Wikipédia:Pastiches/Saint-Pouilleux-sur-Binouze

Une page de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ne doit pas être confondu avec Saint-Loup-en-Champagne, ni avec Bignoux-en-Pouilles, et encore moins avec Axolotl qui n'a vraiment rien à voir avec le sujet de cet article

Saint-Pouilleux-sur-Binouze
Pastiches/Saint-Pouilleux-sur-Binouze
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Terre
Arrondissement Eurasie
Intercommunalité Communauté de communes des Saints pouilleux
Maire
Mandat
Gringo Ier
2009-2035
Code postal Juste après le 3e arbre à gauche
Code commune glou-glou-25497
Démographie
Population
municipale
26 140 hab. (1999)
Densité 8 321 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 59′ 16″ nord, 3° 10′ 42″ ouest
Altitude aucune idée m
Min. 0 m
Max. +inf m
Superficie 3,141 592 654 000 0 km2
Élections
Départementales Canton Ébouré de Pastis
(Loire Maritime)
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Pouilleux-sur-Binouze
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Pouilleux-sur-Binouze

Saint-Pouilleux [cinpouyeu]prononciation, en forme longue XXL Saint-Pouilleux-sur-Binouzeprononciation, (anciennement Saint-Pouilleux-en-Binouze), en SMS SPBprononciation, parfois orthographié St-Pouilleux, forme controversée, est une petite ville (city) franco-wikipédienne. Le maire de cette jolie bourgade aux allures sinusoïdales n'est autre que Gringo Ier, qui a reverté le pouvoir le 32 février 2009.

Saint-Pouilleux-sur-Binouze, (St. Pouill’ pour les zintimes) est mondialement connu pour son wikicenteure de wikirepos qui reçoit les gentils wiki-utilisateurs en wikibrèque, wikislo ou wikibeurnout. Une section spéciale est réservée aux wikiacros ayant plus de 50 000 wiki-édits. Il sert aussi de refuge aux wikivilains, auteurs d’une wikiguerredédition. L'entrée est strictement interdite aux zipés fantômes, aux wikitrolls et aux wikisockpuppet.

Éthyle au logis[modifier le code]

La ville a longtemps été désignée par un nombre quasi infini de noms et surnoms, jusqu'à ce que Rafael TwøWiñgš (arrière-arrière-petit-fils de Pascual Cerveza TwøWiñgš ; voir plus loin) invente le nom de Saint-Pouilleux-en-Binouze le 18 mai 2006, lors d'une discussion sur les critères d'admissibilité sur Wikipédia[1]. Le nom fait référence à l'homme saint qui avait fait les beaux jours et la ville (voir plus loin) ainsi qu'à la région. Le nom a toutefois été légèrement modifié dès le 4 octobre 2006 par le comte Arséniure de Gallium lorsque celui-ci a voulu démontrer l'inexistence de consensus sur la définition de l'altitude d'une ville. Le nom est donc devenu Saint-Pouilleux-sur-Binouze[2], une nuance qu'a parfaitement accepté Rafael TwøWiñgš.

Le nom change toutefois selon la langue utilisée :

  • en arpitan: Sant-Pō-ōyu-de-Binütz[3]
  • en irlandais: Saen Puiaeu en Guiness
  • en ch'ti: Chaint-Pouillô-chour-Bistouille
  • en gaga: Sainte-Poutrasse-en-Boit-d'bout
  • en québécois : Stie d'Pouilleux-en-Tabarnak
  • en chinois: 啤酒街虱子
  • en birman ပြည်န်မာထောင်စုမြန်မာနိုင်ငံတော်န်မာန်မပြည်ာ

Géographie[modifier le code]

Saint-Pouilleux-sur-Binouze, vue d'en haut qui démontre qu'en bas c'est un trou

Saint-Pouilleux-sur-Binouze est la capitale de la région marécageuse de la Binouze, traversée par le cours d'eau éponyme, lequel se jette dans la Gargamelle peu après la sortie ouest de la ville, dans la vallée de la Kro. Saint-Pouilleux-sur-Binouze est située le long de la rive gauche de la Binouze mais elle titube parfois à droite, phénomène qui a donné lieu à d'importantes inondations par le passé.

