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Maison de Vignory
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Armes de la famille.

Blasonnement de gueules aux six burelles d'argent
Période Xe siècle - XIIIe siècle
Allégeance Comté de Champagne
Comté de Bourgogne
Évêché de Langres
Royaume de France
Fiefs tenus Vignory
Demeures Château de Vignory

La maison de Vignory est une famille noble titulaire d'une seigneurie issue du démembrement du comté de Bolenois et par la suite incorporée dans le comté de Champagne, lui-même inclus dans le royaume de France, durant le Moyen Âge central, dont sont issus plusieurs seigneurs et abbés.

Origines[modifier | modifier le code]

Étymologie[modifier | modifier le code]

Le nom de Vignory vient d'un petit ruisseau qui y prend sa source, la Vangion, et qui se jette dans la Marne deux kilomètres et demi plus loin. Le village est ainsi nommé « Vangionis Rivus » dans un document du IXe siècle[Hum 1], puis par déformation s'est transformé en « Vaugne Rupt »[1] avant de donner la forme moderne de Vignory, qui est donc composé du nom de ce ruisseau suivi de la terminaison toponymique et hydronymique –riva ou –rupt[Hum 2].

Paradoxalement, l'ancien nom de ce ruisseau est maintenant oublié et il est désormais appelé le Rigolot[1].

Quant au nom de Vangion, il pourrait provenir d'un ancien peuple germain provenant des abords de l'actuelle ville de Worms, les Vangions, et qui se serait installé dans la région lors des invasions barbares. Jules César mentionne ce peuple dans ses Commentaires sur la guerre des Gaules[Arb 1].

Toutefois, une autre hypothèse indique que ce nom pourrait provenir de Wangion, un chef barbare à qui Charlemagne aurait donné la région[Hum 2], charge à lui d'y défricher des terrains boisés afin d'y établir une colonie agricole protégée par un camp fortifié[Hum 3].

Ces deux hypothèses ne sont toutefois pas antinomiques l'une avec l'autre, car rien n'empêche d'imaginer que ce seigneur de guerre du nom de Wangion soit le chef de la tribu des Vangions[Hum 2].

Fondation[modifier | modifier le code]

Aucune trace d'occupation gallo-romaine n'a jamais été découverte à Vignory, ce qui pourrait faire dater sa fondation au Haut Moyen Âge. En effet, cette zone géographique est habitée dès le VIe siècle ou VIIe siècle lors de la construction de la chapelle Saint-Hilaire[Note 1], qui porte le titre de basilique dans une charte de 1050, afin d'évangéliser les habitants des environs, c'est à dire très probablement des villages voisins de Vignory, Soncourt et Vouécourt[2],[Hum 3].

La première mention du bourg de Vignory date d'une charte de l'an 815 qui rappelle que Charlemagne avait donné son « fief de Vignory avec les églises qui en dépendent » à l'abbaye de Luxeuil et par laquelle son fils Louis le Pieux confirme les donations paternelles. L'authenticité de ce document a été remise en cause par plusieurs historiens du XIXe siècle, mais les faits qu'il décrit concordent en tous points avec ce qui est connu. Il s'agit très probablement d'un vidimus de la fin du Xe siècle dont l'original, alors conservé à Luxeuil, a été brûlé lors de la Révolution française[Arb 2].

Dans l'organisation territoriale carolingienne, Vignory fait partie du pagus Boloniensis, dont le chef-lieu est la ville de Bologne, qui fait partie des pagi de la Bourgogne franque, et qui devient dans le courant du Xe siècle le comté de Bolenois[1].

