le premier, l'US Créteil-Lusitanos 2 buts à 1, l'Étoile termine quatrième, à un point de la promotion, laissant les Corses eux aussi en difficulté en début de saison s'envoler en Ligue 2.

Cet échec permet toutefois à l'ÉFCFSR d'être une nouvelle fois pronostiquée favorablement pour la montée en L2 pour la saison 2013-14. Le club se renforce avec de nombreuses arrivées[23] et réalise un bon début de saison, occupant notamment la troisième place lors de la onzième journée[24]. L'équipe rentre ensuite dans le rang et finit dixième, avec deux points de pénalités[note 1],[25]. De plus, en mai 2014, l'Étoile est soupçonnée par l'Autorité de régulation des jeux en ligne à la suite de paris anormalement importants sur un site étranger, juste avant le coup d'envoi du match contre l'US Colomiers[26].

En National 2014-2015, l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël réalise un bon début de saison, occupant notamment la troisième place à l'issue de la neuvième journée[27]. Toutefois, les contre-performances de l'équipe amènent rapidement du doute dans les rangs varois[28]. Malgré quelques coups d'éclats en fin de saison, où l'ÉFCFSR bat notamment le Paris FC, le FC Bourg-Péronnas, L'Amiens SC et notamment l'épouvantail du championnat, le RC Strasbourg Alsace dans son antre de la Meinau, le club ne parvient pas à se distinguer au classement et termine huitième, une nouvelle fois bien installée dans le milieu de tableau.

La saison 2015-2016 est exceptionnellement difficile pour le club qui se retrouve à batailler pour son maintien dès la 8e journée. L’Étoile ne décolle pas de la zone rouge, en restant dernier une grande partie de la saison en compagnie du SAS Epinal. Victime selon le journal La Nouvelle République d'un « manque d'implication flagrant » de certains joueurs[29], L'ÉFCFSR est sportivement reléguée dès le après un match nul 1-1 face aux Sports réunis Colmar[30] finissant bon dernier du championnat avec 27 points.

Retour en National 2 (2016-…)

L'équipe première qui avait l'ambition de remonter immédiatement en National termine la saison 2016-2017 à la 3e place du groupe D de CFA à 51 à égalité avec le Stade montois, à 10 points du champion, le Rodez AF.

Pour la saison 2017-2018, le club varois finit cinquième du groupe A à huit points du promu, Marignane Gignac après avoir été au sommet après une grande partie de la saison. L’Étoile aurait même été promue en National si elle n'avait pas subi 3 défaites d'affilée contre le FC Martigues, l'US Colomiers et le Stade Bordelais lors des 3 dernières journées de Championnat.

Les actionnaires du club mécontents de son travail à la tête de l'équipe, Jean-Noël Cabezas est limogé et est remplacé par André Blanc, ancien entraîneur de Hyères. Le club se renforce avec quelques arrivées notables comme Sébastien Da Silva du Rodez AF ou Marc Fachan de l'USL Dunkerque. Le club commence très bien la saison avec plusieurs victoires importantes. La suite de la saison se jouera dans un duel à distance entre le SC Toulon Var, le FC Annecy, le Jura Sud Foot et les Étoilistes. À une journée du terme du championnat, Annecy et Jura Sud sont distancés de la course au National 1 de par leurs contre-performances. La montée se joue donc entre les deux clubs varois qui auront des adversaires différents au terme de la saison : Toulon accueille le MDA Chasselay tandis que Fréjus se déplace à Marseille pour jouer l'US Marseille Endoume promu cette saison. Si Toulon s'impose, ils montent en National 1, en revanche en cas de défaite des jaunes & bleus, ce serait les étoilistes qui bénéficieraient de la montée. Cette fin de saison est aussi très médiatisée à la suite de l'affaire d'une suspicion de match truqué entre Toulon et Jura Sud. Toulon et Fréjus remportent tous deux leur dernier match, ce qui n'a aucune incidence sur le classement, et ce sont les Toulonnais qui accéderont à l'échelon supérieur.

Les saisons suivantes sont marquées par la pandémie de Covid-19, forçant l'arrêt précoce des saisons 2019-20 et 2020-21.

L'étoile finit la première dans le ventre mou à la 7e place du championnat, bien distancée par les 6 premiers qui jouaient la promotion.

