Montpeyroux (Dordogne)

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Montpeyroux
Montpeyroux (Dordogne)
L'église de Montpeyroux.
Blason de Montpeyroux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes de Montaigne Montravel et Gurson
Maire
Mandat
Christophe Marceteau
2020-2026
Code postal 24610
Code commune 24292
Démographie
Gentilé Peyroumontois
Population
municipale
487 hab. (2021 en augmentation de 8,95 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 55′ 16″ nord, 0° 03′ 28″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 100 m
Superficie 23,37 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Montaigne et Gurson
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Montpeyroux
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Montpeyroux
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Montpeyroux
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Montpeyroux

Montpeyroux est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Carte de Montpeyroux et des communes avoisinantes.

Montpeyroux est limitrophe de neuf autres communes dont une dans le département de la Gironde. Au sud-ouest, son territoire est distant d'environ 80 mètres de celui de Gardegan-et-Tourtirac et au nord-ouest d'un peu plus de 400 mètres de celui de Francs.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Géologie[modifier | modifier le code]

Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Montpeyroux est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[1].

Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e5-6, est la formation de Guizengeard supérieur (Lutétien supérieur à Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans la feuille « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et sa notice associée[4].

Carte géologique de Montpeyroux.

Relief et paysages[modifier | modifier le code]

Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 17 mètres et 100 mètres[5],[6].

Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [7]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1],[8]. La commune fait partie du Landais, au sein de l'unité de paysage « La Double et le Landais », deux plateaux ondulés, dont la pente générale descend de l'est vers l'ouest. À l'est, les altitudes atteignent ainsi les 200 m pour les plus élevées (206 m au sud de Vallereuil). Vers l'ouest, le relief s’adoucit et les altitudes maximales culminent autour des 100 mètres[9]. Les paysages sont forestiers aux horizons limités, avec peu de repères, ponctués de clairières agricoles habitées[10].

La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 23,37 km2[5],[11],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 23,8 km2[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Lidoire, le Lechout, le Rieutord, l'Escuret et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 34 km de longueur totale[15],[Carte 1].

La Lidoire, d'une longueur totale de 49,46 km, prend sa source dans la commune de Bosset et se jette en rive droite de la Dordogne en limite de Castillon-la-Bataille et Lamothe-Montravel, face à Mouliets-et-Villemartin[16],[17]. Elle borde la commune du nord-est au sud-ouest sur neuf kilomètres et demi, face à Montazeau, Saint-Vivien et Bonneville-et-Saint-Avit-de-Fumadières.

Son affluent de rive droite le Lechout, ou Léchou, traverse le territoire communal du nord au sud-ouest sur huit kilomètres, servant de limite naturelle sur cinq kilomètres et demi, en deux tronçons, face à Villefranche-de-Lonchat et Les Salles-de-Castillon.

Affluent de rive droite du Lechout, l'Escuret, ou ruisseau de l'Escuret, marque la limite communale au nord-est sur plus de 600 mètres, face à Villefranche-de-Lonchat.

Autre affluent de rive droite de la Lidoire, le Rieutord prend sa source 400 mètres au sud du bourg et arrose le territoire communal vers le sud sur deux kilomètres et demi.

Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [19].

La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[20]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[21].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[22]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Port-Sainte-Foy-et-Ponchapt à 15 km à vol d'oiseau[23], est de 13,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 809,4 mm[24],[25]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[26].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Montpeyroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[27],[28],[29]. La commune est en outre hors attraction des villes[30],[31].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,7 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (50 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (50,7 %), zones agricoles hétérogènes (27,9 %), prairies (13,2 %), cultures permanentes (6,9 %), terres arables (1,3 %)[32]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Villages, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Outre le petit bourg de Montpeyroux proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[33] :

  • Beau Champ
  • Beaulieu
  • le Bernis
  • Blaye
  • le Bonnadier
  • le Bos Vieux
  • Bourdelat
  • Brandelette
  • Cantaloup
  • le Cardayre
  • la Chambre Haute
  • le Chapout
  • Chez Piarrot
  • Claveau
  • les Coulauds
  • les Écorces
  • Forêt de Saint-Cloud
  • le Fumat
  • le Gendre
  • la Grange
  • Jacob
  • Lagarde
  • les Landes
  • la Lidoire
  • Magardeau
  • Maison Neuve
  • Marquat
  • le Mayne Gros Bos
  • Nicoulaud
  • Papassus
  • les Parents
  • Petit Puy
  • le Petit Puy
  • le Peycher
  • Piconneau
  • le Pont de Palot
  • Puy Sauvage
  • les Quatre Chemins
  • Rousselaud
  • le Sabatier
  • Saint-Cloud
  • Sivadou
  • Trompette.