La tige de la lignée[modifier | modifier le code]

Dans ses recherches pour la rédaction de son Histoire des ducs de Bourgogne de la race Capétienne, l'historien Ernest Petit cite une note découverte par Auguste Longnon à la bibliothèque de Troyes et qui fournit une courte généalogie du début de la maison de Vignory. Cette notice, qui pourrait dater de la fin du XIIe siècle[Note 2], indique :

« Domini de Vangionis Ripa : Rodulfus Barbeta, Normannus; Vuido ; Rogerus, qui dedit monachis furna et molendina ; Vuido Rubeus ; Vuido ; Vuido ; Vuido ; Bartolomeus[Note 3],[3]. »

Le premier membre connu de cette maison serait ainsi Raoul Barbeta, un normand de la fin du Xe siècle, terme servant à cette époque à désigner les Vikings et leurs descendants[Note 4]. Si l'Histoire n'a pas gardé de trace de ses actions, il a très probablement épousé une sœur de Lambert de Bassigny, évêque de Langres et héritier des comtés de Bassigny et de Bolenois. Lors du démembrement de ces deux comtés au début du XIe siècle, celui-ci aurait alors partagé ses fiefs entre ses proches. Le comté de Bassigny aurait ainsi été fragmenté dans les seigneuries de Clefmont, Choiseul et Nogent tandis que celui de Bolenois aurait donné celles de Sexfontaines, Chaumont et Vignory[4].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des premiers seigneurs très pieux[modifier | modifier le code]

Guy Ier est le premier membre de la maison de Vignory a avoir laissé une trace dans l'Histoire. En effet, la chronique de Saint-Bénigne rapporte que l'église Saint-Étienne a été édifiée par ce seigneur pour y placer des chanoines, mais que ceux-ci furent par la suite chassés par son fils Roger pour y installer à la place un prieuré bénédictin[Arb 3].

Aubry de Trois-Fontaines, moine et chroniqueur des XIIe et XIIIe siècles, cite également Guy Ier et son fils Roger dans un court passage tout en prenant la peine de préciser qu'ils avaient beaucoup donné aux moines[Arb 4].

De même, une courte généalogie de cette famille, découverte à la bibliothèque de Troyes et datant probablement de la fin du XIIe siècle, indiquant principalement les noms des premiers seigneurs qui en sont issus précise comme unique détail que Roger donna aux moines des fours et des moulins[3].

Composition de la seigneurie[modifier | modifier le code]

Le domaine primitif de la seigneurie de Vignory n'est pas connu avec exactitude, mais il a probablement peu changé jusqu'à son démembrement en 1559 par la famille de Lenoncourt qui indique qu'il était constitué alors, outre le chef-lieu, de 28 villages : Ambonville, Annéville, Argentolles, Sainte-Bierne, Blaise, Bracancourt, Cérizières, Champcourt, Colombey les Deux Églises, Curmont, Daillancourt, Guindrecourt, Harricourt, La Genevroye, Lachapelle-en-Blaisy, Lamancine, Lamothe-en-Blaisy, Lavilleneuve-aux-Fresnes, Marault, Marbéville, Mirbel, Ormoy, Oudincourt, Pratz, Rouécourt, Soncourt, la Voivre[Note 5] et Vraincourt[6],[Arb 5].

Outre ces 28 villages, la seigneurie a probablement possédé d'anciens hameaux depuis longtemps disparus, comme Trigny, près de Champcourt[7], ou encore Ceffonds, près de Beurville, qui semble avoir fait partie de la foret dit du Blaisy qui appartenait à Vignory[8],[9]. De plus, les seigneurs de Vignory semblent avoir également des droits sur Viéville, bien que située sur la rive droite de la Marne[10].

Ces seigneurs avaient également comme arrière-fief la Vaunoise, qui consiste essentiellement en une rue et une porte du même nom situées au sud du bourg de Vignory[Arb 5].