La saison 2020-21 arrêtée à la 8e journée voit l'étoile terminer à la 3è place, à seulement 1 point du leader, le FC Martigues, sans grand regret cependant pour l'Étoile, car les promotions et relégations furent annulées.

L'Étoile débute la saison 2021-22 en retard par rapport au reste du championnat à cause du report de son match face au Aubagne FC pour des cas de Covid-19. Les Étoilistes se font donc surprendre lors de la 2e journée sur leur terrain face à Jura Sud, le début de la saison est même cauchemardesque pour l’Étoile qui s'incline 3-0 face à la réserve de l'Olympique lyonnais et la mort tragique de Rémi Mestrallet milieu défensif étoiliste formé à Nice dans un accident de la route à 23 ans, forçant l'avancement du déplacement varois à Louhans-Cuiseaux. L'Étoile sort pour la première fois de la zone rouge après la 9e journée de championnat (8e pour l'Étoile) à la suite d'une victoire à l’extérieur face à Lyon - La Duchère tout juste relégué de National. Invaincue depuis la 5è journée avec notamment une superbe victoire 3-0 face au FC Martigues au Stade Francis-Turcan l'étoile remonte lentement au classement. La marche en avant du club se confirme en s'imposant contre le GFA Rumilly Vallières puis l'AS Saint-Priest et en assurant le point du nul dans un derby contre le SC Toulon au Stade Bon Rencontre. La bonne lancée de l’Étoile est néanmoins freinée puisqu'elle perd son match en retard sur le terrain de l'Aubagne FC, l’Étoile s'est donc repositionnée à la 6e place à la trêve avec 20 points. Le club perd de la vitesse et s'incline une nouvelle fois face à Jura Sud et malgré le point pris face au leader, le G.O.A.L FC, l'Etoile ne peut faire mieux qu'un match Nul face à la réserve de l'OM pourtant lanterne rouge du championnat, les points perdus permettent aux concurrents de l'Etoile de recoller, et le club se retrouve à la 9e place du groupe.

Identité du club

Logos

Le logo reprend l'étoile, symbole commun de l'ÉS Fréjus et du Stade raphaëlois ainsi que les couleurs rouges et bleues. On y retrouve aussi un peu de rouge, rappelant le logo du Stade Raphaëlois.

Couleurs

Le club porte régulièrement son maillot domicile en blanc, avec un liseré bleu et rouge. Son maillot extérieur est rouge et bleu, ou parfois comme entre 2020 et 2022, le noir avec le même liseré bleu & rouge qu'à domicile.

Rivalités

De 2009 à 2011, une rivalité médiatique s'installe autour du derby opposant l'Étoile à l'Association sportive de Cannes football[31]. Les deux villes de Cannes et de Fréjus sont séparées de 27 km, ce qui est particulièrement peu pour deux villes dont les clubs évoluent dans un même championnat. Toutefois, le derby reste secondaire et n'attire pas autant qu'espéré[32]. En avril 2011, le derby est à enjeu puisque les deux clubs visaient alors la montée en Ligue 2, mais reste peu attrayant en raison des contre-performances précédentes des deux équipes[33]. Depuis la rétrogradation de l'AS Cannes en 2011, la rivalité s'est apaisée. Elle renaît pendant quelques instants lorsqu'un collectif d'ultras Cannais publie un communiqué s'opposant à l'Emprunt du Stade Pierre-de-Coubertin par l’Étoile pour son 32ème de finale de Coupe de France 2018-2019, face à l'OGC Nice, tout en critiquant le club varois qu'ils jugèrent sans histoire ni palmarès. Le refus des ultras entraînera l'inversement de la rencontre à l'Allianz Riviera de Nice où l’Étoile s'inclinera 0-2.

En 2016, les rencontres face au SC Toulon sont qualifiées de derby varois[34]. Le derby du est marqué notamment par une bagarre générale, des échauffourées et deux cartons rouges[35]. La rivalité renaît et s'accentue pendant la saison 2018-19 de National 2 lorsque les 2 clubs se livrent une véritable bataille à distance pour la promotion en National. Les derby entre L'Etoile et le SCT restent des matches importants en championnat, attirant beaucoup de public à Louis-Hon et Bon Rencontre

Enfin, le club connaît aussi des rivalités avec le Hyères FC de par la proximité géographique des 2 clubs et leur présence dans les mêmes groupes de National 2, cependant les Hyérois ne sont que rarement des concurrents directs de l’Étoile, rendant les duels entre les deux équipes peu attrayants.

