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Stephen Desberg

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Stephen Desberg
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Stephen Desberg est un scénariste de bande dessinée belge, né le à Bruxelles.

En 2010, il est l'un des auteurs qui ont vendu le plus grand nombre d'albums, dont 412 000 exemplaires dans les séries Le Scorpion, I.R.$. All Watcher, Black Op, L'Étoile du désert, Empire USA et Cassio[1].

Biographie

Jeunesse et formation

Stephen Desberg voit le jour à Bruxelles, le , d'un père américain, avocat de formation originaire de Cleveland, et d'une mère française. Ses parents se sont rencontrés à Paris sous la libération, en pleine Seconde Guerre mondiale, alors que le père, officier américain, prenait les cours de français auprès d'une enseignante à la Sorbonne, qui sera la mère de Stephen. Ensemble, avec sa grande sœur et son frère Philippe Emmanuel, ils s'installent en Belgique où le père décroche un contrat à la Metro-Goldwyn-Mayer, en tant que représentant pour la distribution des films dans le Benelux, grâce aux relations de son grand-père qui possédait une salle de cinéma à Cleveland[2].

Stephen Desberg grandit devant les films américains et lit le magazine de Spirou où il découvre Les Aventures de Jean Valhardi, de Marc Dacier, de Buck Danny, de Lucky Luke et les œuvres signées Raymond Macherot… ainsi que, bien plus tard, le journal de Tintin[2].

L'université libre de Bruxelles, à laquelle s’est inscrit Stephen Desberg.

Après deux ans d'études, il s'inscrit à l'université libre de Bruxelles sans rester jusqu'au bout. Il fréquente la librairie de Michel Deligne, dont il devient un habitué dans les années 1970. Ce libraire publie un prozine Curiosity Magazine, aidé par une petite équipe formée par Daniel Depessemier, Alain Van Passen et d'autres amateurs de bande dessinée. Desberg raconte : « Pour ce journal, il m’a commandé un scénario de quatre à cinq pages. Puis il m’a emmené chez Maurice Tillieux qui était un familier de la maison. Tillieux a lu mon scénario et il m’a rappelé pour me proposer de faire des projets pour Jess Long, puis pour Tif et Tondu. J’ai vraiment fait mon écolage avec lui. Au départ, je ne faisais que le synopsis puis des scénarios plus élaborés. Il était très dur. Au bout d’un moment, après trente-six essais, il a accepté un scénario : Le Gouffre interdit, une aventure de Tif et Tondu. En fait, il me l’a acheté et il l’a complètement retravaillé. J’ai bien dû accepter, mais à la condition de pouvoir tenter de faire mieux sur une nouvelle expérience. Cette deuxième fois se passe sans problème, et au troisième scénario, il m’a dit : “C’est bon, vous pouvez voler de vos propres ailes”[2]. »

Débuts de scénariste chez Dupuis (années 1970)

Après une relecture avec Maurice Tillieux, l'histoire Le Gouffre interdit de Tif et Tondu paraît dans le journal Spirou du no 2046 en 1977. Dans la même année, pour le même journal, Desberg crée les personnages Clovis, Roburite et Molok dans un récit complet de six pages intitulé L’Auberge "in" pour Hugues Servé et rédige Les Hommes des bois pour la série Aurore et Ulysse de Pierre Seron[3].

Toujours pour ce dernier, en 1978, il poursuit deux nouvelles narrations à suivre d'Aurore et Ulysse, dont Le Trophée du bestiaire et Trésor de guerre, ainsi que Le Pirate des campagnes pour un récit des Petits Hommes. Il achève deux histoires complètes, La Porte condamnée et Le Nabot maudit pour Mic Mac Adam d'André Benn, ainsi que Les Passe-montagnes de Tif et Tondu et d'autres publications comme Jules et Gilles, Le Fantôme d’Hérode pour Éric Maltaite ; Triste Histoire d’un gars à la coule pour Maurice Tillieux ; Tentacules à la provençale pour Will Maltaite[3].

