Canet-de-Salars

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Canet-de-Salars
Canet-de-Salars
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Millau
Intercommunalité Communauté de communes de Lévézou Pareloup
Maire
Mandat
Francis Bertrand
2020-2026
Code postal 12290
Code commune 12050
Démographie
Gentilé Canetols
Population
municipale
448 hab. (2021 en augmentation de 3,94 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 14′ 11″ nord, 2° 45′ 18″ est
Altitude Min. 713 m
Max. 870 m
Superficie 29,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Raspes et Lévezou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Canet-de-Salars
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Canet-de-Salars

Canet-de-Salars est une commune française, située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Pierre et l'oratoire, inscrite en 1976.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

La commune de Canet-de-Salars se trouve au centre du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Lévézou[1].

Elle se situe à 27 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 46 km de Millau[3], sous-préfecture, et à 8 km de Pont-de-Salars[4], bureau centralisateur du canton de Raspes et Lévezou dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Pont-de-Salars[I 1].

Les communes les plus proches sont[5],[Note 2] : Prades-Salars (3,9 km), Pont-de-Salars (5,5 km), Salles-Curan (6,5 km), Trémouilles (8,8 km), Le Vibal (8,8 km), Curan (8,9 km), Arvieu (8,9 km), Ségur (9,0 km), Arques (9,8 km).

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Canet-de-Salars.

La commune est drainée par le Vioulou, le Rieutord, le Ruisseau de Bage, le ruisseau de Buscaylet, le ruisseau de Sauganne, le ruisseau de la Gourde, le ruisseau de Lestang, le ruisseau de Vernhières, le ruisseau du Malpas, le ruisseau du Roucan et par divers petits cours d'eau[6].

Le Vioulou, d'une longueur totale de 33,1 km, prend sa source dans la commune de Castelnau-Pégayrols et se jette dans le Viaur à Trémouilles, après avoir arrosé 9 communes[7].

Le Rieutord, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Salles-curan et se jette dans le Vioulou à Canet-de-Salars, après avoir arrosé 4 communes[8].

Le Ruisseau de Bage, d'une longueur totale de 12,2 km, prend sa source dans la commune de Prades-Salars et se jette dans lale Viaur à Pont-de-Salars, après avoir arrosé 3 communes[9].

Deux lacs complètent le réseau hydrographique :

Le lac de Pareloup vers Le Caussanel.

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[13].

La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[14],[15]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[16],[17].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[18]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[19].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 083 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[18]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 971,8 mm[20],[21]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[22].

Statistiques 1991-2020 et records CANET-DE-SALARS_SAPC (12) - alt : 860m, lat : 44°14'00"N, lon : 2°44'13"E
Records établis sur la période du 01-10-2008 au 02-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,7 −1 1,8 4,7 7,2 10,9 13,2 13,2 10,5 7,4 3,9 0,8 6
Température moyenne (°C) 2,1 2,4 5,9 9 11,9 16,1 18,9 18,9 15,4 11,3 6,7 3,7 10,2
Température maximale moyenne (°C) 4,9 5,7 9,9 13,3 16,6 21,3 24,6 24,6 20,3 15,1 9,5 6,6 14,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,8
18.01.13
−15,8
08.02.12
−12
09.03.10
−6,3
04.04.22
−2
05.05.19
2,3
05.06.14
6
15.07.16
5,7
31.08.10
2
27.09.10
−5
29.10.12
−9
30.11.21
−12,7
18.12.10
−15,8
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
18,2
01.01.22
21
26.02.19
21,8
14.03.12
23,9
14.04.15
30,6
21.05.22
34,5
17.06.22
34,8
17.07.22
37,6
23.08.23
29,9
16.09.19
28,9
01.10.23
21
07.11.15
18,8
31.12.21
37,6
2023
Précipitations (mm) 96 57,4 71,2 90,4 110,4 71 65,3 61,2 65,1 86,2 104,2 93,4 971,8
Source : « Fiche 12050001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/11/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[23].

Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[24]. Les « Tourbières du Lévezou », d'une superficie de 487 ha, sont un ensemble de hauts plateaux qui, avec l'Aubrac et les grands causses, fait partie des hautes terres de l'Aveyron. Il est bordé à l'ouest par le Ségala, à l'Est par les grands causses, au Sud par le pays de Roquefort et au Nord par le pays Ruthénois et la vallée de l'Aveyron. Il a toutefois aujourd'hui en partie été détruit[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Canet-de-Salars comprend quatre ZNIEFF de type 1[Note 3],[26] :

  • le « Bocage de Trappes » (63,10 ha, couvrant 2 communes du département[27])
  • la « Tourbière du viala du frontin » (3,3 ha[28]);
  • la « Tourbière et zone humide de Douach » (33 ha[29]);
  • la « Zone tourbeuse des Pendaries » (24,4 ha[30]).

