Châteaugiron (commune déléguée)

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Châteaugiron
Châteaugiron (commune déléguée)
L'hôtel de ville dans la cour du château.
Blason de Châteaugiron
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Commune Châteaugiron
Intercommunalité Pays de Châteaugiron Communauté
Statut Commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Marielle Deport
2017-2020
Code postal 35410
Code commune 35069
Démographie
Gentilé Castelgironnais
Population 7 423 hab. (2014en augmentation de 15.09 % par rapport à 2009)
Densité 853 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 53″ nord, 1° 30′ 11″ ouest
Altitude Min. 28 m
Max. 76 m
Superficie 8,70 km2
Élections
Départementales Châteaugiron (chef-lieu)
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Châteaugiron
Localisation
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Châteaugiron
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Châteaugiron
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Châteaugiron
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Châteaugiron

Châteaugiron est une ancienne commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne.

Les communes de Châteaugiron, Saint-Aubin-du-Pavail et Ossé fusionnent le et forment la commune nouvelle de Châteaugiron.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Châteaugiron se situe dans l'arrondissement de Rennes et dans le Pays de Rennes, au sud-est de la capitale bretonne, à quelques kilomètres de l'entrée du noyau urbain. La ville adhère à la communauté de communes du Pays de Châteaugiron.

Espace naturel[modifier | modifier le code]

Le site de la Glaume est une enclave naturelle au cœur de la cité de Châteaugiron, zone humide. Une grande diversité végétale sert d'habitat à nombre d'espèces animales comme la bécassine des marais, le martin-pêcheur d'Europe. Ce site se situe entre le bas du centre-ville (rue Saint-Nicolas) et le lotissement de Rochaude (rue d'Alsace).

L'étang situé au bas de Châteaugiron est un lieu de promenade très prisé des habitants de la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

L'Yaigne[1] est une rivière qui prend sa source à Cornillé, en Ille-et-Vilaine, traverse la commune de Châteaugiron et son étang au pied du château. Elle se jette dans la Seiche[2] à Nouvoitou. Elle fait 27 km de longueur.

Le Rimon est un petit ruisseau qui prend sa source au nord du bourg de Domloup. Il fait office de séparation avec Domloup sur une longueur de 350 mètres. Il se jette dans l'Yaigne au bout de ses 350 mètres. La longueur de son cours d'eau fait 2,2 km.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les cars du réseau BreizhGo :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logements[modifier | modifier le code]

Maison à colombages.

En 2004, la ville de Châteaugiron comptait 2 328 logements contre 1 941 en 1999, et pourtant le nombre de logements vacants a augmenté de 45 %, ce qui montre l'évolution démographique. Le nombre de logements a augmenté mais le nombre de maisons a diminué de 6,2 % par rapport à 1999, en revanche, le nombre d'appartements a augmenté de 8,7 %.

En 1999, on comptait 1 870 (96,3 %) résidences principales contre 2 229 (95,7 %). En 2004, le nombre de résidences secondaires a également diminué : 18 en 1999 contre 14 en 2004.

En 2004, la plupart des habitations possèdent plus de quatre pièces (72,4 %), 13 % des habitations possèdent trois pièces, 11,7 % en possèdent deux et seulement 3 % possèdent une seule pièce.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Castro Gironis en 1087[réf. nécessaire].

Le nom de Châteaugiron vient du seigneur de Giron, fils du chevalier Anquetil ou Ansquetil, mort en 1039[3], fondateur de la ville. Durant la Révolution, la commune porte le nom de Mont-Giron[4].

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

En 1086-1114, on trouve la mention du « castrum Ansquetil in domo eiusdem Gironis » . Le premier seigneur Ansquetil vivait en 1030 et son fils aîné et successeur Giron Ier du châteauansquetil noble, miles dom et moine est mort au début du XIIe siècle. C'est lui qui laisse son nom au château et à la petite localité qui se développe autour.

Le château date du XIIe siècle au XVIIIe siècle.

Une célèbre enluminure de la première grande histoire de Bretagne de Pierre Le Baud[5] représente le château de Châteaugiron. Cette enluminure d'un manuscrit de la BNF[6] a été longtemps le sujet d'une polémique quant aux événements qu'elle évoque et au château qu'elle représente. Un ouvrage de 2009 de Stéphanie Vincent[7], docteur en littérature et spécialiste de l'iconographie médiévale, à la suite d'une étude méthodique du document, nous éclaire : le château représenté est bien celui de Châteaugiron. On y apprend également la chronologie des modifications subies par la forteresse et de petites histoires de la ville comme l'arrivée somptueuse d'Hélène de Laval épouse de Jean de Derval seigneur du lieu, dans la bourgade.