Dans cette même année, il écrit La Dernière Île pour Vega de Felicisimo Coria, publiée dans le journal de Tintin[4].

En 1979, pour Spirou, il envoie deux récits à suivre : Le Vol du transgalaxic–express, Opération chamboise et un complet de sept pages, Le Blouson noir de ces dames pour la Famille Hérodius d'Éric Maltaite ; Le Passeur des morts, Le Bois maudit et Les Étranges Visites de Mister Wax pour les aventures de Mic Mac Adam ; L’Étoile du Nord d'Aurore et Ulysse ; le récit complet de Pantoufle de Raymond Macherot ; le complet de cinq pages Le Cuisinier de l’apocalypse pour Clovis, Roburite et Molok ; un Soucoupes à la provençale pour Will Maltaite[3].

Parallèlement, il participe à d'autres projets. Pour le journal Tintin, le dessinateur Felicisimo Coria reçoit ses récits pour son Vega : le récit complet de huit pages La Terre interdite et le récit à suivre Le Conquistador perdu[4].

Par ailleurs, à Bruxelles, les amis de Stephen Desberg et Éric Maltaite regardent ensemble des films au cinéma — précisément des films d’aventure, de séries B et d'espionnage, notamment avec James Bond - et, un jour, Will leur fait savoir que « […] dans Spirou, il n’y a pas d’histoires d’espionnage, pourquoi n’allez-vous pas dans cette voie-là ? ». Ainsi créent-ils ensemble l’agent secret 421, d'esprit initialement « jamesbondistique », avant de le présenter à Alain De Kuyssche, qui était alors rédacteur en chef du journal[5].

À la fin de cette décennie 1970, il succède officiellement à Tillieux comme nouveau scénariste de Tif et Tondu. Le tome 28, intitulé Métamorphoses, sort en .

Créateur de séries jeunesse (années 1980)

Desberg est à la fois repreneur de séries et créateur.

Après la publication d’un récit complet de quatre pages intitulé Les Tueurs de la cité oubliée avec Felicisimo Coria dans Tintin[6], Stephen Desberg écrit pour Spirou la première aventure 421 contre la silhouette en compagnie d’Éric Maltaite et un conte d'une nouvelle série, Mic Mac Adam avec le dessinateur André Benn en [7].

Il y continue à écrire un récit complet de sept pages sans titre issu de La Famille Hérodius d'Éric Maltaite en mai, son deuxième Tif & Tondu en scénariste solo, Le Sanctuaire oublié, toujours aux côtés de Will Maltaite, publiée en juin et Le Tyran de Midnight Cross de Mic Mac Adam en août[7].

Entre-temps, pour le journal de Tintin, il envoie un récit de onze pages de la série Youka de Roland Gremet[6] et une seconde aventure 421 contre la silhouette et L'Épave et les millions du célèbre agent 421 pour le magazine Spirou de septembre, ainsi qu’un récit de neuf pages La Corde sensible du Petit Piotre avec Stéphan Colman en décembre[7].

À la fin des années 1980, il quitte plusieurs séries : après 12 albums, il arrête de scénariser Tif et Tondu, passant la main à Denis Lapière ; Mac Adam s'arrête après 5 tomes (un 6e sort en 2000, regroupant des histoires courtes non publiées en album) ; 421 dure un peu plus longtemps, son dixième et dernier album étant publié en 1992.

En 1990, il signe avec Will Maltaite au dessin un one-shot racontant une histoire se déroulant durant la Seconde Guerre Mondiale, La 27e Lettre, dans la collection Aire Libre chez Dupuis. Pour cet éditeur, il lance deux séries jeunesse.

Le succès Billy the Cat (années 1990)

Fresque murale représentant Billy the Cat dans la rue d'Ophem à Bruxelles.