Une mouvance partagée[modifier | modifier le code]

La charte de fondation du prieuré de Vignory, datée de 1149, donne des indications de la mouvance primitive de la seigneurie. Elle indique ainsi :

« Ego Rotgerius, castri quod vocatur Wangionum rivus indigena et advocatus... tradidi sancto Benigno... quandam juris mei cellam penes prescriptum habitationis meæ castrum sitam, cum consensu et laude seniorum meorum, Hugonis videlicet Laingonicæ sedis episcopi, atque comitis Raynaldis[Note 6],[Arb 6]. »

Outre le fait que le prieuré ait été donné à l'abbaye Saint-Bénigne de Dijon, ce document apprend que les premiers seigneurs de Vignory n'étaient qu'avoué de leur château et qu'ils avaient deux principaux suzerains dont l'accord était nécessaire pour la fondation de ce prieuré. Tout d'abord l'évêque de Langres dont le diocèse comprend l'ensemble des terres de la seigneurie. Quant au comte Renaud, certains historiens ont pensé qu'il s'agissait d'un comte de Sexfontaines, héritier des comtes de Bologne dont avait été démembré la seigneurie de Vignory au début du XIe siècle[11], mais les différents documents historiques ne montrent aucun autre lien de vassalité de Vignory envers Sexfontaines[Note 7],[Arb 7]. Ce comte Renaud pourrait être plus probablement le comte de Bourgogne Renaud Ier. En effet, une charte de l'an 815 indique que Charlemagne avait donné son « fief de Vignory avec les églises qui en dépendent » à l'abbaye de Luxeuil, dont l'avoué est l'empereur du Saint-Empire germanique, qui a possiblement laissé la garde des terres de cette abbaye dans le Bolenois et le Bassigny à son vassal le comte de Bourgogne, qui en a progressivement usurpé la propriété[Arb 8].

Vers la fin du XIe siècle, les seigneurs de Vignory apparaissent également dans l'entourage des comtes de Champagne, dont ils deviennent progressivement des vassaux suite à l’expansion de la zone d'influence de ces comtes. Ainsi, dès 1097, Guy II de Vignory apparait comme témoin dans plusieurs chartes du comte Hugues Ier, d'abord comte de Troyes avant de prendre définitivement le titre de comte de Champagne vers 1102. La mouvance du château de Vignory reste alors sous la suzeraineté des comtes de Bourgogne tandis que celle du bourg est placé sous celle des comtes de Champagne, tandis que les seigneurs se disent « liges du comte de Champagne sauf la légéité qu'ils doivent au comte de Bourgogne »[Arb 9].

L'influence des comtes de Bourgogne diminue par la suite progressivement au profit de ceux de Champagne, à qui ils resteront fidèles. Ainsi, le sire de Vignory fait partie des plus importants vassaux du comté et assiste à ce titre aux ordonnances de 1212 et de 1224 sur le règlement de la succession des fiefs et sur les duels[AJ 1]. De plus, pendant la guerre de succession de Champagne qui oppose la comtesse régente Blanche de Navarre et son fils, le futur Thibaut IV, contre les prétentions d'Érard de Brienne et de son épouse Philippa de Champagne, Gautier Ier de Vignory reste fidèle à la famille comtale malgré sa proche parenté avec le prétendant briennois[AJ 2],[Arb 10].

Mais, en 1226, Blanche de Champagne, la fille de Thibaut IV, est fiancée au comte de Bourgogne Othon III et Gautier Ier, de même que Simon IV de Clefmont, Richard de Dampierre et Henri de Fouvent, sont cautions pour le comte de Bourgogne. Mais pour une raison inconnue, il semble que vers 1235 Othon III rompt les fiançailles et ne remplit pas ses engagements envers Thibaut IV. De ce fait, Gautier Ier abandonne sa légéité bourguignonne et place son château dans la mouvance champenoise[AJ 3],[Arb 11].

........... vassaux roi de France......