Palmarès et résultats

Titres et trophées

Palmarès de L'EFC Fréjus Saint-Raphaël en compétitions officielles
Compétitions nationales Compétitions régionales

Compétitions Nationales

Compétitions régionales

Le club n'a pas encore de palmarès propre, mais le club revendique celui de l'ÉS Fréjus et celui du Stade raphaëlois[36].

Le Stade raphaëlois est par exemple multiple vainqueur des Championnats régionaux USFSA d'avant guerre, et remporte en 1912 le titre national, le club connait encore quelques heures de gloires pendant la fin des années 1920, où il performe en Coupe de France, avant de lentement s'effacer au niveau amateur, dans l'ombre de l'AS Cannes, l'OGC Nice et de l' AS Monaco. Le Stade ressurgit au début des années 1980 où il se hisse en Division 3, mais ne parvient pas à s'élever au niveau professionnel. Les Raphaëlois, s'enfonce vers le CFA 2 jusqu'à sa fusion avec le voisin fréjusien.

L'ES Fréjus, elle, commence son ascension au début des années 1990 où elle monte jusqu'en National (équivalent Division 3) où elle dispute plusieurs saisons, réalisant sa meilleur performance en 1994-1995 échouant à la 4e place de sa poule à 2 points de la 2e Division, Le club redescend en CFA en 2000 et s'y stabilise au cours de la décennie jusqu'à sa fusion avec le voisin Raphaëlois en 2009.

Palmarès du Stade Raphaëlois

Palmarès du Stade raphaëlois en compétitions officielles
Compétitions nationales Compétitions régionales

Compétitions Nationales :

Compétitions régionales :

  • Champion USFSA Côte d'Azur :
    • 1908, 1909, 1911, 1912, 1913, 1914.
  • DH Méditerranée :
    • 1981.

Palmarès de l'ES Fréjus

Palmarès de L'ES Fréjus en compétitions officielles
Compétitions nationales Compétitions régionales

Compétitions Nationales

Compétitions régionales

  • DH Méditerranée :
    • Champion :1986

Parcours en Coupe de France

Pour leur première Coupe de France, en 2009-2010, les joueurs méditerranéens accèdent au sixième tour et sont battus par l'US Marignane sur le score de deux buts à un[37].

En 2010-2011, au 5e tour, le club élimine Gap HAFC dans un duel de clubs de National sur le score de 5-0[38], puis le Football Club de Martigues (CFA) au tour suivant. Après avoir sorti l'AS Canet (DH)[39], puis l'US Colomiers, le club varois affronte en 32e de finale, le Nîmes Olympique, alors en Ligue 2, et s'incline 3-2.

Lors de l'édition 2011-2012, le club élimine l'Aubagne FC au septième tour[40]. Au huitième tour, l'Étoile continue son parcours en battant le Perpignan Canet Football Club en Division d'Honneur sur le score de 1 à 3[41]. Comme durant l'année précédente, le club est éliminé en 32e de finale contre l'AC Ajaccio, évoluant alors à la dernière position de la Ligue 1[42].

Lors de l'édition 2012-2013, après deux participations consécutives à la phase finale, l'Étoile est éliminée dès le stade du sixième tour par le FC Martigues, évoluant en CFA ; l'unique but de la partie est marqué par un ancien joueur de l'EFC Fréjus Saint-Raphaël, parti à Martigues[43].

En 2013-2014, l'Étoile est battue au sixième tour par le Sporting Toulon Var sur le score de trois buts à deux après une rencontre virulente : dans les dernières minutes de la prolongation, l'arbitre accorde un penalty pour Toulon que l'entraîneur Michel Estevan conteste fortement, demandant à ses joueurs de quitter le terrain ; finalement, Toulon transforme le penalty, éliminant Fréjus Saint-Raphaël[44].

Lors de la coupe de France 2014-2015, l'Étoile atteint le huitième tour. Favori pour ce match[45], le dernier club varois en lice est battu par l'Association sportive de Saint-Priest, dernière de son groupe en CFA, sur le score de un but à zéro[46].

Pour l'édition 2015-16 les varois atteignent les 32èmes de finale et accueillent les Girondins de Bordeaux dans un Stade Louis-Hon plein à craquer . Les étoilistes mènent 2 fois au score se faisant toujours rejoindre par les pensionnaires de Ligue 1. Mais à la 93e minute, un miracle se produit pour les Bordelais qui échappent aux prolongations grâce à un but de Diego Rolan qui permet aux Girondins de s'imposer 3-2.