En 1990, débutent d'une part les aventures de Jimmy Tousseul, jeune homme vivant en Afrique, dessinées par Daniel Desorgher ; puis celles de Billy, jeune garçon turbulent transformé en chat après une mort accidentelle brutale. Cette nouvelle série, intitulée Billy the Cat est dessinée par Stéphane Colman. Après une histoire courte, une version longue et redessinée et publiée en 1990 : Dans la Peau d'un Chat, le premier album de la série, se voit récompenser du prix Alph-Art jeunesse au Festival d'Angoulême en fin [8].

Parallèlement à ce succès critique et commercial, Desberg scénarise une autre série, à la diffusion plus confidentielle : La Vache, série d'enquêtes humouristiques publiée par Casterman entre 1992 et 1999.

Il opère un virage vers des thèmes plus adultes : en 1993, avec Will Maltaite, il réalise deux albums pour P&T Productions : le one-shot L'Appel de l'Enfer, puis une tentative de série, Carmen Lamour, dont le premier tome, Kongo, localise l'action en Afrique.

En 1996, Desberg lance sa première série pour jeunes adultes : Le Sang Noir, dessinée par Bernard Vrancken, raconte le parcours d'un jeune homme né d'une mère noire dans les Antilles, tentant de se faire une place dans la haute société du XIXe siècle. Quatre tomes sont publiés jusqu'en 1999.

Cette même année, en raison d'une lassitude générée par des divergences de points de vue avec Desberg, qui s'éloigne de plus en plus de la littérature jeunesse, le dessinateur Stéphane Colman arrête de dessiner Billy the Cat au bout du sixième album, malgré le succès critique et commercial[9].

Georges Oreopoulos et David Vandegeerde de la société Art Mural rendent hommage aux deux auteurs en réalisant, en , le fresque murale Billy the Cat d'environ 35 m² dans la rue d'Ophem à Bruxelles[10].

La même année, Desberg conclut Jimmy Tousseul avec un douzième album intitulé Au revoir, Jimmy. Il se consacre ensuite à plusieurs séries pour adultes.

Thrillers à succès (années 2000)

En 1996, Stephen Desberg entame une collaboration avec le dessinateur Enrico Marini.

Après le diptyque western L'Étoile du désert chez Dargaud, les deux auteurs créent ensemble une série « de cape et d'épée » intitulée Le Scorpion pour le même éditeur. Partant d'abord sur une adaptation des Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas, ils prennent finalement la décision de se détacher de ce récit et Stephen Desberg commence l'écriture du premier album La Marque du diable, dont il soumet le scénario à Enrico Marini qui, très occupé par ses propres séries, repousse de quelques mois la réalisation des premiers croquis, qu'il commence en 1997[11]. Le premier tome La Marque du diable sort en .

Parallèlement, il s'investit dans plusieurs projets : pour Casterman, il signe les quatre tomes du Cercle des Sentinelles, qui aborde la décolonisation en Inde (1998-2000), ainsi que le diptyque Le Crépuscule des Anges (1998-1999) ; chez Le Lombard, il lance une nouvelle série, sur fond d'espionnage dans le milieu de la finance, IR$, pour laquelle il retrouve Bernard Vrancken au dessin.

Chez Glénat, en 2001, il lance une série contemporaine dans le monde de la mafia, Tosca, qui s'arrête cette fois au bout de 3 albums.

Côté BD jeunesse, l'éditeur Le Lombard lui confie d'anciennes séries : La Vache revient sous le nom de Lait Entier le temps de deux albums (2001-2002) ; puis Les nouvelles aventures de Jimmy Tousseul durent trois albums (2004-2008) ; enfin, il signe Le Dernier Livre de la Jungle, prolongement de l'univers de Rudyard Kipling. Pour Dargaud, il s'essaie à la science-fiction en écrivant la série Mayam. Celle-ci reste inachevée, avec quatre tomes publiés entre 2003 et 2007.

