Galey

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Galey
Galey
Le singulier monument aux morts de Galey.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Couserans-Pyrénées
Maire
Mandat
Laurence Bugat
2020-2026
Code postal 09800
Code commune 09129
Démographie
Gentilé Galeyats
Population
municipale
114 hab. (2021 en diminution de 1,72 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 56′ 13″ nord, 0° 54′ 59″ est
Altitude Min. 636 m
Max. 1 566 m
Superficie 9,35 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Couserans Ouest
Législatives Première circonscription
Localisation
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Galey
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Galey
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Galey
Liens
Site web http://galey.fr

Galey est une commune française située dans le département de l'Ariège, en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Galeyats.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la chapelle Saint-Quintin, inscrite en 1998, et l'église Saint-Pierre, inscrite en 1996.

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Galey se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 56 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, et à 20 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Augirein (0,5 km), Saint-Jean-du-Castillonnais (1,3 km), Orgibet (1,7 km), Saint-Lary (1,9 km), Buzan (4,0 km), Herran (4,1 km), Illartein (4,1 km), Portet-d'Aspet (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Galey fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].

Carte de la commune de Galey et des proches communes.

Commune des Pyrénées située dans le Castillonnais en Couserans au sud-ouest de Saint-Girons, dans la vallée de la Bellongue.

Elle fait partie de la communauté de communes Couserans - Pyrénées et du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises.

Elle est limitrophe du département de la Haute-Garonne.

Le sommet du Cornudère, à 1 566 m au-dessus du niveau de la mer, est le point le plus haut de la commune[6].

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Galey.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par Goute de Sipet, le ruisseau d'Artigueprat et le ruisseau de Bidarros, constituant un réseau hydrographique de 5 km de longueur totale[8],[9].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat semi-continental », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[10]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[11]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[12].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[10].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 10,3 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 6,5 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 14,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 1 193 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,9 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[14] complétée par des études régionales[15],[16] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Augirein », sur la commune d'Augirein, mise en service en 1990[17] et qui se trouve à 0 km à vol d'oiseau[18],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,5 °C et la hauteur de précipitations de 1 188,8 mm pour la période 1981-2010[19]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 18 km[20], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[21], à 12,3 °C pour 1981-2010[22], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[23].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[24],[25].

La commune fait partie du parc naturel régional des Pyrénées ariégeoises, créé en 2009 et d'une superficie de 245 973 ha, qui s'étend sur 138 communes du département. Ce territoire unit les plus hauts sommets aux frontières de l’Andorre et de l’Espagne (la Pique d'Estats, le mont Valier, etc) et les plus hautes vallées des avants-monts, jusqu’aux plissements du Plantaurel[26].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[27] : les « massifs d'Arbas, Paloumère et Cornudère » (3 917 ha), couvrant 22 communes dont 4 dans l'Ariège et 18 dans la Haute-Garonne[28], et le « réseau hydrographique de la Bouigane en aval de Saint-Lary » (114 ha), couvrant 14 communes dont 13 dans l'Ariège et 1 dans la Haute-Garonne[29] et une ZNIEFF de type 2[Note 6],[27] : le « massif d'Arbas » (27 233 ha), couvrant 90 communes dont 48 dans l'Ariège et 42 dans la Haute-Garonne[30].

Urbanisme

Typologie

Galey est une commune rurale[Note 7],[31]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (73,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (73,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,8 %), prairies (26,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %)[33].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 192, alors qu'il était de 187 en 2013 et de 180 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 36,1 % étaient des résidences principales, 56,6 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,4 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Galey en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (56,6 %) supérieure à celle du département (24,6 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 73,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,1 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Galey en 2018.
Typologie Galey[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 36,1 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 56,6 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 7,3 9,7 8,2

Hameaux

Hormis le village en lui même, Galey compte plusieurs hameaux aux alentours, entre autres Escarchein et le col de la Hourque à l'est, sur la fin du cul-de-sac de la départementale D 304b, et Orchein, situé sur la D 304, entre Galey et Saint-Lary. Le hameau du Château se trouve à mi-chemin entre les villages de Galey, d'Orgibet et d'Augirein[34].

Étymologie

La racine *gal proviendrait, selon toute vraisemblance, d'une langue aquitaine pré-indo-européenne, en relation avec l'espagnol galayo. Le village est à l'origine nommé Galaer ou Galauer[35].

Histoire

La première mention du village de Galey date du XIIe siècle, alors qu'il s'y trouve un casal (exploitation agricole auto-suffisante), Saint-Quentin de Galaer (Sent Quentini de Galaer en langue gasconne médiévale), propriété des templiers. C'est à cette époque qu'est construite l'église Saint-Pierre, qui domine le village.[36] Dès le XIIIe siècle au moins, on y cultivait la vigne.[37] En 1590, il compte une centaine d'habitants, répartis en une vingtaine de maisons[35].

Catherine de Coarraze

Catherine de Coarraze (1430-?)[38], dernière baronne de la dynastie, possédait le château féodal de Durfort, situé sur un plateau de l'adret de l'Arbas, en bas du village et surplombant la vallée de la Bellongue, résidence dans laquelle elle s'établit à la mort de son second époux Jean, comte de Carmaing. Il ne reste aujourd'hui plus rien de l'ancienne fortification sinon l'appellation du hameau établi sur ses prés : le Château (ec castech)[39].