Pour la saison 2016-2017, l'Étoile réalise sa meilleure performance, et parvient à sortir le FC Bourg-en-Bresse Péronnas alors pensionnaire de Ligue 2 à domicile. Le 8ème tour est un déplacement face au FC Le Cendre, petit poucet de DH soit la 8ème division, l'Etoile s'impose 4-0 dans le Puy-de-Dôme et se déplace en Isère pour y défier le Grenoble Foot 38 lui aussi en CFA, malgré une infériorité numérique de l'Etoile pendant plus de 40 minutes, les varois s'imposent 2-1 au Stade des Alpes pour atteindre les seizièmes de finale pour la première fois de son histoire. L'EFC se débarrasse dans un Stade Louis-Hon plein à craquer de l'AS Prix-lès-Mézières évoluant un niveau en dessous, c'est-à-dire en CFA 2 grâce à un but dans les arrêts de jeu, avant de venir à bout de l'AJ Auxerre aussi club de Ligue 2 en huitième de finale sur le score de 2-0. L'EFC, alors le dernier club amateur en lice, reçoit l'EA Guingamp, pensionnaire de Ligue 1 en quarts de finale. Accueillant les bretons à Cannes dans le Stade Pierre-de-Coubertin , L'Etoile s'incline sur le plus petit des scores (0-1) avec les honneurs devant 5 000 spectateurs.

Lors de l'édition 2018-2019, les Varois éliminent l'AS St-Remoise l'AS Cagnes-Cros, le FC Rousset SVO. Au 7e tour, les Étoilistes se voient opposés à leurs rivaux de SC Toulon. Les Étoilistes s'imposent finalement 1-0 contre leurs adversaires et avancent jusqu'au 8e tour, où ils sont battus par le FC Canet Roussillon futurs adversaires de l'AS Monaco, sur le score de 4-2.

Pour la saison 2019-2020, l'Étoile écarte successivement Mouans-Sartoux, Villefranche St-Jean Beaulieu FC puis St-Mandrier avant de recevoir le Grenoble Foot 38 pensionnaire de Ligue 2 pour le 7e tour. L'Étoile FC crée l'exploit à 10 contre 11 et sort les Grenoblois sur un score de 2-1 grâce à un doublé de leur attaquant Karim Tlili. Les Varois reçoivent au 8e tour l'Olympique d'Alès en Cévennes, un adversaire hiérarchiquement inférieur puisqu'il évolue en National 3 dans un match piège pour les Étoilistes. Les Varois, dominateurs en début de rencontre, perdent rapidement leur avantage et les Alésiens égalisent et dominent la seconde période puis la prolongation. Les Étoilistes parviennent à tenir et se qualifient 5-3 aux tirs au but retrouvant pour la première fois depuis 3 ans les 32e de finale de la Coupe de France. Les Varois auront fort à faire puisqu'ils recevront l'OGC Nice, pensionnaire de Ligue 1. Ils s'inclineront sur le score de 2-0 à l'Allianz Riviera.

Bilan sportif

Après sa création, le club dispute six saisons en National (troisième niveau) avant d'être relégué en championnat de France amateur à l'issue de la saison 2015-2016.

Le tableau suivant résume le bilan par saison du club depuis 2009.

Personnalités du club

Historique des entraineurs

Athos Bandini est le premier entraîneur du club, de 2009 à 2011. Il officiait à ce poste de 2008 à 2009 avec l'Étoile sportive fréjusienne. En 2011, Franck Priou, qui venait de promouvoir le Football Club de Martigues en National est engagé. Toutefois, il est confronté dès le début de la saison à des diffficultés sportives[16] et est remercié en décembre 2011[17]. Charles Paquillé, entraîneur de la réserve en CFA 2, lui succède.

Michel Estevan est engagé par l'Étoile en fin de saison 2011-2012. Après trois ans à la tête de l'équipe première et avoir terminé au pied du podium lors de sa première saison, il fait part le de sa volonté de ne pas continuer avec le club varois[47]. Jean-Marc Pilorget est nommé entraîneur pour l'exercice suivant[48].