En 2009, la ville fêtait son millénaire. Elle participe au projet d'inscription à l'UNESCO des Marches de Bretagne.

Époque moderne[modifier | modifier le code]

En 1591, pendant les guerres de la Ligue, « Champeaux, Châtillon, Izé, Étrelles, La Guerche, Domagné, Châteaugiron furent dévastés par les marches et collision [combats] des deux partis[8] ».

Révolution française[modifier | modifier le code]

Le XIXe siècle[modifier | modifier le code]

La production de « noyales » (toiles à voiles), concentrée dans une quarantaine de paroisses situées pour la plupart au sud-ouest de Rennes, les principales étant Châteaugiron, Piré et Noyal (paroisse qui leur a donné leur nom), double, passant de 9 500 à 20 000 pièces, pendant la seconde moitié du XIXe siècle[9].

Une manufacture appartenant au sieur Desbouillons est créée en 1824 à Châteaugiron, dans le prieuré Sainte-Croix ; elle contient 76 métiers à tisser, et la manufacture a compté jusqu'à 200 ouvriers ; elle achète les récoltes de chanvre sur les marchés de Châteaugiron et de Janzé et produit annuellement de 1 100 à 1 300 pièces de toile de 70 mètres chacune, destinées tant à la marine royale qu'à la marine marchande.

Au XVIIIe siècle on compte à Châteaugiron une trentaine de marchands de toile. Une grande halle est construite au milieu du XIXe siècle (la vente des toiles se faisait jusque-là en plein air)[10].

Le XXe siècle[modifier | modifier le code]

La Belle Époque[modifier | modifier le code]

La ligne des Tramways d'Ille-et-Vilaine allant de Rennes à La Guerche et passant par Châteaugiron est mise en service en juin 1904[11]. La ligne ferme en 1947.

La Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de soixante-et-un soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale[12].

La Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts de Châteaugiron porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale[13].

L'après Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Un soldat originaire de Châteaugiron (Michel Duroudier) est mort pour la France pendant la guerre d'Algérie[13].

La commune de Châteaugiron s’est agrandie en février 1971, par le rattachement de la commune de Veneffles et la rectification des limites communales avec Domloup et Noyal-sur-Vilaine. La superficie de l’ancienne commune était de 52 ha, contre 798 ha jusqu'en 2016, elle se résumait comme beaucoup de villes fortifiées à la basse-cour du château. La ville ne semble pas néanmoins posséder de murailles à l‘époque médiévale[14].

Le XXIe siècle[modifier | modifier le code]

Le jeudi , le conseil municipal décide à l'unanimité du regroupement de la ville avec celles d'Ossé et de Saint-Aubin-du-Pavail, avec effet au . Les deux autres conseils municipaux décident de la même chose le vendredi . La commune nouvelle porte le nom de Châteaugiron, et les trois anciennes communes sont des communes déléguées[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1844 1852 Pierre Tortelier   Marchand de toiles
1852 1856 Marie Cosnard   Officier de santé
1856 1878 Auguste Marchand   Entrepreneur
1878 1888 Léon Launay   Notaire
1888 1919 Henri Cosnard   Propriétaire-éleveur
décembre 1919[16] 1941 Aristide Coureau   Négociant en bonneterie
1941 1947 Henri Bouquet   Négociant œufs et beurre
1947 1965 Pierre Gaudiche   Négociant en grains
1965 1977 Jean Simon DVD Bijoutier - horloger
1977 2001 Pierre Le Treut UDF-CDS Vétérinaire - conseiller général
2001 31 décembre 2016 Françoise Gatel UDI Sénatrice d'Ille-et-Vilaine (depuis 2014)
Présidente de l'association des maires d’Ille-et-Vilaine (depuis 2008[17])
Liste des maires délégués
Période Identité Étiquette Qualité
1er janvier 2017 23 janvier 2017 Françoise Gatel UDI Sénatrice d'Ille-et-Vilaine (depuis 2014), présidente de l'association des maires d’Ille-et-Vilaine (depuis 2008)
23 janvier 2017 2 octobre 2017[18] Jean-Claude Beline   Agriculteur en retraite
2 octobre 2017[19] en cours Marielle Deport   Professeur de mathématiques

Budget communal[modifier | modifier le code]

En 2010, le budget municipal s'élevait à 5 835 000  en fonctionnement (862 € par habitant). Les recettes de fonctionnement sont fournies par les impôts et taxes pour 2 644 000  et 1 316 000  de dotation globale de fonctionnement.

