Pillac

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Pillac
Pillac
Mairie de Pillac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes Lavalette Tude Dronne
Maire
Mandat
Dominique Streiff
2020-2026
Code postal 16390
Code commune 16260
Démographie
Gentilé Pillacois
Population
municipale
263 hab. (2021 en diminution de 2,23 % par rapport à 2015)
Densité 13 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 19′ 31″ nord, 0° 11′ 32″ est
Altitude Min. 53 m
Max. 165 m
Superficie 19,64 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Tude-et-Lavalette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Pillac
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Pillac
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Pillac
Liens
Site web http://pillac.fr/

Pillac (Pilhac en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Pillacois et les Pillacoises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Vue ouest du village depuis la D 458.

Pillac est une commune du Sud Charente, située à 6 km au nord d'Aubeterre et à 36 km au sud d'Angoulême.

Le bourg est aussi à 5 km à l'ouest de Saint-Séverin, 10 km au sud-est de Montmoreau, 13 km au nord-est de Chalais, 14 km à l'ouest de Ribérac et de Verteillac, et 19 km au sud de Villebois-Lavalette[2].

La D 10, route de Montmoreau à Aubeterre, traverse la commune du nord au sud et passe à 1 km à l'ouest du bourg. La D 709, route de Montmoreau à Ribérac traverse le nord de la commune. Le bourg est traversé par la D 458. La D 78 et la D 140 traversent aussi la commune[3].

Les gares les plus proches sont celles de Montmoreau et de Chalais, toutes les deux desservies par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Comme de nombreuses communes charentaises, Pillac possède un habitat dispersé et compte de nombreux hameaux et fermes. On peut citer le Bernou au nord du bourg, les Martres à l'est, le Boiteau, la Ferrière, le Rapt au sud, le Maine Roy et le Maine Blanc à l'ouest, etc.[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est dans les coteaux du Campanien (Crétacé supérieur), calcaire crayeux qui occupe une grande partie du Sud Charente. Les hauteurs au centre de la commune sont occupées par des dépôts du Tertiaire (argile, sable, galets)[4],[5],[6]. Ces landes, peu fertiles, sont boisées en châtaigniers, pins maritimes et chênes.

La commune est assez étendue (19 km2), et est encadrée par les vallées de l'Auzonne à l'est et de la Tude à l'ouest, entre lesquelles il y a une crête boisée de direction nord-sud assez élevée (environ 150 m d'altitude), où passe la D 10, route d'Aubeterre à Montmoreau. Le point culminant de la commune est sur cette crête, à Pechbrie, 165 m d'altitude. Le point le plus bas est à 53 m, situé le long de l'Auzonne en limite sud-est. Le bourg est à 94 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Pillac.

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Auzonne, et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[8],[Carte 1].

L'Auzonne, ruisseau se jetant dans la Dronne entre Saint-Séverin et Nabinaud, arrose l'est de la commune. Sur la partie occidentale, des ruisseaux se dirigent vers la Tude, autre affluent de la Dronne qui passe à Montmoreau et Chalais. Au sud de la commune naît l'Écrevansou, qui rejoint la Dronne à Laprade[3].

Gestion des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pillac est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (70,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (45,6 %), forêts (29,4 %), zones agricoles hétérogènes (21,5 %), cultures permanentes (2,1 %), prairies (1,5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Pillac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Pillac est exposée au risque de feu de forêt du fait de la présence sur son territoire du massif de Bors – Pillac – Saint-Romain. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[19]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 2],[19],[20],[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pillac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 74,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 214 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 121 sont en aléa moyen ou fort, soit 57 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Piliaco, Pillaco en 1110[25], Pilhac en 1299[26], Pilac, Piglac, Pilliac[27].

L'origine du nom de Pillac remonterait à un nom de personne romain Pilius auquel est apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Piliacum, « domaine de Pilius »[28],[29].

Limite dialectale[modifier | modifier le code]

La crête entre les vallées de l'Auzonne et de la Tude marque la limite entre la langue d'oïl (dialecte saintongeais) à l'ouest et le domaine occitan (dialecte limousin) à l'est, comprenant le bourg[30]. La commune se nomme Pilhac en occitan[31]. Elle est écrite ainsi sur la carte de Cassini (XVIIIe siècle)[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Entre le Xe et XVIIIe siècles, Pillac était le siège d'une viguerie, alors dans le diocèse de Périgueux, qui a été rattachée avec les six autres vigueries du comté d'Angoulême, qui en comptera une vingtaine à la suite de son extension au XIe siècle[33].

