Lapeyrouse (Puy-de-Dôme)

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Lapeyrouse
Lapeyrouse (Puy-de-Dôme)
Église Notre-Dame (XIIe siècle).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Riom
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Saint-Éloy
Maire
Mandat
Sabine Michel
2020-2026
Code postal 63700
Code commune 63187
Démographie
Population
municipale
517 hab. (2021 en diminution de 8,17 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 13′ 30″ nord, 2° 52′ 23″ est
Altitude Min. 390 m
Max. 621 m
Superficie 36,14 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Éloy-les-Mines
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Éloy-les-Mines
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lapeyrouse
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Lapeyrouse
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Lapeyrouse
Liens
Site web 63lapeyrouse.free.fr

Lapeyrouse est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Situé dans le Berry médiéval puis le Bourbonnais au XVIIIe siècle, la commune de Lapeyrouse étale ses vastes herbages sur le plateau au relief doux et verdoyant de la basse Combraille.

À proximité de la chaîne des Puys surplombant la vallée de la Sioule, entourée de forêts domaniales, Lapeyrouse est au centre des stations thermales d'Auvergne.

La commune de Lapeyrouse dépendait, jusqu'en , du canton de Montaigut. À l'issue du redécoupage cantonal du département, la commune est rattachée au canton de Saint-Éloy-les-Mines[1].

Huit communes jouxtent Lapeyrouse, dont six dans le département limitrophe de l'Allier[2] :

Communes limitrophes de Lapeyrouse
Hyds
(Allier)
Beaune-d'Allier
(Allier)
Vernusse
(Allier)
La Celle
(Allier)
Lapeyrouse Louroux-de-Bouble
(Allier)
Buxières-sous-Montaigut Durmignat Échassières
(Allier)

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale 998 (ancienne route nationale 698 entre les années 1930 et les années 1970) reliant Néris-les-Bains et Commentry à Gannat, ainsi que par la RD 13 reliant Montmarault (en RD 4 dans l'Allier) à Montaigut[2].

Le territoire communal est également traversé par les RD 92 (du Monteix à La Celle, en RD 189 dans l'Allier), 100 (reliant Vernusse, en RD 308 dans l'Allier, à Durmignat), 148 (du Monteix vers la limite départementale sur les RD 4 et 13), 519 (prolongé en RD 185 dans l'Allier, vers Louroux-de-Bouble). Il existe aussi une RD 998a, prolongée en RD 156 dans l'Allier, en direction de Hyds et de La Celle[2].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

Elle est desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes reliant les gares de Montluçon et Commentry à l'ouest à Gannat et Clermont-Ferrand au sud-est, sur la ligne de Commentry à Gannat.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 790 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,4 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lapeyrouse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 15 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (58,5 %), zones agricoles hétérogènes (22,9 %), terres arables (9,7 %), forêts (7,8 %), zones urbanisées (1,1 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune vient du marchois, un dialecte du Croissant[15], intermédiaire entre occitan et langue d'oïl[16] : La Peirose [lɑ poɛjˈʁu.zə] qui signifie littéralement « la pierreuse »[17] et désigne naturellement un lieu pierreux d'une manière générale[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Carte postale de la gare vers 1920.

Tout au long de son histoire, Lapeyrouse est situé dans le Berry[19]. Elle faisait d'abord partie durant l'Antiquité du territoire des Bituriges Cubes puis au Moyen Âge du Berry médiéval.

Lapeyrouse resta dans le diocèse de Bourges jusqu'au début du XIXe siècle où la commune est rattachée au diocèse de Clermont.

Pendant la Révolution, alors que la République est attaquée à ses frontières, les députés de la Convention ont imposé la Levée en masse à tous les hommes âgés de 18 à 25 ans. Le (ou 20 floréal an II), pas moins de huit hommes de la commune (dite de Pérouse), sont incorporés à la 19e demi-brigade puis à la 69e demi-brigade de l'armée de la République[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Lapeyrouse est membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy[21], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Éloy-les-Mines[22]. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23]. De 2013 à 2016, elle était membre de la communauté de communes du Pays de Saint-Éloy-les-Mines[24].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Riom, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[21]. Elle faisait partie du canton de Montaigut jusqu'en [25].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Saint-Éloy-les-Mines pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[21], et de la deuxième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010 (sixième circonscription avant 2010)[25].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Lapeyrouse, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[26] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[27]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice a été élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 59,40 %[28].

Chronologie des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 Jean Michel[29] PS Avocat[30]
Vice-président du conseil régional d'Auvergne (1985-1986)[30]
Député de la 6e circonscription du Puy-de-Dôme (1997-2012)[30]
En cours
(au )
Sabine Michel[31]    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 517 habitants[Note 3], en diminution de 8,17 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3051 2211 2921 1081 4471 5651 5701 5451 442
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 4001 3501 5311 5671 5891 6451 6821 6381 530
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5101 5181 5501 3381 2541 2181 1111 1191 061
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
993919770700575587584582561
2014 2019 2021 - - - - - -
561523517------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Lapeyrouse dépend de l'académie de Clermont-Ferrand.