Des arrière-fiefs[modifier | modifier le code]

Bien que eux-mêmes vassaux des comtes de Bourgogne et de Champagne, les seigneurs de Vignory possèdent eux-aussi plusieurs vassaux, qui constituent ainsi l'arrière-fief de ces comtes. La majorité de ces vavasseurs sont :

  • Ambonville : en 1099, Milon d'Ambonville, fils d'Ingelbert qui est probablement apparenté à la maison de Vignory, fait un don au prieuré Saint-Étienne en présence de la dame de Vignory avant de partir pour la Terre sainte. Un certain Garnier d'Ambonville est ensuite cité en 1137, puis le village semble retourner dans le giron des seigneurs de Vignory[12],[13],[Arb 12].
  • Annéville : un chevalier Emeric d'Annéville est mentionné dans une charte de 1170[14].

........... Vaunoise .............

Le temps des croisades[modifier | modifier le code]

Vignory charte affranchissement : https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k96051391/f141.item

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie centrée[modifier | modifier le code]

  • Jules Fériel, « Vignory : ruines du château - le prieuré », Mémoires la société historique et archéologique de Langres, Langres, Au Musée,‎ , p. 47-54 (lire en ligne sur Gallica).
  • Charles Grouet, Vignory : Le château, le prieuré, l'église, Paris, Librairie archéologique de Victor Didron, (lire en ligne sur Gallica).
  • l'abbé Maupris, Notes historiques et religieuses sur Vignory (Haute-Marne), Chevillon, chez l'auteur, (présentation en ligne).
  • Jules d'Arbaumont, Cartulaire du Prieuré de Saint-Étienne de Vignory, Langres, Imprimerie et librairie Firmin Dangien, (lire en ligne sur Gallica).
  • Ernest Petit, « Origine des sires de Vignory, issus des comtes de Bassigny, de Bologne, et ceux-ci des comtes de Laon », Histoire des ducs de Bourgogne de la race capétienne, Dijon, Imprimerie Darantière, vol. 2,‎ , p. 430-438 (lire en ligne sur Gallica).
  • Eugène Humblot, Vignory : Histoire civile et religieuse, le Livre d'histoire, (présentation en ligne).
  • (en) Constance Brittain Bouchard, « The Lords of Vignory », Sword, Miter, and Cloister: Nobility and the Church in Burgundy, 980–1198, New-York, Cornell University Press,‎ , p. 379-384 (présentation en ligne).
  • (en) Theodore Evergates, « Vignory Genealogy », The Aristocracy in the County of Champagne, 1100-1300, Philadelphie, University of Pennsylvania Press,‎ , p. 171-172 (présentation en ligne).

Bibliographie diverse[modifier | modifier le code]