L'église de Pillac était chef-lieu d'un archiprêtré du diocèse de Périgueux et elle comprenait 26 paroisses.

À la fin du XIXe siècle, la commune a particulièrement souffert du phylloxéra et s'était désertifiée, une grande partie de la population active travaillant les vignes[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1892 1904 Jean-Baptiste Auguste Lavergne    
1904 1911 Balise QArthur Marcombes    
1912 1925 Théodore Hillairet    
1925 1958 Antoine Mornac    
1958 1971 Alphonse Galteau    
1971 1983 Maurice Galluret    
1983 2001 Marcel Audoin    
2001 2014 Gérard Galluret SE Retraité
2014 2018 François Monget    
2018 2020 Philippe Brunet    
2020 En cours Dominique Streiff    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[35].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 263 habitants[Note 3], en diminution de 2,23 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 0271 2989751 0111 0211 0481 032968962
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
961900816837853793630598569
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
565583504500445433407404357
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017
356307267260269258256264266
2021 - - - - - - - -
263--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 38,6 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 142 hommes pour 127 femmes, soit un taux de 52,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,4 
90 ou +
0,8 
11,4 
75-89 ans
16,6 
23,5 
60-74 ans
23,7 
25,7 
45-59 ans
21,4 
10,8 
30-44 ans
12,8 
9,3 
15-29 ans
10,4 
18,0 
0-14 ans
14,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune fait partie de l'aire d'origine contrôlée du Cognac « Bons Bois »[42] et de l'AOP Noix du Périgord[43].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école est un RPI entre Pillac et Saint-Séverin. Pillac accueille l'école élémentaire, avec une classe unique, et Saint-Séverin l'école primaire. Le secteur du collège est Montmoreau-Saint-Cybard[44].

Sports[modifier | modifier le code]

La commune accueille le golf d'Aubeterre, à Longeveau[3].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église de Pillac.
  • L'église paroissiale Saint-Aignan date du XIIe siècle, et a été remaniée au XVIIe siècle.
  • La fontaine Saint-Aignan traitait la teigne.
  • La tuilerie de l'Argilier date du XIXe siècle et était toujours en activité en 1989. Les fours sont chauffés au bois[45].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La commune de Pillac a fait la Une de la presse en 1963. Un ermite, né le et décédé « vers le 5 août 1965 » précise son acte de décès a été retrouvé dans les bois une dizaine de jours après sa mort. Cet homme a vécu seul dans le dépouillement le plus total, dans les bois de la commune pendant une quarantaine d'années, habitant des cabanes de bois qu'il fabriquait lui-même. Les anciens du village se souviennent de ce personnage surnommé « le barbu » ; il n'était pas méchant mais effrayait un peu les enfants quand ils l'apercevaient avec sa barbe et ses cheveux très longs[46].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Pillac » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c d et e Carte IGN sous Géoportail
  4. Carte du BRGM sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Ribérac », sur Infoterre, (ISBN 2-7159-1757-0, consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Pillac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Pillac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. a et b « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Pillac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 66,126
  26. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 194,225
  27. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean-d'Angély
  28. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 531.
  29. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  31. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  32. Carte de Cassini sous Géoportail
  33. André Debord in Jean Combes (dir.) et Michel Luc (dir.), La Charente de la Préhistoire à nos jours (ouvrage collectif), St-Jean-d'Y, Imprimerie Bordessoules, coll. « L'histoire par les documents », , 429 p. (ISBN 2-903504-21-0, BNF 34901024, présentation en ligne), p. 88
  34. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 271
  35. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Pillac (16260) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  42. « AOC Grande Champagne, Grande Fine Champagne, Petite Champagne, Fine Champagne, Borderies, Fins Bois et Bons Bois », sur inao.gouv.fr, (consulté le ).
  43. « Délimitation géographique de l'AOP Noix du Périgord », sur noixduperigord.com, (consulté le ).
  44. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  45. « Tuilerie de l'Argilier », notice no IA00066347, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  46. Pascal Huord, « L’ermite de Pillac », sur pillac.fr, .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]