Sauf indication contraire, le mandat d'entraîneur est supposé commencer en juin de l'année indiquée :

Entraîneurs de l'ÉS Fréjus Saint-Raphaël
# Période Nom
1 2009-2011 Athos Bandini
2 2011-déc. 2011 Franck Priou
3 déc. 2011- Charly Paquille
4 -2015 Michel Estevan
5 2015-déc. 2015[49] Jean-Marc Pilorget
6 déc. 2015-sept.- 2017 Charly Paquille (2)
7 sept. 2017- 2018 Jean-Noël Cabezas
8 2018-2019 André Blanc
9 2019-décembre 2019 Michel Troin
10 janvier-juillet 2020 Charly Paquille (3)
11 depuis juillet 2020

Jean-Guy Wallemme

Historique des présidents

Alexandre Barbéro et Pierre Montoro sont co-présidents du club depuis [3]. Alexandre Barbéro est un chef d'entreprise, et Pierre Montoro un avocat[50]. Barbéro est le directeur général de Holding Delta Investissements (HDI), sponsor du club depuis 2009[51].

Alexandre Barbéro occupe le poste de président de la SASP tandis que Pierre Montoro est président de l'association[52].

Joueurs emblématiques

Structures du club

Structures sportives

Stades

À sa création, l'équipe A (National) évolue au Stade Pourcin de Fréjus, d'une capacité de 4 000 personnes, dont 2 500 places assises. L'équipe B (Division d'honneur) évolue au Stade Louis-Hon de Saint-Raphaël.

Le terrain du club est très sensible à la pluie en raison de difficultés de drainage, ce qui a pu entraîner de nombreux reports de matchs[53].

Dès 2011, le club envisage de construire une nouvelle enceinte de 6 à 8 000 places pour un coût estimé à 10 millions d'euros. Ce stade pourrait par la suite être agrandi pour atteindre une capacité supérieure à 10 000 places[54]. Toutefois, le projet est entravé par la proximité du quartier Gallieni, initialement sélectionné, avec la Nécropole d’Indochine[55].

En 2014, la municipalité fréjusienne annonce la démolition prochaine du stade Pourcin[56]. Il sera en outre remplacé par un complexe de logements sociaux[57]. Les deux co-présidents du club se sont réjouis de cette décision, le stade n'étant plus aux normes, et ne répondant pas aux standards du National, notamment au niveau des possibilités de stationnement automobile[56]. Ainsi, pour la saison 2014-2015, l'équipe première déménage au Stade Louis-Hon de Saint-Raphaël[56].

Fin , un projet est acté à la mairie de Fréjus : la création d'un nouveau stade modulable dans le quartier du Capitou-caïs, vers lequel convergent les transports en commun, est confirmée par le maire de Fréjus. Le stade Louis-Hon commençait à devenir trop vieux et trop restreint pour une équipe visant la promotion en National 1.

Autres équipes

En 2015, l'EFC Fréjus Saint-Raphaël compte 28 équipes, engagées en compétition, selon la Fédération française de football[58].

En 2014-2015, tandis que l'équipe première évolue en National, l'équipe réserve joue en Division d'Honneur Méditerranée et l'équipe C joue en Promotion d'Honneur A, au premier niveau départemental[59]. L'équipe des moins de 19 ans évolue en DH Méditerranée, au premier niveau régional, tandis que celle des moins de 17 ans évolue dans l'élite, en première division[59]. Plusieurs équipes de moins de 15 ans évoluent au niveau régional et départemental[59]. L'Étoile possède plusieurs équipes de jeunes commençant au niveau U8[60],[note 2].

En Coupe Gambardella, coupe nationale réservée aux moins de 19 ans, l'équipe échoue lors des 32es de finale lors de l'édition 2009-2010 contre le SC Bastia, malgré la volonté affichée avant le match d'aller plus loin et de « créer l'exploit »[61],[62]. Après une élimination précoce l'année suivante, le club varois réalise son meilleur résultat dans la compétition lors de l'édition édition 2011-2012, avec un seizième de finale, perdu contre l'AS Saint-Étienne[63]. Lors de l'édition 2013-2014, l'Étoile atteint le premier tour de la phase finale, avant de s'incliner face au Gazélec de Nîmes[64],[65].

Aspects juridiques et économiques

Statut juridique et légal

Le club est une société anonyme sportive professionnelle[66] et une association loi 1901[50]. L'EFC Fréjus Saint-Raphaël est affilié à la FFF, à la Ligue de la Méditerranée de football et au district du Var, sous le numéro 554245[67]. Le club a son siège social depuis avenue du à Saint-Raphaël[67].