Les charges de fonctionnement sont réparties sur 2 095 000  de charges de personnel (48,17 % du budget), 1 496 000  d'achats et charges externes, 118 000  de charges financières (soit 18 € par habitant). Le montant des subventions versées se montait à 275 000  (42 € par habitant). La commune dégageait un résultat comptable positif de 1 486 000 .

L'encours total de la dette était en 2010 de 4 687 000  (725 € par habitant). Ce qui correspond à 80,32 % du budget de fonctionnement. Pour l’ensemble des communes françaises de 5 000 à 10 000 habitants, la dette s'élève en moyenne à 877 € par habitant.

En 2010, la capacité d'autofinancement brute était de 262 € par habitant, supérieure à la moyenne de la strate, qui s'élevait à 184 € par habitant[20].

Endettement de la ville 2000-2010

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Encours de la dette
en milliers d'euros
3 525 3 391 3 107 4 909 5 885 5 306 4 171 3 755 3 439 4 100 4 687
annuité
en milliers d'euros
692 639 615 571 606 1 285 1 285 514 496 440 529
Encours de la dette
par habitant en euros
631 607 556 878 1053 949 638 574 505 642 725
Moyenne de la dette pour commune de 5000 à 10000
par habitant en euros
899 782 790 804 815 816 832 872 892 884 877
annuité
par habitant en euros
124 114 110 102 108 230 196 79 73 69 245
Sources des données : Ministère des finances[21]

Charges de personnel de 2000-2010

2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Charges de personnel
en milliers d'euros
1 337 1 396 1 530 1 549 1 557 1 592 1 764 1 894 1 906 1 994 2 095
Charges de personnel
par habitant en euros
239 250 274 277 278 299 270 290 280 320 324
Sources des données : Ministère des finances[21]

Les charges de personnel ont augmenté de 65 % de 2000 à 2010. Par contre par habitant, elles ont progressé de 35 %.

Fiscalité locale[modifier | modifier le code]

En 2010, la commune intervient comme suit pour ce qui concerne la taxation[22] :

Taxes locales (2010)
Taxe d'habitation (TH) 16,66 %
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) 19,49 %
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) 43,20 %

Produits des différentes taxes de 2002 à 2010

2002 2003 2004 2005 2006 2007 2008 2009 2010
Taxe d'habitation
en milliers d'euros
666 748 789 859 903 936 996 1 045 1 121
Foncier bâti
en milliers d'euros
548 611 650 708 763 812 857 900 961
Foncier non bâti
en milliers d'euros
23 23 23 24 25 25 24 30 3
Taxe d'habitation
par habitant en euros
119 134 141 154 138 143 146 164 173
Foncier bâti
par habitant en euros
98 109 116 127 117 124 126 141 149
Foncier non bâti
par habitant en euros
4 4 4 4 4 4 4 5 5
Sources des données : Ministère des finances[23]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

En 2014, la commune comptait 7 423 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2004, 2009, 2014, etc. pour Châteaugiron[24]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 1].

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4951 4131 4561 3481 4531 4481 4051 6381 634
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6651 5811 5651 4501 4791 4671 3441 3441 295
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2051 0521 2291 2671 3761 3121 3571 5041 602
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2009 2014
1 1481 3312 3323 2344 1665 5006 1326 4507 423
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[4] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Structures de la population[modifier | modifier le code]

Évolution de la pyramide des âges de la ville de Châteaugiron, comparaison entre l’année 1999 et 2004

Pyramide des âges en 1999 en nombre d’individus.
HommesClasse d’âgeFemmes
338 
59 à plus
509 
673 
40 à 59
661 
720 
20 à 39
785 
901 
0 à 19
861 
Pyramide des âges en 2004 en nombre d’individus.
HommesClasse d’âgeFemmes
373 
59 à plus
538 
842 
40 à 59
815 
821 
20 à 39
834 
959 
0 à 19
960 

Revenus[modifier | modifier le code]

Ce tableau représente en pourcentage les revenus en euros de l'année 2008 pour les habitants de Châteaugiron[26].

Revenu des habitants de chateaugiron en 2008
Revenus De 0 à 11 250  De 11 251 à 16 900  De 16 901 à 23 750  De 23 751 à 38 750  De 38 751 à 97 500  Plus de 97 501  Moyenne du revenu 2008
Donnée 23,95 % 19,47 % 13,93 % 20,93 % 20,29 % 1,43 % 26 412 

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • École maternelle publique Le Centaure.
  • École primaire publique la Pince-Guerrière.
  • Collège public d'enseignement général Victor-Segalen.
  • École maternelle, école primaire et collège privé d'enseignement général Sainte-Croix.