Selon les scientifiques, son altitude moyenne est, en moyenne au moins, supérieure à son altitude minimale. Le relief de la majorité de la ville est celui de la région, c'est-à-dire une vaste plaine morne où ne surgissent que de rares pitons rocheux, surnommés les « galettes » dans le patois local. La seule « méga-galette », le Pic de la Grande-Gerbe, est d'ailleurs située au cœur de Saint-Pouilleux-sur-Binouze, où se perchent des ruines historiques attestant de l'ancienneté des origines pouilleubinouzoises. La formation de ces structures géologiques est sujette à controverse mais une légende régionale fait état du passage du dieu Bacchus dans le coin, un soir de beuverie[4]. Il aurait alors déversé du malt et du houblon dans la Binouze et en aurait bu le mélange. Les conséquences gastriques auraient provoqué un vomissement divin qui se serait cristallisé en une forme vaguement cônique. Les géologues n'ont su trouver d'hypothèse plus plausible que la légende.

Les communes voisines sont Trifouillis-les-Canards (commune du Toutauboukistan), Troupomé-sur-Rien, Moches-les-Grands-Clapiers et Bétonville[5]. L'ensemble forme le canton Ébouré de Pastis, dans la Loire Maritime.

Schéma simplifié de la ville
Représentation de Saint Pouilleux dans son activité favorite (qu'il pratiquait selon la légende toutes les 2h28 pour atteindre la plénitude terrestre de son lien privilégié avec le royaume céleste)

Les historiens locaux cherchent en vain depuis plusieurs générations les traces d'une vie de groupe quelconque antérieure à la naissance de Jésus. Ils s'activent toujours par monts et par vaux avec leurs détecteurs de métaux. Les vestiges de ruines datant a priori de la fin du phanérozoïque, situés au sommet du Pic de la Grande-Gerbe, restent le seul indice à ce jour.

La prise démocratique du pouvoir par Gringo Ier

Durant le Moyen-Âge, Saint-Pouilleux-sur-Binouze était la capitale de la Loire-est-Chère (gâtinais austro-hongrois). Son premier seigneur a été Hydrogénure de Gallium à qui succéda son fils Héliumure de Gallium, lointains ancêtres de la famille de Gaulle[6].

La petite localité de Saint-Pouilleux-sur-Binouze fut ensuite le théâtre de nombreuses expériences religieuses : gnose sur l'hypothèse midrashique et forte implantation de la communauté des Témoins de Mormon en firent un haut lieu de la spiritualité arpitane. Le culte de Cthulhu y est aussi assez répandu depuis la réforme religieuse du IDCXMIe siècle. Mais c'est surtout Michel le Saint Pouilleux qui marqua l'histoire religieuse de la ville au VXIe siècle (voir plus loin).

L'histoire plus récente n'est que beuverie et n'est aucunement intéressante pour les non-Pouilleux.

Gringo Ier a renversé le pouvoir le 32 février 2009[7]. Grâce à lui la population s'est remise en marche avec un total de 26 140 habitants à l'heure actuelle. Gringo Ier a implanté ses bureaux sur l'une des places les plus connues, la Place du Pastis.

Le 30 octobre 2018, Om-tylo renversa la royauté de Gringo Ier et se proclama Empereur des rois des chefs. Il décida de placer ses bureaux à côté du bar à chat de la ville.

Tentative d'invasion[modifier le code]

Saint-Pouilleux-sur-Binouze possède en son sous-sol des gisements d'arséniure de binouze, composant essentiel des boissons d'avril. L'armée de terre trifouilloise, venue du village voisin, composée de 3 vandales armés d'une cuillère à soupe[8] et recrutés sur les RC, tenta d'envahir St-Pouilleux le dimanche 20 avril 1008 vers 5h72 du soir matinal. Selon la légende, les trois vandales auraient été bloqués indéfiniment à la frontière pouilloise. Le phénomène est inexpliqué à ce jour.

Les gisements restent cependant sources de conflits entre Pouilleubinouzois et Trifouillois, réglés en général par des épanchements au bistro.

