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La Chapelle-Montmoreau

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La Chapelle-Montmoreau
La Chapelle-Montmoreau
Le village de La Chapelle-Montmoreau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Nontron
Intercommunalité Communauté de communes Dronne et Belle
Maire
Mandat
Alain Peyrou
2020-2026
Code postal 24300
Code commune 24111
Démographie
Gentilé Chapellois
Population
municipale
74 hab. (2021 en évolution de +4,23 % par rapport à 2015)
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 26′ 54″ nord, 0° 38′ 32″ est
Altitude Min. 150 m
Max. 226 (ou 227) m
Superficie 8,09 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brantôme en Périgord
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-Montmoreau
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La Chapelle-Montmoreau
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La Chapelle-Montmoreau

La Chapelle-Montmoreau est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

La commune fait partie du parc naturel régional Périgord-Limousin.

Géographie

Généralités

Le Boulou à La Chapelle-Montmoreau.

Au nord du département de la Dordogne, la commune de La Chapelle-Montmoreau est arrosée par le Boulou, un ruisseau affluent de la Dronne. Elle s'étend sur 8,09 km2.

L'altitude minimale, 150 mètres, se trouve à l'ouest du Domaine de Montmoreau, là où le Boulou quitte la commune pour entrer sur celle de Saint-Crépin-de-Richemont. L'altitude maximale, avec 226 ou 227 mètres[Note 1], est localisée au nord, à proximité de la commune de Saint-Front-sur-Nizonne.

Le village de la Chapelle-Montmoreau, implanté hors des routes principales, se situe, en distances orthodromiques, neuf kilomètres au sud de Nontron et autant au nord de Brantôme.

L'accès principal à a commune s'effectue par la route départementale 675 qui forme sur deux kilomètres la limite du territoire communal, sur sa bordure orientale.

Communes limitrophes

Carte de La Chapelle-Montmoreau et des communes avoisinantes en 2016.

La Chapelle-Montmoreau est limitrophe de cinq autres communes. À l'ouest, le territoire de Mareuil en Périgord est distant de moins de 600 mètres.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 11,9 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,4 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,8 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 968 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,1 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,2 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « La Tour Blanche », sur la commune de La Tour-Blanche-Cercles, mise en service en 1967[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 5], où la température moyenne annuelle est de 12,3 °C et la hauteur de précipitations de 964,3 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne, mise en service en 1973 et à 65 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 11,4 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

La Chapelle-Montmoreau est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (63,6 %), zones agricoles hétérogènes (28,8 %), prairies (7,6 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Villages, hameaux et lieux-dits

Outre le petit bourg de La Chapelle-Montmoreau proprement dit, la commune se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[20] :

  • Château de Lannet
  • Chaumon
  • chez Picayne
  • Domaine de Montmoreau
  • Filoine
  • Fruchaudière
  • le Grand Clos
  • Jourdonnière
  • Lamond
  • Moulin de Bernillou
  • Parelière
  • la Pépie
  • Pradarier
  • Puysec
  • Sainte-Marie des Bois.

Toponymie

Selon Bénédicte Fénié, l'origine de Montmoreau correspondrait à une hauteur (Mont) et au nom d'une personne « Maurelh »[21].

Pour Chantal Tanet et Tristan Hordé, le nom du lieu ferait référence à une hauteur et à la couleur brun foncé (moreau)[22]. Le mot « chapelle » est issu de l'occitan capèla, et correspond à une église non paroissiale[23].

En occitan limousin[24], la commune porte le nom de La Chapela de Mont Maurelh[21].

Histoire

Le territoire communal a été occupé à la Préhistoire[22].

Au XIIIe siècle, La Chapelle-Montmoreau était l'une des vingt-sept paroisses dépendant de l'archiprêtré de Condat dont le siège se situait à Champagnac[25]. La première mention écrite connue du lieu remonte à la fin du XIIIe siècle sous la forme latine Capella montis Maurelli pour son édifice religieux. Au XIVe siècle, Maurelli se transforme en Maurelh[22].

En 1943, le groupement 38 "Mermoz" des Chantiers de la jeunesse, déplacé des Pyrénées vers la Dordogne, installa son groupe école à La Fruchaudière[26].

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

La commune de La Chapelle-Montmoreau a, dès 1790, été rattachée au canton de Saint Félix qui dépendait du district de Nontron. En 1795, les districts sont supprimés. En 1801, le canton de Saint Félix est supprimé et la commune est rattachée au canton de Champagnac-de-Belair dépendant de l'arrondissement de Nontron[27].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[28]. La commune est alors rattachée au canton de Brantôme, renommé canton de Brantôme en Périgord en 2020.

Intercommunalité

En 1996, La Chapelle-Montmoreau intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Champagnac-en-Périgord. Celle-ci disparaît le , remplacée au par une nouvelle intercommunalité élargie, la communauté de communes Dronne et Belle.

