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Boutigny-Prouais

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Boutigny-Prouais
Boutigny-Prouais
L'entrée de Prouais par Rosay sur la D21.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Dreux
Intercommunalité Communauté de communes du Pays Houdanais
Maire
Mandat
Corine Le Roux
2020-2026
Code postal 28410
Code commune 28056
Démographie
Gentilé Botipratiens
Population
municipale
1 663 hab. (2021 en évolution de −6,42 % par rapport à 2015)
Densité 51 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 44′ 44″ nord, 1° 35′ 14″ est
Altitude Min. 109 m
Max. 173 m
Superficie 32,5 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Anet
Législatives Première circonscription
Localisation
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Boutigny-Prouais
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Boutigny-Prouais
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Boutigny-Prouais

Boutigny-Prouais est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir, en région Centre-Val de Loire.

Géographie

Situation

La commune est limitrophe du département des Yvelines et de la région Île-de-France.

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Communes, département et région limitrophes

Lieux-dits et écarts

La commune de Boutigny-Prouais inclut les hameaux de Allemant, Beauchêne, Beauterne, Bouchemont, Buchelet, Cloches, Dannemarie, Le bois des pres, Les joncs, Le mesnil, La musse, Rosay, Saint-projet et Saussay.

Hydrographie

La commune est traversée par l'Opton, affluent en rive gauche de la Vesgre, et donc un sous-affluent du fleuve la Seine, par l'Eure.

L'Opton a donné son hydronyme à l'ancienne commune de Boutigny-sur-Opton.

Voies de communication et transports

La commune est desservie par la ligne Houdan de la société de transport Transdev Houdan.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

  • Moyenne annuelle de température : 10,5 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,8 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 14,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 640 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,9 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bu_sapc », sur la commune de , mise en service en 1996[7] et qui se trouve à 9 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 635,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Trappes », sur la commune de Trappes, dans le département des Yvelines, mise en service en 1923 et à 31 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,4 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,6 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Boutigny-Prouais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[14],[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire regroupe 1 929 communes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (87,6 %), forêts (5,9 %), zones urbanisées (4,1 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

Toponymie

Les noms de Boutigny (Boteneium) et de Prouais (Proeis), apparaissent au XIe siècle dans les Archives départementales d'Eure-et-Loir.

Boutigny est attesté sous la forme Boutigny-sur-Opton en 1949. Boutigny-sur-Opton devient Boutigny-Prouais en 1972.

Prouais est attesté sous les formes Proeis en 1024, Proueii en 1249[21].

Aux 15 et 16ème siècle, Prouais est transcris Prouès dans les récits[22].

Histoire

Les outils préhistoriques découverts sur les bords de l’Opton et à la Musse attestent que le territoire était occupé par les hommes depuis fort longtemps. L’histoire des deux villages est liée aux aléas du moment, avec leurs lots de drames et de destructions dus aux invasions, aux épidémies, aux disettes, aux intempéries et aux guerres.

Les guerres n’ont pas épargné les églises qui durent être reconstruites ou remaniées au XVIe siècle. Depuis ces temps, le clocher de Prouais conserve son allure martiale de tour défensive. Mais en 1947, l’église de Boutigny fut ravagée par un incendie. Rebâtie en 1957, elle pointe à nouveau son clocher dans le paysage.

En 1595, alors qu'Henri IV s'apprêtent à partir combattre les espagnols, les habitants de Prouais se rebellent contre les troupes royales, 5 ans après les révoltes de Nogent-le-Roi. Ils fortifient le village et mettent en difficulté les troupes royales. Le village subit un siège de 6 compagnies royales, qui finiront par franchir les fortifications[23][source insuffisante].

À partir du XIXe siècle, les limites territoriales ont évolué.

  • En 1846, la commune de Saint-Projet, avec ses hameaux du Mesnil-sur-Opton et Dannemarie, est rattachée à celle de Boutigny, par ordonnance du roi Louis-Philippe ;
  • En 1972, les deux communes de Boutigny-sur-Opton et de Prouais unissent leur sort pour former la commune de Boutigny-Prouais ;
  • En 1998, la commune de Boutigny-Prouais entre dans la communauté de communes du Pays Houdanais.