Administration[modifier le code]

Gringo Ier, le maire dictateur de Saint-Pouilleux-sur-Binouze, à l'issue d'un conseil municipal mouvementé.
Liste des maires successifs
Date d'élection Identité Qualités
2000-2005 TwøWiñgš Éclectisme, philosophie, rigolons un brin
2006-2009 GaAs Bonté, générosité, grandeur d'âme, modestie
2009- 2018 Gringo Ier Anonymosité, pastissomania, dom-juanite aiguë
2018- 2026 Omtylo Le Grand, Aime les pommes.

Les principaux partis politiques de Saint-Pouilleux-sur-Binouze sont :

Démographie[modifier le code]

Le nouvel Hôtel de ville qui abrite le centre des loisirs, l'hôpital général, l'école et la caserne des pompiers

Les habitants sont appelés les Pouilleubinouzois(es), voire parfois simplement les Pouilleux(-ses).

Évolution de la population
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
951,5[11]923925844863868867817787
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
801833742605740625601540571
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
620624631602700552523402648
1962 1968 1975 1982 1990 1999 - - -
556531403267562,5---
(Sources : Cassini[9] et INSEE[10])

Tableau démographique du XXe siècle[modifier le code]

Lieux et monuments[modifier le code]

Les Pouilleubinouzois, inconscients de leur patrimoine culturel, ont pour fâcheuse habitude de grignoter la base du mausolée de Gallium, dont la stabilité est aujourd'hui en péril.
  • Vestiges de ruines datant de la fin du phanérozoïque, situés au sommet du Pic de la Grande-Gerbe. Certains archéologues pensent qu'il s'agit du premier bar historique de la région.
  • Église Notre-Dame-de-Saint-Pouilleux, datant du VXIe siècle (seul vestige mondial de ce siècle perdu) et son monastère adjacent (Notre-Dame-Pipi) où est enterré Saint Pouilleux. Les vitraux, réalisés en tessons de bouteilles, sont d'une qualité remarquable et des néons fluos remplacent les cierges.
  • Lycée Moilagorge, établissement remarquable par sa forme biscornue mais aussi pour son taux d'élèves arrivant saouls au bac (le plus élevé du monde). L'ancien proviseur, Roger Oublié, a initié une nouvelle filière, le bac anal, dont la première diplômée fut Laure Gasme (voir plus loin).
La fontaine asséchée en pierre sèche archisèche
  • La célèbre fontaine asséchée de la place Ousskiféseqetsoif.
  • Le mausolée de la famille de Gallium, monument remarquable tout d'abord par sa hauteur (26, 607 m), mais surtout par sa composition : la base est en Chamallow sculpté en forme de poulpe. Cette base est surmontée d'une tour hexadécimale contenant les restes de l'illustre famille de Gallium. L'ensemble est coiffé d'un buste géant d'Hydrogénure de Gallium, fondateur de la dynastie villageoise. Noter la splendide barbe fleurie d'Hydrogenure de Gallium (surnommé Queskigratteçuila par ses ennemis, terrifiés par sa pilosité envahissante), qui a été indûment attribuée ensuite à Charlemagne : l'empereur à la barbe fleurie, impressionné par l'effet de la barbe d'Hydrogeniure de Gallium sur le mental de ses ennemis, a tout simplement repris l'idée et s'est ainsi constitué un Empire gigantesque, ce que le sire de Gallium n'a jamais voulu faire, à cause de sa non-moins légendaire fainéantise.
  • Clinique Saint-Chose, qui a vu naître nombre de nouveaux-nés extrêmement encyclopédiques[12].
  • La cabine téléphonique daté du Ve siècle est un exemple exceptionnel de l'architecture amazonienne avec son artère en métal, et les ananas en plastique scotchés sur le côté, preuve que les habitants de l'époque savaient utiliser les tapettes à souris.

Gares[modifier le code]

La gare ferroviaire de Saint-Pouilleux-sur-Binouze un jour normal de grève

Autrefois arrêt pipi important sur la ligne circulaire de Trifouillis-les-Oies à Trifouillis-les-Oies, la gare de Saint-Pouilleux-sur-Binouze est aujourd'hui devenue une simple halte du tramway des Oies, arrêt facultatif sur demande, correspondance avec la ligne RATP (L'Hirondelle).