Administration municipale

La population de la commune étant inférieure à 100 habitants au recensement de 2017, sept conseillers municipaux ont été élus en 2020[29],[30].

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
juin 1992[31]
(réélu en mai 2020)
En cours Alain Peyrou SE[32] puis UMP Exploitant

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, La Chapelle-Montmoreau relève[33] :

Démographie

Les habitants de la commune se nomment les Chapellois et les Chapelloises[34].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[36].

En 2021, la commune comptait 74 habitants[Note 7], en évolution de +4,23 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
325340313301323304311310332
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
345335333302324327305297247
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
246250239190191183152116123
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
968579888791818074
2015 2020 2021 - - - - - -
717474------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[38], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent vingt-trois personnes, soit 32,4 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (zéro) est resté stable par rapport à 2010.

Établissements

Au , la commune compte onze établissements[39], dont quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux au niveau des commerces, transports ou services, deux dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et un dans l'industrie[40].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Modèle:Message galerie

Patrimoine naturel

Parc naturel

Lors du renouvellement de sa charte, le Parc naturel régional Périgord-Limousin a intégré par décret no 2011-998 du la commune de La Chapelle-Montmoreau[46].

ZNIEFF

Le Boulou à La Chapelle-Montmoreau.

La commune présente deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) liées à son principal cours d'eau, le Boulou.

Du nord-est au sud-ouest du territoire communal, sur environ trois kilomètres, le Boulou, sa vallée, ses coteaux et ses affluents forment une ZNIEFF de type I : « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont », présentant une importante variété faunistique sur La Chapelle-Montmoreau et deux autres communes[47],[48].

Vingt-deux espèces déterminantes y sont répertoriées :

De très nombreuses autres espèces animales ou végétales y ont été recensées : six amphibiens, six reptiles, 79 oiseaux, 233 insectes, et dix espèces de plantes.

Cette ZNIEFF, tout comme « Réseau hydrographique et coteaux du Boulou aval », fait partie d'une ZNIEFF de type II plus vaste « Vallée et coteaux du Boulou » représentant la quasi-totalité du cours du Boulou, depuis sa source jusqu'à la route départementale 106, 200 mètres avant sa confluence avec la Dronne[49],[50].

La vallée du Boulou représente « un intérêt national » par la « richesse exceptionnelle » en espèces d'insectes — notamment en Lépidoptères et en Odonates — répertoriées dans ces trois ZNIEFF[49].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Le Géoportail indique deux valeurs contradictoires : 227 mètres sur la carte et 226 dans la boîte « Communes ».
  2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France La Tour Blanche - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre La Chapelle-Montmoreau et La Tour-Blanche-Cercles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France La Tour Blanche - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre La Chapelle-Montmoreau et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « la Chapelle-Montmoreau » sur Géoportail (consulté le 9 novembre 2014)..
  21. a et b Le nom occitan des communes du Périgord - La Chapela de Mont Maurelh sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le 20 septembre 2021.
  22. a b et c Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 103.
  23. Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 100-101.
  24. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 15.
  25. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article « Champagnac-de-Belair », 1873, sur guyenne.fr, consulté le 13 décembre 2018.
  26. Francis A. Boddart, Les chantiers de la jeunesse et la Dordogne, 1940-1944 [Texte imprimé] : de la révolution nationale à la production industrielle, Périgueux, IFIE Éditions Médiapress, , 342 p. (ISBN 978-2-916265-18-6), p. 207..
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  29. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 29 août 2020.
  30. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 octobre 2020.
  31. Union départementale des maires de la Dordogne, consultée le 16 août 2014.
  32. « Voici vos 557 maires », édition spéciale de Sud Ouest du 3 avril 2008, p. 8.
  33. « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
  34. Annuaire des maires de la Dordogne 2009, Mediapress, Périgueux, 2009, (ISSN 1770-3387), p. 102.
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Montmoreau (24111) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
  39. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  40. Dossier complet - Commune de la Chapelle-Montmoreau (24111) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 12 septembre 2018.
  41. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 151.
  42. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 219.
  43. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 189.
  44. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 223.
  45. « Statue : Vierge à l'Enfant », notice no PM24000144, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture, consultée le 10 novembre 2014.
  46. Décret no 2011-998 du 24 août 2011 sur Légifrance, consulté le 6 décembre 2018.
  47. [PDF] Réseau hydrographique et coteaux du Boulou amont, INPN, consulté le 11 février 2021.
  48. Carte de la ZNIEFF 720020050, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
  49. a et b [PDF]Vallée et coteaux du Boulou, INPN, consulté le 11 février 2021.
  50. Carte de la ZNIEFF 720020051, INPN, consulté le 11 février 2021. Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».