Béville-le-Comte

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Béville-le-Comte
Béville-le-Comte
La mairie, style fin XIXe.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes des Portes Euréliennes d'Île-de-France
Maire
Mandat
Éric Ségard
2020-2026
Code postal 28700
Code commune 28039
Démographie
Population
municipale
1 682 hab. (2021 en augmentation de 4,54 % par rapport à 2015)
Densité 84 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 26′ 14″ nord, 1° 42′ 51″ est
Altitude Min. 122 m
Max. 158 m
Superficie 20,12 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auneau
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Liens
Site web bevillelecomte.com

Béville-le-Comte est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Écarts et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Baronville, Les Calotiers, La Faisanderie, Les Longs Réages, Le Luet, Machery (ancienne seigneurie), La Mare, Le Moulin Trubert (moulin à vent).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 632 mm, avec 10,6 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Sours à 9 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 587,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Béville-le-Comte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (83,1 %), forêts (12,8 %), zones urbanisées (4,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Béville-le-Comte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Voise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2001 et 2021[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Béville-le-Comte.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines[16]. L'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 27,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 666 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 203 sont en aléa moyen ou fort, soit 30 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme Belsis villa vers 984[20] ; Basonis villa vers l'an 1000[21] ; Besvilla vers 1038[20] ; Besvilla Comitis vers 1250[22] ; Béville la Fontaine en 1793, en cette période révolutionnaire, le titre de noblesse est supprimé, la fontaine Saint Martin est donc mise en avant.
Béville-le-Comte depuis 1795[23].

le Comte, nom commun de personne au cas possessif, le comte « du comte » (de Blois)[22], Béville dépend du comté de Chartres.

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune de Béville-le-Comte est réputée depuis le Moyen Âge pour sa fontaine Saint-Martin, guérissant les maladies des yeux. C'est pour cette raison que le nom originel de la commune était Belssy Villas.

La seigneurie de Bainville, puis Béville, fut tenue par les Montescot, puis les Lattaignant, puis acquise en 1783 par Étienne François d'Aligre.

Le bureau d'aide sociale et l'école de filles (aujourd'hui école primaire) furent créés par Étienne Jean François d'Aligre, qui réaménagea également la fontaine Saint Martin.

Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Béville-la-Fontaine[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1919 1929 Gaston Étienne Armand de Pomereu d'Aligre   Vicomte
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Louis Perrot[source insuffisante][25] Rad. puis MRG Conseiller général d'Auneau (1958 → 1982)
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1992 Maurice Thirouin
(1925-2002)
   
juillet 1992 janvier 2019[26] Dominique Leblond UDF puis
NC-UDI
Collaborateur de pharmacie
Conseiller général du canton d'Auneau (2001 → 2015)
Vice-président du conseil général d'Eure-et-Loir (? → 2015)
Président de la CC de la Beauce Alnéloise (? → 2016)
2e vice-président de la CC des Portes Euréliennes d'Île-de-France (2017 → 2019)
janvier 2019 mai 2020 Eric Segard[27]   Ingénieur conseil
mai 2020 En cours Éric Ségard[27],[28]   Ingénieur ou cadre technique d'entreprise

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 1 682 habitants[Note 3], en augmentation de 4,54 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
614681720696719760773782785
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
7837888088679531 0291 1351 1021 075
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 035984994885787829811832772
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
7588409491 0931 2101 3351 4051 4151 490
2017 2021 - - - - - - -
1 6571 682-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Deux écoles, une maternelle et une primaire, sont ouvertes sur la commune, ainsi qu'une crèche et une bibliothèque municipale.

Vie associative[modifier | modifier le code]

Béville-le-Comte accueille plusieurs associations :

  • Le FEP : regroupe diverses sections sportives et culturelles du village ;
  • Association ABYS Music : association de musique ;
  • ADEBA : association environnementale.

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Baronville[modifier | modifier le code]

Château de Baronville sur la commune de Béville-le-Comte
Château[modifier | modifier le code]

Logo monument historique Inscrit MH (1985)[32].

Le château de Baronville est un édifice du XIXe, reconstruit dans le style Louis XIII par le marquis de Pomereu d'Aligre sur les bases d'un château de 1623. C'est une propriété privée, à cheval sur les communes de Béville-le-Comte et Oinville-sous-Auneau, possédée par les descendants du marquis.

Carrousel[modifier | modifier le code]

Le carrousel de Baronville, également privé, servait d'écuries et de ferme modèle du château de Baronville.