Sur initiative du sympathique maire de Saint-Pouilleux-sur-Binouze, A. de Gallium, le classement de la gare au patrimoine mondial de NUL ESCROC serait actuellement en cours d'étude par des autorités compétentes inconnues[réf. nécessaire].

Culture et loisirs[modifier le code]

Événements[modifier le code]

  • Tous les matins, le jour se lève à Saint-Pouilleux-sur-Binouze.
  • Biennale des boissons d'avril, qui a lieu tous les 1er avril comme son nom ne l'indique pas[13]
  • Fête du vin joint, le 20 juin
  • Foire Belle-Hélène, patronne de Saint-Pouilleux-sur-Binouze et du Bistrot de la Place de la Foire. Exposition et démonstration d'alambic.
  • Salons : salon du Canapé, Salon des Chats Homosexuels[14], Salon des Gendarmes qui s'assument tels qu'ils sont , Salon Jlarivière, Salon Sicépacour
  • Marchés : marché Moipasurlépié, marché Droissivoupouvé
  • Traditionnels concerts de harpe en plein champ à l'occasion des semailles
  • Festival Erbium : grand festival annuel d'Air guitar, organisé depuis 1999. Il a notamment révélé en 2004 Joe Butane et sa guitare à gaz
  • Fête annuelle de la Binouze

Saint-Pouilleux-sur-Binouze au cinéma[modifier le code]

Lors du tournage de Mise en bière, rue de Notre-Dame-Pipi

Au moins deux films a été tourné à Saint-Pouilleux-sur-Binouze :

  • 2007 : Le Bistro d'Arséniure de Gallium. Chronique au jour le jour de la vie des habitués du petit débit de boissons de la place Hydrogénure. À mi-chemin entre le documentaire rural et le reportage de France 3 Régions, un film poignant, injustement méconnu[non neutre]. En compétition pour le Gallium d'Or du meilleur film au festival de la Binouze 2008.
  • 2008 1/2 : Mise en bière de Rafael TwøWiñgš. Hommage pouilleubinouzois à la série Six Feet Under, ce film raconte l'épopée des comas éthyliques d'un sombre héros nommé Frère Antoine. Au début de l'histoire, cet ancêtre supposé de Saint Pouilleux termine un séjour en prison (où il était immatriculé 1664) que lui avait valu l'attaque à main armé d'un bar en béton armé - le béton avait donc été plus fort que la main (un flashback montre d'ailleurs cette scène mythique). Une rumeur qui court très vite l'annonce en compétition officielle au Festival de Quend du film grolandais d'une année indéterminée.

Par contre, même si elle a joué dans de nombreux films, l'actrice Laure Gasme (voir plus loin) n'en a encore tourné aucun dans sa ville natale. On murmure cependant dans les milieux motorisés qu'elle serait en train d'écrire Prends-moi par derrière que j'puisse boire tranquille et qu'elle aurait l'intention de le réaliser elle-même dans les environs de Saint-Pouilleux-sur-Binouze.

Bibliothèque[modifier le code]

Annexe de la bibliothèque, où sont conservés les fonds les plus précieux.

Saint-Pouilleux-sur-Binouze a été la première ville de la Binouze à accueillir des presses, dès le VXIe siècle, à l'appel de l'abbesse de Notre-Dame, Guigonne de La Binouze. La bibliothèque de la ville contient la majeure partie des ouvrages alors publiés. On y trouve notamment l'édition princeps de Des pois au lard cum commento (Saint Pouilleux, milieu du VXIe siècle)[15].

Sport[modifier le code]

L'enfant du pays Hector Cervoise, champion départemental de twirling bâton, a beaucoup fait pour la diffusion de cette discipline dans la commune. La salle de sport municipale porte désormais son nom.

Notons d'autre part que la construction du stade de foot n'a jamais été terminée car les habitants ne sont jamais parvenus à trouver 11 joueurs pour former une équipe. Les gradins avaient toutefois été construits et un écran géant a été installé pour que les Pouilleubinouzois se réunissent tous les dimanches pour regarder ensemble les meilleurs moments du championnat moldave, voire du championnat nauruan si le temps le permet.