et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[26], le « Ruisseau du Vioulou et lac de Pareloup » (1 684 ha), qui s'étend sur 6 communes de l'Aveyron[31].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Canet-de-Salars est une commune rurale[Note 5],[32]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[33].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

La commune, bordée par un plan d’eau intérieur d’une superficie supérieure à 1 000 hectares, le lac de Pareloup, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[34]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, par exemple le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[35],[36].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Infrastructures et occupation des sols de la commune de Canet-de-Salars.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (38 %), zones agricoles hétérogènes (35,1 %), forêts (10,8 %), eaux continentales (10,8 %), terres arables (3,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), zones urbanisées (0,8 %)[37].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Lévézou, prescrit en juin 2018. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du Lévézou, qui associe deux communautés de communes, notamment la communauté de communes de Lévézou Pareloup, dont la commune est membre[38]

La commune ne disposait pas en 2017 de document d'urbanisme opérationnel et le règlement national d'urbanisme s'appliquait donc pour la délivrance des permis de construire[39].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Canet-de-Salars est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[40],[41].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[42].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une route à fort trafic et une canalisation de transport de gaz. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[43].

Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[44].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Canet-de-Salars est classée à risque moyen à élevé[45].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Époque moderne[modifier | modifier le code]

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Canet-de-Salars est membre de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[I 5], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Salles-Curan. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[46].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 5]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Raspes et Lévezou pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 5], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[47].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Canet-de-Salars, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[48] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[49]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[50] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 69,7 %[51]. Francis Bertrand, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [52].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[53]. Deux sièges sont attribués à la commune au sein de la communauté de communes de Lévézou Pareloup[54].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1970 1995 Louis Fontes    
1995 2014 Patrick Geraud    
avril 2014 En cours Francis Bertrand[55],[56]   Ancien agriculteur exploitant

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[57]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[58].

En 2021, la commune comptait 448 habitants[Note 7], en augmentation de 3,94 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4875081 3951 219576427704652831
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
803777749707725763749798784
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
785822801725739748724684631
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
601510485440440379394396421
2015 2020 2021 - - - - - -
431447448------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[59] puis Insee à partir de 2006[60].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 186 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 436 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 980 [I 6] (20 640  dans le département[I 7]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 8] 3,7 % 4,5 % 7,3 %
Département[I 9] 5,4 % 7,1 % 7,1 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 256 personnes, parmi lesquelles on compte 83,6 % d'actifs (76,3 % ayant un emploi et 7,3 % de chômeurs) et 16,4 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 11]. Elle compte 83 emplois en 2018, contre 107 en 2013 et 91 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 200, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,6 %[I 12].

Sur ces 200 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 60 travaillent dans la commune, soit 30 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

36 établissements[Note 10] sont implantés à Canet-de-Salars au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 36
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 13,9 % (17,7 %)
Construction 7 19,4 % (13 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
12 33,3 % (27,5 %)
Activités financières et d'assurance 1 2,8 % (3,4 %)
Activités immobilières 5 13,9 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
2 5,6 % (12,4 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
1 2,8 % (12,7 %)
Autres activités de services 3 8,3 % (7,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 33,3 % du nombre total d'établissements de la commune (12 sur les 36 entreprises implantées à Canet-de-Salars), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises[modifier | modifier le code]

L' entreprise ayant son siège social sur le territoire communal qui génère le plus de chiffre d'affaires en 2020 est[61] :

  • Le Caussanel Loisirs, autres activités récréatives et de loisirs (1 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans le Levezou, une petite région agricole située dans le centre de l'Aveyron et constituée d'un haut plateau cristallin[62]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'équidés et/ou d' autres herbivores[Carte 2].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 55 40 34 32
SAU[Note 13] (ha) 2 378 2 321 2 129 2 188

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 55 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 40 en 2000 puis à 34 en 2010[64] et enfin à 32 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[65],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 2 378 ha en 1988 à 2 188 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 43 à 68 ha[64].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Pierre et son oratoire Logo monument historique Inscrit MH (1976)[66], considérée comme la cathédrale du Lévézou.
  • Près du Caussanel existe un alignement mégalithique.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Alain Pichon), Lo Pònt : Agenh, Arcas, Canet, Flavinh, Pradas, Tremolhas, Lo Vibal / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton del Pònt, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 239 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-20-3, ISSN 1151-8375, BNF 36688567)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes.
  2. Les distance sont mesurées ici à vol d'oiseau entre chefs-lieux de communes.
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[63].
  • Cartes
  1. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
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Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

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Autres sources[modifier | modifier le code]

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