Vielle-Louron

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Vielle-Louron
Vielle-Louron
Le village de Vielle-Louron.
Blason de Vielle-Louron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Bagnères-de-Bigorre
Intercommunalité Communauté de communes Aure Louron
Maire
Mandat
Victor Cascarre
2020-2026
Code postal 65240
Code commune 65466
Démographie
Gentilé Viellois
Population
municipale
82 hab. (2021 en diminution de 6,82 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 50′ 02″ nord, 0° 24′ 12″ est
Altitude Min. 907 m
Max. 1 681 m
Superficie 2,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Neste, Aure et Louron
Législatives Première circonscription
Localisation
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Vielle-Louron
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Vielle-Louron
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Vielle-Louron
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Vielle-Louron

Vielle-Louron est une commune française située dans le sud-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par divers petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Vielle-Louron est une commune rurale qui compte 82 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975..

Ses habitants sont appelés les Viellois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue en été.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Vielle-Louron se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 52 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, à 33 km de Bagnères-de-Bigorre[2], sous-préfecture, et à 31 km de Capvern[3], bureau centralisateur du canton de Neste, Aure et Louron dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie d'Arreau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Avajan (1,0 km), Cazaux-Fréchet-Anéran-Camors (1,4 km), Adervielle-Pouchergues (1,6 km), Estarvielle (1,9 km), Armenteule (2,3 km), Génos (2,7 km), Mont (2,8 km), Loudervielle (3,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Vielle-Louron fait partie du pays de la vallée d'Aure ou pays d'Aure, constitué de la vallée de la Neste (en aval de Sarrancolin), de la vallée d'Aure (en amont de Sarrancolin) et de la vallée du Louron (confluente à Arreau)[5].

Vielle-Louron est limitrophe de cinq autres communes.

Carte de la commune de Vielle-Louron et des proches communes.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le ruisseau de Praderasse, constituant un réseau hydrographique de 2 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat de Vielle-Louron est atypique du fait de sa position géographique, au centre des Pyrénées.

Selon la classification de Köppen, le climat de Vielle-Louron présente des caractéristiques montagnardes, continentales et océaniques. Les variations entre l'hiver et l'été peuvent être extrêmes. Les hivers sont habituellement très froids, avec des records extrêmes à –33 °C, cependant, des températures de 26 °C ont déjà été observées en plein mois de décembre. Les intersaisons (avril/mai, septembre/octobre), varient beaucoup entre le froid et le chaud d'une année à l'autre. L'été est agréable et doux, mais lorsque le vent de Sud souffle, les températures s'élèvent rapidement et deviennent même caniculaires (record à 43 °C).

Tableau climatologique de Vielle-Louron (période : 1981-2010).
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −3 −2,5 −1 1 4,5 8 10 9 7,5 5 0,5 −1,5 3,5
Température moyenne (°C) 0,5 1 4 6 9,5 13,5 16 15 12,5 9 3,5 1,5 7,7
Température maximale moyenne (°C) 4 4,5 9 11 14,5 19 22 21 17,5 13 6,5 4,5 12
Record de froid (°C) −27 −33 −18 −12 −5 −0,5 1,5 1 −1,5 −8,5 −13 −17 −33
Record de chaleur (°C) 18 20 26 28 35 38 43 42 34 31 28 26 43
Ensoleillement (h) 45 60 96 143 191 227 252 232 186 144 84 61 1 721
Précipitations (mm) 109 75 99 150 162 130 113 111 124 143 148 120 1 484
dont neige (cm) 45 32 20 2 0 0 0 0 0 3 28 50 180
Source : « Normales et records pour la période 1981-2010 à Génos », sur le site de l'information InfoClimat (consulté le ).
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4
−3
109
 
 
 
4,5
−2,5
75
 
 
 
9
−1
99
 
 
 
11
1
150
 
 
 
14,5
4,5
162
 
 
 
19
8
130
 
 
 
22
10
113
 
 
 
21
9
111
 
 
 
17,5
7,5
124
 
 
 
13
5
143
 
 
 
6,5
0,5
148
 
 
 
4,5
−1,5
120
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[9] : « la Neste du Louron et ses affluents » (145 ha), couvrant 15 communes du département[10] et le « massif entre les Nestes d'Aure et du Louron » (2 749 ha), couvrant 16 communes du département[11] et deux ZNIEFF de type 2[Note 3],[9] :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vielle-Louron est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[14],[I 2],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (80,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (61,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (19,5 %), prairies (18,2 %), zones urbanisées (1 %)[16].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par les routes départementales D 25 et D 425.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Vielle-Louron est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne)[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[19]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2009, 2012 et 2013[20],[17].

Vielle-Louron est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[21]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vielle-Louron.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[22].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa faible (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 70 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[25],[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Vielle-Louron au nord-ouest de Loudenvielle.

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[27] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • De Villa, latin (1387, pouillé du Comminges) ;
  • Viele de Loron (1767, Larcher, cartulaire du Comminges) ;
  • Vielle (1790, Département 1 et 2).

Étymologie : du gascon vièla (du latin : villa) et nom de la vallée : Loron.

Nom occitan : Vièla de Loron.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2019.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 2016 Victor Cascarre    
2016 (suite à démission du maire) mars 2020 Serge Villega    
mars 2020 en cours Victor Cascarre    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Vielle-Louron fait partie de la communauté de communes Aure Louron, créée au , qui réunit 47 communes.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 82 habitants[Note 5], en diminution de 6,82 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
108150163142161159145152155
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
169166168153149136151132119
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
10510185858987815564
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
615547474051737580
2015 2020 2021 - - - - - -
888282------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2019[33].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 2 % 9,4 % 8,2 %
Département[I 6] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 54 personnes, parmi lesquelles on compte 69,4 % d'actifs (61,2 % ayant un emploi et 8,2 % de chômeurs) et 30,6 % d'inactifs[Note 6],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 8 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 9 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 35, soit un indicateur de concentration d'emploi de 24,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 55,4 %[I 9].

Sur ces 35 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 87,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Mercurial en 2019.
La chapelle Saint-Mercurial en 2021.
Le lavoir en 2019.
Le travail à ferrer.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent au lion de gueules, à la bordure de sinople chargée de six besants d'or ordonnés deux en chef et deux à chacun des flancs[37].
Commentaires : ce blason est officiel (vérifié auprès de la mairie).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Vielle-Louron » sur Géoportail (consulté le 4 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Vielle-Louron » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Vielle-Louron » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Vielle-Louron » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Louron et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Louron et Bagnères-de-Bigorre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Vielle-Louron et Capvern », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Vielle-Louron », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 281-282.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Vielle-Louron », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Vielle-Louron », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « ZNIEFF « la Neste du Louron et ses affluents » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF le « massif entre les Nestes d'Aure et du Louron » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF les « Garonne amont, Pique et Neste » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF la « Haute vallée d'Aure » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Vielle-Louron », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Vielle-Louron », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Préparer son kit d’urgence. », sur gouvernement.fr (consulté le ).
  26. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Risque avalanche.
  27. Michel Grosclaude et Jean-Francois Le Nail, intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes-Pyrénées, Tarbes, Conseil Général des Hautes-Pyrénées, , 348 p. (ISBN 2-9514810-1-2, BNF 37213307)..
  28. « Liste des juridictions compétentes pour Vielle-Louron », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  34. Notice no PA00095444, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 8 juin 2010.
  35. Notice no IA65000039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 8 juin 2010.
  36. Notice no PA00095443, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 8 juin 2010.
  37. Passion Bigorre