Parallèlement, il quitte peu à peu Billy the Cat : après avoir travaillé avec le dessinateur roumain Marco sur un septième tome composé d'histoires courtes - La Bande à Billy (2002) - Stéphane Colman lui-même lui conseille d’engager Peral, qui travaillait sur les illustrations publicitaires avec Olivier Saive. Péral devient donc le dessinateur officiel à partir de la huitième aventure, La Vie de Chaton (2003)[12]. Desberg quitte ses fonctions de scénariste en plein milieu de l'élaboration d'un neuvième tome. Il confie les quinze premières planches de Monsieur Papa à Jean-Louis Janssens, avec pour seule consigne de mener Billy à une réconciliation avec son père[13]. La série connaît deux autres albums en 2006 et 2007 sous la houlette du tandem Jansseens-Péral, avant d'être arrêtée par les éditions Dupuis.

Il se concentre sur une veine thriller/réaliste pour plusieurs éditeurs : il lance Black Op chez Dargaud (8 tomes de 2005 à 2014) ; Rafales chez le Lombard (4 tomes, 2005-2008) ; chez Bamboo, il écrit Sienna (4 tomes, 2008-2014). Cassio l'amène dans la Rome Antique (9 tomes, 2007 à 2015).

En 2008, il se lance avec le dessinateur Alain Mounier dans une série télévisée sous forme de bande dessinée, chez Dargaud : chaque mois, de septembre à sort un tome de Empire USA. La saison 2 se compose également de six albums sortis fin 2011.

En 2009, il revient chez Dupuis pour signer les deux tomes d'héroic fantasy Anges et Diablesses, sur un dessin de Marc Hardy.

En , Lena Lutaud du Figaro le présente comme l'un des auteurs ayant vendu plus grand nombre d'albums en 2010, dans le classement des scénaristes et dessinateurs dont il est au dixième rang avec 412 000 exemplaires tels que Le Scorpion, I.R.$. All Watcher, Black Op, L'Étoile du désert, Empire USA et Cassio[1].

Durant les années 2010, le scénariste se diversifie, chez l'éditeur Le Lombard.

Diversification chez Le Lombard (années 2010)

Ainsi, si en 2010, il lance la série dérivée I.R.$. All Watcher et qu'entre 2013 et 2014, il écrit les quatre tomes de la série dérivée IRS Team, centrée sur le milieu du football, il explore en parallèle d'autres genres.

Il collabore avec le dessinateur Griffo pour deux séries historiques : d'abord Sherman (8 tomes, 2011-2018), puis la série Golden Dogs, qui se déroule à Londres en 1820 (4 tomes, 2014-2015). Parallèlement, il signe le polar glamour 60s Miss Octobre (4 tomes, 2012-2015) et lance une série d'action centrée sur un chasseur de primes, John Tiffany (2 albums, 2013-2014) ; en 2015, il signe le one-shot Bagdad Inc., thriller d'action géopolitique ; la même année, il retrouve Bernard Vrancken pour le diptyque d'héroic fantasy Hell.

Cette même année, il lance deux séries qui ne dépassent pas le premier tome : Les mille et autres nuits, puis, chez Dargaud, Le Rédempteur.

En 2016, il donne une suite à L'Étoile du désert sous la forme d'un nouveau diptyque, avec un nouveau dessinateur, Hugues Labiano.

En 2017, sur une idée de son épouse[14], l’auteur se lance dans une aventure animalière, Jack Wolfgang, qui sort en avec le dessinateur Henri Reculé et la coloriste Kattrin[15]. Toujours chez Le Lombard, aux côtés de Claude Moniquet, il présente en un thriller d’espionnage Deux hommes en guerre face un complot politique, avec le dessinateur Jef.

Ayant entendu la « grande frustration » de Griffo, quelques années auparavant, au temps des Sherman et Golden Dogs, il rencontre Jean Van Hamme et se propose de reprendre la série dystopique S.O.S. Bonheur, créée par ce dernier et par Griffo au début des années 1980 : « trois histoires complètes, ainsi que les résumés des trois autres »[16]. Validées, toujours avec Griffo en tant que dessinateur, le premier tome sans titre de la seconde saison est édité en avec la préface signée Jean Van Hamme[17].