Co-présidé par Pierre Montoro et Alexandre Barbero, le club a pour directeur des opérations Fabien Sgarra, Jean-Marc Astolfi occupe le poste de directeur sportif et Damien Espiell coordonne la direction administrative et sportive. Charly Paquillé (responsable technique Etoile Academy), et José Vivero (coordinateur Etoile Académy) pilotent le pôle formation[67].

Éléments comptables

Après la fusion des deux clubs en 2009, le budget est de 2,7 millions d'euros pour la saison 2009-2010[50]. Ce budget est maintenu pour la saison suivante, ce qui fait du club le neuvième de National en ce qui concerne son budget[68]. Pour 2011-2012, avec 3,5 millions d'euros, il se classe à la troisième place des budgets du championnat[69]. Malgré la neuvième place obtenue, le budget est augmenté à hauteur de 3,9 millions d'euros pour 2012-2013[70].

En National 2013-2014, bien qu'ayant rabaissé le budget à 3,5 millions d'euros, l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël a le second plus important budget du championnat, ce qui appuie ses ambitions de promotion[71]. La saison suivante, avec un budget maintenu, l'Étoile n'est plus que le cinquième club de National en termes de finances[72]. La saison suivante, le budget chute à 2,5 millions d'euros[73].

Budget prévisionnel de l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël
Saison 2009-2010 2010-2011 2011-2012 2012-2013 2013-2014 2014-2015 2015-2016 2016-2017 2017-2018 2018-2019 2019-2020 2020-2021 2021-2022
Budget 2,7 M€ 2,7 M€ 3,5 M€ 3,9 M€ 3,5 M€ 3,5 M€ 2,5 M€ NC NC NC NC NC NC

Équipementiers et sponsors

Depuis , l'équipementier du club est Nike via Ekinsport Monte-Carlo[74].

À sa fondation, les sponsors du club sont Pizzorno Environnement, Seeta, Holding Delta Investissements, Géant Casino, Groupe Barrière et Leclerc, ainsi que le département du Var, la CAVEM et les municipalités de Fréjus et de Saint-Raphaël[50]. Les partenaires principaux du club sont HDI, Pizzorno, Vigna, Le Clos des Roses qui figurent sur les maillots du club[75].

Culture populaire

Affluences

Les affluences de l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël ne cessent de baisser depuis sa fondation en 2009. Par rapport aux affluences précédentes de l'Étoile sportive fréjusienne, la fusion avec le Stade raphaëlois provoque un sursaut : de 692 spectateurs en moyenne en 2009[76] (ÉS Fréjus), le nouveau club enregistre 1 787 spectateurs de moyenne par match à domicile sa première année, ce qui constitue la meilleure affluence moyenne de son histoire.

Les bons résultats de l'équipe en National 2011-2012 entraînent une hausse des affluences (+148), la seule connue par le club varois. Depuis, les affluences diminuent lentement, passant pour la première fois sous les 1 000 spectateurs en 2015. Cette saison-là, l'équipe draine la treizième affluence (sur 18) de National[77].

Évolution de la moyenne de spectateurs à domicile de l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël

Supporters

En octobre 2012, les supporteurs de l'ÉFCFSR créent un groupe ultras : les Draconaire Ultras Fréjus. Le président-fondateur de l'association, Vincent Lobbrecht, affirme alors « c'est un crève-cœur pour nous de voir un stade qui est aussi "mort" que Pourcin alors que l'Étoile fait partie des clubs ayant le plus de licenciés dans la région, au même titre que Nice et Marseille ». Les DUF comptent alors une vingtaine de membres[78]. À la fin de la saison, les Draconnaires comptent une quarantaine de membres et organisent régulièrement des animations dans les tribunes[79].

En février 2014, l'Étoile organise un entraînement public au stade Galfard à Cogolin destiné à faire connaître l'équipe auprès des collégiens du Var[80].

Notes et références

Notes

  1. La FFF retire deux points à l'ÉFC Fréjus Saint-Raphaël en raison de « propos menaçants avant le match, des insultes et le jet d'une bouteille sur un officiel » lors de la rencontre contre l'US Luzenac.
  2. Les abréviations U8, U17, ou U19, de l'anglais under the age of, désigne des catégories génériques internationales en fonction de l'âge.

Références

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Annexes

Liens internes

Liens externes