Personnalités liées à la commune[modifier le code]

Croquis du projet « Bourrez-vous et bourrez-moi » par Laure Gasme
  • Guigonne de La Binouze. Abbesse de Saint-Pouilleux au VXIe siècle, elle a contribué à l'essor bibliothécaire de la cité (voir paragraphe sur la bibliothèque), notamment en inaugurant un fonds unique au monde de livres de recettes et de cocktails.
  • Laure Gasme, écrivaine et actrice porno. Première titulaire du bac anal (voir paragraphe sur les monuments), elle semblait prédestinée à une telle carrière. Elle a tourné dans de nombreux films importants de l'histoire du X comme T'es qui là derrière moi?, Les Contes de la Fée Lation ou encore X-Women, l'affrontement buccal. En 2007, elle a voulu organiser un gang bang géant sur la place de l'église à l'occasion de la fête annuelle de la Binouze. L'évènement, baptisé « Bourrez-vous et bourrez-moi », avait obtenu l'autorisation de la mairie et même la garantie d'être sponsorisé par le curé de Notre-Dame-de-Saint-Pouilleux pour la fourniture illimitée de capotes en hostie. Les habitants de la ville attendirent impatiemment l'évènement mais les habitants des autres villes de la région, ni concernés ni intéressés, ont immédiatement fait une demande PàS (Projet à Supprimer). Laure Gasme continue depuis de militer pour la tolérance alcoolo-sexuelle.
  • Hector Cervoise, champion départemental de twirling bâton. Il a aussi inventé la nouvelle discipline du twirling bottle, dont un concours de non-adresse se déroule à chaque fête annuelle de la Binouze. Il est décédé en 1928,5 en essayant d'ingurgiter l'un de ses bâtons, l'ayant confondu avec le toast au caviar qu'on lui tendait après sa 26e victoire départementale.

Citoyens d'Honneur[modifier le code]

En mars 2008, Rafael TwøWiñgš créait la gratification municipale suprême de « Citoyen d'Honneur de Saint-Pouilleux-sur-Binouze » (CHSPSB) pour les habitants de Wikipédie qui le méritent. Du même coup, il créait une autre distinction ultra-suprême, celle de « Super-Citoyen d'Honneur de Saint-Pouilleux-sur-Binouze » (SCHSPSB), qu'il décernait conjointement à lui-même et à Arséniure de Gallium.

Liste des Super-Citoyens d'Honneur[modifier le code]

Règles d'attribution : pour devenir Super-Citoyen d'honneur, l'ensemble de Super-Citoyens d'honneur actifs doivent voter à la majorité des 2/3 (tout silence de plus de deux semaines est considéré comme un décès wikipédien, même s'il s'agit seulement d'un coma éthylique). Seuls les Citoyens d'honneur peuvent obtenir la distinction ultra-suprême.

Liste des Citoyens d'Honneur[modifier le code]

Règles d'attribution : tout Super-Citoyen d'Honneur peut décerner unilatéralement le titre de Citoyen d'honneur selon les critères qu'il souhaite. Tout Wikipédien peut aussi en faire la demande envers un Super-Citoyen d'Honneur qui examinera la requête.
  • Manuguf, honoré le 1er avril 2008 pour ses efforts de préservation de la mémoire de la ville[17].
  • Fred.marchalon, honoré le 7 avril 2008 pour s'être auto-honoré la veille car il était virtuellement trop bourré pour cerner les règles d'attribution de la distinction pouilleubinouzoise[18]. Il s'était ensuite bien rattrapé dans une déclaration qui a convaincu Rafael TwøWiñgš[19].
  • Pwet-pwet, honoré le 11 avril 2008 pour être un membre discret du groupe Saint-Pouilleux municipal council depuis 2006[20].