Cultes[modifier | modifier le code]

La paroisse de Châteaugiron n'existe plus en tant que paroisse. Elle fait partie de la paroisse de Saint-Luc en pays de Châteaugiron[27].

Cette paroisse est composée de six communautés :

  • de Châteaugiron (communauté de Sainte-Marie-Madeleine) ;
  • de Domloup (communauté de Saint-Loup) ;
  • de Nouvoitou (communauté de Saint-Martin de Tours) ;
  • d'Ossé (communauté de Saint-Sulpice) ;
  • de Saint-Aubin-du-Pavail (communauté de Saint-Aubin) ;
  • de Veneffles (communauté de Saint-Médard).

La paroisse de Saint-Luc en Châteaugiron est rattachée au doyenné de Cesson[28] et fait partie du diocèse de Rennes, Dol et Saint-Malo[29].

Sports[modifier | modifier le code]

La ville de Châteaugiron possède :

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune abrite un seul monument historique protégé :

  • le château de Châteaugiron, édifié entre les XIIe et XVIIIe siècles, et classé par arrêtés du et du [30]. Il abrite l'hôtel de ville.
  • la chapelle du château, dédiée à Marie-Madeleine, après plus de six ans de rénovation, a ouvert en juin 2015 en tant que centre d'art contemporain « Les 3 Cha »[31].

On trouve de nombreux autres édifices patrimoniaux, dont plus de 300 bâtiments inventoriés[14] :

  • les anciennes halles, qui abrite la médiathèque de la ville ;
  • l'église Sainte-Madeleine[32],[33].

Monument aux morts[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D’or au chef d’azur.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.
  2. La liste des morts pour la France de la commune se trouve sur le site MémorialGenWeb
  3. La liste se trouve aussi sur le site : MémorialGenWeb

Références[modifier | modifier le code]

  1. [1]
  2. « Rechercher une donnée d’un jeu », sur eaufrance.fr (consulté le ).
  3. Alexis Garnier, Notice historique sur Châteaugiron
  4. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  5. Pierre Le Baud, Compilation des Chroniques et histoires des Bretons, 1480-1482, Paris, BnF, département des Manuscrits, Français 8266 fol. 281
  6. Enluminure de la BNF
  7. Stéphanie Vincent 2009.
  8. Édouard Frain, Une terre, ses possesseurs catholiques et protestants, de 1200 à 1600 : pour faire suite aux « Familles de Vitré », 1879, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k54086453/f100.image.r=Domagn%C3%A9
  9. Histoire de la Bretagne et des pays celtiques, tome 3, La Bretagne Province, Skol Vreiz, 1986.
  10. Sous la direction de Jean Martin et Yvon Pellerin, "Du lin à la toile. La proto-industrie textile en Bretagne", chapitre "Au temps des noyales" (rédigé par Monique Le Charlès), Presses universitaires de Rennes, 2008
  11. Journal Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
  12. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=61210
  13. a et b http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=211
  14. a et b Présentation de la commune de Châteaugiron, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne.
  15. « Arrêté du 13 juin 2016 portant création de la commune nouvelle de Châteaugiron », sur Legifrance, (consulté le ).
  16. Les élections des maires : arrondissement de Rennes, L'Ouest-Éclair du 11 décembre 1919, no 7269 (lire en ligne).
  17. Association des Maires d'Ille-et-Vilaine
  18. « Jean-Claude Beline est élu maire délégué de Châteaugiron »
  19. « Marielle Deport élue maire déléguée de Châteaugiron  »
  20. Site du Ministère des Finances et de l'Économie – Le compte des communes
  21. a et b Comptes 2010
  22. Impôts des particuliers, données 2008
  23. [2]
  24. Date du prochain recensement à Châteaugiron, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 2011201220132014 .
  26. Direction général des impôts de 2008, donné par Le Mensuel de Rennes (no 10, janvier 2010).
  27. Armelle, « Voici le carnet de chants pour l'été 2020 ! », sur blogspot.com, Blogger, (consulté le ).
  28. « Doyenné de Cesson », sur cef.fr via Wikiwix (consulté le ).
  29. « Diocèse de Rennes », sur cef.fr via Wikiwix (consulté le ).
  30. « Château, actuellement mairie », notice no PA00090526, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  31. « 3 Cha - Le centre d'art de Châteaugiron Les 3 Cha propose des expositions d'art contemporain où l'œuvre valorise le patrimoine. », sur 3 Cha (consulté le )
  32. Notice no IA00130795, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  33. Notice no IA35032403, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658269q/f4.image.r=pavail.langFR Ouest-Eclair édition de Rennes du 9/08/1930 pour l'annonce de son décès -consulté le 13/12/2012
  35. http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=3626