La rafle du 23 février 1944

Sylvia Landau était née à Paris, au printemps 1929. Sa famille était arrivée d’Europe de l’Est au début du siècle. Ses parents Hersch Landau et Rose Schwartzmann s’étaient mariés à Paris en 1926. Ils étaient tapissiers dans le faubourg du Temple où Sylvia fréquentait l’école de la rue de Marseille. Au début de la guerre, Sylvia, Hersch, Rose et Élie, le grand-père, quittèrent Paris pour s’installer à Prouais.

Sylvia y découvrait une nouvelle école, toute voisine de sa maison. Hersch retournait souvent à Paris tandis que Sylvia s’occupait de sa mère paralysée. C’était une atmosphère de sécurité relative où la prudence restait de mise. Une voisine, Marguerite Monassa, pensant la sauver, fit baptiser Sylvia.

En , Hersch est arrêté à Paris, puis déporté au centre d'extermination de Sobibór.

Nouvelle alerte en , quand deux gendarmes vinrent chercher Élie pour le conduire au camp de Drancy… Ils ne l’emmenèrent pas : le docteur Pauchard certifia que le vieil homme était intransportable. Une autre fois, l’instituteur, Roger Hélion, cacha Sylvia dans la cave de l’école.

Une année passa, et ce fut la rafle du  : 56 juifs furent arrêtés dans le département, à Arrou, Brezolles, Yèvres… À Prouais, Sylvia, arrêtée alors qu’elle était en classe, fut emmenée avec son grand-père. Ils furent conduits à la prison de Chartres puis à Drancy.

On apprit bientôt qu’un convoi se préparait pour quinze cents déportés, dont le poète Max Jacob qui succomba à une pneumonie quarante-huit heures avant le départ. Le , le convoi 69 prit le chemin de Pitchipoï. Trois jours de voyage avant d’atteindre le ciel plombé de Silésie. Un quai de gare, des wagons qui se vident, des bagages qui restent sur le quai, des camions qui transportent Sylvia et Élie à quelques kilomètres dans un bois de bouleaux où leur temps doit s’arrêter.

En 1945, la guerre s’achève. C’est l’attente du retour des déportés. Rose est à sa fenêtre, de ce fauteuil d’infirme qui lui a sauvé la vie, elle attend Hersch, Élie, Sylvia… qui ne sont jamais revenus[24].

Politique et administration

Liste des maires

Liste des maires à partir de 1945
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 2020 Mireille Éloy UMP-LR Retraitée
Conseillère régionale du Centre-Val de Loire
2020 En cours Corinne Leroux    

Politique environnementale

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 1 663 habitants[Note 8], en évolution de −6,42 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
538566583614612636648680725
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
696670642615622645647628641
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
604592604578583587545522564
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
5255337571 0871 3181 5331 6151 6411 809
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7771 6761 663------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

Héraldique

Armes de Boutigny-Prouais

Les armes de la commune de Boutigny-Prouais se blasonnent ainsi :
parti : au premier d'azur à la roue de moulin d'or soutenue d'une jumelle ondée alésée du même, au second de sinople à la tour-clocher couverte d'argent maçonnée, ouverte et ajourée de sable ; sur le tout, au chef d'or chargé de trois trèfles de sinople (création Josèphe Charles, adoptée par délibération municipale du 9 septembre 2009)[33]

Voir aussi

Articles connexes

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Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
  6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station Météo-France Bu_sapc - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Boutigny-Prouais et Bû », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France Bu_sapc - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Boutigny-Prouais et Trappes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Trappes - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  21. Ernest Nègre Nègre, Toponymie générale de la France : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 669.
  22. Société archéologique d'Eure-et-Loir.
  23. Mémoires de la société archéologique d'Eure-et-Loir (1860).
  24. D’après l’Association de Recherche pour la Mémoire de la Résistance en Eure-et-Loir, et l’hommage rendu à Sylvia Landau, lors de la journée nationale du souvenir de la Déportation, le dimanche 25 avril 2010, à Dreux.
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Moulin du Mesnil-sur-Opton », notice no PA00096982, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « La Communale » (présentation de l'œuvre), sur l'Internet Movie Database.
  31. « Ne ratez pas Une maison, un artiste - Régine Deforges », sur nouvelobs.com, (consulté le ).
  32. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche des 21 et 22 août 1982
  33. http://www.labanquedublason2.com/lecture_fiche_commune.php3?page=f28056