Prévention des risques[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Montpeyroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[34]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[35].

Montpeyroux est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[36]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[37],[38].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Montpeyroux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[39]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[40]. 99,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[41].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999 et 2008, par la sécheresse en 1992, 1995, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[34].

Toponymie[modifier | modifier le code]

En occitan, la commune porte le nom de Mont Peirós[42].

Histoire[modifier | modifier le code]

En 1794, l'ancienne commune de Saint-Cloud fusionne avec Montpeyroux.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[43],[44].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1947 mars 1995 Louis Lavaud    
mars 1995 mars 2008 Paulette Lacoste    
mars 2008 mai 2012 Thierry Fontaine[Note 5] SE[45] Agent EDF
juillet 2012
(réélu en mai 2020[46])
En cours Christophe Marceteau    

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice[modifier | modifier le code]

Dans le domaine judiciaire, Montpeyroux relève[47] :

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de Montpeyroux sont les Peyroumontois[48].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[50].

En 2021, la commune comptait 487 habitants[Note 6], en augmentation de 8,95 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
631732728727779737837847856
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
853796865809764744631619669
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
691712650687662643585539537
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
514452359318338360409448441
2021 - - - - - - - -
487--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête locale début août, sur un week-end[52].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2015[53], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 178 personnes, soit 39,8 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (vingt-trois) a légèrement augmenté par rapport à 2010 (vingt-deux) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,1 %.

Établissements[modifier | modifier le code]

Au , la commune compte trente-sept établissements[54], dont dix-huit au niveau des commerces, transports ou services, huit dans la construction, cinq dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, trois relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et trois dans l'industrie[55].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Montpeyroux Blason
Écartelé : au 1er d’azur à la tour donjonnée d’or maçonnée de sable, au 2e de gueules aux trois fasces d’argent, au 3e de gueules au lion d’argent, au 4e d’azur à la rose d’argent, sur le tout d’azur semé de trèfles d’or à la patte de lion arraché du même armée de gueules brochant en fasce sur le tout[59].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • L. Gardeau, « La faïencerie de Montpeyroux », Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, t. 88, no 4,‎ , p. 166-176 (lire en ligne)
  • Origine des noms de lieux dans le canton de Villefranche-de-Lonchat, association Histoire et mémoire du canton de Villefranche-de-Lonchat, La Nef-Chastrusse, 2002.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
  2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[12],[13]
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Démissionnaire. Source : Émilie Delpeyrat, Qui sera candidat ?, Sud Ouest édition Dordogne du 20 juin 2012.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Montpeyroux » sur Géoportail (consulté le 18 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géologie de la Dordogne - Périgord », sur espritdepays.com (consulté le ).
  2. « Carte géologique de Montpeyroux » sur Géoportail (consulté le 14 juin 2022).
  3. a et b « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Montpeyroux », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le ).
  4. « Notice associée à la feuille no 805 - Sainte-Foy-la-Grande de la carte géologique harmonisée au 1/50 000 de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le ).
  5. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  6. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com.
  7. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  8. « Unités paysagères de la Dordogne », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  9. « la Double et le Landais-repères géographiques », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  10. « Portrait de l'unité de paysage la Double et le Landais », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
  11. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Montpeyroux », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le ).
  13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le ).
  14. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  15. « Fiche communale de Montpeyroux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en région Aquitaine (consulté le ).
  16. « Confluence Lidoire-Dordogne au nord de la Gayne » sur Géoportail (consulté le 21 août 2022)..
  17. Sandre, « la Lidoire »
  18. « SAGE Dordogne Atlantique », sur gesteau.fr (consulté le ).
  19. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  21. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  22. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  26. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  27. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  28. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  29. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  31. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  33. « Montpeyroux » sur Géoportail (consulté le 2 octobre 2022).
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  35. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  38. « Plans Départementaux et Inter-Départementaux de Protection des Forêts Contre les Incendies », sur le site de la DREAL de Nouvelle-Aquitaine (consulté le ).
  39. « Dossier départemental des risques majeurs de la Dordogne », sur dordogne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  40. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  41. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
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  44. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 4 novembre 2020.
  45. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 31.
  46. Grégoire Morizet, « Thierry Boidé veut « rassembler » », Sud Ouest édition Dordogne, 13 juillet 2020, p. 22.
  47. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  48. Annuaire des maires de la Dordogne 2009, p. 187.
  49. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  50. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  51. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  52. « Fête locale », Sud Ouest édition Dordogne, , p. 16a.
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  58. Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 330.
  59. « Blason de Montpeyroux] sur OLDJP - la banque du blason 2 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consulté le ).