En 2018, pour l'éditeur Paquet, il mlme univers médiéval et fantastique avec une nouvelle série, Shayne.

Œuvres

One shots

Séries

Distinctions

Récompenses

Nominations

Notes et références

  1. a et b Lena Lutaud, « Le palmarès des auteurs de bande dessinée », sur Le Figaro, (consulté le ).
  2. a b et c Didier Pasamonik, « Stephen Desberg : « Le style me touche moins que les idées » », sur Actua BD, (consulté le ).
  3. a b et c « Stephen Desberg dans le journal de Spirou », sur BD oubliées (consulté le ).
  4. a et b « Stephen Desberg dans le journal de Tintin », sur BD oubliées (consulté le ).
  5. Éric Maltaite et Stephen Desberg, 421 : L’intégrale 1, vol. 1, Marcinelle/Paris, Dupuis, , 202 p. (ISBN 978-2-8001-5764-1), p. 24-27.
  6. a et b « Le journal de Tintin en 1980 », sur BD oubliées (consulté le ).
  7. a b et c « Le journal de Spirou en 1980 », sur BD oubliées (consulté le ).
  8. Thierry Groensteen et collectif, Primé à Angoulême : 30 ans de bande dessinée à travers le palmarès du festival, Angoulême, Éditions de l'An 2, , 103 p. (ISBN 2-84856-003-7)
  9. Didier Pasamonik, « Stephan Colman ; « Scénariser le marsupilami n’est pas une chose facile » », sur Actua BD, (consulté le ).
  10. « Mur BD Billy The Cat par Colman & Desberg - Bruxelles Pentagone », sur eBru (consulté le ).
  11. Christophe Dutoit, « Le Scorpion : Interview d’Enrico Marini et Stephen Desberg », sur La Gruyère, (consulté le ).
  12. Nicolas Anspach, « Peral : « Avec Billy The Cat, j’essaie de marcher dans les traces de Colman » », sur Actua BD, (consulté le ).
  13. Nicolas Anspach, « Janssens & Peral : « Billy The Cat est un passeur de monde » », sur Actua BD, (consulté le ).
  14. Pierre Burssens, « Entretien avec Stephen Desberg et Henri Reculé », sur Auracan, (consulté le ).
  15. Jack Wolfgang : L’Entrée du Loup, tome 1 (2017)
  16. Thierry Tomblaine, « « S.O.S. bonheur saison 2 » T1 par Griffo et Stephen Desberg », sur BDZoom, (consulté le ).
  17. « S.O.S. Bonheur, une saison 2 qui fait frémir », sur Ligne claire, (consulté le ).
  18. Laurent Mélikian, « ...Et la caravane passe. », BoDoï, no 8,‎ , p. 43.
  19. Jean-Pierre Fuéri, « Laisse mes mains sur tes anges... », BoDoï, no 41,‎ , p. 18.
  20. Pascal Paillardet, « Excès de z'ailes », BoDoï, no 51,‎ , p. 17.
  21. Philippe Audoin, « Mal en pis », BoDoï, no 40,‎ , p. 23.
  22. Henri Filippini, « Qui pourra arrêter Lucrèce ? Rafales », dBD, no 25,‎ , p. 15.

Annexes

Bibliographie

Articles et notices
Interviews (dans l'ordre chronologique)
  • Stephen Desberg (int. par Jean-Marc Vidal), « De Saint-Père en fisc », BoDoï, no 54,‎ , p. 32-37.
  • Stephen Desberg, « Stephen Desberg : « Le style me touche moins que les idées » », sur Actua BD, .
  • Stephen Desberg (interviewé) et Frédéric Bosser, « Desberg en rafales. Dossier : les univers de Desberg », dBD, no 4,‎ , p. 46-67.
  • Stephen Desberg (int.), Hugues Labiano (int.) et Marius Jouanny, « Le Lion de Judah : Desberg vire de bord », Casemate, no 131,‎ , p. 32-37.

Articles connexes

Liens externes