  • Émile Jolibois, La Haute-Marne Ancienne et Moderne, Chaumont, Imprimerie et lithographie la veuve Miot-Dadant, (lire en ligne).
  • Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des ducs et comtes de Champagne : De la fin du XIe siècle au milieu du XIIe, vol. 2, Paris, Librairie Auguste Durand, (lire en ligne).
  • Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des ducs et comtes de Champagne : 1152 - 1181, vol. 3, Paris, Librairie Auguste Durand, (lire en ligne).
  • Henri d'Arbois de Jubainville, Histoire des ducs et comtes de Champagne : 1181 - 1285 (1ère et 2ème parties), vol. 4a et 4B, Paris, Librairie Auguste Durand, (lire en ligne).
  • Charles-François Roussel, Le diocèse de Langres : histoire et statistique, t. 2, Langres, Librairie de Jules Dallet, éditeur, (lire en ligne).
  • Charles Lorain, « Étude sur la Chapelle de Saint-Hilaire », Annales de la Société d'histoire, d'archéologie et des beaux-arts de Chaumont, Chaumont, Imprimerie typographique et lithographique Cavaniol, vol. 1,‎ , p. 254-279 (lire en ligne sur Gallica).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Cette chapelle est dédiée à l'évêque Hilaire de Poitiers, qui serait passé en ce lieu pour se rendre en exil ou en revenir[2].
  2. Cette généalogie s'arrête à Barthélemy de Vignory, qui meurt en 1191 au siège de Saint-Jean-d'Acre[3].
  3. Cette note généalogique peut être traduite par « Seigneurs des rives de la Vangion : Raoul Barbeta, normand ; Guy ; Roger, qui a donné aux moines des fours et des moulins ; Guy le Rouge ; Guy ; Guy ; Guy ; Barthélemy »[3].
  4. Raoul Barbeta n'est pas le seul normand à s'être implanté dans cette région. En effet, la ville de Laferté-sur-Aube, située à trente-et-un kilomètres au sud-ouest de Vignory, aurait été fondée par un couple de normands, Achard et son épouse Achardia, et dont le fils est le premier comte de Bar-sur-Aube connu. De plus, le petit-fils de Raoul Barbeta, Roger de Vignory, épousera par la suite Adélaïde, arrière-petite-fille d'Achard et Achardia[3].
  5. 'La Voivre' aura par la suite le rang de baronnie et comprendra les bourgs d'Argentolles, Bierne, Harricourt et Pratz[5]
  6. Cet extrait peut être traduit par « Moi Roger, originaire la forteresse dite de la rivière Vangion et dont je suis l’avoué… j’ai livré à Saint-Bénigne... une parcelle que je possède proche du château dans lequel je vis, avec le consentement et les louanges de mes seigneurs, à savoir Hugues évêque de Langres, ainsi que le comte Renaud. »
  7. De plus, le premier personnage nommé Renaud de Sexfontaines n'apparait qu'à la fin du XIe siècle, période où ils les membres de cette famille ne portent plus le titre de comte[Arb 7].

Références[modifier | modifier le code]

  • Jules d'Arbaumont, Cartulaire du Prieuré de Saint-Étienne de Vignory, 1882 :
  • Eugène Humblot, Vignory : Histoire civile et religieuse, 1928 :
  1. Eugène Humblot 1928, p. 16.
  2. a b et c Eugène Humblot 1928, p. 17.
  3. a et b Eugène Humblot 1928, p. 18.
  • Autres références
  1. a b et c Émile Jolibois 1858, p. 548.
  2. a et b Charles Lorain 1899, p. 259.
  3. a b c d et e Ernest Petit 1888, p. 434.
  4. Maurice Chaume, Recherches d'histoire chrétienne et médiévale : Mélanges publiés à la mémoire de l'historien, avec une biographie, Dijon, Academie des Sciences, Arts et Belles-Lettres, (lire en ligne sur Gallica), p. 102.
  5. Émile Jolibois 1858, p. 326.
  6. Émile Jolibois 1858, p. 550.
  7. Charles-François Roussel 1875, p. 194-195.
  8. Ernest Royer, « Quelques notes sur Beurville, Blinfey et la fontaine de Ceffonds aux XIIe et XIIIe siècles », Mémoires de la Société des lettres, des sciences, des arts, de l'agriculture et de l'industrie de Saint-Dizier, Saint-Dizier, Typographie et lithographie Henriot et Godard,‎ , p. 205-229 (lire en ligne sur Gallica)
  9. Gustave Bulard, « Le Blaisois, le Blaisy », Annales de la Société d'histoire, d'archéologie et des beaux-arts de Chaumont, Chaumont, Les Imprimeries Champenoises, vol. 5,‎ 1921-1930, p. 143-155 (lire en ligne sur Gallica).
  10. Charles-François Roussel 1875, p. 546.
  11. Docteur Guillaume, « Le comte Renaud de la charte de fondation du prieuré de Vignory (1050-1052) », Annales de la Société d'histoire, d'archéologie et des beaux-arts de Chaumont, Chaumont, Imprimerie typographique et lithographique Cavaniol, vol. 3,‎ 1906-1910, p. 172-176 (lire en ligne sur Gallica)
  12. Émile Jolibois 1858, p. 16.
  13. Charles-François Roussel 1875, p. 511.
  14. Charles-François Roussel 1875, p. 139.



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