Comme toute commune qui se respecte, Saint-Pouilleux-sur-Binouze est jumelée avec tout plein de communes respectueuses :

Voir aussi[modifier le code]

Bibliographie[modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Voir aussi dans les notes et références.
  • Arséniure de Gallium, Géologie mythologique et mystères chimiques de Saint-Pouilleux-sur-Binouze, éd. Binouze Sup, 2006
  • Rafael TwøWiñgš, Géohistoire cartographiée de Saint-Pouilleux-en-Binouze, éd. Binouze Sup, 2006
  • Arséniure de Gallium et Rafael TwøWiñgš, Si Saint-Pouilleux-sur-Binouze m'était conté, éd. Bourrée, 2007
  • Rafael TwøWiñgš, Que sais-je ? Saint-Pouilleux-sur-Binouze, coll. "Que-bois-je ?", Cuites Universitaires de France, 2008.

Liens internes[modifier le code]

Liens externes[modifier le code]

Notes et références[modifier le code]

  1. Acte de naissance du nom "Saint-Pouilleux-en-Binouze".
  2. Acte de naissance du nom "Saint-Pouilleux-sur-Binouze".
  3. la méthode Hepla donne la graphie Sant-Pō-ōyu-de-Binütz (le ō-ō note un o extra-court), la méthode Francis Kuntz note Sant-Pô^ôyu-de-Binütz et la méthode XXX, Sant-Po_oyu-de-Binütz. En arpitan, le « ō-ō » est un « o » extra-court et suivant la méthode Hepla, un « o » extra-court se transcrit par un « o » surmonté d’un poêlon (barre horizontale demi incurvée). On utilise aussi fréquemment la forme avec accents circonflexes « Sant-Pô^ôyu-de-Binütz », soit parce qu'on ne dispose pas de poêlon, soit parce qu'on en a envie. Pour le Système solaire, l'arrêté du 4 frimaire MLXXV relatif à la terminologie des noms d'États et de capitales, pris conjointement par les ministres des Affaires étrangères et de l’Éducation nationale, « recommande » la seule graphie Saint-Pouilleux-sur-Binouze.
  4. Laure Gasme, Contes et légendes de la Binouze, éd. La Binouze, 2008.
  5. Selon le calendrier géographique.
  6. Hyppolyte-Benoît de Champignac-Bellecourt, Histoire de Saint-Pouilleux-en-Binouze des origines à la Révolution, Félix Lechat Imprimeur, Saint-Pouilleux, 1847.
    L'actuelle maison de Gallium descend de la branche aînée des Lanthanides, tandis que les de Gaulle sont issus des Actinides.
  7. Trace historique prouvant la non-véridicité de la date
  8. Pour creuser évidemment.
  9. http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
  10. INSEE: Population depuis le recensement de 1962
  11. Jusqu'au XIXe siècle, la démographie pouilleubinouzoise comptait chaque cul-de-jatte comme une demie-personne. En 1793, il y avait 5 personnes cul-de-jatte, d'où le chiffre de 951,5 alors qu'il y avait pourtant 934 âmes dans la localité, 20 Pouilleubinouzois ayant vendu la leur au diable pour une pinte de bière.
  12. Selon Vigneron
  13. Lancement le 1er avril 2008
  14. Lancement par Arséniure de Gallium et Rafael TwøWiñgš
  15. Arnauld Binouze de la Binouzière, Une sacrée bibliothèque. Histoire de la bibliothèque municipale de Saint-Pouilleux et du fonds Guigonne de La Binouze, Saint-Pouilleux : Action culturelle municipale/Société des amis de la bibliothèque de Saint-Pouilleux, 1987
  16. John Bidule, Why Einstein Thought That Pinky Pigs Are More Interesting Than Bird Flu, La Revue Scientifique et Technique, volume 575, pages 1027-1028, Saint-Pouilleux-en-Binouze, août 1997.
  17. Action de préservation du patrimoine mémorial de Saint-Pouilleux-sur-Binouze. Notons qu'il a honoré sa distinction de bien belle manière avec une tournée générale.
  18. Flagrant délit d'auto-honorificationisme, puni par la loi pouilleubinouzoise (sauf en cas de cuite virtuelle).
  19. Déclaration solennelle de son amour pour Saint-Pouilleux-sur-Binouze.
  20. Cérémonie d'intronisation de Pwet-pwet (avec création de cocktail artistique pour l'occasion)