L'initiative de la construction du calvaire du village est attribuée à Madame de Coarraze, ainsi que le don d'une cloche d'argent à l'église de Galey. En réalité, elle refusa que les cloches soient refondues à Toulouse et fit procéder à ses frais à l'installation d'une fonderie et fit jeter des pièces d'argent dans le four.

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Galey est membre de la communauté de communes Couserans-Pyrénées[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Saint-Lizier. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[40].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Couserans Ouest pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la première circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[41].

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1804 Bertrand Ribet Inconnu  
1805 1811 Pierre Castet Inconnu  
1813 1815 Jean-Pierre Castet Inconnu  
1815 1817 Pierre Agert Inconnu  
1818 1826 Joseph Arnaudi Inconnu  
1826 1830 Jean-Jacques Aubie Inconnu  
1830 1836 Jacques Ribet Inconnu  
1838 1848 Joseque Castet Inconnu  
1848 1852 Martin Raou Inconnu  
1852 1865 Joseph Castet Inconnu  
1865 1870 Jean-Pierre Dubuc Inconnu  
1870 1874 Guillaume Raou Inconnu  
1874 1874 Marc Castet Inconnu  
1874 1877 Pierre Dubuc Inconnu  
1878 1892 Valentin Coumat Inconnu  
1892 1896 Joseph Dubuc Inconnu  
1896 1900 Antoine Saubens Inconnu  
1900 1904 Pierre Sarrat Inconnu  
1904 1905 Paul Mothe Inconnu  
1905 1912 Charles Aubic Inconnu  
1912 1919 Valentin Ribet Inconnu  
1919 1931 François Castet Inconnu  
1931 1935 Marcelin Ribet Inconnu  
1935 1945 Jean-Marie Castet
(1882-1967)
SFIO  
1945 1953 André Castet Inconnu  
1953 1977 Jean Tougne Inconnu  
1977 1995 André Bugat PS  
1995 2001 Georges Ribet PS  
mars 2001 2008 Roger Lafforgue Inconnu  
2008 2020 Patricia Dandurand Inconnu  
mars 2020 En cours Laurence Bugat   Fonctionnaire
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

En 2021, la commune comptait 114 habitants[Note 8], en diminution de 1,72 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
520488571619724690750786807
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
713772692748696741692715686
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
655627666512504303306217171
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
16513112111482101108112120
2021 - - - - - - - -
114--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 10] 17,2 % 13,4 % 12,7 %
Département[I 11] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 12] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 77 personnes, parmi lesquelles on compte 64,6 % d'actifs (51,9 % ayant un emploi et 12,7 % de chômeurs) et 35,4 % d'inactifs[Note 9],[I 10]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 13]. Elle compte 24 emplois en 2018, contre 21 en 2013 et 14 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 40, soit un indicateur de concentration d'emploi de 61,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,6 %[I 14].

Sur ces 40 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 23 travaillent dans la commune, soit 59 % des habitants[I 15]. Pour se rendre au travail, 82,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 17,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 16].

Activités hors agriculture

10 établissements[Note 10] sont implantés à Galey au [I 17]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 40 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 10 entreprises implantées à Galey), contre 14,2 % au niveau départemental[I 18].

Agriculture

1988 2000 2010
Exploitations 14 4 5
Superficie agricole utilisée (ha) 220 64 183

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région pyrénéenne »[46]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[47]. Cinq exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole[Note 12] de 2010 (douze en 1988). La superficie agricole utilisée est de 183 ha[47].

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Vie pratique

Service public

Les écoles de Galey et de son hameau d'Escarchein ne sont plus aujourd'hui opérationnelles. L'école primaire la plus proche se trouve à Orgibet (2 km), et les établissements secondaires se trouvent à Saint-Girons.

C'est également à Orgibet que passe un autobus à fréquence journalière, reliant Saint-Girons à Saint-Lary. Il n'y a aucun mode de transport en commun présent sur la commune de Galey.

La déchetterie la plus proche se trouve à Audressein. Le village dispose de conteneurs à poubelles sur la place principale, ainsi que de conteneurs à tri sélectif sur le parking situé à 300 m.

Galey dispose de son site internet[53].

Culture

Tous les ans ont lieu la fête de la Saint-Pierre, en juillet, la fête de l'été, en août, et la fête de la Pomme en automne[54].

Activités sportives

Un terrain de pétanque existe sur le site du parking.

La route d'Escarchein à Galey sert aussi de parcours alternatif d'un des Chemins de Compostelle, qui normalement passe par Saint-Lary.

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[13].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  12. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. « Métadonnées de la commune de Galey » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Galey - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Galey - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Galey » (consulté le ).
  10. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Galey » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  12. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  14. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Galey » (consulté le ).
  15. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  16. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Galey » (consulté le ).
  18. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 en Ariège » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Galey et Foix », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Galey et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Galey », sur www.villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 300-301.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Carte topographique IGN, Institut Géographique National (lire en ligne)
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
  8. « Fiche communale de Galey », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le )
  9. « Carte hydrographique de Galey » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  12. [PDF]« Plan Local d’Urbanisme d’Allières – Rapport de présentation », sur wxs-gpu.mongeoportail.ign.fr, (consulté le ), p. 125
  13. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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