Les élèves de la commune commencent leur scolarité à l'école élémentaire publique de la commune[36]. Ils poursuivent au collège Alexandre-Varenne de Saint-Éloy-les-Mines[37] puis au lycée Virlogeux de Riom pour les filières générales et STMG, ou au lycée Pierre-Joël-Bonté, à Riom, pour la filière STI2D[38]. Ces derniers bénéficient d'une double sectorisation dans la commune : ils peuvent aussi fréquenter les lycées du bassin de Montluçon[39].

Économie[modifier | modifier le code]

Depuis des décennies, l'élevage de Gessy[Quoi ?] constitue la principale activité agricole. Cette tradition se perpétue de nos jours.

Une usine de Thivat Nutrition animale, filiale d'Axéréal, transforme du soja bio, notamment pour l'alimentation des volailles fermières bio d'Auvergne[40][réf. incomplète].

Lapeyrouse présente aussi des activités de loisirs avec notamment un plan d'eau et un camping trois étoiles.

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • église Notre-Dame du XIIe siècle ;
  • château de Bruges ;
  • base nautique et étang ;
  • tilleul de la Combe Droit ; ce tilleul, vieux de plus de quatre siècles, mesure 26 m de haut et 7,4 m de circonférence. Il est situé au lieu-dit la Villatte, à l'ouest du bourg. Il a remporté le prix du Jury au concours L'Arbre de l'année 2023[41].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jean Michel, député du Puy-de-Dôme (1997-2012), né à Lapeyrouse en 1949.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Décret no 2014-210 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Puy-de-Dôme.
  2. a b et c Carte de Lapeyrouse sur Géoportail.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Lapeyrouse et Échassières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Echassières_sapc », sur la commune d'Échassières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Éloy-les-Mines », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Philippe Boula de Mareüil, Gilles Adda, Lori Lamel, « Comparaison dialectométriques de parlers du Croissant avec d’autres parlers d’oc et d’oïl », Le Croissant linguistique entre oc, oïl et francoprovençal : des mots à la grammaire, des parlers aux aires, Paris, L'Harmattan,‎ (ISBN 978-2-343-23050-4, lire en ligne).
  16. « Atlas sonore des langues régionales de France - Zone du Croissant », sur atlas.limsi.fr ; site officiel de l'Atlas sonore des langues régionales de France, .
  17. (fr + oc) Jeanine Berducat, Christophe Matho, Guylaine Brun-Trigaud, Jean-Pierre Baldit, Gérard Guillaume, Patois et chansons de nos grands-pères marchois : Haute-Vienne, Creuse, Pays de Montluçon, Paris, Éditions CPE, , 160 p. (ISBN 978-2-84503-827-1).
  18. Bénédicte et Jean-Jacques Fénié, Toponymie occitane, Bordeaux, Éditions Sud Ouest, coll. « Sud Ouest université », (ISBN 9782879012155), « La nature du sol », p. 64.
  19. Guy Devailly, Le Berry du Xe siècle au milieu du XIIIe. Étude politique, religieuse, sociale et économique, Paris, réédition chez Walter de Gruyter (Berlin) en 2017, , 636 p. (ISBN 9783111251721, lire en ligne)
  20. memoiredeshommes,sga.defense.gouv.fr ; registres matricules de 1802 à 1815, pour Martin Cheville et autres, page 274 à 284.
  21. a b et c « Commune de Lapeyrouse (63187) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. Arrêté no 16-02964 du 19 décembre 2016 « prononçant la fusion des communautés de communes « Saint-Eloy Communauté », « de Pionsat » et « Cœur de Combrailles » étendue aux communes de Servant, Menat, Teilhet, Neuf-Eglise et Virlet […] à compter du  », et arrêté rectificatif no 16-02981 du 22 décembre 2016, parus au recueil des actes administratifs no 63-2016-065 [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, 23 décembre 2016 (consulté le 23 décembre 2016), p. 114-126 et 140-142.
  23. « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200072080) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  24. « CC du Pays de Saint-Eloy (No SIREN : 200035178) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  25. a et b « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  26. Article L. 252 du Code électoral.
  27. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme » [PDF], Préfecture du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  30. a b et c « M. Jean Michel », Assemblée nationale (consulté le ).
  31. « Sabine Michel élue maire de Lapeyrouse (Puy-de-Dôme) », La Montagne, (consulté le ).
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  37. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ) ; taper « LAPEYROUSE » dans le formulaire de saisie.
  38. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  39. « Sectorisation des lycées - Département du Puy-de-Dôme - Communes limitrophes de l'Allier bénéficiant d'une double sectorisation pour le lycée » [PDF], Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, (consulté le ).
  40. La Montagne, 11 octobre 2016.
  41. Tilleul de la Combe Droit.