« Capitale mondiale de l'épouvantail »[modifier | modifier le code]

Depuis 1990, à l'initiative de l'association "Épouvantail, Témoin Universel, je vis au salon de mai", Béville-le-Comte se dit la capitale mondiale de l'épouvantail. Les fondateurs de cette association sont : Michel Laurent, Serge Mogere et Alain Brillant. Ils ont réalisé le plus grand épouvantail et le plus petit épouvantail du monde.[réf. souhaitée]

En 2007, à la suite d'une commande de la municipalité, différentes œuvres d'art représentant des épouvantails ont été installées dans le village :

  • En venant de Roinville ou d'Auneau, l'entrée du village présente, dans un bloc de granite de Bignan de 320 cm, une silhouette d'épouvantail en "creux". "Hulot chasse les oiseaux" est le titre de cette sculpture de Pierre Garçon.
  • En venant de la route de Chartres, deux épouvantails accueillaient les visiteurs : le premier, créé par Christophe Dumont est fait de métal, accompagné d'un grand manteau. Le second, aujourd'hui disparu, de Monique Bouquerel était une peinture sur tissu, accrochée au château d'eau.
  • Dans le village, devant l'ancien silo de la SCAEL, un épouvantail métallique, de Caroline Lee.


  • Enfin, sur le terrain du jeu de paume, se trouvent dix épouvantails.


Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Martin, édifiée au XIIe siècle et reconstruite et agrandie au XVe après un incendie[33] ; elle réhaussée d'un clocher en flèche, offert en 1882 par Armand, marquis de Pomereu d'Aligre[réf. nécessaire] ;
  • Mairie, style fin XIXe ;
  • Monument aux morts de la guerre 1914-1918, réalisé par Félix Charpentier (1858-1924), sculpteur d'origine provençale installé à Chassant (Eure-et-Loir) et offert par le vicomte Gaston de Pomereu d'Aligre, marquis d'Aligre et maire du village ;
  • Vieux four à pain récemment rénové.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Gaston Étienne Armand vicomte de Pomereu d'Aligre.
Gaston Étienne Armand vicomte de Pomereu d'Aligre.
  • Étienne François d'Aligre, comte de Marans, marquis d'Aligre, magistrat français né en 1727, il achète la seigneurie de Baronville en 1783 et meurt en exil à Brunswick (Basse-Saxe) en 1798 ;
  • Étienne Jean François Charles d'Aligre, son fils, marquis d'Aligre (Paris, 1770 - 1847), pair de France, homme politique français, maire de Croissy-sur-Seine, propriétaire du château de Baronville puis président du Collège Électoral d'Eure-et-Loir ;
  • Émile Labiche (Béville-le-Comte, 1827 - Paris, 1922), sénateur d'Eure-et-Loir sous la 3e République, descendant de la famille Labiche qui fut notaire de père en fils à Béville-le-Comte de 1604 au , pendant sept générations ;
  • Émile Millochau (Béville-le-Comte, 1846 - 1929), député d'Eure-et-Loir ;
  • Gaston, Étienne, Armand de Pomereu d'Aligre (1861-1935), vicomte de Pomereu d'Aligre, ancien conseiller général de la Nièvre, maire de Béville-le-Comte de 1919 à 1929, président des Anciens Combattants de la guerre 1914-1918, propriétaire du château de Baronville, administrateur et bienfaiteur de la Fondation d'Aligre de Lèves de 1906 à 1935 ;
  • Claude de Rougé (1889-1962), comte de Rougé, maire-adjoint de Béville-le-Comte, propriétaire du château, ancien combattant des deux guerres mondiales et résistant, honoré par une rue du Comte Claude de Rougé, à Béville.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Béville-le-Comte et Sours », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Sours », sur la commune de Sours - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Béville-le-Comte », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Béville-le-Comte », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations non-romanes ; formations dialectales, Droz, , p. 927.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2, Droz, , p. 926.
  22. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Droz, , p. 1710.
  23. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Béville-le-Comte », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  25. « Et, au fait, c’était qui ? », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Conseiller municipal, Claude Perrot, fils de Louis Perrot, conseiller général du canton de 1958 à 1982, s'est fait remarquer en 1965, en devenant adjoint au maire. Ensuite, il a été maire d'Auneau, de 1971 à 1989 ».
  26. « Le maire de Béville-le-Comte, Dominique Leblond, démissionne », L'Écho républicain,‎ (lire en ligne).
  27. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Château de Baronville », notice no PA00096972, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. https://www.bevillelecomte.com/detail.php?idc=7